Guerre en Ukraine - Taits divers1 - Nouvelles du frontLa situation sur le terrain est toujours la même. Le saillant Russe au NE de Pokrovsk est toujours menacé par la contre-offensive ukrainienne. Il semble que les forces russes aient stoppées l'avancée Sud et l'avancée Est sur Pokrovsk. Les russes continuent de progresser sur les oblasts de Zaporijzia, Dniepropetrovsk, Donetsk, Lougansk et Kharkov sur Kupiansk. Les avancées sont faibles. Il semble que les ukrainiens, similant une attaque russe, aient exécuté le bombardement d'une centrale électrique près de la centrale atomique d'Energodar - la plus grosse d'Europe - pour mettre en péril les services annexes de la centrale nuclaire. Les russes ont répliqué en détruisant la centrale électrique au nord de Kiev qui permet d'assurer les services annexes de la centrale morte de Tchernobyl - lieu de la plus grosse catastrophe atomique en Europe. Les russes mènent des bombardements massifs des sites énergétiques et de l'industrie d'armement ukrainiens, ainsi que des installations militaires souvent dissimulées au milieu de la population ukrainienne. Les blackout énergétiques s'étendent en Ukraine et certains font remarquer que l'émigration ukrainienne va se renforcer avec les premiers grands froids. A un degré moindre, les ukrainiens - en fait probablement les armées occidentales - augmentent leurs bombardements par drones aériens jusqu'à presque 2000 kilomètres à l'intérieur du territoire russe. Ils ciblent les raffineries de pétrole et les stockage de gaz et de pétrole raffiné, ainsi que certaines usines d'armement. La Russie n'est pas encore en difficulté de ce point de vue, mais il semble que certains analystes russes commencent à craindre des situations difficiles au point de vue, énergétique et social. Il y a quelques jours, les russes ont mené une opération militaire probablement par missile sur la ville de Dniepropetrovsk. Des vidéos prises par des ukrainiens ont été diffusées sur les réseaux sociaux. Les installations électriques, centres de transformation et de distribution électriques ont été endommagées de sorte que la ville et sa région ont été placés soudainement en blackout. On ignore si la situation s'est prolongée. Des analystes indépendants occidentaux avancent l'hypothèse d'une arme nouvelle à base de plasma qui aurait produit un choc électromagnétique responsable de la destruction des circuits électroniques et électriques qui assurent transformation et distribution du courant électrique. Un tel choc électromagnétique a dû aussi détruire les microcircuits des ordinateurs et serveurs couramment utilisés dans l'époque moderne. On ne dispose d'aucune information à ce propos et l'hypothèse du choc électromagnétique reste ... une hypothèse. Mais celle-ci est soutenue par l'apparition d'un éclat de luminosité bleutée peu après l'extrinction des lumières de la ville qui est ensuite plongée dans le noir. 2 - Agitations occidentalesPeu après un incident provoqué par des chasseurs russes qui se sont approchés de l'espace aérien de la Lithuanie, des drones aériens non identifiés ont survolés des aéroposrts civils et des bases militaires dans plusieurs Etats européens, notamment au Danemark et en Allemagne. La propagande occidentale s'est emparée de ces incursions dont il n'existe aucune preuve ni par photo, ni par vidéo - du moins à ma connaissance, et je serais étonné que de telles preuves m'aient échappées. Les russes ont été immédiatement accusés et la rumeur entretenue par les autorités politiques et leurs médias. Les dénégations des russes ne servent - bien entendu - de rien. L'affaire s'est amplifiée par l'accusation que les "drones russes" auraient été lancés depuis des bateaux de la "flotte fantôme russe" passant dans la Baltique. L'un de ces pétroliers "russes" a emprunté une voie maritime internationale le long des côtes françaises au large de Saint-Nazaire, lieu d'une base navale française - une opération d'arraisonnage par la Marine Nationale du pétrolier russe a été exécutée. Le commandant et son second ont été enlevés et placés en garde à vue à Saint-Nazaire. Lors d'une conférence de Valdaï, le président russe a qualifié l'opération française d'acte de piraterie : Fiodor Loukianov : Monsieur le Président, un pétrolier aurait été arraisonné l’autre jour au large des côtes françaises. Les Français ont fait preuve de souveraineté. Naturellement, ils associent cet incident à la Russie, d’une manière ou d’une autre, même si le pétrolier bat pavillon russe. Qu’en pensez-vous ?Depuis, le commandant et son second ont été ramenés à leur bateau. Ils sont convoqués au tribunal correctionnel de Saint-Nazaire dans quelques mois pour répondre du grief de refus d'obtempérer. On ignore si le bateau a été relâché du contrôle de la marine de guerre française. L'affaire survient pendant un "sommet européen" à Copenhague au cours duquel Macron a suggéré d'immobiliser la flotte russe en capturant les bateaux. Il estime que, même si le bateau est relâché au bout de quelques heures ou "mieux" de quelques jours, ces arraisonnements serviront à allonger les délais de livraison notamment de pétrole russe pour provoquer un dommage économique à la Russie. On ne peut que s'interroger sur la commission d'actes manifestement contraires au droit maritime et de nature a être tenus par les russes d'actes belligérants. Tout ceci s'inscrit dans une stratégie de propagande destinée à "configurer" l'opinion publique dans un état favorable à une guerre déclarée à la Russie. L'ingéniérie sociale est tellement puissante que, comprenant que la tyrannie ne demande qu'une situation de guerre pour éliminer la contestation, la presse pourtant d'opposition à la politique de Macron - notamment la politique intérieure - ne tarit pas de vociférations contre le bellicisme de la Russie. La situation est strictement identique - ou pire - en Allemagne, au Royaume-Uni ou aux USA. Liste des Sources consultées
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