Aperçus du problème social des effets adverses de la vaccination CovidJe viens de visualiser un documentaire "Vaccination anti-Covid | ARTE Regards". Sur Youtube, sa présentation est : 818 415 vues 8 févr. 2023 #Arte #Covid #Vaccin Le documentaire présente les cas de plusieurs jeunes patients allemands et le point de vue officiel de la médecine allemande. Un professeur de médecine parfaitement au fait des effets adverses des vaccins Covid expose le problème social des effets adverses de la vaccination Covid. Il présente deux aspects selon lui :
La reconnaissance des effets adverses porterait un coup fatal à la campagne de vaccination covidIl faut savoir que l'invocation d'une faible fréquence des effets adverses ne se fonde sur aucune statistique pour la simple raison que l'administration médicale ne relève qu'une fraction des effets adverses qui lui parviennent. A l'inverse, l'administration médicale grossit énormément les effets à long terme de l'infection Covid-19. Cette maladie affecte moins de 2% des personnes contaminées et essentiellement parmi les personnes les plus âgées. Cependant, même des personnes jeunes et même très jeunes sont affectées dès lors qu'elles sont immunodéprimées ou sont affectées de certaines maladies spéciales. De ce fait, l'évocation d'un rapport bénéfice à risque est des plus suspectes dès lors qu'elle se fonde sur des assertions du niveau "tout le monde sait bien que ..." même si l'assertion provient d'un personnel médical. Les calculs de fréquence sur des populations larges sont excessivement sujettes à caution. Elles peuvent même n'avoir strictement aucun intérêt scientifique. L'assertion que "100% des personnes actuellement vivantes seront décédées" est vraie. Mais, elle n'apporte aucune information scientifique. Une autre question concerne la contestation de la légitimité sociale d'une balance bénéfice à risque. Cette balance ne serait socialement justifiée que si les personnes affectées du risque ne pouvaient en aucun cas bénficier de l'avantage qui apporte le bénéfice. A l'inverse, vacciner une personne jeune sans pathologie particulière avec un produit susceptible, même de façon rare, de lui provoquer un effet adverse, surtout grave, est socialement inadmissible. L'idée qu'il faudrait absolument "protéger le succès de la campagne vaccinale" est un argument simplement politique puisque la campagne vaccinale est organisée et promue par les autorités politiques, derrière l'autorité desquelles les médecins agissent en la matière. Or, le succès de la campagne de vaccination Covid-19 est déjà ruinée par le fait que le vacin Covid-19 ne présente aucune efficacité à long terme. L'assertion que le vaccin Covid aurait une efficacité à court terme est encore débattu et il semble que les analyses établissent que le vaccin Covid n'a plus aucune efficacité. Il en résulte que l'argument selon lequel l'admission d'effets adverses provoquerait une atteinte au succès de la campagne vaccinale est un argument circulaire : le succès de la campagne vaccinale étant fondée sur l'admission de l'efficacité d'un vaccin inefficace. L'indemnisation impossible des victimes d'effets adverses de la vaccination covidAu sujet du deuxième aspect évoqué par le professeur de médecine allemand, sur la question de l'indemnisation de victimes d'effets adverses des vaccins Covid, il s'agit seulement d'une argument destiné à exonérer le personnel médical dans la catastrophe sanitaire de la vaccination covid. Le personnel médical, sauf une frange minoritaire de médecins et de biologistes dssidents, s'est engagé sans aucune connaissance scientifique sur le slogan politique : "le vaccin Covid est sûr et efficace". Un slogan a le mérite de se croire facilement et de se reconnaître de même. Sa faiblesse, c'est qu'il est très facile de montrer qu'il est faux. Par nature, il est même radicalement anti-scientifique. Aussi, pour le défendre, le régime occidental a engagé des moyens colosssaux pour mener une propagande effarante en faveur de sa campagne de vaccination et, dans le même temps, il a mené une censure des opinions dissidentes. Cette censure va jusqu'à la suppression de données statistiques. On remarque que le professeur de médecine n'est pas conséquent avec lui-même : ou bien les effets adverses sont rares et la charge des indemnisations sera faible, ou bien les effets adverses sont en volume énorme et la société serait incapable d'assurer la charge des indemnisations. De fait, l'expérience rappelée par les malades vus dans le documentaire ARTE, démontre que les médecins n'ont aucun intérêt à admettre l'existence d'effets secondaires de svaccins covid. Et de fait, ils refusent de les reconnaître. Tout en affirmant qu'ils sont rares ... Hypocrisie. Le fait que le professeur de médecine, comme l'ensemble des agents du régime occidental estime que les effets adverses sont rares et qu'il ne faut pas les indemniser démontre qu'il sait, qu'ils savent, que le problème des indemnisations est au-delà des moyens de la société occidentale. Mais, il y a plus grave. Et plusieurs malades d'effets adverses des vaccins covid le démontrent déjà. Le coût des effets adverses est supporté par la société, essentiellement par les malades eux-même set surtout par leurs familles et proches qui doivent répondre par leurs propres ressources aux dépenses de ces maladies terribles. La position du professeur de médecine et de ses semblables du régime covidiste est tout simplement ignoble. Un dernier aspect de la question est encore plus alarmant. Le professeur de médecine est absolument formel : les croyances d'un malade ou d'un personnel non médical sont absolument dénuées d'intérêt médical. Alors qu'on espérait que l'âge scientifique ferait disparaître ce genre de position médicale, la catastrophe sanitaire de la Covid et de son vaccin ont fait régresser la société occidentale à un êge sacerdotale, où la fonction médicale est d'essence sacrée et son autorité religieuse. Le problème vient de la technicité toujours accrue de la médecine moderne qui traite avec des spécialistes très pointus des malades complètement ignorants. S'est imposée peu à peu l'idée que le patient est un fidèle soumis à l'autorité du "prêtre" qui n'a de compte à rendre que devant "la médecine". Cette position se heurte au principe d'autonomie des citoyens. Les patients sont des hommes libres d'une liberté à laquelle la maladie ne touche en rien. Le médecin ne peut jamais limiter ou empêcher cette liberté. Selon un autre aspect de la question, la médecine "magique" est supposée avoir disparue il y a longtemps. Lorsqu'un médecin décide d'un acte médical quelqu'il soit, il prend sa décision sur une base scientifique. Or, une base scientifique s'expose, se débat, se conteste. Le problème des médecins officiels dans la pandémie de covid et dans la campagne de vaccination, c'est qu'ils ont écarté les principes de base de la science : exposition, débat, preuve. On suspecte deux choses :
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