Le couvre-feu est une mesure idéologique. Une faute.

La mise sous couvre-feu est une erreur épidémiologique majeure. Mais elle est légitimée par une erreur idéologique consternante. Le dogme qui nous écrase depuis le mois de mars 2020 est que le SARS-CoV-2 est prétendu un nouveau pathogène - ce qui est scientifiquement faux, mais politiquement exact. La maladie qui en découle est donc "nécessairement" une maladie nouvelle - ce qui est médicalement faux, mais politiquement exact. Il en découle que le seul remède contre l'un et l'autre est un vaccin "en cours de développement" en l'attente duquel, seul le confinement est capable de résister - ce qui est scientifiquement faux et politiquement exact.

L'annonce d'hier soir par le pouvoir politique d'instaurer une nouvelle mesure de confinement partiel est simplement l'expression de la soumission de l'Etat au pouvoir des lobbies, ceux qui ont instauré patiemment le climat de peur autour de la santé - qui n'aurait pas de prix selon eux. Elle a un prix, cette santé morbide : c'est la mort pour de nombreux malades et et la misère pour une fraction incalculable encore de la population. De celà, il faudra se rappeler lors des élections, parce que, s'abritant hypocritement derrière "la science" - une vulgaire accumulation d'idées fausses - le pouvoir serait encore soumis à l'approbation populaire.

Un matraquage idéologique sans précédent

Mais, même de celà, on commence à douter. Le matraquage idéologique et la honteuse propagande exécutés par les organes de presse aux ordres du pouvoir, les agressions répétées perpétrées par les lobbies pharmaceutiques et financiers, visent tous à l'étouffement de toute voix d'opposition - notamment par la déconsidération insultante - et à la propagande la plus stupide en faveur des mesures imposées par les lobbies et le pouvoir politique qui leur est soumis.

Une opposition scientifique sous la menace des lobbies

En France, un certain nombre de scientifiques animent une opposition contre l'idéologie scientiste qu'on nous impose. Citons en France les Professeurs de médecine Raoult, Perrone, Douste-Blazy, Toussaint, l'épidémiologiste Laurent Toubiana et quelques autres bien rare. En Grande-Bretagne, on peut citer les Professeurs Gupta, Hennegan, Sikotra. Aux Etats-Unis, on peut citer le virologue Harvey Risch. Beaucoup d'autres se terrent dans un silence terrible parce qu'ils sont menacés par les lobbies et par le pouvoir politique de plus en plus tenté par la dictature.

Macron sait parfaitement que c'est pourtant là que se trouve la menace la plus forte. Il est en effet menacé de mensonge. Selon Le Figaro, toujours flagorneur du pouvoir, de tous les pouvoirs, et qui a entendu l'entrevue télévisée de Macron :

"... le chef de l'État a fustigé les "débats permanents sur les faits ou la vérité scientifique", dans "le pays des Lumières et de Pasteur".
Défenseur du principe de "lucidité" face au virus - l'une des "raisons d'espérer" selon lui -, le président de la République a réaffirmé son souci que "l'information soit transparente et partagée", en apportant de nouveau son soutien au "Conseil scientifique", "qui joue un rôle essentiel" et "va être pérennisé". "Si on se base sur les faits", "on peut dire" que l'épidémie est "grave", a-t-il insisté."

On peut espérer que cette "sortie" d'une bêtise confondante, qui est une déclaration de soumission à l'ignorance, incitera les scientifiques à sortir de leur silence de plus en plus coupable.

Une opposition politique inexistante

D'ailleurs, l'opposition politique est quasiment inexistante. Quelques maires de métropoles, quelques députés, quelques sénateurs ont timidement fait des remarques bien rares et parfaitement innefficaces contre l'idéologie régnante. Jamais contre les mesures pourtant aberrantes qui ont été imposées illégalement par le pouvoir politique tant en France, qu'en Grande-Bretagne ou aux Etats-Unis. Et ailleurs ... Partout, la même soumission politique à la dictature politique et à la tyrannie sanitaire.

Selon un média étranger, russe, il y a eu quelques réactions à l'entrevue télévisée de Macron. Les média du gouvernement donnent les noms de quelques soutiens politiques des mesures imposées. Il semble donc que Pécresse (LR), Ciotti (LR) et Hidalgo (PS) soutiennent les mesures annoncées par le chef de l'Etat, tandis que Mélanchon (LFI), Le Pen (FN) et Peltier (LR) s'y opposent, ce dernier évoquant l'Absurdie ... C'est bien pâle. D'autant qu'ils ne seraient relayés par aucun média national, ces médias étant entièrement acquis au macronisme.

Selon un sondage Harris interactive réalisé pour LCI, donc quasi gouvernemental, plus de 60% des Français sont satisfaits de l'action du pouvoir et 75% sont favorables au couvre-feu. Et pourtant, on annonce ce matin que des perquisitions sont ouvertes chez plusieurs ministres ou anciens ministres dans le cadre d'une information judiciaire ouverte par la Cour de justice de la République sur la gestion de la crise du coronavirus.

Il y a donc du travail pour une opposition politique. Il faut lire Maxime Tandonnet, politologue gaulliste, qui écrit un billet "Couvre-feu", un peu bref, mais qui montre bien le danger politique que le pouvoir nous fait courir.

L'Occident américanisé se suicide

Et l'ensemble des pays qui ont imposées ce genre de mesures stupides appartiennent tous au conglomérat des Etats américanisés. C'est une sorte de suicide de civilisation. L'Occident est depuis cinquante ans en train de se dépouiller de ses valeurs. L'épidémie en cours apparaît de plus en plus comme une sorte de suicide de l'Occident imposé par la caste à laquelle le pouvoir politique s'est vassalisé, transformé en laquais.

Depuis des années - notamment par l'examen attentif de la farce du réchauffement climatique - nous voyons qu'une caste d'hyper-riches et de leurs laquais met en oeuvre des mesures qui tendent toutes à appauvrir la majorité des humains de façon à protéger les rapines de cette caste. Le confinement, non content d'apporter la mort aux malades, est un moyen sans rival pour appauvrir les pauvres et pour enrichir les riches.

Qui va se lever pour la révolte ?