2021 - Quelques réflexions

Philippe Brindet - 31 décembre 2021

Que retenir de l'année 2021 qui s'achève ?

A notre réflexion, nous avons vu se développer 4 crises imbriquées dont chacune à ses causes et ses agents, mais qui se sont toutes renforcées les unes les autres. La dérive est tellement évidente, ses moyens évidents qu'on attend une complot, une conjuration. Il n'en est rien. C'est le régime lui-même qui est la cause et l'agent de sa propre ruine.

Cette année 2021 a vu quatre crises majeures se développer :

  1. La crise sanitaire ;
  2. La crise sociale ;
  3. La crise politique ; et
  4. La crise économique.

De ces crises, je voulais parler longuement, comme si leur sujet était passionnant. Je dois avouer que les sujets de ces crises ne sont que lamentables. Je suis certain que mon lecteur est parfaitement averti de ces crises. Je souhaite très simplement que mon lecteur comprenne que ces crises ne sont pas des accidents de l'Histoire, les fruits d'une époque accidentelle qui, un jour, sera un lointain souvenir.

Même si on peut parier sur le possible effondrement d'un régime bâti sur le mensonge, je crains que ce régime soit fait pour durer. 70 ans peut être, comme le régime soviétique. Et 2019 de la naissance de la pandémie serait le signal du début de cette ère.

Seulement, notre époque est très différente de la Russie de 1917. Ce n'est pas un Lénine que nous devons craindre - bien qu'en 1917 personne ne craignait vraiment Lénine ... Non, c'est le régime lui-même que nous pouvons identifier comme l'oppresseur. En effet, quoi que nous fassions depuis quanrante ans et plus, que ce soit par les luttes sociales, politiques, économiques, en Occident, nous nous dirigeons avec panurgisme tous vers le même précipice. Et quand certains d'entre nous crions "au mouton" ... le régime nous répond que nous sommes "complotistes". Rien n'est plus pervers que cette accusation gratuite.

En effet, une conjuration, un complot, exige que quelqu'un soit caché qui cherche à éliminer, plutôt par la violence, au moins la caste qui tient le pouvoir. S'il y avait complot aujourd'hui, ce serait très étrange, car les comploteurs sont parfaitement connus et leurs visées sont publiques.

Non, le spectre du complot est uniquement agité par le régime pour flétrir ses opposants, ses contestataires. Que ne les incrimine t'il pas pour des menées cent fois condamnées par des millions de lois et de réglements qui protègent ce régime. Un régime qui peu à peu prend des allures "maternelles" avec un cynisme confondant. Et le comploteur, il le sait, c'est lui-même. De fait, le régime n'accuse pas ses opposants de complot. Il les accuse de prétendre qu'il existerait des comploteurs ... de détourner l'attention sur de faux responsables. L'accusation n'est pas sans fondement, mais complètement stupide.

En effet, depuis toujours, les braves gens imaginent que, si cela va mal, c'est parce qu'il y a un responsable qu'il faut trouver et éliminer. Après cela, tout ira bien. La stupidité des braves gens leur interdit de voir que leur pire ennemi, c'est eux-mêmes, les meilleurs soutiens du régime qui les opprime. Alors, ils invoquent des responsables qu'ils pensent dénoncer au régime qui, paternellement ou maternellement, va certainement réduire pour résoudre la crise.

La plus grande force du régime, c'est d'avoir organisé l'impuissance de la contestation par la propagande. Le régime nous a joué la comédie du progrès et de ce progrès, le régime s'en attribue la paternité par la propagande. Et l'agitation du complotisme est l'une des meilleures trouvailles de la propagande du régime.

Or, la perversion absolue du régime se révèle par la nécessité qu'il ressent de la propagande. Celle-ci a remplacé la presse libre. De fait, la liberté d'opinion, la liberté politique, la liberté sociale, la liberté médicale, toutes ces libertés ont disparues, emportées par la propagande véhiculée par une presse aux ordres du régime, d'une opinion unique à laquelle s'aggrège la majorité des braves gens, d'une politique décidée par le régime, d'une société contrôlée par le régime, d'une non-médecine de masse qui appartient au régime, d'une anti-éducation décidée par le régime, d'une contre-culture faite au bénéfice du régime, ...

Pour conclure, je voudrais écrire quelques mots concernant ce qu'est ce "régime".

Qu'est-ce, qu'en Occident américanisé, le "régime" ?

Un "régime" est une expression souvent utilisée à la fin du XX° siècle pour désiger un état politique, économique et social illégitime, illégal au sens des "valeurs" de l'Occident, et toute cette sorte de choses. Ainsi, Pinochet ou Khadafi bénéficiaient de la complicité d'un "régime". On parlait avec emphase du "régime soviétique" ou du "régime chinois" on encore du "régime de Pol Pôt" ... lui aussi de sinistre mémoire. Et peu à peu, l'Occident américanisé, face à ces "régimes" qui se sont effondrés, s'est tenu comme le "camp du bien", le "régime de la liberté et des valeurs démocratiques". Bien ...

De fait, les "régimes du XX° siècle" se sont effondrés et leur mémoire est maudite, c'est un fait entendu.

Qu'en est-il en Occident ? Nous pensons vivre dans un système politique démocratique, qu'il soit monarchique, au Royaume-Uni ou en Suède, ou républicain, aux USA ou en France. Qu'est-ce que cela signifie ? Nous, le peuple, avons le droit de chosir par voie électorale une petite partie de nos instances dirigeantes politiques : une partie du gouvernement exécutif, une partie des législateurs, parfois une partie des juges comme aux USA. Et nous vivons dans un système régi d'une part par le principe de séparation des pouvoirs (exécutif, législatif et judiciaire) et d'autre part par l'idée que nos dirigeants politiques et leurs fonctionnaires aux ordres sont uniquement mûs par le goût de l'intérêt public.

Jusqu'à il y a une bonne vingtaine d'années que se passait-il ?

Grâce à la guerre, à la loi ou à l'impôt, le pouvoir politique pouvait contrpôler à peu près tout ce qui vit, agit, s'agite dans un pays donné.

Et çà ne marchait-pas si mal ...

Si nous retournons chez nous à l'époque gaullienne qui excite l'admiration d'un Zemmour par exemple, il était entendu que la puissance française était très inférieure à celle des Etats-Unis. Mais, notre pouvoir politique décidait "souverainement" face à la puissance des USA. Nous sortions de l'OTAN quand nous le décidions. IBM ne rentrait pas sur nos marchés publics laissant la place à Bull, notre entreprise informatique "nationale". Nous exportions notre blé à qui nous le voulions. Nous signions un traité de coopération avec l'Union soviétique qand cela nous "chantait", malgré la fureur des USA ... A deux pas de Washington, nous criions "Vive le Québec libre !" et toute cette sorte de choses ...

Soixante ans plus tard, la puissance relative des USA s'est multipliée et la notre s'est effondrée. Pour "discuter" avec les USA, nous devons "passer" par l'"Europe-l'Europe", cet espèce de conglomérat d'intérêts sans aucune autre relation avec la politique réelle que la force d'accords entre truands. Microsoft a chassé toute entreprise informatique avec Google, Facebook, Twitter et consorts, tous américains. Tout le reste est de la même veine.

Mais, il y a pire.

Les trois alliés du régime

La puissance hystérisée des USA est devenue débile. Leurs présidents sont devenus des vieillards séniles (Biden) ou mégalomanes (Trump) et leurs institutions sont entièrement corrompues d'une part par la Haute administration et d'autre part par l'industrie financière extranationale. La puissance des nations s'est trouvée dissipée dans des alliances mafieuses de sorte que nos potentats sont devenus impuissants. Ses alliances servent seulement de camouflage à des truands.

Et ce qui survient aux USA, se retrouve en Europie, mais aussi dans la plupart des Etats alliés des USA. Seuls, ceux qui mangent avec le diable avec une longue cuiller restent indemnes et encore ...

Or, c'est justement pour avoir refusé de "manger dans le plat" avec le diable que Poutine et sa Russia Nova sont aujoud'hui déclarés les "ennemis des USA". Quand les occupants américains qui s'étaient installés partout aux commandes de la Russie à la faveur du coup d'état de Eltsine ont été expulsés par l'opération nationaliste de Poutine, quand les collaborateurs russes de l'occupant américain ont été mis face au mur de la honte, alors la Russie a été désignée par l'Amérique comme l'ennemi.

Or, la même opération a été menée par les américains en Europe, et donc en France. Mais, à la différence de Poutine, tous les pouvoirs politiques européens - et avec eux, d'autres comme le Canada, l'Australie, la Nouvelle-Zélande - mais aussi les Etats prétentieux composant l'Europe subissent exactement le même pillage.

Il faut bien constater que la puissance qu'on appelle américaine l'est de moins en moins. Elle comporte très certainement une caste politique qui tente de sauvegarder ses anciens privilèges. Mais elle est de plus en plus menacée par sa haute administration, qui se constitue en pouvoir indépendant des politiciens - le "Deep State". On retiendra que la mouvance anti-russe qui était caractéristique de la présidence Obama, et que Trump avait annoncé vouloir abolir, s'est imperturbablement poursuivie sous son "règne" et, Biden "regnante", la situation est clairement inchangée. Or, cette stance anti-russe trouve ses fondations à la fois dans les universités américaines et dans les think tanks, la presse et la haute fonction publique. Même chose sur toutes les questions économiques, sociales, culturelles, ... Qu'importe qui "règne", qu'importe les politiciens, la haute administration et ses alliés "intellectuels" dirigent des constantes politiciennes quelque soit l'opinion du peuple. Ou les intérêts de l'Amérique. Même chose en Europe. On suit "loyalement" les Américains. Même chose en France. On suit "loyalement" l'Europe. Le moyen de faire autrement ?

Et tout le monde décline régulièrement dans la misère économique, la stupidité culturelle, la décomposition sociale, ...

Mais, "heureusement pour nous", pensent-ils, une troisème force est apparue ces vingt dernières années. Il s'agit d'une caste d'hyper-milliardaires qui ont tous des activités d'investissements à la fois dans la politique, l'économie, la culture, ... et dont les intérêts sont largements indépendants tant de ceux des fonctionnaires (haute administration) que des politiciens (sans aucune différence entre les Etats ou les institutions concernées). Donnons quelques exemples très limités pour ne pas alourdir notre description. Bill Gates a investi massivement dans la pharmacie et la médecine. Il détient le pouvoir réel dans plusieurs majors pharmaceutiques comme Pfizer - la vice-présidence de Pfizer lui appartient - ou Gilead, Moderna, Bio n'Tech, ... mais aussi dans la médecine où Bill Gates est le financeur majeur de l'OMS par lequel il édicte les lois sanitaires qui "vont bien" dans la plupart des pays du monde.

Un autre milliardaire, Soros, détient le pouvoir de nomination des juges presque partout en Occident. Les mécanismes de nomination dans lesquels il a investi et qui sont connus, sont ceux qui utilisent un mécanisme électif comme aux USA. Soros choisit des juges qui adhérent à son idéologie mondialiste et antinationaliste, il paye leur élection et les surveille pour qu'ils rendent des jugements conformes à son idéologie, comme avec les juges ou anciens juges Kamala Harris, Garçon, Boudet, .... Mais, manifestement, Soros contrôle aussi la nomination de juges non élus, comme par exemple à la Cour Européenne des Droits de l'Homme où un nombre incroyablement élevé de ces juges sont d'anciens salariés de ses ONG "humanitaires".

Les biens de ces milliardaires sont non seulement internationaux, parce qu'ils en possèdent partout dans le monde. Mais ces biens sont devenus "extranationaux" en quelque sorte, notamment à cause de la financiarisation des échanges commerciaux et autres. Je veux dire que chacune des trois forces que je viens de citer est exonérée du pouvoir des deux autres. Et bien entendu de la ""Loi", fut-elle démocratique.

Cette caste comme les castes de politiciens et des fonctionnaires (hauts ...) échappe à tout contrôle étatique notamment. Ces castes ne reconnaissent pratiquement aucun autre impératif que leur propre intérêt. Elles sont cependant encore "capables" de jouer la comédie de la démocratie, du bien public, de l'avenir de la planète et autres fariboles dont ils se moquent éperduement.

Si chaque caste jouait sa partie dans son "coin", notre histoire serait encore jouable. Mais, le problème, c'est que, à l'antagonisme traditionnel du XX° siècle entre politiciens et fonctionnaires, les uns tentant de dominer les autres, s'est substituée une redoutable partie à "trois". Cette partie s'appelle le "partenariat public - privé". Et alors là, vraiment, la démocratie et toutes les "saines" idées politiques, économiques, sociales, culturelles, que sais-je encore, s'effondrent définitivement.

Le partenariat "public - privé" est une "invention d'un curieux individu. Il faut cependant remonter au géopoliticien Henry Kissinger, célèbre lors de la présidence Nixon, il y a des lustres. Kissinger a été un redoutable penseur. Selon les observateurs du domaine, il semble que Klaus Schwab ait utilisé et le carnet d'adresses et les fulgurances idéologiques de Kissinger pour fonder ce qu'il a appelé le World Economic Forum, connu souvent comme le "Forum de Davos". Le premier "outil" de la fondation est une "grand'messe" des élites du monde politique et économique. Le reste ne les intéresse pas vraiment. Lors de cette réunion grand-guignolesque, les "grands" de ce monde - entendez "américain" - se rencontrent et discutent agréablement dans des hôtels de luxe en Suisse. Bien. L'idée de Schwab est de faire se rencontrer agents économiques et politiciens pour assister et pourquoi pas contrôler, l'ascension sociale de chacun de ses poulains.

Cette stratégie de "prise du pouvoir" est illustrée par une filiale du Formum de Davos, "la communauté des Young Global Leaders, qui succède aux Global Leader of Tomorrow. Cette communauté regroupe plus de 750 dirigeants du monde entier âgés de moins de 40 ans, issus de disciplines et de secteurs très variés. Ses membres s’investissent dans la 2030 Initiative, c'est-à-dire l’établissement d’un plan d’action permettant de définir ce que sera le monde en 2030." (Source Wikipedia). Parmi ses lauréats, on compte l'ancienne chancelière d'Allemagne, Merkel [1] de la même promotion que Bill Gates, ou encore Macron [2] trente ans plus tard.

Sur le WEF, il y aurait énormément de choses à dire et plusieurs spécialistes ont abondamment décrit l'objet. Il faut encore souligner que le WEF est affilié à une très curieuse organisation dénommée Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies. Selon l'article que lui consacre Wikipedia, l'organisation serait une " une fondation dotée par des dons provenant d'États, d'organisations philanthropiques et d'organisations de la société civile. Elle a été constituée en vue du financement de projets de recherche indépendant pour mettre au point des vaccins contre les épidémies dues à des agents infectieux émergents.".

Dès lors, sans sombrer dans du complotisme, puisque les acteurs du prétendu complot sont les maîtres du monde et pas du tout leurs challengers, on comprend que l'épidémie de SARS-CoV-2 entre en résonnance avec une nouvelle organisation de la société américanisée par le biais des partenariats public - privé" promus par Schwab.

Or - et je trouve la chose suggestive - les partenariats public - privé qui parviennent à la connaissance du public comme la soi-disante lutte contre l'épidémie de SARS-CoV-2, placent les politiciens au pouvoir dans la main de milliardaires comme Bill Gates ou Georges Soros. Et ces partenariats ne sont pas d'innocents et impuissants financements à l'ancienne où un philanthrope abruti cédait mille francs pour permettre à une ONG de s'intéresser au sort des papillons de nuit. Quand Bill Gates apporte 1 milliard de dollars, il attend que chaque partenaire, qu'il soit public ou privé, en apporte autant et qu'il serve les objectifs du partenariat que, incidemment, Bill Gates a déterminé.

L'idée que l'objectif du partenariat doive obéir à la volonté du peuple est totalement étrangère à Schwab ou à Gates. Et les politiciens trouvent là, la libération de la servitude dans laquelle la démocratie comprise par les peuples les plaçaient jusqu'alors ! Quant aux fonctionnaires, ils sont tout simplement corrompus par Gates. Par la caste des hyper-milliardaires. Le fait est éclatant dans la gestion de la pandémie où le "tzar" de la lutte anti-covid qui a régné également sous Trump et sous Biden, deux politiciens prétendument adversaires mais unis dans un terrible partenariat public - privé, l'octogénaire Anthony Fauci, est un homme-lige de Bill Gates, tout comme son collègue des CDC, Collins et tant d'autres. La situation est exactement la même en Europe ou les membres de l'Agence du médicament appartiennent aux entreprises pharmaceutiques et promeuvent pour leur compte vaccins et autres médicaments coûteux, inefficaces et dangereux. La situation est exactement la même en France où des pans entiers de l'administration sanitaire, hôpitaux et agences sanitaires devant, sont entièrement dans la main du partenariat public- privé de Gates.

Quel futur proche pour la société américanisée

Le futur est sombre.

Avec l'alliance mafieuse entre les milliardaires, les politiciens et les fonctionnaires, nous sommes "morts". Le "coup" de l'épidémie arrangé par un mortel partenariat public - privé, nous a définitivement fait perdre toutes les valeurs de la démocratie et de la République péniblement gagnées en plusieurs millénaires.

Mais en politique, le désespoir absolu est une sottise absolue.

Certainement pas que nous devions "attendre un sauveur", un quelconque homme "providentiel".

Beaucoup plus simplement, les trois castes qui nous ont placés en coupe réglée, ne sont guidées que par des intérêts privés. Il est de la nature humaine de se décomposer sous l'effet des vils intérêts. Soros est nonagénaire, et Gates presque septuagénaires. Leurs empires vont se décomposer à terme. Les politiciens vont se dévorer pour obtenir leur part de la curée. Et les fonctionnaires ont goûté à la corruption. Les trois castes sont nécessairement déjà en état de décomposition et elles l'ignorent.

Malgré tout, mourront avec eux tous les braves gens qui n'y verront que du feu. Ils seront incapables de résister à la terrible décomposition qui nous frappe déjà. Seuls seront sauvés, ceux qui croiront à la vérité et à la liberté, à l'humanité et à la réalité.

Mais, comme le demandait Pilate en s'en lavant les mains, qu'est-ce que la vérité ? Il appartenait à la caste des fonctionnaires. Déjà.


Notes

[1] Selon WEF/Global Leaders for Tomorrow, il existe une liste dess membres de la communauté initiale à l'url : http://www3.weforum.org/docs/WEF_GLT_ClassOf1993.pdf. Cette url redirige sur le site d'archivage WayBack Machine, qui répond un message d'absence :

http://www3.weforum.org/docs/WEF_GLT_ClassOf1993.pdf |
	    17:22:13 August 05, 2021
Got an HTTP 302 response at crawl time

L'article précité cependant est très clair sur la participation certaine de Merkel alors qu'elle était encore une Allemande de l'Est parfaitement inconnue :

In 1992/1993, the WEF launched a new community, the Global Leaders for Tomorrow (GLTs), composed of 200 young leaders from business, politics, academia, the arts and the media, all of them under 43 years of age, and, as the WEF claims, "well established through their achievements and positions of influence"[3]. This claim is simply not true, as the selection is extraordinary prescient, given that many of these people were totally unknown at the time. Angela Merkel, for example, was a nobody from the former East Germany incorporated into united Germany in 1991.

[2] Selon Wikipedia , Macron est membre :

  • de la promotion 2012 des « Young Leaders » de la French-American Foundation ;
  • de la promotion 2013 des « Young Leaders » de la France China Foundation ; et
  • membre des « Young Global Leader » par le Forum économique mondial.


Revue C-Politix (c) 31 Décembre 2021