Dette publique, Impôts, inflation. Quelques observations.Le quoi qu'il en coûte de Macron aura été le sommet de la farce qui a remplacé la République à l'insu de notre plein gré. Les 800 milliards de dette publique produites à cette occasion sont venus gonfler la somme ancienne qui dépasse mme les 3.000 milliards de dettes aujourd'hui. La dette publique oblige l'Etat endetté à payer des intérêts de chaque emprunt. Cette hausse des dépenses publiques est immédiatement couverte par une hausse des impôts. Or, lorsque les impôts augmentent, il exîste deux catégories d'assujettis à l'impôt : Les premiers assujettis sont les riches. Les seconds les pauvres. Les riches sont alors répartis en deux catégories :
Parmi cette dernière catégorie se trouvent la plupart des membres de la classe supérieure : cadres supérieurs, dirigeants d'entreprise, hauts fonctionnaires, ... Non seulement la hausse des impôts ne les gênent pas, mais généralement ils souhaitent pouvoir payer plus d'impôts. Cette étrange revendication est faite périodiquement par des hypermilliardaires, comme Gates ou Zuckerberg. En réalité, ce sont les banques de ces hypermilliardaires qui prêtent la dette aux Etats occidentaaux et donc, l'argent des impôts leur revient lorsque les Etats payent les intérêts et remboursent le capital. Mais, un autre mécanisme devient vite nécessaire : l'inflation. Elle permet de réduire le nominal des emprunts et elle augmente la charge de l'impôt sur ceux qui le payent. Lorsque l'Etat a emprunté 100, avec une inflation à 10%, l'an suivant l'Etat rembourse 100 avec 90 unités monétaires de l'an passé .... Et dans le même temps, les pauvres qui payent les impôts de l'Etat et les hausses de prix qui payent les impôts des riches s'appauvrissent un peu plus. Nous entrons dans cette phase économique qui précède l'effondrement de l'Etat. Sauf si les taux d'intérêt remontent pour rattraper l'inflation. Moyen dont l'Etat français s'est privé puisque, à Maastricht,avec l'Euro, il n'est plus maître de la monnaie. Et nous avons perdue notre souveraineté. Les impôts ? D'abord une affaire de République. Trop d'impôts tue la République. |