Covid-19. Le test RT-PCR peut être très efficace en population générale si ...Pourquoi le test RT-PCR actuel ne sert à rien pour contrôler une politique de santé publique ?Une politique de santé publique développée dans le cadre d'une épidémie infectieuse, a besoin de savoir si l'agent infectieux progresse ou régresse dans une population déterminée. Il est nécessaire de savoir : Q1 : si le nombre des nouveaux infectés augmente ou diminue ; Aujourd'hui, on applique un protocole de test RT-PCR, dit Drosten-Pasteur, "validé" par l'OMS, qui a les caractéristiques suivantes : C1 : on utilise un nombre de cycles d'amplification des éléments d'ARN viral fixe et déterminé à 50 ; Ce protocole est faux et, à cause du nombre Ct de cycles pratiqués de manière constante pour tous les prélèvements, subit un nombre de faux positifs absolument inadmissible. Pire encore, à cause du choix des amorces et sonde, il détecte les fragments d'ARN de virions déjà "décédés". Pratiqué une fois, il décide si le patient testé est positif qu'il est infecté et qu'il ne l'est pas s'il est négatif. De cette manière, le test RT-PCR en population générale, non diagnostiquée, est complètement faux et absolument trompeur pour décider d'une politique sanitaire. Les raisons de cette erreur monumentale sont multiples. La première raison est politique. Ayant décidé que le SARS-CoV-2 était un nouveau pathogène, qu'il était issu d'une zoonose, il devait certainement s'agir d'une pandémie d'une gravité jamais rencontrée depuis l'origine de l'humanité. C'était la pandémie attendue par les autorités sanitaires internationales depuis vingt ans. De ce fait, il fallait que les "indicateurs" de l"'épidémie soient absolument catastrophiques avec des taux d'infectés effrayants pour démontrer au public que les mesures de quarantaine, de confinement, d'interdiction des activités publiques, privées, économiques, professionnelles étaient absolument indispensables et parfaitement légitimes. Alors que les tests RT-PCR pratiqués par les gouvernements étaient radicalement faux, les chiffres de l'infectivité par 100.000 habitants sont restés très bas et la mortalité encore plus faible. La seconde raison de l'erreur monumentale des "tests RT-PCR" vient de ce que le niveau scientifique des autorités sanitaires et politiques est devenu complètement nul. La plupart d'entre elles n'ont fait aucune étude scientifique même débutante. Pire, la plupart des médecins n'ont aucune formation scientifique et se contentent d'apprendre des données encyclopédiques sur un peu de chimie et de pharmacie, un peu de statistiques et c'est à peu près tout. Comme la plupart des membres des autorités sanitaires et politiques viennent ou bien des sciences humaines spécialisées dans le domaine de la santé, sociologie, économie, éthique, etc. ou bien de la médecine, souvent des praticiens hospitaliers se mettant à l'abri des soucis de la médecine en contact avec les malades, ces personnalités parfaitement honorables par ailleurs sont complètement incapables de comprendre ce qu'est un test RT-PCR et pourquoi peut il être exact ou erroné. Aussi, comme les politiciens qu'ils sont chargés de conseiller, ces "autorités sanitaires" ignorantes se reposent sur des experts. Et quels meilleurs experts peut-il y a voir que des gens qui fabriquent les tests PCR et les automates qui les exploitent, ou encore les producteuirs des réactifs qu'ils utilisent. Si vous demandez à un fabricant automobile s'il vous faut une automobile, il vous répondra qu'il vous faut une automobile. Les autorités sanitaires ont donc demandé à l'expert allemand Drosten s'il fallait des tests PCR. Il a répondu que oui. Il fabrique dans une entreprise qui lui appartient des produits de testage pour tests RT-PCR !... Pasteur qui est lié à ce fabricant par des contrats de conseil - notamment pour disposer de souches virales convenables - a renchérit sur Drosten. Et le tour était joué. Comme les autres fabricants ont compris que le "gateau" était immense et qu'il y en aurait pour tout le monde, le test PCR est devenu le standard selon le protocole Drosten-Pasteur qui est faux ! Pourquoi le test RT-PCR sans le protocole Drosten est utile en population généralePour celà il faut réfléchir et ne pas s'obnubiler sur des essais cliniques qui n'ont aucune chance de donner la moindre idée sur la justesse d'un test PCR. Pour savoir si un patient testé est un nouvel infecté, il faut le tester deux fois. En effet, la charge virale d'un infecté monte au début de l'infection, passe par un plateau plusou moins long et décroît jusqu'à s'annuler. Si le Ct_test diminue la deuxième fois (Ct_test(t2) < Ct_Test(t1) pour t2 > t1), le patient commence une infection. Si le Ct_test augmente la deuxième fois (Ct_test(t2) > Ct_Test(t1) pour t2 > t1), le patient infecté termine sa phase épidémique. La distance temporelle (t2 - t1) entre les deux prélèvements testés doit être inférieure à l'incubation de la maladie. Sinon, le test n'aura aucun intérêt pour le patient. De ce fait, un écart de un à deux jours paraît raisonnable. En effet, si le patient est un "vieil" infecté, le deuxième Ct_Test sera plus élevé que le premier parce que la charge virale diminue. Il aura combattu lui-même son infection et il va vers la guérison. Il ne faut bien entendu pas le compter dans les nouvaux infectés dont la statistique seule démontre l'évolution de l'épidémie. Or, dans le protocole erronné de Drosten on ne teste qu'une fois, de sorte qu'on ignore si le patient testé est sorti d'affaire ou s'il commence une infection. Autant dire que, selon le protocole Drosten, la pratique du test PCR en population générale n'a pratiquement aucune utilité médicale. Et il est franchement trompeur comme indicateur de la situation sanitaire d'ensemble. Ainsi on compte le même jour les nouveaux infectés et les anciens infectés. Vous êtes sûr d'obtenir ainsi des courbes quotidiennes "catastrophiques" de l'épidémie. Fausses, mais catastrophiques. "Eux" ils aiment çà parce que c'est ce qu'ils veulent voir. En fait, le drame du potocole Drosten c'est qu'il utilise un test qRT-PCR comme un test RT-PCR à Ct fixe. C'est là où se situe le scandale. En mettant tous les tests au même Ct, il devenait impossible de réaliser la moindre dosage de charge virale. De plus, il devenait inutile d'indiquer le Ct sur le retour de test puisque tous qu'ils soient positif ou négatif, porteraient la mention "Ct=50" (ou 45, la différence n'important pas) Or, les hôpitaux font et ont fait des dosages de charges virales parce que leurs machines étaient capables d'arrêter le cyclage lorsque la luminosité était détectée pour les kits de test qui avaient "virés". Les laboratoires qui ont été requis par les politiciens pour faire les tests en population générale ont reçu l'ordre de ne pas indiquer le Ct du test pour la raison toute simple que le protocole Drosten avait édicté que le Ct serait de 50. Et comme les autorités sanitaires et politiques sont complètement ignorantes en matière scientifique, elles ont mordu à l'hameçon qui transforme un test qRT-PVR en test RT-PCR qui leur donnait des résultats que ces autorités attendaient : une épidémie mémorable. La deuxième modification de protocole de test tient à la mise à l'écart des fragments d'ARN qui ne correspondent pas à des virions infectieux, mais à d'anciens virions en cours de décomposition. Avec le protocole Drosten, un malade infecté est encore testé positif "à la drosten" un mois après avoir été diagnostiqué Covid. Il faut absolument détecter que l'ARN testé soit aussi complet que possible. Pour cela, il faut que les amorces et sondes utilisées pour réaliser le test PCR soient réparties sur toute la longueur du ruban d'ARN. En utilisant des luminophores corrects, on peut détecter si le virion est complet ou pas. De ce fait, le test RT-PCR devient un véritable outil de test et pas un truc faux, comme celà est actuellement encore le cas, malgré les protestations de Borgen et de Yeadon par exemple qui ont fait une réclamation fortement argumentée contre Drosten dès le mois d'août 2020. La troisième innovation du test RT-PCR correct est de permettre facilement de répérer la charge virale moyenne dans la population. Pour cela, il suffit de compter tous les tests positifs dont le Ct_test se trouvent sous un certain seuil Ct. Lorsque ce nombre de tests positifs augmente, la charge virale moyenne estimée dans la population augmente, et elle diminue sinon. Or, cette grandeur peut être particulièrement importante lorsque un variant du SARS-CoV-2 apparaît. Il permet de doser précisément son état dans la population et de prévoir avec ce que l'on connaît du variant les dispositions à prendre. Pour assurer cette caractéristique, il faut seulement ajouter une sonde et des amorces pour le nouveau variant et, probablement, plus tard, supprimer amorces et sonde pour l'ancien variant disparu. Pourquoi "on" n'a pas fait comme cela ?J'ai lu que la presse lourde pourchasse les opposants à la politique sanitaire actuelle avec la fougue des comités de salut public de l'époque terroriste de la Révolution française. En particulier, ils prétendent "repérer" ces "ci-devants" à ce qu'ils savent tout. C'est une accusation vaine. Mais elle existe. Or, sur le test RT-PCR, tout le monde connaît ces erreurs du protocole Drosten. L'OMS était tellement certaine que le protocole Drosten était faux qu'il a demandé à Pasteur de lui fournir le sien propre. Et Pasteur, qui s'était entendu avec Drosten, a produit, à quelques composants différents près, exactement le même protocole que Drosten. Tous ces gens savaient que le protocole qu'allait recommander l'OMS était faux. Dès le début de l'épidémie, les laboratoires hospitaliers notamment en France, ont réalisé leurs propres tests RT-PCR. Par exemple l'IHU de Marseille a utilisé des tests vétérinaires parce qu'il n'en possédait pas pour la mdecine humaine et ils ont juste adapté les composants. Et ils ont cyclés à 30 au plus. La même chose a été observée partout : en Allemagne, en Angleterre, en Italie, aux USA, ... Mais dans le même temps, les laboratoires à qui on confiait les tests en population générale étaient obligés par la loi d'utiliser le protocole Drosten. D'où la conclusion que les statistiques épidémiques sont largement fausses partout en Occident. Il ne s'agit donc pas d'originaux contestataires, qui trouvent "mieux que tout le monde" et "tout le temps". Il s'agit de la dénonciation d'une erreur initiale connue de tous les scientifiques, aussi bien du domaine, que de ceux qui se sont juste intéressés à la technique des tests PCR. Chose dont ont été incapables les autorités sanitaires et politiques. Et la presse lourde. |