Enquête sur les auteurs d'une étude publiée par la Fondation Jean-Jaurès du 12.01.2023L'étude de la Fondation Jean-Jaurès est : La Mésinformation scientifique des jeunes à l'heure des réseaux sociaux, publiée le 12 Janvier 2023. Les trois auteurs nommés sont :
Que contient l'étude ?Un tissu d'âneries dignes d'une sous-commission d'une université de province en grève depuis dix ans. Quelques perles que l'étude semble "cultiver" avec gourmandise.
En un mot, il s'agit pour les trois auteurs de vendre de futures prestations destinées à diffuser la propagande du régime bourgeois. Les origines sociales des trois auteurs nommés.François KrausDirecteur du pôle Politique/Actualités à l’Ifop Exerçant dans le milieu des études d’opinion depuis 2005, François Kraus est spécialiste des enquêtes réalisées pour les médias, les partis politiques et les institutions publiques (ex : ministères, collectivités locales). Enseignant en science politique à l’université de Paris Ouest Nanterre La Défense (Master en « Travail politique et parlementaire »), il est actuellement directeur du pôle Politique/Actualités à l’Ifop où il a notamment en charge l’expertise « Genre, sexualités et santé sexuelle ». Il a été lauréat du Prix de la Fondation Jean-Jaurès en 2001 pour son mémoire de maîtrise d’histoire sur les Assises du socialisme d’octobre 1974. https://www.jean-jaures.org/expert/francois-kraus/ Helen Lee BouyguesVisionaryA former partner at McKinsey & Company, Bouygues has helped transform more than 25 firms. Over the course of a twenty-year career, she has raised hundreds of millions of dollars in capital, renegotiated billions of dollars in debt, and brought dozens of companies into the black. source : https://www.helenleebouygues.com/ Mme Helen Lee Bouygues Administrateur Indépendant Âge : 50 Nationalité : américaine Première nomination : 2018 (par cooptation) Dernier renouvellement : 2020 Fin du mandat en cours : 2024 Nombre d’actions CGG détenues au 31 décembre 2022 :20 000 actions BiographieHelen LEE BOUYGUES est titulaire d’un Bachelor of Arts, magna cum laude, de Princeton University en Sciences Politiques et d’un master en Business Administration de Harvard Business School. Elle a débuté sa carrière en 1995, en tant qu’associée en fusions-acquisitions chez JP Morgan à New York et à Hong Kong. En 1997, elle est nommée administrateur Développement et Finance de Pathnet Inc., un fournisseur de services de télécommunications basé à Washington DC, aux États-Unis. En 2000, elle rejoint Cogent Communications Inc. où elle exerce les fonctions de Treasurer, Chief Operating Officer et Chief Financial Officer jusqu’en 2004. Elle est ensuite nommée associée chez Alvarez & Marsal à Paris, qu’elle quitte en 2010 pour créer sa propre société de conseil spécialisée dans les opérations de retournement et de transformation d’entreprises. En 2014, elle rejoint McKinsey & Company à Paris où elle devient associée en charge de la division Recovery and Transformation Services. Depuis juin 2017, Helen LEE BOUYGUES est Présidente de LB Associés, une société de conseil. Source : https://www.cgg.com/fr/investors/corporate-governance/mrs-helen-lee-bouygues Helen Lee-Bouygues, experte en retournement chez McKinseyAvril 2014Par Laurance N'Kaoua Publié le 3 avr. 2014 à 01:01Mis à jour le 6 août 2019 à 00:00 Entre deux voyages chez ses clients au Guatemala, à San Francisco ou à Hong Kong, Helen Lee-Bouygues a pris ses quartiers sur les Champs-Elysées dans l'imposant immeuble de McKinsey. Là, dans une salle de réunion, l'épouse du neveu de Martin Bouygues parle vite, sourit beaucoup, bien qu'étant si sérieuse en affaires. Sa spécialité ? Le retournement d'entreprise. Si Helen Lee-Bouygues reste humble, elle n'en connaît pas moins les rouages du métier. Patrick Puy, qui l'a recrutée chez Alvarez & Marsal France, en atteste : « Lors de notre premier entretien, je lui ai demandé combien elle voulait être payée. Elle m'a répondu : "C'est sans importance. Au bout d'un an vous aurez triplé mon salaire !" Et elle avait raison ! », raconte son ancien patron, devenu président d'Arc International. A quarante et un ans, cette financière, bardée de diplômes et peu douée pour l'immobilisme, vient de mettre en sommeil son cabinet Lee-Bouygues Partners pour piloter le pôle de retournement et de transformation d'entreprise que vient de créer McKinsey en France. « C'est une nouvelle brique qui complète parfaitement les savoir-faire » du géant du conseil, analyse-t-elle, avec un léger accent. Helen Lee-Bouygues est née à Boston, près de Harvard, où son père, coréen, étudiait le droit. De retour à Séoul, elle a six ans et la nationalité américaine. De quoi revenir sur la côte Est, où, dès seize ans, cette fan de kite-surf - un sport qu'elle aime pour ses sensations extrêmes - vole de ses propres ailes. D'abord pensionnaire dans un lycée du New Hampshire, fréquenté aussi par les fils de Lou Gerstner ou de Teresa Heinz, elle est bientôt admise à Princeton. Et veut devenir ingénieur chimiste, spécialiste de l'environnement. Mais, fascinée par deux professeurs, elle opte pour la politique comparée sur le Japon et l'Allemagne, apprend le japonais et rédige sa thèse, en 1995, sur l'économiste Joseph Schumpeter. Ensuite... « Je ne savais pas vraiment ce que je voulais faire », raconte Helen Lee-Bouygues. Elle tente la finance et fait ses armes chez JP Morgan, devenant analyste télécoms au 60 Wall Street, ce gratte-ciel de 56 étages au coeur du quartier financier de Manhattan. La banque l'envoie même en 1997 à Hong Kong, au service de Telekom Malaysia. Soucieuse d'avoir « une expérience opérationnelle » avant de postuler à Harvard, car, « dans la culture coréenne, les études sont essentielles », elle devient ensuite directrice financière de la start-up de téléphonie Pathnet. « Lapin Duracell »Son MBA en poche, elle se rêve investisseur, et oeuvre pour le fonds Audax, quand elle apprend que le fondateur de Pathnet, David Schaeffer, personnage aussi génial que controversé, cherche désespérément un directeur financier pour sa nouvelle création, Cogent. Helen Lee-Bouygues se dévoue, pensant n'y rester qu'un temps. Survient le crash de 2001 : Cogent est au bord du gouffre. « Zéro chiffre d'affaires et 250 millions de dollars de dette », résume-t-elle. Quatre ans durant, à coups de rachats et aux côtés du directeur commercial, elle s'acharne. « C'était ma première expérience dans le retournement », raconte celle qui se dit motivée par « les défis qui semblent impossibles ». C'est en redressant Cogent qu'elle croise son futur employeur, Alvarez & Marsal. En 2004, cette pionnière en sera la deuxième salariée en France. Car, ayant passé ses vacances d'enfant dans l'appartement parisien de son grand-père coréen, elle veut travailler à Paris. Six ans plus tard, juste après la naissance de sa fille, elle y monte son cabinet de dix personnes, encouragée par son mari. « Sans son soutien, je n'aurais jamais osé me lancer », raconte Helen Lee-Bouygues. Cette amatrice de biographies, qui aime transmettre, enseigne aussi à l'Insead. En souriant encore, elle avoue ne jamais s'arrêter. « Je suis comme le lapin Duracell », glisse-t-elle en souriant toujours. Laurance N'Kaoua Source : https://www.lesechos.fr/2014/04/helen-lee-bouygues-experte-en-retournement-chez-mckinsey-1101739
Voir aussi Rudy ReichstadtJe me bornerai à citer quelques sources concernant cet auteur.
L'individu semble sortir tout droit d'un comité provincial du Club des Jacobins au plus fort de la Terreur. Analyse de l'idéologie des auteurs de l'étude de la FJJLe sujet de l'étude de la FJJ concerne la science. Le lecteur vérifiera que les trois auteurs sont dépourvus de toute formation scientifique. Ils proviennent tous les trois d'institutions françaises ou américaines qui ne vendent que les idéologies bourgeoises pompeusement regroupées dans des défuntes "sciences politiques". L'un des auteurs est réellement un suppôt du capitalisme américain le plus stupide et corrompu. Ce qui n'implique pas, tant s'en faut, que cet auteur soit stupide ... On fait fortune avec ce que l'on peut. Ces individus confondent la rigueur scientifique avec la soumission à la classe bourgeoise. Ils ignorent complètement que les sciences sont radicalement le lieu de la preuve et donc de sa contestation permanente. Mais, cette ignorance n'effleure pas un instant les auteurs parce qu'ils ne se sont pas aperçus que "la Science" dont se gargarise la majorité des idéologues bourgeois n'est rien d'autres que la coagulation de leurs putrides intérêts de classe. Ce qui est absolument consternant, ce n'est pas "l'absence d'outils conceptuels de la jeunesse pour lutter contre la désinformation", c'est l'ignorance de la caste dirigeante des rudiments des sciences. |