Sur la labellisation des médias en FranceUne petite revue des médias du régimeTrois exemples de la production de la presse écrite appartenant à la médiacratie du régime occidentale : La droite et l'extrême droite, médiatique et politique, sont vent debout contre l'idée du chef de l'État visant à lutter contre la désinformation. L'exécutif assure qu'il ne s'agit pas d'un contrôle étatique mais d'une "labellisation" gérée par des professionnels. Les LR ont lancé une pétition pour s'y opposer. C'est une idée qui fait vivement réagir à droite et à l'extrême droite. Emmanuel Macron a prôné la création d'un "label" porté "par des professionnels" afin de lutter contre la désinformation dans les médias. Emmanuel Macron assure n’avoir jamais évoqué de « label d’Etat » pour les médias ni de « ministère de la vérité », comme l’en accusent des médias Bolloré « Ce n’est pas, ce ne sera jamais le rôle [de l’Etat] » de créer un label destiné à la presse, a affirmé le président en conseil des ministres. En tournée face aux lecteurs du groupe Ebra, Emmanuel Macron s’est dit prêt, le 28 novembre à Mirecourt (Vosges), à «tout faire pour que soit mis en place un label» distinguant les sites d’informations de ceux qui n’en font pas. Anticipant les critiques, le Président a pris le soin d’assurer que «ce n’est pas l’Etat qui doit vérifier […], [mais] il faut que les journalistes garantissent à leurs lecteurs qu’eux ont vérifié avec une déontologie dont ils sont les garants entre eux». Et de citer en exemple la Journalism Trust Initiative (JTI), portée par Reporters sans frontières (RSF) comme un modèle déjà adopté par certains titres de la presse quotidienne régionale. Source : Libération - https://www.liberation.fr/checknews/labellisation-des-medias-le-serpent-de-mer-de-lexecutif-et-la-mefiance-de-la-profession-20251202_Q2AXN3UUTVB65OQR3FYSM2KHFY/ De quoi s'agit'il ?En recherchant ailleurs en Europe, au Canada, en Australie ou aux USA, celà fait plus d'une dizaine d'années que les caciques du régime occidental s'alarment de la liberté d'expression qui s'exprime sur les résaux sociaux même ceux contrôlés par les caciques du régime comme Zukerberg ou Soros. Les griefs tiennent à de nombreuses influences, parfois contradictoires - du moins en apparence - mais qui, objectivement convergent vers un système médiatique destinée à contrôler l'opinion publique dans ses moindres détails. Depuis plus de dix ans, la médiacratie est parvenue à contrôler l'expression de l'ensemble des médias professionnels. Que vous lisiez Le Monde ou Le Figaro, The New York Times ou The Washington Post, Telegraph ou Gaurdian, Der Spiegel ou FAZ, vous lisez les mêmes articles paraissant à quelques heures d'intervalle, produisant les mêmes informations, et les mêmes explications de propagande. De manière très minoritaire, quelques organes de presse - écrite ou vidéo - tentent de poursuivre une information d'opposition, notamment par le choix de leurs informations et pour leurs anlayses opposées à celles de la presse du régime occidental. Ces rares organes de presse sont traqués par les autorités publiques, qui fourbissent des lois et des réglementations destinées à réduire au silence cette presse d'opposition. Il faut noter toutefois que, dans la presse du régime occidental subsistent quelques rares journalistes qui tentent encore de s'exprimer. Ils sont de plus en plus rares. Dans le même temps, les réseaux sociaux ont débridée l'expression de l'opinion publique qui très majoritairement clame son indignation devant les malversations de la médiacratie. Cette véritable révolte s'est notamment levée lors de la crise sanitaire dite de la Covid-19 au cours de laquelle la médiacration occidentale s'est livrée à une débauche de propagande destinée à faire régner un ordre social conforme aux objectifs du régime occidental. La répression par le régime occidental des oppositions publiques.C'est à cette occasion que le régime occidental a recherché les techniques destinées à réduire au silence toute expression d'une quelconque contestation du régime occidental. D'abord parme le sorganes de presse d'opposition, puis dans les réseauxx sociaux que la médiacratie occidentale tente de "réguler". Le Royaume-Uni s'est dan sles deux dernières années illustré dans la répression de la liberté d'expression, notamment du fait d'une très grave crise migratoire qui a été le sujet de commentaires exaspérés de la part des sujets britanniques. La police britannique a spécialisé des unités entières dévolues à l'arrestation arbitraire de particuliers exprimant leur indigantion contcernant l'imigration. Des gens pour avoir simplement "retransmis" un message Facebook ou X - ancien Txeeter - ont été arrêté et condamnés à des peines de 1 à 3 ans de prison. La même répression est en cours en Allemagne où de simples particuliers sont traînés en prison avec de lourdes amendes destinées à les ruiner pour la simple expression d'opinions, certes parfois un peu lestes, mais qui n'ont jamais enfreint que les lois du bon goût ou de la décense bourgeoise. La technique de répression par labelisationLa technique de la labelisation a été développée par la médiacratie, notamment sous l'action de financements des Open Society Foudations de la galaxie Soros. C'est le cas de l'ONG Journalism Trust Initiative (JTI) créée par l'ONG française Reporters sans Frontière, que les autorités françaises veulent exploiter comme chef de file d'un mouvement de la société civile de répression de l'opposition. Cette labelisation vise surtout à permettre à la médiacratie de diffamer la presse professionnelle d'opposition sans avoir à risquer les foudres des lois anciennes qui régulaient autrefois la presse. Cette labelisation permettra - ses promoteurs comme Macron en sont persuadés - de ruiner la réputation de la presse d'opposition labellisée d'épithètes infamants destinés à dissuader le public de lire ou d'écouter cette presse d'opposition. JTI est clair sur son opération de rackett des médias professionnels. Le marché est simple : "payez JTI pour qu'il analyse votre pratique du journalisme et en échange vous aurez un label de conformité. Sinon, votre label sera attribué en conséquence de votre manque de servilité". Résultat du chantage : JTI annonce aujourd'hui sur son site Internet que "Plus de 1 700 médias dans plus de 100 pays participent à la Journalism Trust Initiative. ". Il s'agit probablement d'une exagération, mais tout de même ... Grâce à sa relation privilégiée ave le macronisme, Reporter sans Frontière est capable d'imposer sa labellisation aux médias français. Mais, son action n'est pas limitée à la France. Sa démarche est mondiale. En fait sutout occidentale ce qui montre sa relation avec le régime occidental. Ce genre d'oppression est périodiquement publié par les instances européennes, mais aussi par les gouvernements et les mouvements progressistes aux USA, au Royaume-Uni, en Allemagne, ... La censure est une exigence de la liberté démocratique ... pour ces gens sans aveu. La méthode de JTI est claire :
Ces quatre groupes sont connectés par JTI - Reporters sans Frontière donc et leurs membres sont quadrillés, surveillés par les automates de JTI qui analysent chacune de leurs publications. JTI annonce encore :
On note que :
Brève analyse des menées répressives du régime occidentalLa technique de contrôle de la société mise en oeuvre par Reporters sans frontière est caractéristique des menées du progressisme woke. Elle est une traduction directe de la technique de contrôle social opérée par le mouvement du réchauffement climatique et d'autres encore du même genre. Il semble que l'opération menée par Macron et Reporters sans Frontière vise essentiellement les médias professionels et particulièrement la presse de droite et celle du milliardaire Bolloré. Les autres auraient donc massivement adhéré au contrôle de Reporters sans Frontière. La question de savoir si c'est une action gouvernementale ou non est aujourd'hui sans intérêt. Les intérêts du régime macronien sont strictement ceux du mouvement progressiste woke auquel se réfère Reproters sans Frontière et les "partenaires" de l'ONG JTI. Enfin, la question du contrôle des réseaux sociaux et des autres moyens de comunication sociale utilisant le réseau Internet ou le réseau mobile est largement résolue par l'alliance des opérateurs privés et des polices du régime occidental. Les actions de répression sont innombrables : on en a rappelé quelques unes en tête de l'article. Il faut encore souligner une répresion féroce qui consiste à faire fermer les comptes bancaires de la moindre personne privée qui émet la moindre opinion critique ou opposition au régime occidental. Ce contrôle des réseaux sociaux ne semble pas assuré par Reporters sans Frontière. |