La catastrophe Covid - Etat actuelLa pandémie COVID a été officiellement déclarée "close" il y a déjà un moment. De fait, malgré les espoirs des vendeurs de vaccins et d'autres produits "médicaux", le "coronavirus" est toujours là mais de plus en plus à l'état "dormant". Quelques cas sporadiques qui enflamment l'enthousiasme mercantile de la sphère de la santé publique. L'enthousiasme retombe vite après quelques tentatives de la propagande de la médiacratie. Lentement, les tribunaux et les experts de santé, de médecine ou de microbiologie, se convertissent à des opinions de plus en plus critiques sur la pandémie COVID. Faisons un point sur ce qui est connu, même si ce connu reste incertain. La pandémie COVID a été construite de façon à ne laisser que peu de preuves sur ce qui est devenu connu et le deviendra encore. La connaissance publique concernant l'origine de la pandémieDeux sujets essentiels sont actuellement devenus publiques :
La connaissance concernant l'histoire de la pandémie COVIDLes enquêtes administratives ou judiciaires se sont développées dans plusieurs Etats : aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne où elles ont permis la révélation de plusieurs malversations. Celles en France ou en Allemagne sont restés sous contrôle des responsables de la pandémie COVID et elles n'ont rien apporté. Notamment aux Etats-Unis, la mise en cause de fonctionnaires fédéraux dans le déroulement de la pandémie COVID a été définitivement établie. C'est le cas pour des personnalités connues comme Anthony Fauci, Jeremy Farrar, Christian Anderson, Chris Whitty, .... Leur inculpation judiciaire ne semble pas cependant progresser. Les enquêtes publiques ont par ailleurs révélée une corruption systématique des autorités sanitaires par les firmes pharmaceutiques, sans que jamais ces actes de corruption ne soient portés devant la répression judiciaire. Ainsi, un certain nombre des responsables américains, fonctionnaires fédéraux, chargés des approbations de médicaments, sont devenus des membres des firmes pharmaceutiques dont ils avaient approuvé les produits. La même corruption a été révélée concernant les comités éditoriaux des principales revues médicales et scientifiques pour les inciter à censurer les articles étudiant des solutions concurrentes de celles des firmes pharmaceutiques ou à éliminer les propositions d'articles ne respectant pas le narratif officiel de la pandémie COVID. Là aussi, aucune poursuite judiciaire connue n'est parvenue à maturité. Au point de vue judiciaire, aux USA et au Canada, des contentieux concernant des médecins sanctionnés, ou d'autres personnes étant intervenues dans le débat public ont été traité. Certains contentieux ont été favorables à ces plaignants mais d'autres non. La situation judiciaire du contentieux COVD est donc loin d'être claire. La connaissance concernant les mesures sanitaires imposées durant la pandémie COVIDLa contestation des principales mesures sanitaires prises un peu partout s'est renforcée depuis la fin de la pandémie COVID. Il est à noter qu'un nombre important d'agents de santé qui avaient oeuvrés dans le respect des décisions des autorités sanitaires, se sont depuis converties à des vues plus critiques.. Parmi les mesures sanitaires critiquées, on peut citer : Les autorités politiques et sanitaires restent assez évasives sur l'efficacité de ces diverses mesures sanitaires, refusant notamment de mener des études scientifiques ou de laisser accéder aux données de santé qui permettraient d'évaluer l'efficacité ou la nocivité de ces mesures. Cependant, il faut noter que concernant la vaccination à ARNm, les autorités politiques et sanitaires sont liguées pour rester sur leur position de départ : "Le vaccin est sûr et efficace". Il existe un nombre relativement élevé d'études scientifiques qui déclinent ce slogan avec toutes les nuances du sérieux académique. Ces études sont pour la plupart contestées avec des arguments scientifiques tenant aux méthodes employées ou aux affirmations insoutenables qui s'y trouvent. Inversement, de nombreuses études scientifiques sont de plus en plus publiées sur des effets adverses des vaccins notament ARNm. Plusieurs auteurs ont ainsi découvert dans les vaccins ARNm des traces de contamination par ADN notamment du gène SV40, qui serait responsable du développement de certains cancers agressifs et de troubles du système immunitaire. Les agents sanitaires tentent de ne pas discuter ces résultats et d'autres aussi critiques pour ne pas donner prise à la fureur de l'opinion publique. Dans le même temps, la médiacratie a été résolument engagée pour dénigrer les auteurs critiques. La situation de la critique sanitaire en France et comparaison avec les autres Etats.Je me suis moins investi dans le suivi des activités contestataires de la crise sanitaire en France. Je note que parmi les scientifiques, essentiellement deux professeurs de médecine poursuivent leur opposition. Ils sont tous deux retraités, reproduisant en fait un chéma déjà utilisé dans la farce climatique. La pression sociale est tellement forte que les scientifiques doivent souvent attendre la retraite pour échapper à une part des sanctions que le régime occidental peut leur infliger. ceci est vrai partout en Occident, moins en Asie, où des scientifiques au Japon ou en Corée du sud sont absolument furieux des errements des autorités politiques et sanitaires, notamment au sujet des vaccins à ARNm. Les deux professeurs français contestataires sont le Pr Christian Perronne et le Pr Didier Raoult. Il faut se souvenir qu'ils ont été contestataires très vite dans le cours de la pandémie. Le Pr Raoult est encore actuellement bloqué dans le camp officiel pour deux sujets :
Les autorités politiques et sanitaires restent largement sur leur position depuis le début de la pandémie. Des enquêtes parlementaires ont été menées qui sont restées peu critiques des mesures sanitaires. Elles n'ont - à ma connaissance - pas remis en cause la vaccination à ARNm. La situation semble identique en Italie et en Espagne. A la différence, l'Allemagne, le Royaume-Uni ont adpotées des attitudes évolutives. Sources :
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