Covid-19. Vaccins imposés. Trop de problèmes.

Philippe Brindet - 14 Janvier 2021

La position des autorités politiques, sanitaires et médiatiques des Etats de l'occident américanisé

Le SARS-CoV-2 est un coronavirus dont l'origine est inconnue. Diffusé dans la population humaine essentiellement par contacts et voie respiratoire, il provoque une maladie nouvelle, dénommée Covid-19.

Selon les autorités politiques et sanitaires des Etats de l'occident américanisé, le coronavirus provient d'une espèce de chauve-souris connue en Chine [1]. Les chauve-souris contaminées auraient passé le coronavirus à des pangolins. Les pangolins auraient été l'effecteur écologique d'une mutation génétique du coronavirus qui le rend très infectieux pour l'homme. Du fait que la maladie qui en découle, la Covid-19, est mortelle, ces mêmes autorités politiques et sanitaires, alliées à la presse lourde ont imposé l'idée que seul un confinement rigoureux, complété par la fermeture de toutes les activités sociales, éducatives, culturelles, économiques, par le port du masque respiratoire et toutes autres mesures dites de distanciation sociale [2] était en mesure de permettre à la société occidentale américanisée d'attendre la diffusion d'un vaccin dans l'ensemble de la population humaine.

Ces mêmes autorités politiques, sanitaires et médiatiques ont par ailleurs décidées qu'il ne pouvait pas exister de traitement pharmaceutique autorisée contre la Covid-19 [3].

Le premier problème est que la position des autorités politiques, sanitaires et médiatiques est complètement fausse.

Il n'existe pas un seul article de la définition de la position des autorités qui ne soit pas faux. Résumons :

  1. L'origine du SARS-CoV-2 inventée entre la chauve-souris et le pangolin est une fabrication idéologique adoptée par un mouvement écologiste qui estime que l'activité humaine est responsable de la destruction de l'habitat de la faune sauvage [4]. Selon le dogme écologiste, cette destruction place la population humaine au contact de nouveaux pathogènes qui restaient autrefois dans l'habitat sauvage. Ce dogme écologique est défendue au plus haut niveau notamment à l'ONU et à l'UNESCO. Il est promu par de douteuses organisations privées comme l'ONG EcoHealth Alliance.

    Or, le génome du SARS-CoV-2, tel qu'il a été édité par les Chinois en janvier 2020, n'a aucune proximité sérieuse avec celui du coronavirus connu du pangolin. De plus, le coronavirus de la chauve-souris qui serait passé au pangolin n'est connu que par son génome RatG13 édité par la virologue chinoise Zhen-Li Shi qui, depuis, a été contrainte de détruire la souche virale lors du confinement ordonné par les autorités chinoises à la ville de Wuhan.

    Au contraire, plusieurs anomalies génétiques comprenant plusieurs insertions de codes génétiques étrangers aux coronavirus et la présence d'un site de clivage d'une protéine, la furine, sont surtout des indications d'une manipulation génétique artificielle, probablement basée sur plusieurs squelettes de génomes connus de coronavirus de chauve-souris.


  2. Le SARS-CoV-2 n'est absolument pas un pathogène très infectieux. Son coefficient de diffusion Rt atteint des valeurs de pic épidémiques de 1,8 à 2,4 et ces chiffres ont probablement été largement surévaluées par les autorités politiques, sanitaires et médiatiques. Or, la rougeole commune est produite par un pathogène dont le Rt en pic épidémique peut atteindre 12 à 15. Actuellement, les Etats qui produisent les messages les plus effrayants à destination de leurs populations confinées parviennent à des valeurs de Rt de l'ordre de 0,5 à 0,9. L'erreur et le mensonge de ces autorités politiques, sanitaires et médiatiques sur l'infectivité du SARS-CoV-2 sont avérés.

    Les autorités politiques, sanitaires et médiatiques se sont trompées concernant l'infectivité de la maladie, notamment parce qu'elles ont été circonvenues par un groupe d'épidémiologistes qui avait un intérêt à les faire agir comme elles l'ont fait. Ayant fait cause commune avec les intérêts de ces "épidémiologistes", les autorités politiques, sanitaires et médiatiques ont à leur tour trompé le public concernant l'infectivité du SARS-CoV-2.


  3. Le SARS-CoV-2 n'est absolument pas un pathogène extrêmement mortel. Alors que les statistiques des cas infectés et des décès sont notoirement surestimés partout en occident américanisé, les taux de létalité et de morbidité de la Covid-19 sont extrêmement bas. Ainsi au 13 Janvier 2021, selon la John Hopkins University qui compabilise les cas infectés et les décès dans la crise de la Covid-19 la létalité est de 27 décès pour 10.000 humains en presque un an d'épidémie, et la mortalité est de 26 décès pour 1.000 infectés, tandis que l'infectivité est de l'ordre de 125 infectés pour 10.000 humains.

    Plus grave, l'immense majorité - supérieure à 80% - des décès dans les sociétés comme la France, à de un à trois ans d'espérance de vie avant d'être infectés, de sorte que essentiellement les grands malades et les personnes de plus de 70 ans sont les victimes de la Covid-19. Les personnes valides et plus jeunes n'ont aucun risque mortel avec la Covid-19.

    Agitant des statistiques d'infectés et de décès qu'elles qualifiaient elles-même de catastrophique, sans les mettre en perspective avec les statistiques d'autres maladies notamment, les autorités politiques, sanitaires et médiatiques ont trompé sciemment le public.


  4. La Covid-19 n'est absolument pas une maladie nouvelle, même si plusieurs de ses aspects cliniques sont encore mal connus. La liste des spécialités pharmaceutiques qui ont des effets thérapeutiques éminents est extrêmement longue et oblige les médecins soignants à identifier pour chaque malade le traitement le mieux adapté. On peut citer l'hydroxychloroquine, l'azithromicine, l'ivermectine, les gluco-corticoïdes et beaucoup d'autres qui sont bien connus et essayés par les médecins soignant. Particulièrement, plusieurs vitamines et le Zinc ont des effets bénéfiques en prophylaxie. D'ailleurs, les malades les plus gravement atteints ont des systèmes immunitaires déprimés. S'y ajoutent plusieurs pathologies cardiaques, notamment celles favorisés par le diabète ou l'obésité, et le grand âge. Ce dernier paramètre explique partiellement pourquoi l'Europe, zone de peuplement vieillissant, a un taux de mortalité deux fois plus fort que l'Afrique, zone de population jeune.

    Utilisant une réglementation sanitaire entièrement à leur service, les autorités politiques, sanitaires et médiatiques ont donc trompés le public en interdisant de nombreux traitements pharmaceutiques et, quand elles ne pouvaient résister à leur adoption par les médecins, en mettant des obstacles inqualifiables à leur pratique. Parmi ces obstacles, on peut citer en France les poursuites extra-judiciaires de médecins soignants comme Raoult, Perronne et Delépine. Et combien d'autres. Il faut aussi se souvenir des mensonges éhontés des autorités politiques, sanitaires et médiatiques sur les prétendus risques de ces traitements, comme celui de l'hydroxychloroquine.


  5. Les autorités politiques, sanitaires et médiatiques ont menti sur la plupart des mesures d'atténuation, dans l'ensemble de l'occident américanisé, qui leur ont été dictées par le groupe d'épidémiologistes avec lequel ces autorités ont fait une sorte de cause commune. Ainsi, lorsque la France ne disposait pas de masques chirurgicaux, les autorités politiques, sanitaires et médiatiques ont affirmé que les masques n'avaient aucune utilité dans la population et qu'il fallait les réserver au personnel soignant des hôpitaux. Puis, le mot d'ordre a changé au courant du mois d'Avril, quand la Chine a recommencé à livrer des cargaisons de protections sanitaire. Les autorités politiques, sanitaires et médiatiques ont alors imposée une quasi obligation de porter le masque chrirugical dans toute la population et même dans des situations qui s'y prêtent le moins.

    Or l'efficacité du masque pour prévenir le passage du coronavirus de 50 microns de diamètre dans un sens ou dans l'autre est absolument nulle. Il arrête en effet les goutelettes qui reviennent infectées dans le système respiratoire du masqué et c'est à peu près tout son effet à l'égard du coronavirus. Mais, le masque produit surtout une déplétion en oxygène dans le sang et un accroissement du taux de CO2, de sorte que le cerveau est atteint et le coeur est sollicité en excès. On sait aussi que, porté longtemps, le masque produit des infections des voies respiratoires supérieures et des affections dermatologiques. Les autorités politiques sanitaires et médiatiques ont tout le temps menti sur l'effet du masque.

    Le confinement a été imposé partout en occident américanisé au prétexte qu'il fallait protéger les hôpitaux de la surfréquentation et que, par ailleurs, le confinement réduisait la vitesse de circulation du coronavirus puisque les porteurs de virus étaient confinés chez eux. Toutes ces raisons étaient des mensonges, des erreurs et des tromperies. Si un infecté confiné ne circule pas, son coronavirus ne circule pas non plus, c'est vrai. Malheureusement, en moyenne, un infecté confiné vit en compagnie de 2 à 40 personnes confinées, de la famille à la maison de retraite .... Et l'infecté transmet fidèlement son coronavirus à ses co-confinés. Le confinement comme mesure d'atténuation de l'épidémie est une effarante tromperie.

    Il faut aussi souligner la perversité du but assumé des mesures d'atténuation par les autorités politiques, sanitaires et médiatiques : protéger les hôpitaux. Ces mêmes autorités ont réduit le nombre de lits de réanimation depuis vingt ans, fermé de nombreux hôpitaux, renvoyés des médecins, des infirmières et des aide-soignants au prétexte de faire des économies ou à d'autres prétextes qui n'appellent que des commentaires désobligeants dont nous ferons grâce ici au lecteur. Interdire l'accès à l'hôpital à un malade est simplement une atteinte inexcusable à la mission impérative du service public. La stratégie d'atténuation est donc une tromperie supplémentaire des autorités politiques, sanitaires et médiatiques.


  6. Le test des infectés du SARS-CoV-2 est une tromperie inouïe. Les autorités politiques, sanitaires et médiatiques ont menti sans vergogne à ce sujet. Le test le plus pratiqué en France est le test RT-PCR. C'est lui qui sert presque exclusivement (plus de 90 % des cas recensés par la France ne le sont que sur la foi d'un simple test RT-PCR). C'est un outil d'aide au diagnostic. Mais il ne doit jamais être utilisé en dehors de la relation thérapeutique entre un patient et son médecin. Par ailleurs, le test RT-PCR pour le SARS-CoV-2 a été réglementé sur la base d'un protocole déterminé sous l'autorité de l'OMS, qui a utilisé essentiellement une étude d'un virologiste allemand Christian Drosten, et accessoirement, une étude auxiliaire de l'Institut Pasteur. Or, l'étude de Drosten est un faux manifeste et le protocole de l'OMS le suit largement. II en résulte qu'une proportion ahurissante de tests positifs sont faux. On s'est aperçu que jusqu'aux kits de prélèvement étaient déjà infectés par les laborantins qui les avaient fabriqués. Or, les erreurs du protocole de l'OMS étaient connus de tous, dès le début. Dès le mois d'avril, on savait que le nombre de cycles d'amplification - le Ct - était beaucoup trop élevés. Or, les autorités ont entièrement axé leur politique sur le nombre des infectés testés par le test RT-PCR selon le protocole de l'OMS. Si le taux d'infectivité relevé par les tests PCR est supérieur à un seuil fixé par les autorités politiques et sanitaires, le gouvernement décide de couvre-feux, de confinements, de fermetures d'établissements, et de toutes les mesures d'atténuation dont on a dénoncé ci-dessus la perversité.

    Les autorités politiques, sanitaires et médiatiques ont constamment menti sur le rôle des tests RT-PCR et sur d'autres aussi. Par exemple, la Grande-Bretagne utilise un test rapîde, le lateralflow test, qui est aussi trompeur que le test RT-PCR. Il a seulement l'avantage sur le test PCR d'être effectué en quelques minutes sans prélèvement délicat. Mais, il est inutile de développer cet aspect. Je suis cependant contraint de souligner que le test RT-PCR est une affaire commerciale extraordinairement rentable. A 70 euros de prix moyen du test, le chiffre d'affaires en France sur le test PCR est supérieur à 2,7 milliards d'euros. Il y a nécessairement un conflit d'intérêt parmi les autorités politiques, sanitaires et médiatiques qui ont pris la décision de choisir le test PCR et de l'utiliser comme une arme contre l'intérêt public.


Le Pr Perronne a écrit un pamphlet intitulé "Covid-19. Quelles erreurs n'ont-ils pas commises ?". Les autorités politiques, sanitaires, et médiatiques persévèrent dans l'erreur jusqu'à atteindre la tromperie du public.

Le vaccin de la Covid-19 pose un véritable problème économique

Au courant du mois de juin 2020, les autorités politiques se sont concertées notamment en Europe. Sous la pression des autorités sanitaires et des autorités médiatiques,il a été décidé de concert avec les laboratoires pharmaceutiques d'investir massivement de 50 à 100 milliards d'euros dans la production d'un "nouveau vaccin" pour éradiquer le coronavirus SARS-CoV-2. Les sommes réellement versées sont probablement complètement différentes. Mais, à l'époque de l'annonce, on pouvait estimer que ce flux énorme devait permettre à l'industrie pharmaceutique de livrer duirectement les autorités sanitaires.

En fait, on a appris au courant du mois de décembre 2020, que non content de recevoir des sommes inconnues - de 50 à 100 milliards - au titre de la R&D du "vaccin Covid", les doses réellement livrées aux autorités sanitaires pour le vaccin Pfizer, premier à l'arrivée, était de 12 à 20 Euros la dose. Avec 200 millions de doses, on arrive à un chiffre d'affaire de l'ordre de 4 milliards d'euros.

Ici, on ignore presque tout. On sait qu'"on" a payé, qu'"on" a reçu des subventions, qu'"on" a livré des doses et qu'"on" a été facturé des doses livrées. Qui est "on " ? Nul ne le sait vraiment. Mais "on" ne manque pas d'agiter comme un couperet le fait que, sans vaccin Covid, nous resterons confinés lusqu'à la fin des temps.

On s'est alors souvenu que les vaccins, comme tout produit pharmaceutique, pouvaient avoir des effets indésirables. On a alors appris, par des indiscrétions, pas souvent répétées et plus souvent démenties, que les laboratoires producteurs de vaccins avaient imposée une exclusion de garantie. En étudiant rapidement le cas de la Grande-Bretagne, on s'est aperçu que ce n'était peut être pas tout à fait exact. Mais, on sait qu'il s'agit en fait de l'application d'un "Act" fédéral américain qui reconnaît les conditions dans lesquels l'Etat fédéral US prend à sa charge les garanties du fabriquant d'un médicament. Dans la forêt pour bandits de grand chemin qu'est le Covid, on n'imagine pas l'Europe échappant à ce diktat.

Au Parlement Européen, "on" s'est ému de la situation. Et seul un fabriquant a accepté de laisser connaître le contrat. Ce n'est pas Pfizer et son vaccin n'est pas encore prêt. Quelques rares députés européens, dont l'écologiste Pascal Canfin, écologiste, ont été autorisés avec moults précautions, à jeter un oeil rapide dans un bureau fermé à clé, sur une copie caviardée du contrat. Aucun prix, aucune garantie, n'est lisible. On peut dire que le "vaccin Covid" pose un réel problème que nous qualifierons pudiquement ... "d'économique".

Les "vaccins" Pfizer et Moderna ne sont pas des vaccins.

Ce sont les deux premiers "vaccins Covid" disponibles. Ce ne sont pas des vaccins - ce qui a été souligné par le Pr Perronne. Ce sont des médicaments de thérapie génique. La "vaccination" Pfizer ou Moderna consiste à injecter dans le sang du patient des fragments d'ARNm, ou d'autres peptides qui seraient caractéristiques du SARS-CoV-2 de sorte que le système immunitaire du "vacciné" doit produire des anticorps spécifiques contre le SARS-CoV-2.

L'ARNm n'est pas directement capable d'influer sur les chromosomes humains. Mais, il peut le faire par l'intermédiaire de rétrovirus - dont on sait qu'ils sont nombreux dans l'organisme humain même sain - et qui sont capables de faire une traduction de l'ARNm en ADNc qui, lui, a la capacité d'entrer dans le génome humain. Quelles seront les conséquences ? Personne n'est certain de tout.

Mais comme beaucoup de vaccins, les "vaccins" Pfizer et Moderna utilisent des adjuvants - on a parlé du PEG pour le "vaccin" Pfizer. Ces adjuvants ont des effets fortement indésirables sur le système immunitaire qu'ils perturbent souvent gravement. Un médecin américain est mort en quinze jours alors qu'il était en parfaite santé. Plusieurs autres médecins vaccinés sont mrots eux aussi de chocs allergiques.

Un certain nombre de spécialistes de santé estiment que lorsque l'on considère les effets indésirables d'un produit pharmaceutique, il faut mettre en perspective ces effets dans un rapport bénéfices à risques. Il y a au moins deux problèmes à cette mise en perspective. La premier problème réside en ce que le rapport est multidimensionnel les bénéfices pouvant toucher une ou plusieurs dimensions et les risques toucher d'uatres dimensions. Le rapport bénéfice sur risque exige de mettre à plat les différentes dimensions et de les agglomérer dans une sorte de distance relative à un effet neutre simulé. En un mot, le rapport bénéfices à risques perd alors toute réalité. Mais le secodn problème évoqué est plus grave. Si la fréquence mesurée d'un effet indésirable a été mesurée lors d'un essai normalisé, l'extrapolation qu'il s'agit de la probabilité pour l'effet indésirable du produit dans la population des malades une fois le produit autorisé, est fausse. Plus encore, cette probabilité ne peut servir qu'au laboratoire pharmaceutique pour estimer son risque juridique à exposer ou non la population à l'effet indésirable. Pour un patient donné, cette probabilité n'a aucun sens. Non pas qu'il soit incapable de l'apprécier, mais parce que le patient a un rapport bénéfice sur risque complètement différent de celui du laboratoire pharmaceutique. Le risque du patient est de mourir ou d'être invalide, celui du laboratoire est de payer une prime d'assurance risque juridique plus élevé. Mon lecteur conviendra qu'il ne s'agit pas de la même chose et partant, il y a un problème grave quand la seringue d'injection du vaccin est levée qui n'est pas celui posé lorsque la dose de vaccin est remplie dans son flacon étanche.

Les effets à long terme des vaccins SARS sont connus depuis 2012. Et là aussi, il y a un problème

Dans un article de 2012, une équipe de biologistes américains a testé plusieurs vaccins - quatre - développés contre le SARS-CoV apparu en 2002. L'un de ces vaccins est un vaccin à ARNm comme ceux de Pfizer et de Moderna. Les diverses formes de ce vaccin testé en 2012 utilisent des fragments du génome du gène S, du gène N et de la molécule de Spike. Il s'agit donc très vraisemblablement de vaccins semblables à Pfizer ou Moderna. Les autres vaccins étaient composés sur divers souches virales inactivées ou affaiblies. Tous ces vaccins ont relativement bien fonctionnés sur les animaux de laboratoire. Mais il y a eu un problème. La plupart des animaux vaccinés ont développés des affections graves du système immunitaire toutes centrées sur des orages de cytokine ou des réactions dites Th1.

Si les vaccins Pfizer ou Moderna, mais aussi les autres vaccins, y compris ceux à souches inactivées, n'ont pas pris en compte cette réaction tardive, il est vraisemblable que se développeront des décès liés à des maladies immunitaires induites par le vaccin contre le SARS-CoV-2. Or, nous ignorons si et comment le problème aurait été résolu dans le développement. Il a été si rapide que l'on peut douter qu'il ait été évoqué à cause de la longue durée sous laquelle ces maladies immunitaires sont induites alors que ces vaccins ont été disponibles en seulement quelques mois.

Le problème de l'infectivité du vacciné

Le problème réside dans le caractère essentiellement immunitaire des vaccins contre le SARS quelque soit le coronavirus responsabe. Ces vaccins n'ont aucun effet virucide. Cela signifie qu'ils n'ont aucun effet destructeur sur le coronavirus. Ils se contentent - et c'est déjà appréciable - de renforcer certaines parties du système immunitaire. On a vu plus haut qu'ils détruisaient probablement une autre partie du système immunitaire. Mais c'est une autre histoire.

Cela a une conséquence importante. Tant que l'ensemble de la population humaine n'a pas été vaccinée, l'épidémie continuera de se développer et tant que le SARS-CoV-2 ne se sera pas éteint "naturellement". Cela signifie que la population des vaccinés sera autant testée positive que la population non vaccinée. Or, selon la doctrine des autorités politiques, sanitaires et médiatiques, les mesures d'atténuation de l'épidémie devront alors être maintenues tant que le coronavirus n'aura pas été éradiqué. Il est donc nécessaire de maintenir les mesures d'atténuation destructrice de l'occident américanisé pendant de longs mois, voire pendant de longues années.

Il y a là un véritable problème politique qui aggrave l'évaluation des autres problèmes déjà indiqués. Notamment, le montant effarant des coûts des vaccins du SARS-CoV-2, mais aussi des tests PCR doit se placer en perspective d'un gain médical extrêmement faible puisque l'infection n'est en rien jugulée.

Il est politiquement hors de doute que les mesures d'atténuation de l'épidémie sont des mesures dictatoriales qui ruinent la société libérale qui a installé les autorités politiques, sanitaires et médiatiques responsables de cette dictature. Leur légitimité dépend de leur soumission aux valeurs de la société libérale. Si le régime dictatorial imposé prétendument pour des raisons exceptionnelels devait perdurer, la société libérale serait légitime à renverser les autorités politiques, sanitaires et médiatiques responsables de l'inqualifiable atteinte aux valeurs de la société libérale.

Le problème médical est beaucoup plus drastique. Le traitement médicamenteux, notamment avec l'hydroxychloroquine ou l'ivermectine, a l'avantage d'être en plus virucide. C'est-à-dire qu'il tue le coronavirus. Ce que ne fait pas le vaccin.

Le problème de l'évaluation comparée du bénéfice du vaccin SARS-CoV-2 et du risque de la Covid

Je voudrais évoquer ici un dernier problème : celui de l'évaluation du succès du vaccin SARS-CoV-2, quel qu'il soit, par rapport au risque de la Covid. Pour la majorité de la population, le risque d'attraper le Covid est faible, d'en être gravement malade encore plus faible et celui d'en mourir est presque nul, sauf grand âge et comorbidité.

Il est possible que les effets indésirables du vaccin SARS-CoV-2 soient plus forts que les effets inévitables du SARS-CoV-2. Autrement dit alors que moins de 10% de la population mondiale est infectée, vacciner la totalité de cette population est une stupidité médicale et un énorme coup de marketing pharmaceutique. La base du marketing n'est-il pas de créer un besoin commercial qui n'existe pas ou de nier une nécessité de la vie que l'on ne veut pas qu'elle soit prise en compte.

Pour être plus proche des questionnements individuels, on peut dire plus simplement que l'intérêt immunitaire du vaccin est très inférieur au risque qu'il fait courir à une personne en bonne santé et ses inconvénients très supérieurs à l'avantage qu'en tirerait une personne de santé médiocre. Autrement dit, vaccinez-vous si cela vous plaît. Comme cela, vous serez un confiné vacciné ou un vacciné mort ...


Notes

[1] Lire par exemple : L’ONU s’active pour cerner l’origine de la COVID-19 et prévenir les zoonoses, par le Département de la communication globale, Nations Unies, 10 juillet 2020.

[2] Lire l'article Immunité collective, confinement et COVID-19 sur le site de l'OMS, du 31 décembre 2020. Cet article contient de grossières contre-véritésen biologie et en politique concernant notamment l'immunité de groupe et celle conférée par le vaccin. L'OMS est le lieu central de formation de l'idéologie du régime sur les questions sanitaires. Il n'y a donc pas lieu de s'en étonner. On note que cet article date un peu. L'OMS a donc ajouté à son idéologie sur le confinement des considérations hypocrites concernant les inconvénients sociaux de ces mesures de distanciation sociale. L'OMS est certainement consciente que le catastrophe de la Covid débouchera probablement sur une mise en cause de l'idéologie sanitaire qu'elle a contraint les autorités politiques, sanitaires et médiatiques à adopter partout en occident américanisé. Sur la nécessité pour le régime des mesures d'atténuation, il faut lire le Rapport N°9 de l'Imperial College, produit par Ferguson le 16 mars 2020. On lit ainsi :

The global impact of COVID-19 has been profound, and the public health threat it represents is the most serious seen in a respiratory virus since the 1918 H1N1 influenza pandemic. ...We show that in the UK and US context, suppression will minimally require a combination of social distancing of the entire population, home isolation of cases and household quarantine of their family members.

Le 16 mars 2020, dans sa deuxième allocution télévisée, Macron déclarait :

"Au moment où la situation sanitaire se dégrade fortement, où la pression sur nos hôpitaux et nos soignants s'accentue, tout notre engagement, toute notre énergie, toute notre force doivent se concentrer sur un seul objectif : ralentir la progression du virus. Source : Texte de l'allocution sur le site de l'Elysée.
Or, il fallait faire exactement le contraire : diagnostiquer les malades, les isoler et les soigner.

[3] Lire notamment l'article Questions et réponses sur la Covid-19, éditée sur le site de l'OMS, dans lequel on peut lire :

Les scientifiques du monde entier tentent de trouver et de mettre au point des traitements contre la COVID-19.

Les soins de soutien les plus efficaces sont l’oxygénothérapie pour les patients dans un état grave et ceux qui risquent de développer une forme grave de la maladie, ainsi qu’une assistance respiratoire plus poussée, comme la ventilation pour les patients dans un état critique.

qui laisse entendre qu'il n'existe pas encore de traitement médicamenteux contre la Covid-19. L'article est tout entier un ramassis d'erreurs grossières comme :

Les antibiotiques n’agissent pas contre les virus, mais seulement contre les infections bactériennes. La COVID-19 étant causée par un virus, les antibiotiques sont inefficaces.

[4] Lire notre article : Un lobby verrouille l'hypothèse d'une origine artificielle du SARS-CoV-2, du 21 Novembre 2020. On pourra lire aussi l'enquête de l'ONG Right To Know : EcoHealth Alliance' Orchestrated Key Scientists' Statement On 'Natural Origin' Of SARS-CoV-2. Sur le rôle de l'agression des milieux naturels dans la montée de pandémies mortelles, lire le site de EcoHealth Alliance.

[5] Lire l'information publique : Le vaccin contre La Rougeole

La rougeole est une maladie très contagieuse due à un virus qui se transmet très facilement par la toux, les éternuements et les sécrétions nasales, Une personne contaminée par la rougeole peut infecter entre 15 et 20 personnes !

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14 janvier 2021