La lutte du régime occidental pour la tyrannieLe régime occidental se qualifie lui-même comme une démocratie libérale, mondialiste et économiste. Très clandestinement, ce régime a aboli :
et il a dans le même temps détruit :
Qualifier un régime démocrate libéral de tyrannie paraît une exagération qui dépasse la mesure. La démocratie libérale a trahi ses promessesPourtant, le bien que la démocratie libérale prétendait servir à ses débuts, on ne sait trop quand, a produit un monstre politique qui asservit les peuples du monde entier, et détruit ce pour quoi il a toujours prétendu travailler : le bien-être et le bien-être mesuré par la "croissance". Or, ce bien-être a fui depuis longtemps, parce que le régime occidental a limité l'accès au bien-être à ceux qui lui obéissent servilement. Pour ses laquais, le régime occidental verse des salaires, des traitements, des pensions, toujours plus élevés. Pour les meilleurs de ses laquais, le régime occidental assure une fortune qui s'estime parfois en centaines de milliards de dollars ... Et la majorité des gens, exclus du bien-être promis par le régime, imaginent qu'ils vivent bien mieux que leurs aînés. Alors qu'ils ont régressé par rapport à eux en tout. Mais ici, ce n'est pas cette destruction du bien-être réel, du bien-être de la majorité d'entre eux que je veux décrire et soutenir. D'ailleurs, depuis une vingtaine d'années, cette destruction du bien-être promis est devenue l'acquisition d'une misère de plus en plus terrible, que les laquais du régime occidental failli ne veulent pas reconnaître. Le régime occidental est devenu un tyranTout d'abord, il faut se souvenir que Platon, dans La République décrit la tyrannie comme la dernière évolution de la démocratie et cette évolution est destructrice. Autrement dit, il est dans la nature de la démocratie de se muer en tyrannie et ceci est la fin de la cité. Nous étions prévenus. Et cette mutation n'est donc pas étonnante. Après Platon, Aristote puis Cicéron ont écrit sur la même question et sont parvenus à des réponses semblables. Qualifier un régime démocrate libéral de tyrannie ne peut donc pas être "une exagération qui dépasse la mesure". Le régime occidental est partout en occident - et en théorie - une démocratie représentative. C'est-à-dire que la souveraineté du peuple s'exprime par des représentants que le peuple choisit souverainement lors d'élections libres. Par cette formulation même, on conçoit que la mutation de la démocratie en tyrannie est chose aisée. Or, pour que le régime devienne une tyrannie, une tactique consiste à interdire à ses opposants de se présenter aux élections des représentants. De manière masquée, et par des tactiques de propagande et de manipulations des électeurs, le régime était parvenu à marginaliser les contestataires et à corrompre les plus importants d'entre eux. La tyrannie n'était pas loin mais la démocratie avait encore l'apparence du débat politique. Mais, il y a quelques années, d'ailleurs à la faveur des tachniques sociales d'ostracisation des opposants, et même de proposants de simples alternatives politiques, le régime occidental est passé à une autre dimension dans la tyrannie. Il interdit purement et simplement à des citoyens de se présenter aux élections. Le cas le plus marquant est celui du candidat à la présidence de la République Roumaine, Calin Georgescu. Alors qu'il était largement en tête au premier tour de la présidentielle, sur un simple prétexte fabriqué, Georgescu a été judiciairement interdit de se présenter au second tour. La présidentielle a été annulée purement et simplement. Puis Georgescu a été nterdit de se présenter à la nouvelle présidentielle organisée pour "remplacer" la précédente qui ne donnait pas les résultats désirés par le régime occidental. Or, un cacique du régime occidental, peu avant cette interdiction judiciaire, un cacique qui n'a d'ailleurs jamais été élu démocratiquement, le français Thierry Breton, ancien fonctionnaire de la Commission de Bruxelles, un organe du régime occidental, a menacé les protagonistes démocratiques d'annuler les élections en Roumanie si elles ne tournaient pas en faveur du régime occidental. Non seulement il n'a été contesté par personne du régime occidental, mais sa décision a été confirmée par plusieurs membres du régime, Von Der Leyen, Présidente de la Commission de Bruelles et par Nathalie Loiseau, député européen, investie de mission par Von Der Leyen dans le régime occidental. Breton avait complété son propos sur les élections à venir alors en Roumanie, en affirmant qu'il se passerait la même chose en Occident si des élections n'étaient pas conformes au régime occidental. Dans le même temps, une opposante politique en République Française, Marine Le Pen, dont le parti a obtenu la majorité des voix aux dernières élections tant européennes que législatives, parvenue deux fois de suite au second tour des présidentielles françaises, a été condamnée par la justice française à une peine d'inélégibilité, ce qui l'écarte des prochaines présidentielles de 2027. En Allemagne, le parti Alternativ für Deutschland (AfD) a été administrativement qualifié de "parti d'extrême-doite" par les services de sécurité allemands. Cette qualification ouvre la voie à une interdiction de ce parti qui est parvenu à la deuxième place en nombre de sièges au Parlement Fédéral allemand et qui est devenu le premier parti en intentions de votes en Allemagne. Et même après des élections, lorsque le pouvoir légalement constitué est en place, il peut subir les sanctions et les contraintes du régime occidental. C'est le cas des gouvernements hongrois, slovaque, serbe, ... Aux Etats-Unis même, le candidat Trump aux élections présidentielles de 2024 a dû subir des dizaines de procès destinés à lui intt. erdire l'accès à la présidentielle. Il en a gagné certains, et d'autres n'ont pas prospérés. Il a même subi deux tentatives d'assassinat par des agents dont le lien avec le régime occidental est ténu mais indubitable.Trump a finalement été élu, ré-élu même, grâce à un talent politique étonnant, exceptionnel et surtout parce que Trump a repris certaines aspirations du peuple américain trahi, tyrannisé par le régime occidental. Et le régime occidental lutte pour maintenir sa tyrannieIl faut bien comprendre que le tyran lutte pour sa survie. Aucun peuple n'admet la tyrannie. Il la subit un temps. Mais comme le régime tyrannique se dissout dans sa corruption :
On n'a jamais vu un tyran céder sa place par bienveillance ... Au contraire, la lutte du tyran est une lutte à mort. Inéluctablement la sienne. Il faut noter que celui qui lutte contre le tyran n'est pas assuré par le fait même de supprimer la tyrannie. Il peut devenir tyran à son tour. Aussi, ma citation de Trump comme défenseur contre le tyran du régime occidental ne l'exonère pas du danger de la tyrannie. On peut lui faire crédit d'avoir entendu certaines aspirations de son peuple, notamment dans la gabegie financière qui dilapide la fortune des américains au bénéfice de la corruption du régime occidental, dans la destruction du wokisme corrompu et corrupteur, ...Pour le reste, il faut encore être prudent. Il faut bien comprendre que "le régime", le "tyran" n'est pas un individu même mythique. Il est une réalité diffuse, qui se vit par la soumission que lui offre des institutions politiques, des citoyens, souvent sans le savoir. La lutte du tyran n'est donc jamais la lutte d'un individu, ni physique, ni politique, mais celle de cette réalité diffuse qui se nourrit de la corruption des esprits, des volontés, le plus souvent de ceux qui cherchent à tirer parti du "régime occidental". Et la lutte du tyran pour la vie est opérée par la corruption de ceux qui, souvent sans le savoir, y participent, en profitent. Dans cette lutte, parfois le tyran recule. Par exemple, en Roumanie, Georgescu a été éliminé par le tyran. Un autre opposant s'est levé, Georges Simion, qui a emporté le premier tour de la nouvelle présidentielle autorisée par le tyran avec presque le double des voix de Georgescu. A l'heure qu'il est, le tyran n'a pas réagi. Réagira-t'il ? Ici, il faut souligner que l'administration Trump a averti que le "tyran" en éliminant Georgescu, avait été "trop loin". Il est donc possible que, menacé, le "tyran" ne réagisse pas à l'avancée de Simion. Il trouvera une autre tactique pour l'éliminer. Ou pas. Par ailleurs, il faut noter que l'administration Trump, qui est actuellement en position de lutter contre la tyrannie, se trouve en conflit avec un autre de ses objectifs. La lutte de l'Amérique contre la Russie nécessite la présence d'une base militaire en Roumanie, qui est d'ailleurs en cours de construction. Or, Simion serait disposé à stopper le projet de construction de cette base. On verra si l'administration Trump élimine Simion en suivant l'ordre du tyran. On voit que le tyran n'est pas un individu. C'est un régime. Le régime occidental. La lutte est en cours. Liste des Sources consultées
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