Effets adverses des vaccins Covid - Mise en cause de AstraZeneca en Grande-Bretagne

Philippe Brindet - 14.11.2023

Les effets adverses des vaccins Covid sont une réalité pour les uns et une désinformation pour les autres. Si vous prenez partie pour l'un ou l'autre camp, vous vous brouillez avec une partie de vos amis et relations. Surtout si vous n'êtes pas vacciné. Qui croire ?

La crise sanitaire a introduit dans la population savante une crise de confiance dans la médecine

C'est l'une des suites tragiques de la crise sanitaire du Covid. La médecine étant une technique très compliquée, certainement la plus compliquée à cause de ses conséquences, la majorité d'entre nous jusqu'alors faisaient confiance à la médecine et aux médecins. J'ai ainsi évité autant que possible de me questionner sur les "problèmes de la médecine", laissant le soin à d'autres de s'en préoccuper.

J'étais seulement conscient que des médecins s'interrogeaient sur certaines médications ou thérapeutiques. Persuadé de la qualité thérapeutique des vaccins, j'étais seulement conscient que les adjuvants qui les potentialisent dans l'organisme pourraient être la cause de problèmes graves de santé. Pourraient être ... Je n'étais donc pas un de ces "affreux anti-vax" ...

Quand les autorités sanitaires ont décidé de prendre des mesures d'atténuation de l'épidémie - distanciation sociale, masques, confinements, ... - j'ai obéi sans sourciller. Sans enthousiasme, mais sans sourciller. C'est au courant du mois d'avril 2020 que j'ai commencé a avoir des doutes : les autorités sanitaires insistaient trop sur des choses qu'elles étaient incapables de démontrer. Ce furent notamment la prétendue absence de médicaments pour soigner ce qui n'était, après tout, qu'un simple coronavirus, les prétendues modélisations dont on savait qu'elles étaient fausses. Totalement fausses. Scandaleusement fausses.

La contestation scientifique des manipulations d'opinion des autorités

Ce fut aussi à cette époque, la scandaleuse manipulation d'opinion sur l'origine du SARS-CoV-2. Les scientifiques démontraient que l'origine du coronavirus était artificielle tandis que les autorités politiques et sanitaires prétendaient qu'il s'agissait d'une zoonose, naturelle. Contre l'évidence et sans pouvoir démontrer ne serait-ce que le début d'une preuve.

Ce fut aussi à cette époque que des proches en parfaite santé se mirent à décéder dans leur maison de retraite. "Mort du covid. Circulez, il n'y a rien à voir." Nous nous sommes mis à douter.

Très vite, le fait d'avoir choisi la protéine de pointe, copie de celle du SARS-CoV-2, comme "principe actif" du vaccin Covid, qu'il soit ARN (Pfizer, Moderna) ou ADN (AstraZeneca, Janssen), m'a alerté sur le fait que le vaccin "sûr et efficace" était certainement imposé par la force et dans un tout autre but que de supprimer l'épidémie.

Je me suis mis alors à étudier la biochimie, que je connaissais déjà pas mal, la biologie, lire les études médicales - The Lancet, Jama, BMJ, NJEM, ... Comme de nombreux observateurs indépendants, je devenais de plus en plus adversaire des autorités sanitaires et politiques. La vaccination covid commence alors dans une débauche de fausses informations, de mensonges, et surtout d'erreurs graves concernant la médecine, la biologie, la miochimie, la statistique, ...

Comme la plupart des observateurs indépendants, mais informés par leurs recherches sur la toxicité des vaccins Covid, j'ai assisté sans la suivre la campagne de vaccination. Très vite, j'ai surveillé les bases de données des effets adverses des vaccins Covid, que les partisans appellent "effets secondaires" pour mieux les nier. J'ai assisté horrifié à l'enthousiasme des vaccinés, et les rires déments des promoteurs de cette vaccination lors de monstrueux plateaux de télévision, dans des articles répétant des erreurs scientifiques énormes avec un aplomb de professeur de médecine. Par exemple, "l'ARN ne s'intègre jamais à l'ADN", principe posé en 1953 par le Nobel français Jérôme Monod, contredit quinze ans plus tard par le Nobel américain, David Baltimore.

Ce même David Baltimore qui, 50 ans plus tard, lisant en janvier 2020 la séquence génétique du SARS-CoV-2, découvre qu'il ne peut qu'être qu'artificiel. Luc Montagnier Nobel français, fait en même temps le même constat. Ils seront vilipendés, traqués, pour avoir exprimé leurs constatations.

L'explosion des cas d'effets adverses des vaccinations covid

Et les registres inscrivant les cas d'effets adverses des vaccins Covid se sont remplis à une vitesse jamais vue pour aucun médicament. Et seule une infime partie des cas individuels d'effets adverses est enregistrée.

Les autorités sanitaires, tentent alors de "protéger" autant que possible les autorités politiques. En effet, à cause des contrats passés entre les Etats et les vendeurs de vaccins Covid, c'est l'Etat du vacciné qui doit le garantir contre les effets adverses du vaccin covid ! On ne peut mieux organiser l'irresponsabilité médicale.

Aussi, malgré l'explosion des cas d'effets adverses, malgré les preuves publiées dan sles revues scientifiques de la toxicité et de l'inefficacité des vaccins covid, les autroités sanitaires et les autorités poolitiques, complices, poursuivent imperturbablement leur discours mensonger, trompeur : "le vaccin est sûr et efficace". Le gang français va encore plus loin en affirmant que, sauf quelques rougeurs au point d"injection, "il n'existe aucun effet secondaire des vaccins covid" !

Dans le public, les querelles font rage entre ceux qui sont convaincu de la toxicité et de l'inefficacité des vaccins covid, et les "ravis de la Covid", bernés par les autorités qui les taxent de complotisme, d'anti-vax, .. Aucun argument scientifique ne parvient à percer la chape qui pèse sur le débat public. Aucun, sauf que ...

La Haute Cour du Royaume-Uni retient la causalité du vaccin Covid dans une thrombose cérébrale

L'histoire de Jamie

Jamie est un ingénieur informaticien de 44 ans, solide gaillard qui coure les 10 kilomètres toutes les semaines. Soucieux d'obéir aux consignes du gouvernement, lui et sa famille se rendent à une clinique de vaccination pour sa première vaccination, le 23 avril 2021. On lui injecte un vaccin covid à ADN, le vaccin AstraZeneca, très en vogue à l'époque au Royaume-Uni. Il ne reçoit aucune information concernant les risques de la vaccination Covid - il n'y en a pas selon les autorités - et on l'empêche de choisir son vaccin.

Dix jours plus tard, sa femme le retrouve un matin, hagard et bégayant un langage inarticulé. Effrayée elle le mène aux urgences de leur petite ville. Les médecins diagnostiquent immédiatement une thrombose veineuse cérébrale post-vaccinale et l'envoie en urgence à l'hôpital central de Coventry. Là, il va décliner rapidement, manquant trois jours de suite de mourir. Enfin, une chirugie cérébrale le sauve.

Depuis, Jamie a des pertes de vision, des troubles de l'attention. Il doit marcher avec une canne, et ne peut plus travailler. Sa femme s'occupe de lui ...

Jamie a eu de la chance. Beaucoup de chances, contrairement à beaucoup de vaccinés qui vont décéder sans bruit, sans faire de vague. Sa chance, c'est que les médecins de son petit hôpital ont diagnostioqué une thrombose cérébrale post-vaccinale. Il était entré dans le circuit réglementaire de l'indemnisation ...

De la demande d'indemnisation au procès ...

La démarche en Grande-Bretagne - elle est semblable partout en occident - commence par une demande de compensation à un organisme administratif dépendant du ministère d ela santé. Cet organisme, depuis le début de la vaccination a accordé 148 compensations de 120.00 £, principalement pour des décès. Ce montant notoirement insuffisant, est contesté devant les tribunaux britannique et le cas de Jaimie et de sa thrombose veineuse cérébrale vient d'être traitée par la Haute Cour.

Dans le procès de Jaimie, on apprend que la Haute Cour a remarqué que l'efficacité vaccinale du vaccin AstraZeneca était estimée par le fabricant entre 62 et 91% selon les dosages. La Haute Cour découvre que l'efficacité vaccinale a été de seulement 1,2% !

La Haute Cour en déduit que AstraZeneca a failli à son devoir réglementaire de signaler au public la véritable toxicité et la véritable efficacité de son produit, devoir établi par le " Consumer Protection Act 1987"

Le procès est en cours. Mais, la décision intermédiaire rapportée ouvre des horizons aux victimes des vaccins Covid. La poursuite du procès met en cause la responsabilité du gouvernement britannique. En effet, les avocats soulignent dans la plainte que M. Hancock, Ministre de la santé de Boris Johnson alors, dans un procès-verbal ministériel d'accompagnement, a déclaré : "Les données jusqu'à présent sur ce vaccin suggèrent qu'il n'y aura pas d'effets indésirables, et donc aucune responsabilité." Les détails de la réclamation indiquent : "Les déclarations publiques du gouvernement quant à la sécurité du vaccin sont des circonstances pertinentes à prendre en compte pour évaluer le niveau de sécurité que les personnes étaient généralement en droit d'attendre du vaccin AZ."

Ce discours sur l'absence d'effets indésirables a été tenu en France. La loi française est certainement différente de la britannique. Mais on peut penser que la parole publique d'individus comme Véran, ou Rousseaux, ministres de la Santé qui ont fréquemment affirmé l'absence d'effets indésirables, sera retenue en faveur des victimes du vaccin covid.

Conclusion

Dans l'océan de mensonges et d'erreurs dans lequel s'est développée la crise sanitaire, le drame des victimes de la vaccination covid est en cours de son possible traitement judiciaire.

Mais, la route est longue et le public est loiin d'avoir été détrompé sur ces mensonges de la crise sanitaire en générale, de la vaccination en particulier. Et, comme en politique, le désespoir est une sottise.

Sources :
  1. MENDICK R - [Coronavirus][Vaccin] 'We were told the vaccine was safe - but what happened has been life-changing' (081123)
  2. KNAPTON S - In the end, the AstraZeneca vaccine just wasn't as good as its rivals (081123)
  3. MENDICK R - The triumph of the AstraZeneca vaccine undercut by tragedy (081123)
  4. MENDICK R - Oxford AstraZeneca Covid jab was 'defective', claims landmark legal case (081123)
  5. JONES W - AstraZeneca Taken to Court Over 'Defective' Covid Jab in Landmark Legal Case (081123)
  6. MENDICK R - Vaccine compensation scheme must be reformed, former ministers urge (091123)
  7. MENDICK R - [Coronavirus] 'Every day is hard'= The families battling for AstraZeneca vaccine compensation (091123)
  8. Vaccin covid : une première condamnation historique !, viéo de Florian Philippot de Les Patriotes, le 12 novembre 2023 sur YouTube






Revue C-Politix (c) 14 Novembre 2023