Covid-19 - Vaccins - Les problèmes allergiques

Philippe Brindet - 24 Décembre 2020

La censure généralisée sur les informations concernant les vaccins

A une époque où le gouvernement français est capable de présenter un projet de loi [1] :

  • transformant l'état d'urgence sanitaire exceptionel en état d'urgence sanitaire administratif, décidé par le Premier Ministre à sa guise représentée par un comité de "scientifiques" à sa solde ;
  • obligeant des personnes quelconques à se faire diagnostiquer, soigner et vacciner quelque soit leurs intentions ;

la vigilance est absolument essentielle pour résister au mensonge d'Etat.

Par ailleurs, les grandes plateformes qui contrôlent les prétendus réseaux sociaux, comme Twitter, ont décidé de "règles" destinées à rassurer le régime au pouvoir qu'il ne sera nulle part contesté, du moins sur les dits "réseaux sociaux" [2]. En particulier, les opinions qui sont jugées contraires aux politiques décidées par le régime en place sont systématiquement pourchassées. Ainsi, même le Professeur Raoult a vu son compte Youtube bloqué au prétexte qu'il "promouvait" un médicament qu'il estimait propre à soigner efficacement la Covid-19. Le blocage a été très vite levé, probablement pour éviter une victimisation de Raoult devenu extrêmement connu.

Mais, les auteurs beaucoup moins connus, même avec une importance notable, sont impitoyablement contrôlés et sanctionnés. La surveillance est exécutée par des équipes de censeurs salariés du réseau social, mais aussi par des clubs d'affidés du régime qui se livrent à des dénonciations exigeant les sanctions des plateformes de contrôle des réseaux sociaux contre les opposants au régime. Un exemple de tels "clubs" est représenté par les équipes de prétendu "fact-checking", qu'elles soient issues de rédactions de journaux bien connus comme Libération ou le Nouvel Obs', dont la fidélité au régime en place est militante, mais aussi d'ONGs financées par les industriels du Web, qui orientent largement les politiques du régime en place.

Pour bien comprendre ce que peut être "le régime en place" et ce qu'est sa "contestation", il suffit de prendre l'exemple en cours de "validité". Lorsque la "pandémie de Covid-19" a été déclarée par le régime, il a été décidé qu'elle était provoquée par un nouveau virus, le SARS-CoV-2, qui sera constamment mortel jusqu'à ce que l'ensemble de la population mondiale soit effectivement vaccinée. Le premier corrolaire de cette assertion dogmatique consiste à en déduire qu'il n'existe donc aucun médicament efficace et autorisé pour soigner la Covid-19.

Il en résulte que l'affirmation du Pr Raoult que l'hydroxychloroquine puisse traiter la Covid-19 est une contestation du "régime en place" absolument inadmissible. D'où la persécution publique et médiatisée de Raoult par les "autorités sanitaires" participantes du régime en place.

Pour les vaccins, c'est exactement pareil.

Plusieurs sources critiques ont relevées des risques sur les vaccins Pfizer et Moderna

On identifie deux catégories de contestations :

  • la contestation sur le caractère de thérapie génique relevé par les contestataires à l'encontre des vaccins Pfizer et Moderna ;
  • la contestation liée aux adjuvants de tels vaccins.
  • La première contestation a été notamment élevée par le Professeur Christian Perronne [3]. Il a été immédiatement limogé et attrait devant les juridictions ordinales.

    La seconde contestation est par exemple animée par l'association américaine Children's Health Defense [4] animée par l'ancien sénateur Robert Kennedy. Dans un article [5], l'association rapporte que le Dr. Peter Marks, chef de service à la Food and Drug Administration (FDA), en charge aux Etats-Unis de la surveillance des effets des vaccins, a noté que la présence d'un puissant adjuvant, le Poly Ethylène Glycol, le PEG, dans les deux vaccins Pfizer et Moderna, autorisés aux Etats-Unis et en cours d'inoculation, pouvait être à l'origine d'affections allergiques.

    Le Dr Marks a même déclaré que les effets du PEG étant bien connus, les réactions allergiques aux vaccins Pfizer et Moderna pourraient être beaucoup plus répandues que prévu [6].

    Il est donc clair que la FDA surveille les réactions allergiques à l'inoculation des deux vaccins Pfizer et Moderna.

    Malheureusement, le PEG est largement répandu, et selon Children's Health Defense, plus de mille produits, et pas seulement des vaccins, en contiennent de sorte que 72% des américains auraient des anti-corps. Mais 28% n'en ont pas et le PEG pourrait aussi provoquer des maladies autoimmunes qui ne sont pas détectées.

    On voit donc que la contestation concernant les adjuvants des vaccins Pfizer et Moderna n'est pas seulement le fait de personnes "inquiètes" ou "complotistes", mais que les autorités sanitaires US s'en préoccupent également. Le font-elles bien et complètement ? Elles ont autoirisée l'inoculation des vaccins Pfizer et Moderna.


    Notes

    [1] Lire notre article : Castex réclame à l'Assemblée Nationale les pleins pouvoirs permanents, du 20 Bécembre 2020.

    [2] On peut lire les annonces suivantes :

  • Le signalement, une nouvelle forme de censure sur le web??, dans Charlie Hebdo, du 18 Décembre 2020 ;
  • Le fact-checking est-il de la censure ? Des anti-vaccins américains attaquent Facebook , sur MSN, le 19 août 2020 ;
  • Twitter veut à son tour éliminer les messages trompeurs sur les vaccins, dans Le Nouvel Obs' du 17 Décembre 2020 ;
  • [3] On peut lire :

    [4] Le site de l'association est : Childrens Health Defense

    [5] FDA Investigates Allergic Reactions to Pfizer COVID Vaccine After More Healthcare Workers Hospitalized, par le Childrens Health Defense Team, le 21 décembre 2020.

    [6] On note que de nombreux scientifiques ont mis en cause les effets délétères de trois adjuvants utilisés dans les vaccins classiques. Le PEG est l'un d'eux. Ces opposants sont alors vilipendés comme "anti-vaccins" alors que la plupart d'entre eux sont seulement opposés à l'utilisation d'adjuvants toxiques ou allergisants qu'il suffirait de remplacer par des potentialisateurs non toxiques pour lever leurs oppositions.


    Revue C-Politix (c) 24 Décembre 2020