Arrêter de croire que le régime occidental est dirigé par la recherche du bien communDans de précédents articles, nous avons démontré que la politique occidentale n'était plus déterminée par les principes républicain et démocratique : un souverain, le peuple, et une classe politique au service du bien public, par le choix électif du peuple. Peu à peu, la politique a d'abord été éliminée par l'administration, les fonctionnaires de la complexité de l'Etat moderne prenant le pas pour le contrôle de l'Etat sur les politiciens qui étaient d'ailleurs, depuis longtemps, pour la plupart, issus de la caste des fonctionnaires. Dans le même temps, a disparu l'impératif du bien public contrôlé par les électeurs, et par l'Etat de droit, cette composition hétéroclite d'institutions républicaines, mais aussi par la presse libre et les organisations populaires au premier rang desquelles les syndicats, les clubs politiques, les universités, .... Une catégorie particulière de syndicats a aujourd'hui complètement disparue. Ou cette catégorie de syndicats reste à l'état de vestige folklorique. Il s'agit des syndicats ouvriers qui oeuvraient pour le bien de la classe ouvrière. Avec eux se sont peu à peu évanouies toutes les institutions qui vérifiaient que le bien public était respecté par les décisions de l'Etat. Particulèrement, en France à la faveur de l'épidémie de Covid-19 depuis deux ans, et de terrorisme depuis dix ans, le Parlement a abandonné complètement son rôle de contrôle des décisions de l'exécutif et les autres institutions comme le Conseil d'Etat, le Conseil Constitutionnel ou les différentes Cours des Comptes ne jouent plus qu'un rôle approbatif et protecteur des décisions du régime macronien, qui n'a plus aucun souvenir des régles républicaines. De fait, la République a perdu ses derniers protecteurs. Ou que ce soit en occident américanisé. On va voir comment. Nous sommes entrés dans une ère de contrôle socialDes pans entiers des services privés se sont trouvés investis de missions de services publics qui, loin de privatiser l'Etat, ont surtout étatisés les intérêts privés qui en sont chargés. C'est le cas de l'agriculture, de l'instruction publique, de la presse d'information, de la culture ou encore de la médecine. Leurs missions de service public sont essentiellement de dissimuler la disparition de l'initiative privé pour la contrôler entièrement. Aujourd'hui, les entreprises privées sont chargées de collecter la plupart des impôts que prélèvent l'Etat. C'est le cas de la TVA, mais aussi des "charges sociales" qui sont essentiellement un impôt d'Etat, surtout en France. Considérez le cas des banques. Chaque année, elles doivent vérifer auprès de leurs clients qu'elles disposent de l'ensemble des informations confidentielles qui servent à l'Etat pour poursuivre les fraudes fiscales. Elles doivent alors signaler durant toutes l'année les données bancaires qui ne répondent pas à des normes précises qui, par exemple dénoteraient un enrichissement non déclaré. Il en résulte que, grâce à la coopération du secteur privé, l'Etat est immédiatement au courant de chaque recette et de chaque dépense de n'importe lequel des assujettis sociaux bancaires. Et le secteur privé partage avec l'Etat ces informations à son meilleur bénéfice. Cette entente mafieuse, dissimulée derrière la loi "républicaine" est une action de formation d'un nouveau régime, dictatorial; tyrannique, policier, fasciste, entièrement dévolu au service de la bourgeoisie. Considérez le cas des télécommunications au sens large. Chaque abonnement à un service téléphonique, chaque abonnement à un service web, est astreint à une surveillance immédiate réalisée par les opérateurs privés pour le compte du nouveau régime. Toutes les données techniques de communication ou de connexion web sont immédiatement communiquées à l'Etat et utilisées par le "privé", qui peuvent, chacun des deux à son bénéfice, ainsi surveiller immédiatement les communications et activités web des assujettis sociaux. Grâce particulièrement aux données de télécommunication, même lorsque le téléphone mobile est "éteint", le nouveau régime, Etat et bourgeoisie, dispose du moyen de localiser n'importe quel assujetti social parfois au mètre près, de détecter auprès de qui il se trouve, .... Avec les confinements de l'épidémie de Covid-19, le télétravail a permis d'investir les entreprises qu'elles soient publiques ou privées, d'une mission de surveillance de la vie conjugale et de la vie familiale, puisque l'employeur a la mission de dénoncer sans attendre le moindre soupçon de violence ou de harcèlement au travail. Le télétravail a permis à l'Etat - qui en est très fier - de surveiller ainsi même la vie privée des assujettis sociaux, pour la plupart "ravis" d'une telle sollicitude. Considérez le cas des transports individuels, ce domaine "chéri de la liberté individuelle et de la liberté d'aller et venir". Grâce à l'ordinateur de bord du véhicule, grâce aux instruments connectés pour sa navigation routièe, l'Etat et un consortium de constructeurs automobiles sont immédiatement en situation de localiser la position, la vitesse et la trajectoire de n'importe quel véhicule équipé. Mieux encore, le nouveau régime sera très bientôt capable de déterminer le privilège de circuler ou non à l'aide d'un "kill switch" qui permet d'immobiler le véhicule à son parking ou de limiter certaines de ses caractéristiques techniques en fonction du bon plaisir de l'Etat. On pourrait ajouter d'autres activités, comme la médecine, ou encore la comptabilité, la vidéosurveillance, ... Pour de mauvaises raisons "technologiques" - l'illusion du progrès - toutes convergent vers l'établissement d'un contrôle social de genre rétroactif dans lequel les données sociales collectées servent à appliquer des actions de contrôle social. Si aujourd'hui, la boucle de rétroaction n'est pas encore entièrement achevée au point de vue technique, elle est à peu près partout "simulée" par des actions ponctuelles de la police de l'Etat, des actions de contrôle qui permettent de tester la soumission aveugle des assujettis sociaux à leur contrôle social. Par exemple, les obligations du port du masque et de la vaccination Covid, qui ont été imposées par une collusion agressive des Etats et des entreprises privées, ont démontré au nouveau régime qu'il pouvait avancer avec sécurité dans l'avènement de la société du contrôle social total. Et c'est bien dans ce but que Macron cherche sa ré-élection. Une chose frappe l'attention par exemple lorsque l'on examine la politique de traitement social de l'épidémie de SARS-CoV-2 : le contrôle social est appliqué par un partenariat public - privé qui touche l'ensemble du monde occidental américanisé. On reconnaît qu'il touche aussi, mais d'une manière différente, des mondes éloignés comme la Chine ou l'Inde. Notamment, la dictature du contrôle social est bien plus avancée en Chine que dans aucune autre partie du monde. L'élaboration du contrôle social de l'occident américaniséLe contrôle social, redisons-le, est une technique permettant de déterminer "scientifiquement" le comportement individuel dans une société donnée. Pour son exécution, chaque individu doit être contraint de faire enregistrer des paramètres caractéristiques de ses interactions sociales. C'est le processus de surveillance. Ensuite doit être activé un deuxième processus qui exécute l'évaluation de la conformité sociale de chaque évolution des paramètres d'interaction sociale de chaque individu. Dans ce processus, normalement automatisé, les évolutions sont comparées à des paramètres caractéristiques d'un comportement social adapté, correct. Si l'évolution n'est pas correcte, un troisième processus de rétroaction permet d'appliquer de nouvelles valeurs à des paramètres de contrôle de chaque individu. Ces paramètres de contrôle sont extrêmement divers. Mais Macron lors de son discours des Voeux 2022 en a fait une présentation théorique, simple, mais claire. Le maintien de paramètres de contrôle de chaque individu à une valeur correcte pour lui permettre de vivre avec une illusion de "liberté", dépend du respect de l'évolution de ses paramètres d'interaction sociale à un modèle pré-défini de conformité sociale. L'attribution de droits dépend du respect de devoirs. 'Macron, Voeux 2022. Privilèges, contraintes, respect, voilà les trois processus essentiels du contrôle social qui se met en place. Le problème de l'élaboration d'un tel contrôle social dans la société ouverte, cette société issue du libéralisme américain des années 1950, est double partout en occident américanisé :
La grande question est donc de savoir comment le nouveau régime va t'il éliminer le personnel administratif et le personnel politique impropres à l'exécution du contrôle social dans les Etats occidentaux ? Avant de répondre à cette "grande question", on doit se demander à qui profitera cet épouvantable crime contre la République ? La création d'une caste indépendante d'hyper-milliardairesTrès clairement, il s'est instaurée une caste d'hyper-milliardaires qui n'a plus rien de comparable avec l'ancienne classe riche que l'on a connu jusqu'à présent en Occident et ailleurs. Dans l'ancien monde, il a toujours existé une classe de gens riches et même très riches. Ces gens disposaient de fortunes fabuleuses et les "pauvres" ne se privaient pas à la fois d'envier cette richesse et de dénoncer la corruption qui lui donnait naissance ou qu'elle favorisait. En France, une grande partie de la contestation politique du XX° sècle s'est bornée à dénoncer le pouvoir des "cent familles", des "cinq cent familles", etc. Certains extrêmement riches, dans la banque, l'industrie, les mines, le commerce, la banque, se confondaient parfois avec leurs entreprises, comme Rotschild avec sa banque, Ford avec ses automobiles, Hearst avec ses journaux. Depuis la fin du XX° siècle, il s'est produit un phénomène qu'on n'a pas toujours bien perçu, dissimulé qu'il était sous la forgerie de la "mondialisation heureuse". Il s'agit de la formation parasite d'une caste d'hyper-milliardaires. Combien sont-ils ? Il est difficile de répondre. On sait qu'il existe environ 8.000 milliardaires aux USA, 2.500 en Europe, 4.000 en Chine, etc. Lesquels sont des hyper-milliardaires ? Lesquels ne le sont pas ? Je l'ignore. Sauf que parmi les hyper-milliardaires, on peut certainement dénombrer deux groupes :
Ces individus constituent une caste dans la mesure où ils se situent très certainement en dehors de la société "normale". Ils ne se soumettent pas aux lois communes, et particulièrement pas à la morale dont ils se moquent éperduement. Et leurs services de communication dépensent sans compter en budget de relations publiques pour les présenter qui comme visionnaire, tel autre comme "philanthrope", ... Ils sont devenus aussi intouchables qu'une vache sacrée en Inde ou un immigré clandestin à Paris ... Et ils peuvent se "moquer" des lois parce que leurs personnes et leurs biens se trouvent le plus souvent hors de portée des Etats, ce qui n'étaient encore jamais arrivé. Même Biden pourrait décider d'exproprier la fortune de Bill Gates, s'il le voulait. Que saisirait ses services fiscaux ? Du vent ! Très peu des biens de Bill Gates se trouvent dans un seul Etat. Et non seulement, ses biens se répartissent partout dans le monde, mais de plus, ils circulent en permanence de sorte que même Gates ne connaît pas à un instant donné sa fortune. Dans les six premiers mois de la pandémie, sa fortune connue, comme celles des dix plus riches américains, s'est accrue de 30% et elle n'a jamais cessé de croître plus vite qu'à n'importe quelle période antérieure. Les hyper-milliardaires sont devenus si riches et leurs richesses tellement délocalisées que presqu'aucun Etat ne peut rien contre eux. Pire, ce sont eux qui détiennent la majorité de la dette fabuleuse des Etats de l'occident américanisé. Ils sont devenus une caste même plus mondialisée, plutôt délocalisée. Dans les faits, intouchable partout. La caste des hyper-riches a décidé de prendre le contrôle du mondeIl n'existe pas de déclaration commune des "hyper-milliardaires" décidant une telle chose : prendre le contrôle du monde. Mais plusieurs d'entre eux ont fait des déclarations et surtout des réalisations qui vont dans ce sens. La première offensive : George SorosLe premier d'entre eux à l'avoir fait est le financier George Soros. Invoquant la mémoire du philosophe Karl Popper, qu'il affirme avoir connu jadis, Soros en marge de son actité de gestion de fonds, s'est intéressé à une nouvelle organisation de la société, Une nouvelle organisation qui inclut la politique bien entendu. Il a appelé ce projet utopique, l'Open Society ou la société ouverte. Soros depuis quarante ans a travaillé à organiser sa puissance pour faire aboutir ce projet de pouvoir. Non seulement, il doit son influence à sa fortune considérable, mais aussi à un investissement extrêmement bien conduit pour animer des secteurs clés de la société occidentale afin de la "configurer" en "société ouverte". Par exemple, il s'est consacré à constituer un réseau d'ONGs, chargées de mettre en oeuvre ses idées d'"open society". Parmi ces ONGs, on peut citer plusieurs organisation obscures, mais puissantes, qui travaillent dans l'immigration, dans la suppression des frontières étatiques, mais aussi culturelles et civilisationnelles. Beaucoup de ces ONGs sont réellement subversives et bien d'entre elles se dissimulent dans la "philanthropie". Ainsi, il a déjà "réussi" plusieurs révolutions qui ont amené des changements de régime politique en Géorgie, en Ukraine, en Hongrie, ... Soros, par ailleurs, a fortement investi dans le domaine de l'éducation supérieure, notamment en créant une Université en Hongrie, dans laquelle sont enseignées les utopies progressistes caractéristiques des hyper-milliardaires. L'empire Soros, solidement implanté en occident américanisé, est assuré de sa poursuite par le réel de plus en plus prépondérant de Alexander Soros, fils de George. Particulièrement, il faut remarquer que Soros nomme maintenant lui-même certains juges américains. Ainsi des "District Attorneys" des grandes villes américaines. Il s'agit de magistrats élus qui doivent faire des campagnes électorales qui, aux USA, coûtent très cher. Soros finance les campagnes de juges qui sont souvent issus de ses entreprises. La plus célèbres de ces juges achetés par Soros est devenue Vice-Présidente des Etats-Unis: Kamala Harris. La plupart sont d'un progressisme ahurissant et complètement corrompus par l'argent, la drogue et l'abus de pouvoir. C'est par exemple le cas du juge Chelsa Boudin, "district attorney" d'une circonscription de la banlieue de Los Angeles. Membre de l'ultra-gauche traditionnelle américaine, Boudin a entièrement désorganisé le ministère public pour le transformer en une arme offensive entre les mains des gangs qui appartiennent à Soros par l'intermédiaire des lobbies de promotion des soi-disantes minorités actives. Ces juges libèrent les criminels noirs quand ils assassinent des blancs et mettent les blancs en prison quand ils s'opposent aux exactions des noirs. La même stratégie est utilisée avec les autres "minorités actives" : gays, lesbiennes, trans, drogués, pédophiles ... Depuis une dizaine d'années, Soros a investi pour s'acheter la Cour Européenne des Droits de l'Homme ce qui lui permet de sanctionner à sa guise les politiques des Etats. Ainsi une étude d'un think tank européen a pu démontrer que plus du tiers des juges, nommés dans cette Cour, sont des salariés des entreprises de George Soros. Et la CEDH se distingue en effet par des décisions d'un progressisme échevelé qui favorise les intérêts de George Soros. Cette première agression des hyper-milliardaires a surtout été dirigée dans le but d'instiller le désordre dans la société libérale avancée fabriquée par les américains, mais aussi pour conduire le changement de régime dans divers pays, comme la Russie où Soros est très implanté dans de nombreuses ONG, ou en Chine où il fomente les révoltes des Ouiguours. La galaxie Soros a oeuvré essentiellement dans le but d'imposer partout l'idéologie de l'Open Society, avec la suppression des frontières, de l'autorité des Etats et des institutions républicaines partout en occident américanisé. La deuxième offensive : Bill GatesUn autre hyper-millliardaire s'est lancé dans la prise de contrôle de la société libérale par le biais américain, dès les années 2000. Il s'agit de Bill Gates. Son activité "philanthropique" se déroule autour d'une fondation privée, la BMGF dotée initialement de 50 milliards de dollars. Bien plus aujourd'hui. Les moyens utilisés par Gates sont extrêmement divers. Tous ne sont pas aussi connus. Pour résumer ses outils, on pourra réciter :
On notera que Gates est acteur dans un nombre incroyable de projets. On peut citer des initiatives aussi pointues que Bill & Melinda Gates Foundation: Accelerating Discovery for Non-Hormonal Contraceptives. Très souvent, les initiatives de la BMGF sont dirigés vers les pays du tiers-monde. Mais, ces actions se fondent toujours par une modification avancée dans l'occident américanisé de sorte que la BMGF est souvent accusée de colonialisme américain auprès des natyions africaines ou asiatiques. La plupart des opérations de la Fondation du flamboyant Bill se soldent par des échecs et des catastrophes épouvantables comme ces vaccinations de filles en Inde et en Malaisie suite auxquelles Bill Gates est menacé de la peine de mort pour avoir propagé des médicaments frrelatés. On pense aussi à la création qu'il a fait d'une nouvelle épidémie de polyomyélite d'origine vaccinale, cette nouvelle "polio" provenant de la souche vaccinale qu'il a très imprudemment fait diffuser par voie orale en Afrique et en Asie. Plus récemment, son vaccin contre le paludisme s'avère avoir une efficacité vaccinale inférieure à 30% et une période d'immunité vaccinale quasi nulle. On verra plus loin l'idéologie stratégique qu'employe Gates. Mais, on doit souligner que Gates, en général, refuse d'investir seul. Il crée le projet, apporte les premiers fonds, assure la direction du projet et accueille le plus d'investisseurs possibles de sorte que, lorsqu'il a engagé 1.000 unités monétaires dans son projet, ses alliés apportent 20.000 et plus sans avoir la décision ... Ces méthodes de gangster lui permettent de surmultiplier sa puissance financière avec "l'argent des autres". Parmi ces autres, on compte de nombreux hyper-milliardaires, comme Soros (déjà cité), mais aussi Warren Buffet ou Jeff Zuckerberg. Et Gates achète à tour de bras des entreprises dans le secteur de la santé publique. Récemment avec George Soros, une firme de production de tests sérologiques Mologic. Sans aucun intérêt médical. Mais grâce au contrôle de la santé publique par Gates, il s'agit pour lui d'une opératioon rentable : c'est lui qui décide des achats des clients de Mologic ..., Dans le monde "normal", on appelle celà une escroquerie. Pas chez les hyper-milliardaires. La troisième offensive idéologique : le WEF et le partenariat public - privéParmi les organisations "nébuleuses" qui gravitent entre Etats et organisations internationales publiques, on cite, parfois à demi-mots, souvent avec des mines de conspirateurs, des clubs mystérieux, comme "la tricontinentale" ou "les Bilderberg", ... On sait que s'y rencontrent des banquiers et des politiciens, qu'ils échangent des recettes sur on ne sait quelles cuisines mystérieuses, et ... on parle d'autre chose. C'est ainsi que j'entedais la "chose" il y a encore une dizaine d'années. Depuis le tournant du millénaire, on s'est mis à parler de façon de plus en plus insistante, et d'une manière dont on n'avait jamais encore parlé de tels clubs, d'un nouveau club suisse : le World Economic Forum ou WEF, connu pour une réunion annuelle dans la station de ski suisse de Davos. Dirigé par son fondateur, l'obscur Klaus Schwab, héritier d'une grande famille de dignitaires nazis, Schwab a été "intronisé" dans le monde occidental par personne moindre que Henry Kissinger. Il est assisté d'un secrétaire général, un haut-fonctionnaire français, Xavier Malleret, membre du Parti Socialiste. Les outils du WEF pour agir sur le monde entier sont extrêmement complexes. Manifestement, l'argent ne lui manque jamais. Une enquête sur son financement apporterait sûrement des informations suggestives. On va se limiter à trois outils du WEF : Les Global Young LeadersIl s'agit d'une mise en relation de personnalités identifiées par des membres du WEF et qui présentent, selon leurs "parrains", des caractéristiques qui en feront les "leaders" de demain. Chaque année, le WEF réunit un groupe de telles personnalités selon des modalités que je n'ai pas identifiée et ces personnalités sont encouragées à développer entre elles et les précédents Global Young Leaders des liens de coopération pour mettre en oeuvre les motifs de la WEF. L'ensemble est assez obscur, ténébreux et, pour dire le moins, dégage un relent mafieux certain. Mais, ce que l'on doit reconnaître, c'est que ces "assosications" de personnalités aboutissent en effet à des dirigeants qui deviennent souvent très connu. Une directrice de la WEF a rendu public la liste des élus de la première promotion de 1993. La liste qui s'y trouve est impressionnante : Martine Aubry (FR), José Maria Aznar (ES), Tony Blair (UK), Youssef Boutros-Ghali (EG), Richard Branson (UK), Bill Gates (US), Christian Lacroix (FR), Anne Lauvergeon (FR), Angela Merkel (DE), Jean-Marie Messier (FR), Boris Nemtsov (RU), Viktor Orban (HR), Nicolas Sarkozy (FR), Stephen Wilfram (US), qui ne sont que les noms devenus connus de grand public depuis lors. Dans les années qui suivent, on va trouver des noms comme Vladimir Poutine (RU) et bien plus tard Emmanuel Macron (FR) ou Jacinda Arden (NZ). Il existe maintenant plusieurs milliers de noms de personnalités qui se sont trouvées "investies" et liées par le WEF, selon des moyens que nous ignorons. Certains sont connus dans les "arts et la culture", d'autres dans la finance, le commerce et l'industriel et d'autres enfin dans la politique ou l'administration publique. Mais, à l'époque de leur nomination au Global Young Leaders Award, ils étaient presque tous quasi inconnus. Aznar, Boutros-Ghali, Blair, Merkel, Sarkozy étaient quasiment inconnus à l'époque. Ces concentrations de personnalités laissent planer un fort doute sur la légitimité des élections démocratiques quand on constate le nombre considérable de personnalités récemment élues et qui ont été prélablement investies ... par le WEF. Du doute, de la suspicion, mais pas d'incriminations formelles .. Seulement un relent de corruption on ne sait de quoi, on ne sait de qui ... Les réunions annuelles du WEFOn a très peu à dire sur de telles réunions. En effet que les gens riches se réunissent avec les gens puissants n'a que rien de très naturel. D'autant que le bas peuople n'est pas tenu éloigén des "festivités" de Davos : des compte-rendus sont diffusés dans la presse et on se souvient d'interventions du président Obama, du président Poutine ou du président Xi, ... Enfin, peut être ... Mais, il semble certain que, dans le temps de ces réunions annuelles où l'on bavarde agréablement de la pollution de la planéte et du réchauffement climatique, des milliers de riches brûlent autant de pétrole dans leurs jets de luxe que des millions de pauvres dans leurs véhicules en un an, et on se livre à des discussions secrètes qui décident de choses qu'on fait ensuite apparaître dans le public comme des "évidences" débattues "librement" dans le public. En fait, nuitamment dans un salon doré d'un hôtel de luxe suisse ... Dire ce qui se dit lors de ces rencontres secrètes est difficile. Mais, on peut les retruver dans les mémoires de plusieurs hommes politiques ou d'autres participants. Un français membbre de cette "intelligentsia" a beaucoup écrit sur les sujets traités très certainement au WEF. Il s'agit de Jacques Attali, le conseiller de Mitterrand qui contrôlait une grande partie de ses décissions économiques. Notamment dans des billets hebdomadaires dans un magazine français, Attali a pendant plus de vingt ans diffusée la propagande que veut le WEF. On peut retenir deux choses essentielles :
Le Great ResetLe Great Reset - la reconfiguration du monde - est une idéologie fabriquée par le WEF et qui a été "exemplifiée" dans un livre de circonstances, publié en Juillet 2020 à l'occasion de la première épidémie de Covid-19. Le livre en anglais : "Covid-19. The Great Reset" est signé par Klaus Schwab et Thierry Malleret, les deux dirigeants du WEF, explique comment à l'occasion de la pandémie, l'élite mondiale dispose du moyen unique et dictatorial de faire table rase de l'histoire politique, économique et sociale du monde entier. En fait du monde occidental américanisé. On se reportera au livre pour les détails. Mais je voudrais ici me limiter à deux observations :
Le partenariat public - privéC'est très nettement l'un des objectifs du WEF : la promotion de partenariats public - privé. L'un des milliardaires les plus actifs à utiliser cet outil du WEF est Bill Gates. Il a instauré un nombre incroyable de tels partenariats dont le statut légal est des plus ténus. Mais ce n'est pas ce qu'on lui demande. L'idée de base du partenariat public - privé est de remplacer l'intiative privée d'un côté et l'initiative publique, qu'elle soit étatique ou internationale, de l'autre, par un mélange des deux. La pratique montre que, le plus souvent, l'initiative est un projet d'un hyper-milliardaire, Bill Gates est très actif dans le domaine de la santé publique, mais pas seulement. A la limite, l'OMS est devenue entièrement un partenariat pubic- privé, la part de Bill Gates dans son budget étant égale à celle des Etats-Unis - quand ils payent ... Lorsque l'idée de Bill Gates est fixée, il investit un certain montant et place à disposition des salariés de sa Fondation BMGF et il démarche d'autres hyper-milliardaires, des Etats et des organisations internationales, et chacun amène de l'argent - Bill Gates est intransigeant sur cette question - et des moyens. Sur une idée de Bill Gates, quand il investit 1.000, les autres doivent investir 20.000. Il en résulte, on l'a déjà dit, que la puissance déjà énorme de Bill Gates est décuplée par ses partenariats public - privé. Mais l'avantage qu'il tire de ces partenariats est encore plus important. D'abord, il investit systématiquement dans les entreprises qui peuvent devenir "fournisseurs" du partenariat public - privé qu'il a instauré. Ainsi, s'il lance une initiative en faveur des vaccins comme GAVI, mais il en existe d'autres, c'est qu'il a d'abord investi dans des firmes de production de vaccins, Pfizer, Moderna, GlaxoSmith, Johnson&Johnson, de sorte que ses partenariats public- privés sont aussi des promoteurs des ventes de ses entreprises. Le montage confine à l'escroquerie quand on constate que GAVI, le partenariat public- privé de Gates, fait la promotion du vaccin Covid à ARNm que Gates vend par l'intermédiaire de Pfizer et de Moderna. La conclusion est simple : seules les entreprises labellisées par Bill Gates ont le droit de vendre des vaccins. Ce n'est pas difficile. Et çà peut rapporter gros : beaucoup d'argent et un monopole contrôlé par le WEF et ses laquais, comme Macron ou Von der Leyen. L'escroquerie des vaccins Covid est une affaire fascinante qui illustre l'idéologie du partenariat public - privé. Mais, le WEF est à la source de nombreux autres partenariats pubblic - privé. Ce n'est pas le lieu d'en discuter ici, mais ce système permet en réalité de mettre de côté tous les circuits traditionnels du commerce, de l'industrie et de la finance. Il s'agit donc bien de l'un des outils principaux de la dictature introduite par le WEF et ses affidés. La quatrième offensive idéologique : les cabinets de conseilsIls existent depuis des années. Mais, avec la crise de la Covid, ils sont apparus sur le devant de la scène. Leur mission ? Désintégrer les administrations publiques et donner aux politiciens les moyens de se passer des institutions républicaines. En France, "il" appelle çà la réforme de l'Etat. Dans le cas de la France, on vient de s'apercevoir que l'administration publique de la République était écartée au profit d'un cabinet de conseils américain, le cabinet McKinsey. D'autres sont actifs aussi, mais McKinsey est le plus gros. Il semble que toutes les décisions étatiques concernant la crise sanitaire en France aient été prises par le Cabinet McKinsey. Il a réalisé aussi les études conduisant à d'autres décisions comme celles sur la réforme de l'Etat - la suppression de l'ancienne administration publique - la réforme de l'aide au logement, plusieurs décisions concernant l'Education Nationale, ... Le cabinet McKinsey a été chargé d'organiser la campagne de vaccination Covid en France. Or, il y a un problème : le vaccin Covid le plus utilisé en France est le vaccin Pfizer - à 75%. Et McKinsey conseille la société Pfizer, et d'autres aussi. Et il y a un autre problème, les achats des vaccins injectés en France ont été négociés en Allemagne par Ursula Von der Leyen, dont le mari est un salarié de Pfizer, et le fils directeur associé de McKinsey. Et le fils du Président du Conseil Constitutionnel français est lui aussi Directeur associé de McKinsey. En réalité, McKinsey a investi silencieusement l'ensemble des lieux de pouvoir politique. Par exemple, 9 jours avant son élection en 2019, l'Ukrainien Vladimir Zelenskyy était en visite à l'Elysée. Sur la photo publiée par l'Elysée, il est assis en face d'Emmanuel Macron. A la droite de Zelinskyy se trouve un certain Davichuck, Directeur associé de McKinsey ... (Lire P. Gibertie, "MACRON A SABOTE LES ACCORDS DE MINSK ET OBTIENT LE SOUTIEN DE ZELENSKY", 20 avril 2022) Dans le même temps, Macron 10 jours avant le second tout de la Présidentielle annonce la suppression du corps des ambassadeurs. Six mois plus tôt, il avait déjà supprimé le corps d'Etat des Préfets. En effet, la tâche de ces hauts fonctionnaires est maintenant assurée par les consultants de McKinsey. Si on passe un peu de temps sur les sites web du World Economic Forum, on s'aperçoit très vite qu'une section complète du site est entièrement gérée par ... le cabinet McKinsey (lire par exemple : https://www.weforum.org/organizations/mckinsey-company). Le site de McKinsey est transparent sur son lien avec le WEF :
L'offensive idéologique consiste donc à supprimer l'administration publique d'un Etat ou d'une organisation internationale pour la remplacer par des cabinets de conseils qui ont adhérés aux objectifs des hyper-milliardaires tels que présentés par le WEF. De ce point de vue, la France, cette zone économique sous le contrôle de Macron, est réellement en marche vers la dictature des hyper-milliardaires. D'autres pays, comprenant le Royaume-Uni, l'Allemagne et l'Italie sont largement aussi avancés que la France. Le bien public a été asservi aux intérêts de la caste des hyper-milliardairesEn réalité, sous l'influence des hyper-milliardaires, l'exercice politique a été transféré du bien public de la République aux intérêts de leur caste. Pour obtenir un tel résultat, il est essentiel que la démocratie soit évidemment aussi restreinte que possible et de préférence ... qu'elle conserve les aspects de la démocratie. C'est le rôle de la propagande qui produit des narrations trompeuses notamment sur l'opinion majoritaire. Nous sommes tous convaincus que toutes les décisions politiques sont prises "comme d'habitude", par des politiciens que nous avons élus - Macron - sous le contrôle de députés que nous avons élus, et par l'exécution de ces décisions par des fonctionnaires soumis à notre gouvernement et auxquels nous pouvons, d'après la Déclaration des droits de l'homme, demander compte de leur mission. Biebn entendu il n'en est rien puisqu'il l'y a plus de politicien, de député ou de fonctionnaire. Seulement des acteurs de théâtre qui jouent ces rôles pendant que les hyper-milliardaires ordonnent à des cabinets de conseil les obligations que nous devons respecter si nous voulons obtenir quelques droits. Une autre observation conduit inéluctablement au constat de l'abandon du bien public : c'est l'interdiction du débat public et son remplacement par la "pédagogie" des élites en charge de la propagande. Quand le gouvernement de Macron prend une décision, la propagande est chargée de déployer sa pédagogie pour convaincre les anciens citoyens, devenus interdits de débat public, et donc à l'état de soumis, de mineurs, d'élèves rétifs, d'adhérer au slogan qui décrit la décision du gouvernement. Dans un tel régime, une opposition politique devient impossible. Elle ne peut être composée que d'invidus tellement méprisables qu'ils sont incapables d'assimiler la propagande - la "pédagogie" si vous préférez. A partir du moment où la propagande a remplacé le débat public, et ou par voie de conséquence l'opposition politique est impossible, il ne peut plus y avoir aucun bien public, plus de république, plus de démocratie. Et on sait que le bien public a été remplacé par les intérêts de la caste des hyper-milliardaires et de leurs laquais qui ont infiltré, puis investi le pouvoir politique, le pouvoir économique et le pouvoir médiatique reproduisant la triade que l'on a vu fonctionner à Davos : les hyper-milliardaires, les politiciens et fonctionnaires que les hyper-milliardaires ont investis de la tâche du contrôle social des masses et les manoeuvres de la nulle-culture et des média de masse chargés de la propagande qui conditionne le contrôle social. C'est en celà que la ré-élection d'Emmanuel Macron est la chose la plus dangereuse depuis l'avènement de Hitler en Allemagne qui soit arrivée en Europe. C'est pour celà qu'il faut tout faire, pour empêcher cette ré-élection. *Il reste deux possibilités démocratiques : l'abstention ou le vote nul d'une part et le vote Marine Le Pen d'autre part. Je crains que seule la seconde possibilité soit envisageable. Le problème, c'est que j'ignore complètement si Marine Le Pen est au moins encore une véritable républicaine, ou si elle a été embauchée par la caste des hyper-milliardaires. N'importe qui peut en effet appliquer les méthodes du contrôle social et de la propagande pour dissimuler l'escroquerie des hyper-milliardiares. Les politiciens qui s'y prêtent sont assistés, contrôlés, par les cabinets de conseils et les fonctionnaires survivants comme Laurent Bigorgne, appartenant à la caste des hyper-milliardaires. Sauf surprise, la politique n'est plus qu'un jeu de dissimulation qui fait croire aux gens qu'ils sont encore dans une république démocratique alors qu'en réalité, ils sont dans une dictature qui les emmenera toujours plus loin dans la misère et la soumission. Pour moi, je parie sur l'avenir : que Marine Le Pen serait étrangère à cette cruelle comédie et qu'elle est sincèrement républicaine. Qu'elle restaurera le bien public en détruisant l'escroquerie du projet des hyper-milliardaires. Nous sommes actuellement à l'entrée de l'ère d'une civilisation ruinée qui va s'effondrer comme un trou noir dans le Cosmos ...Si mon pari échoue, ou si Macron est finalement ré-élu, malgré sa corruption connue de tous, alors la civilisation occidentale va s'écrouler, s'effondrer sous son propre poids comme une étoile dans un trou noir. Déjà l'idéologie, les idéologies, se sont imposées au réalisme politique qui a été détruit par la classe politique unanime. Ces idéologies, ces appétits, cette corruption vont pouvoir se donner libre cours. Et l'occident bi-millénaire sera détruit. Déjà à l'Est des civilisations diverses se lèvent : la Russie, l'Inde, la Chine. Déjà au Sud des civilisations se lèvent : le Moyen-Orient, l'Afrique sub-saharienne, l'Amérique latine. Beaucoup sont menacées, d'autres sont menaçantes. Mais elles savent que les civilisations sont mortelles et que la civilisation occidentale qui les a trop longtemps opprimée est en train de mourir. Parce que la civilisation y est entièrement corrompue. Tant pis pour nous. Notes et commentaires
|