Emeutes immigrationistes en CalifornieUne surveillante dans un collège d'une petite ville sans histoire surveillait l'entrée des collégiens ce matin-là. On en est là en Occident. Et pas seulement en France. Un peu au-delà, dans la cour du collège des gendarmes fouillaient le sac de quelques collégiens pris au hasard. Voyant celà, un adolescent son couteau et tue la surveillante. Les gendarmes l'appréhendent immédiatement. La nouvelle est immédiatement relayée par la presse, notamment radio et télévision. L'indignation est encore plus élevée que d'habitude, parce que, quelques heures avant ce crime, Macron attaquait ce qu'il appelait le "brainswashing" de certains organes de presse et l'instrumentalisation de ces faits divers par l'extrême-droite. La réaction des organisations mises en cause est immédiate : Macron est déconnecté de la réalité. La question de savoir si Macron :
est certainement depuis bien lontemps strictement sans aucune pertinence. Ce que nous savons tous, c'est que :
"Ils" vont parler, pérorer, vaticiner sur :
Et "ils" ne feront rien. Et nous ne ferons rien. Plus encore nous élirons les mêmes qui emploieront les mêmes qui ne font rien. Et me demandera t'on : que feriez-vous, vous, le petit gros plus fort que tout le monde ? Et je répondrais ceci : D'abord les gendarmes qui étaient à quelques mètres du criminel, devaient l'abattre d'une balle dans la tête. Ensuite, l'Etat devait exproprier les biens de toute la famille du meurtrier pour défaut de surveillance d'un individu dangereux, placé sous leur garde éducatrice. Le produit de l'expropriation est remis à la famille de la victime. Le tout en 8 jours. Et en choeur, "ils" me répondent : Vous êtes un fou dangereux. Et "ils" viennent de nuit pour m'arrêter. Liste des Sources consultées
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