Covid-19 - Sécurité et efficacité des vaccins Pfizer, Moderna et AstraZenecaActuellement, il n'existe aucune certitude. Les autorités sanitaires, sous la protection attentive des autorités politiques et amicale des média, affirment :
La difficulté commence lorsque l'on se demande :
Très simplement, vous ne vous posez pas ces questions et tout va bien. Vous posez ces questions et vous êtes un "anti-vax" ... Sérieusement, les questions sont faites pour être posées ... En France - Rapport de l'ANSM [1] pour la semaine du 30/01/2021 au 04/02/2021
Le site SPF - Tableau de bord, [2] indiquait le 29/01.2021 : 324847 rendez-vous prévus pour la semaine du 30 janvier au 4 février 2021, avec La brochure ANSM [1] indique page 1/8 : Plus de 393 000 vaccinations ont été réalisées du 30/01/2021 au 04/02/2021 On peut donc dire que les stocks indiquent une vaccination Pfizer à 92% et une indication du nombre de vaccinations Pfizer dont les effets indésirable sont été rapportés dans la semaine du 31 janvier au 4 février 2021 serait de l'ordre de 360.000, tandis que Moderna aurait été injecté à 30.000 patients. On aurait donc une fréquence "reconstituée" d'effets indésirables de l'ordre de 2,17 pour mille pour le vaccin Pfizer et de 1,33 pour mille pour Moderna. Selon Le Figaro [3], qui rapporte des chiffres de l'ANSM publiés le 6 Février 2021, il y aurait eu 149 effets indésirables pour 10.000 vaccinations AstraZeneca, soit une fréquence de 13,9 effets indésirables pour mille vaccinés. Au demeurant plutôt jeunes. ATTENTION : Ces chiffres sont des reconstitutions sur des données incomplètes et très peu significatives. Les effets indésirables comptés ne sont pas liés aux vaccinations comptées et de plus, on ignore si des effets indésirables ont tous été rapportés, d'abord parce qu'on sait que tous ne sont jamais rapportés dans aucun suivi d'effet indésirable et que on confond des effets indésirables de la semaine avec les vaccinations de la même semaine, comme si les effets indésirables ne se déclaraient que dans la même semaine que celle de la vaccination. Il faut aussi noter que les inscriptions d'effets indésirables comptés ici ne sont que des suspicions d'effets indésirables associés aux vaccins.lLe nombre d vrais effets indésirables est certainement inférieur au nombre d'effets indésirables suspectés et ce nombre ne tient pas compte des effets non déclarés .... Il est seulement possible de constater que la fréquence des effets indésirables est deux fois plus élevée sur le vaccin Moderna que sur le vaccin Moderna, que les effets indésirables du vaccin AstraZeneca ne semblent pas très graves même si leur fréquence pourrait être assez élevée - de l'ordre de 14 pour mille. En réalité, la sécurité des vaccins ne se limite pas aux effets indésirables à quelques jours. On crain ten effet des effets indésirables de type très lourds comprenant des maladies autioimmunes induites par l'apport d'un ARN étranger. Par ailleurs, la recherche d'un vaccin contre les coronavirus est un domaine qui a déjà une vingtaine d'années de développement infructueux. Malgré cela, des études ont alertés sur des dangers spécificiques à l'intervention vaccinale sur les coronavirus. On peut indiquer l'article de Tseng et al;, "Immunization with SARS Coronavirus Vaccines Leads to Pulmonary Immunopathology on Challenge with the SARS Virus" [4] qui étudie le cas des vaccins utilisant la protéine S. Comme les vaccins Pfizer et Moderna. Effets indésirables en Grande-BretagneL'institution qui suit les effets indésirables des vaccins Covid en Grande-Bretagne est la MHRA. Elle vient de publier un rapport [4] qui permet de dresser le tableau suivant :
Les résultats pour la Grande-Bretagne confirment que l'observation faite en France que le vaccin Pfizer a plus de décès suspectés que le AstraZeneca qui a plus d'effets indésirables. On note cependant que la France à des fréquences d'effets indésirables suspectés 3 et 10 fois plus faibles qu'en Grande-Bretagne. Cela peut provenir du fait que la Grande-Bretagne a vacciné beaucoup plus vite que la France. Mais, il ne s'agit de toute façon que de suspicions loin d'être exhaustives. L'efficacité des vaccins.Elle est extraordinairement inconnue. En effet, on sait que l'ensemble des vaccinés ne sont pas actuellement en contact avec le coronavirus. Seule une fraction d'entre eux est en contact. Quelle est cette fraction ? Personne ne le sait. Il existe une suspicion que depuis la fin du mois de décembre 2020 l'épidémie est en phase de décroissance rapide. Il est trompeur de l'attribuer au succès de la vaccination puisque une fraction seulement de la population a été vaccinée et une fraction encore plus réduite a reçu les deux injections à 3 semaines nécessaires. Ce fut exactement le même cas lors des essais cliniques Pfizer et Moderna qui eurent lieu entre les épidémies de Mars et de Septembre - Octobre 2020. Il en avait été déduit que le "vaccin" était efficace à 95%, ce qui est une véritable tromperie, puisque l'exposition des cobayes au coronavirus a été très faible à l'époque.. Lorsque le coronavirus ou un de ses variants reprendra de l'ampleur, on ignore si l'immunité vaccinale durera jusque là et plus encore, si elle concernera le variant du moment. Par ailleurs, en appliquant l'"idéologie vaccinale" en vigueur pour "tous les pathogènes", les autorités sanitaires ont estimé que le "vaccin", quelqu'il soit, devait :
D'ores et déjà, on sait qu'aucune de ces trois affirmations n'est vérifiée aujourd'hui. Les vaccinés à une ou deux doses se retrouvent porteurs du SARS-CoV-2 huit ou quinze jours plus tard, et on ne compte plus les malades vaccinés [5]. Par ailleurs, lorsqu'on retourne aux statistiques brutes, non "décorées" par les autorités sanitaires, on s'aperçoit qu'en France, en 2020, la mortalité générale a été plus faible en 2020 qu'en 2019 pour les moins de 65 ans. La surmortalité n'apparaît que pour les plus de 65 ans et surtout pour les plus de 75 ans, et presque toujours avec de fortes comorbidités, de sorte que l'espérance de vie des personnes décédées du Covid en 2020 a été très peu amputée par la Covid-19. La vaccination probablement inefficace n'a donc aucune justification sanitaire. Les mesures d'intervention non pharmaceutiques - distanciation sociale - ne l'ont pas été davantage. En conclusion
Notes[1] Rapport de l'ANSM disponible et commenté sur https://ansm.sante.fr/S-informer/Actualite/Point-de-situation-sur-la-surveillance-des-vaccins-contre-la-COVID-193 [2] SPF : https://dashboard.covid19.data.gouv.fr/logistique-vaccins?location=FRA [3] Tseng et al,, "Immunization with SARS Coronavirus Vaccines Leads to Pulmonary Immunopathology on Challenge with the SARS Virus" , 2012. [4] MHRA, "Coronavirus vaccine - weekly summary of Yellow Card reporting" le 11 Février 2021. [5] L'infection à Covid-19 est enregistrée par la MHRA comme un effet indésirable du vaccin. Elle a été noté pour le vaccin Pfizer, document cité en [4], Annexe p. 19/53 :
On note à ce propos que le rapport MHRA sur le vaccin Pfizer indique page 20/53 qu'il a été enregistré 231 cas de grippe virale, ce qui démontre que la grippe existe encore malgré le Covid-19 et malgré les mesures de disatnciation sociale. On note que le nombre de grippes parmi les vaccinés Pfizer est du même ordre que le nombre de Covid déclarés. L'AstraZeneca compte 579 grippes sans décès (page 11/40) de l'Annexe AstraZeneca du document [4] et cite page 15/40 :
On calcule les fréquences de la Covid et de la grippe rapportées au nombre d'effets indésirables :
|