Covid-19 - Le contrôle de la population opprimée

Philippe Brindet - 19 Juin 2021

Dès le 15 avril 2020, ceux qui suivaient les événements de la crise sanitaire savaient que cette crise était un scandale absolu. Instauration d'une terreur épidémique, réplique politique par inmposition d'une dictature totalitaire sur toutes les activités humaines, contrôle de l'opinion publique pour interdire toute contestation, propagation systématique et quotidienne d'informations fausses et imposition générale de décrets et réglements arbitraire par le pouvoir politique, dégagé de tout contrôle démocratique. Des décisions politiquement abusives et médicalement erronées, ...

En France, nous avons été alertés par deux Professeurs de médecine, Raoult et Montagnier. Le premier, Raoult, dès Février 2020, nous a appris que l'Etat nous trompait en instaurant une dictature au prétexte qu'il n'existait pas de médicament. Il avait l'hydroxychloroquine. Le second, Montagnier, dès Février 2020, mais surtout à partir d'Avril 2020, nous a appris que l'Etat nous trompait en instaurant une dictature au prétexte que l'épidémie de SARS-CoV-2 proviendrait d'une zoonose, elle-même provoquée par une activité humaine dont ils prétendaient qu'elle aggressait les habitats sauvages. Montagnier nous a appris qu'au contraire, le SARS-CoV-2 était un pathogène artificiel et que l'origine naturelle agitée par les gouvernements était un mensonge. Dans la plupart des Etats occidentaux, des médecins, des biologistes, ont alertés des mêmes mensonges.

Les gens se sont-ils révoltés ? Non. Pourquoi ? Parce que les gouvernements et les medias ont immédiatement déclenchée une procédure d'exclusion des scientifiques qui nous alertaient des mensonges sur le SARS-CoV-2. Les mensonges des Etats, des institutions internationales comme l'OMS, des administrations comme l'ANSM en France ou les NIH de Fauci aux USA, et de nombreux "experts sanitaires", comme le sinistre Ferguson au Royaume-Uni, tous ces pouvoirs ligués pour nous maintenir dans le mensonge de leur dictature.

En réalité, le pouvoir politique savait depuis quelque temps déjà qu'il avait été joué par le prétendu "consensus unanime de la communauté scientifique". Quelle est cette "communauté scientifique" ? Une centaine de haut-fonctionnaires, appartenant essentiellement au corps de la Fonction publique de Santé, dans chaque Etat occidental et peut être 100 à 300 experts, tant publics que privés, qui se cooptaient entre eux, une dizaine de milliardaires et les 5 à 6.000 cadres qui leur servent de laquais, ont imposé aux Etats occidentaux une réaction que le pouvoir politique, partout, n'avait pas préparé, ruinant la règle fondamentale de la politique : "Gouverner, c'est prévoir". Plusieurs spécialistes comme le Pr Perronne en France ou le Pr Gupta au Royaume-Uni, se sont étonnés que les excellents plans anti-épidémiques les plus récents avaient été abandonnés sans explication et remplacés par le sinistre plan concerté international qui a placé l'humanité dans une situation catastrophique dont nous ne connaissons toujours pas toute l'étendue et toute la gravité

En fait, les gouvernements occidentaux, presque partout, ont estimé que la dictature sanitaire, que les "experts sanitaires" leur avaient pratiquement imposé de prendre, entraînait un avantage inestimable contre tous les apports des institutions démocratiques et républicaines qui, d'un coup, leur paraissaient "dépassés". De fait, on ne compte plus les Parlements mis en congé, les cours de justice fermées, les débats démocratiques, notamment pour ceux des élections à venir, supprimés. Il en est résulté une large soumission d'une population aux prescriptions sanitaires arbitraires qui lui étaient imposés par la force de la police. Cette dictature, consentie par la ruse, permet de retirer aux gens le caractère de "peuple de la démocratie". Et c'est un peu comme si les politiciens du monde occidental se sont unis pour que, nulle part, il ne se trouve un espace démocrate et républicain.

Emmanuel Macron a fait annoncer, il y a peu, que les élections présidentielles se dérouleraient dans la deuxième quinzaine d'Avril 2022. La probablilité qu'un confinement généralisé rendra la tenue de ces élections impossible ou leur résultat biaisé est de forte à très forte. Macron pourrait certainement rester Président ad libitum ...

Transformer les citoyens en "gens" ...

Comment les gens ont-ils pu admettre de renoncer à leur appartenance à leur peuple souverain, et accepter de se soumettre à l'insu de leur plein gré à la dictature, d'abord "sanitaire", puis très vite totalitaire ? La réponse réside en l'application de contraintes par le régime. Le régime est constitué par une coalition, étrangère à la démocratie et à la res publica, mais d'éléments qui en dérive : l'exécutif du pouvoir politique, en est un bon exemple. Il a été nommé largement par la démocratie et dispose donc d'une légalité indubitable. Mais, se constituant en régime, il écarte la démocratie et la res publica, et se dirige inexorablement vers une dictature. Comment la démocratie et la res publica sont-elles donc écartées ? Al'aide de contraintes sociales, politiques, culturelles et économiques.

La terreur pandémique

La première contrainte appliquée par le régime a été la terreur pandémique. Elle s'est établie sur la dégénerescence de la culture occidentale qui a oubliée toute la rigueur de la culture occidentale des siècles passés. Autrefois, les gens savaient qu'ils mourraient et devaient lutter pour vivre. Pour l'homme occidental moderne, se tenir en bonne santé et éviter la souffrance et la mort, sont des exigences de dignité des gens qu'il a délégué d'abord au médecin et depuis quelques dizaines d'années au système sanitaire. En France, les gens sont absolument persuadés que "la Santé n'a pas de prix". Avec l'instauration de la terreur pandémique, n'importe qui se sentait en danger de mort et de souffrances intolérables et se "voyait" attaché à un respirateur artificiel dont les télévisions nous menaçaient en permanence dans des reportages quotidiens et d'une stupidité absolue.

La police

La deuxième contrainte, il ne faut pas se la cacher, fut tout simplement la puissance de la Police - en France, Police Nationale et Gendarmerie, qui se sont couvertes de honte depuis les premiers jours de la terreur épidémique en surveillant l'application des mesures sanitaires iniques. Il y a eu des exactions policières, que la Justice a exploité sans aucune vergogne pour le plus grand avantage du régime. Lorsque le Conseil d'Etat est saisis contre une quelconque mesure saniatire, l'Etat triomphe à chaque fois et avec lui le régime. Mais, la contrainte policière la plus forte a été l'application permanente d'amendes à 135 € qui ont frappé immédiatement tout contrevenant aux stupides mesures sanitaires dictées par les "médecins" et imposées avec délectation par le pouvoir politique.

La presse lourde

La troisième contrainte a été appliquée de manière uniforme partout en Occident par la presse lourde : les quotidiens et magazines alignés sur The New York Times et The Washington Post, les télévisions publiques et privées et enfin les grandes plateformes de réseaux sociaux : FaceBook, Twitter et Youtube, principalement.Cette contrainte a consisté aux actions suivantes :

  1. instiller quotidiennement la terreur pandémique,

    notamment par l'évocation des décès, des infections, des hospitalisations, des réanimations, insistance sur l'absence des traitements pharmaceutiques, agitation de l'horreur de la trachéotomie en réanimation, ... ;
  2. imposer en permanence une narration

    ... à prétention "scientifique" de la pandémie : la fameuse zoonose avec la chauve-souris et le pangolin, l'agitation absurde des modélisations informatiques fausses des progrès de l'épidémie , l'agitation de la perfection de tests infectieux faux, ....;
  3. dénoncer toute opposition

    contre les déclarations aburdes du pouvoir sanitaire et contre les décisions arbitraires du pouvoir politique comme l'expression d'un "honteux complotisme". La presse lourde a ainsi participé à la fabrication d'une entente mafieuse dans la prétendue communauté scientifique en diabolisant les scientifiques comme Perronne ou Raoult en France, mais aussi Gupta et tant d'autres dans tout l'occident, qui se prononçaient contre les erreurs scientifiques que cette même "communauté mafieuse" proférait en permanence ou encore qui promouvaient des solutions effficaces qui allaient contre '"idéologie sanitaire déguisée en "consensus unanime de la communauté scientifique".

le pouvoir sanitaire

La quatrième contrainte a été appliquée par le pouvoir sanitaire. Il est à la source des trois premières contraintes qu'il a à tout le moins recommandé ou qu'il a rendu nécessaire au pouvoir politique.

  1. Le pouvoir sanitaire s'est imposé comme maître des autres pouvoirs sur le prétexte sanitaire en utilisant deux moyens : le principe de précaution qui emprisonne depuis vingt ans la politique, et la soumission des Etats modernes - politiciens et fonctionnaires mélangés - à la tyrannie aveugle de l'expertise, fut-elle erronnée et corrompue ;
  2. Pour s'imposer au pouvoir politique, le pouvoir sanitaire a composé une entente entre ses membres, écartant toute opposition interne. On a pu assister à cette élimination dès le début de la pandémie par la traque incroyable des Professsuers de médecine comme Perrone et Raoult, mais aussi de simples médecins urgentistes ou généralistes qui ne se soumettaient pas aux diktats d'un consensus mafieux d'une communauté scientifique confondue avace cette entente. Cette entente se fonde sur une idéologie sanitaire. Or le développement de cette idéologie sanitaire a montré qu'elle ne se fondait sur aucune science : tout y est faux depuis les mesures de distanciation, la prohibition de médiaments efficaces comme l'hydroxychloroquine ou de l'ivermectine, l'imposition par la force de faux vaccins, ... Cette dictature sanitaire prétend être la "communauté scientifique" et dégager un consensus unanime alors qu'elle ne se fonde sur aucune science sérieuse, mais sur des idées préconçues prétendant se substituer au réel et sur une orientation systématiquement anti-scientifiques.
  3. Le pouvoir sanitaire a instauré sa terreur d'abord au moyen du massacre des personnes âgées surtout dans les institutions médicalisées partout en Occident, y compris en Suède, lors de la première épidémie de Mars 2020, puis sur des données fabriquées concernant le nombre des infections et partant des hospitalisés, des réanimations et des décès, grâce à des tests d'infection complètement faux qui ont exclusivement servi à enrichir les fabricants d'ne part et les institutions de recommandation médicale complètement corrompues, d'autre part.

Le pouvoir de la caste fortunée

Les riches ont depuis toujours en Occident assumés un pouvoir social qui, en général, leur ouvrait la porte des salons de réception des politiciens. Mais, à de rares exceptions près, ils devaient passer par les politiciens pour exercer une influence. Depuis une trentaine d'années, de nouveaux riches sont apparus qui ont amassés des fortunes extravagantes en quelques dix ou vingt ans, rarement plus. Les noms sont connus, Arnaud, Bezos, Gates, Zuckerberg, Dorsay,...

Or ces individus ne se bornent plus à insinuer leurs "idées" aux politiques pour protéger leurs biens. Formés souvent par l'université progressiste, ils se mêlent maintenant de soutenir les motifs progressistes et ils n'ont plus autant besoin des politiciens pour cela. Leurs méthodes utilisent plutôt :

  1. une action directe sur les institutions administratives ;

    Par exemple, le milliardaire Soros finance directement les campagnes électorales des juges locaux aux USA, ses organisations choisissant des hommes et des femmes acquis aux motifs progressistes. Il a depuis plus de quinze ans utilisée la même tactique pour, dans l'indifférence générale, contrôler la nomination de juges de la CEDH qui viennent directement des ONG, clubs et entreprises qu'il anime. Un enquête de l'ECLJ révèle de nombreuses irrégularités de ce genre.

  2. le financement et le contrôle total ou partiel d'organisations internationales ;

    C'est le cas de l'OMS dont le budget a pour plus gros contributeur au début de la pandémie le fameux Bill Gates qui intervient directement par sa Fondation et indirectement par des ONGs qui sont en réalité entièrement à sa disposition. Il dissimule comme philanthropie un très questionnable tropisme vaccinal qui l'a déjà conduit à animer une première catastrophe sanitaire aux Philippines et en Inde, et une deuxième catastrophe sanitaire avec une campagne d'éradiquation de la polio en Afrique qui a conduit à la production d'une épidémie provoquée par le vaccin qu'il a fait inoculer là-bas.

    Manifestement, Bill Gates attendait "avec impatience" une épidémie comme celle du SARS-CoV-2, au nom de l'idéologie de la zoonose. Quand elle fut là, Gates s'est précipité avec tous ses moyens dans des actions plus ou moins publiques pour la vaccination universelle, luttant aussi pour l'interdiction de tout traitement pharmaceutique pour s'assurer que toute l'humanité recevra son vaccin. Très "habilement", Gates ne laisse paraître que des informations concernant une initiative bénévole de vaccination des pays pauvres. Il impose de cette façon la croyance en sa "philanthropîe". Mais, il semble que son rôle soit beaucoup plus étendu. Toujours est-il que, en matière de santé publique, Gates est beaucoup plus puissant que l'OMS et que chacun des Etats membres de cette très bizarre Organisation internationale.

  3. Une action directe sur le contenu éditorial de la presse lourde

    Dans le monde anglo-saxon, pour désigner la presse occidentale alignée sur The New York Times et The Washington Post, on utilise le terme de "Main Stream Media (MSM)". Il s'agit en fait de la presse lourde qui utilise de très gros moyens - d'abord financiers - pour imposer sur chaque point de l'actualité que l'on décide de laisser à la connaissance de l'opinion publique, une narration convenable aux objectifs du régime.

    A quelques détails près, ayant échappé à la vigilance des rédactions, vous n'obtiendrez de la presse lourde aucune information qui ne vienne déranger ce que le régime veut que vous sachiez et rien que vous n'ayez une obligation de croire aveuglément. L'une des formules les plus utilisées depuis le début de la pandémie est que "telle information reflète le consensus unanime de la communauté scientifique". Vous reconnaissez par quelques formules de ce genre ce que vous devez croire dans le catéchisme progressiste que la presse lourde se charge de vous inculquer en permance.

    Pour contrôler le message de la presse lourde, Bill Gates utilise largement les aides à la presse. Presque tous les titres de la presse lourde de l'occident sont partiellement ou en totalité financés par Bill Gates. Certaines rubriques lui appartiennent. Même s'il est loin d'être le seul miliardaire à contrôler la rédaction de la presse lourde. Google et Facebook ont eux-aussi des programmes dont les motifs sont essentiellement progressistes et absolument convergent avec ceux de Bill Gates. Et de plus, ces géants de l'Internet contrôlent largement la distribution de la publicité de la presse lourde de sorte que cette dernière elur est entièrement soumise si elle souhaite recevoir la manne publicitaire que Google, Amazon et Facebook lui distribue.

    Cependant, des pouvoirs comme ceux de Google ou de Facebook ne se limitent pas à financer la presse lourde. Ils possèdent les plus gros réseaux sociaux comme YouTube ou encore Facebook sur lesquels ils règnent avec une censure impitoyable, pourchassant toute opinion ne répondant pas strictement aux motifs progressistes. Ainsi, même le Professeur Raoult a vu l'une de ses vidéos censurée pendant un jour sur Youtube parce qu'il faisait la promotion de l'hydroxychloroquine interdite par Bill Gates et ses alliés. Ces opinions divergentes sont immédiatement attaquées par les nervis des milliardaires qui les qualifient de complotisme et autres désignations fantaisistes que la presse lourde se charge de diffuser comme infamantes.

Le régime peut-il maintenir ses contraintes ?

La réponse est évidemment positive. Il y a plusieurs raisons pour cela. Parmi celles-ci, on peut remarquer :

  1. SARS-CoV-2 est loin d'être un pathogène en voie d'extinction. Notamment, SARS-CoV-2 étant un pathogène artificiel, il est possible qu'il possède un gène lui permettant de résister à la plupart des actions de la nature et de la médecine et particulièrement, l'immunité vaccinale est probablement sans aucune réalité. L'épidémie est donc loin d'être terminée.
  2. Il y a encore pire. La vaccination permet d'infecter la population avec un pathogène au moins aussi dangereux que SARS-CoV-2. Et si SARS-CoV-2 pourrait disparaître, l'intégration de l'ARN ou de l'ADN des vaccins au génome des vaccinés, rendra la Covid-19 perpétuelle dans notre descendance.
  3. Déjà, d'autres groupes de pression ont manifesté une certaine rancune à l'encontre des "sanitaristes" qui sont parvenus en quelques semaines à imposer partout leurs pires errements. C'est le cas notamment des réchauffistes qui estiment que pour protéger la anté des gens, il serait par exemple utile d'imposer des confinements pendant les périodes de chacleur intense. On voit donc que, même sans épidémie, le régime détient d'aurtres causes capables de faire appliquer des mesures d'ingéniérie sociale capable de maintenir une oppression totalitaire sur la population.

Cependant a contrario, le maintien des contraintes sociales par le régime dépend de sa capacité à imposer le mensonge. Or, le nombre de gens, de scientifiques, de gens de la culture, des religions, qui sont conscients du mensonge du régime est plutôt en accroissement. Par ailleurs, les ressources du régime sont en train de s'épuiser parce qu'il est perclu de dettes et il ne se maintient que tant que les financiers acceptent sa dette. Mais sur la dictature sanitaire, beaucoup de gens sont capables de comprendre qu'on les a "joué" : sur le nettoyage des surfaces prétenduement contaminées et qui ne l'étaient pas, sur le lavage hystérique des mains, sur le masque facial sans aucune validité scientifique, sur l'origine du SARS-CoV-2, sur le massacre des personnes âgées alors que des médicaments efficaces existaient, ...

Les gens se rendront compte que la vérité les libérera ...

Les contraintes permettront-elles au régime de se maintenir perpétuellement ?

Les sanitaristes en étaient parfaitement conscients au début de l'épidémie : le contrôle de la population par des contraintes n'est possible et efficcae que si les contraintes sont bien admises par la population. Ces saniatristes ont été stupéfaits que les gens acceptaient un niveau de contrainte qu'ils pensaient, eux les sanitaristes, inadmissibles par le "libéralisme" occidental et croyaient que les pires mesures qu'ils avaient imaginé devaient se limiter à la dictature chinoise. Leur "divine surprise" a été de découvrir que nous n'étions pas moins susceptibles que les chinois ...

Même Macron a compris qu'il fallait faire croireà la population que le confinement et autres mesures stupides étaient essentielles à sa survie, mais qu'il fallait "relâcher" la pression sociale à un certain point ... popur éviter d'avoir une révlution, un coup d'état ou une émeute. Actuellement, la pression sociale a été largement relâchée. Mais, il est évident que dès les mois d'été passés, Macron refermera la prison sanitaire parce que c'est le moyen de do,ntrôle social que le régime a écidé de nous appliquer.

La passivité, la docilité des moins de 30 ans est tout à fait remarquable et fait craindre un avenir serein pour le régime ... C'est leur révolte qu'il faut absolument susciter si nous voulons mourir dans un monde libre.



Revue C-Politix (c) 19 juin 2021