Estimer la gravité actuelle de l'épidémie CovidDepuis des mois, les "experts" médicaux dans presque tous les Etats occidentaux, font des déclarations alarmistes [1] , de plus en plus exaspérés par l'absence de réaction de leurs autorités politiques dont ils attendent ... qu'elles reconfinent sur le champ ! Manifestement, un fossé se creuse entre la covidocratie et les autorités politiques [2], un fossé tel qu'il semble que ces autorités politiques ne sont plus disposées "à obéir à la Science" comme cela se disait encore courant juillet 2020. Les statistiques sont mauvaises en nombre de cas détectés, essentiellement par test RT-PCR - dont on sait qu'ils sont faux [3]. Mais, en hospitalisation et décès, les chiffres sont bien moins graves que lors de la première épidémie liée au virus original WUH-1. Ainsi, le site de statistiques médicales, CovidTracking Project, publie des courbes concernant les hospitalisations et les décès quotidiens pour la ville de New York. On voit très clairement les deux pics de la première épidémie dont le pic est en date du 4 avril 2020, et de la deuxième épidémie dont le pic est en date du 20 décembre 2020. On peut en déduire la table suivante :
Pour la ville de New York, la deuxième épidémie est donc deux fois moins forte en hospitalisation et 5 fois moins mortelle. Le taux de mortalité est donc trois fois moins élevé.. Pour la France, les chiffres de Santé Publique France, sont différents :
On remarque que le taux de mortalité de l'épidémie 2 à New York est égal à celui de l'épidémie en France. Et le taux de mortalité de l'épidémie 2 en France est sensiblement identique à celui de l'épidémie 1. En conclusion, les épidémies 1 et 2 ne sont pas plus graves l'une que l'autre si l'on suit les chiffres fournis par les autorités sanitaires. Et c'est là que se situera le problème pour juger au bout du compte de la politique sanitaire du régime. On sait que les chiffres de décès à New York sont faux : Cuomo, le maire de la ville, a fait écarter les décès des maisons de retraite des décès Covid. Quant aux chiffres français, on sait qu'ils mélangent décès à cause de la Covid des décès avec la Covid. De même, les chiffres des hospitalisations mélangent des gens testés positifs avec des tests RT-PCR erronnés avec des gens réellement diagnostiqués avec la Covid. La sévérité de l'épidémie est donc très vraisemblablement exagérée par les autorités sanitaro-politiques. Il y va de leur survie. Ceci dit, le SARS-CoV-2 est réellement un pathogène mortel. Réduire ses contacts, appliquer une hygiène correcte, éviter de déprimer ses défenses immunitaires et prendre conseil de son médecin ( un vrai ...) est essentiel. Notes[1] A titre d'exemples :
[2] A titre d'exemples :
[3] Lire dans la Revue C-Politix,
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