Nous poursuivons notre analyse des données de la John Hopkins University.

La France fait un "effort" considérable pour présenter un nombre d'infectés le plus élevé possible. Elle a largement dépassé l'Espagne sur ce plan. Le résultat au niveau de cette première table est de réduire e taux Décès / Infectés. On note que le Ministère de la Santé FR compte un peu moins d'infectés que la JHU mais que l'écart s'est considéravblement réduit ... Nous avons détecté deux fois plus d'infectés que l'Allemagne, notre voisine pourtant plus peuplée que nous. C'est un peu ridicule, mais c'est carrément irresponsable de la part des autorités sanitaro-politiques.

On note que les 10 Etats sélectionnés représentent plus des deux tiers des infectés et des décès. Il en résulte que l'épidémie serait principalement subie par les Etats en lien avec la puissance américaine. Seule la Russie fait figure d'intruse dans cette liste de 10 Etats. D'ailleurs, sa létalité est deux à huit fois plus faible. L'Inde voit son taux de létalité descendre ) 1,57% devançant la Russie puis les USA.

Sur l'évolution depuis la dernière analyse :

La France est encore une fois championne du monde de l'accroissement des infections devant l'Inde puis l'Espagne et le Royaume-Uni. Mais 'accroissement des décès est faible en France et Espagne, presque nulle en UK tandis qu'il est important en Inde. On note l'extraordinaire hausse des décès en Russie (presque 36%) qui fait penser à un "rattrapge" statistique L'Allmagne qui prsente un taux modéré d'accroissement des infectés à une mortalité pratiquement nulle sur la période passée.

Parmi les pays du reste du monde, on a la sélection :

Israël et le Bangla Desh ont des résultats intéressants. On note que Israël a reconfiné pour des raisons sanitaires qui n'apparaisssent pas dans les statistiques de santé. Sont taux de létalité est le plus bas du monde et sa mortalité parmi les plus faibles. Turquie et Portugal maintiennent des résultats sanitaires positifs. La proximité de l'Espagne et du Portuggal interroge sur la différence de comptabilité de l'épidémine dans les deux Etats ibériques.

On remarquera la grande défiance qu'il faut avoir de ces statistiques. On rappelle que, sauf le pic épidémique de moins de soixabnte jours, la pluypart des pays ont des mortalités comparables en 2019 et 2018.