Etude Pfizer sur le vaccin Pfizer. Il est dangereux et inefficaceCes derniers mois, les études indépendantes démontrent que les vaccins Covid sont inefficaces et particulièrement le vaccin Pfizer.Voici une sélection de ces études parues dans les revues scientifiques :
Ces études présentent une bizarrerie : aucune ne présente les dangers des vaccins Covid et en particulier du vaccin Pfizer. Mais, ces dangers sont présentés dans d'autres études indépendantes elles aussi parues dans les revues scientifiques. En voici une sélection :
Le journaliste Kennedy Hall, de la revue catholique américaine Life Site News, publie un article important (en anglais) intitulé Pfizer jab did 'more harm than good': extensive analysis of trial data,sur la question de l'inefficacité et des dangers des vaccins Pfizer présentée directement dans une étude de Pfizer de THOMAS SJ et al., Safety and Efficacy of the BNT162b2 mRNA Covid-19 Vaccine through 6 Months, publie dans The new england journal o f medicine paru le 15/09/2021. L'article de Kennedy Hall se borne à mettre en lumière une analyse de l'étude de Thomas et al pour Pfizer. Cette analyse a été produite par un groupe de médecins et de vaccinologues canadiens, le CCCA (Canadian Covid Care Alliance), qui l'a publié sous le titre THE PFIZER INOCULATIONS FOR COVID-19. More Harm than Good, paru le 21 décembre 2021. 1 - Quelle information Pfizer veut-il passer dans le public avec l'étude de Thomas et al ?Pour celà, on peut se reporter à la première page de l'étude de Thomas et al. On y lit (extraits) :
Les termes de cette étude, payée par Pfizer, sont maintenant passés dans la propagande du régime en faveur des vaccins Covid en général et du vaccin Pfizer en particulier. Notamment, c'est le discours répété par des gens, politiciens et journalistes, qui n'ont jamais lu l'étude de Thomas, mais qui, corrompus par les propriétaires de Pfizer et des organisations qui promeuvent la vaccination, GAVI et CEPI, des propriétés du milliardaire Bill Gates, répètent en boucle un message lénifiant : "les vaccins covid sont sûrs et efficaces" directement tirés de l'étude de Thomas. Et cette propagande est fausse parce que l'étude de Thomas est fausse. Entièrement fausse. Et trompeuse. Volontairement trompeuse. 2 - L'étude de CCCACette étude fait suite à deux séries d'articles parus dans la presse médicale et qui sont notamment :
On notera que l'étude canadienne date du 21 décembre 2021et qu'une étude nord-américaine de Brown et al, citée plus haut sur pluseiurs observations identiques date du 26 Février 2021. L'étude de CCCA dénonce de nombreuses informations trompeuses dans les essais cliniques de Pfizer et partant dans l'étude de Thomas précitée. Pour ne pas alourdir l'article, on pourra voir la table des matières de l'étude de CCCA en note [3]. On va se concentrer sur l'une des tromperies aggravées produite par Thomas et al avec l'utilisation d'un taux d'efficacité vaccinale complètement trompeur.La tromperie de l'efficacité vaccinale 'à la Pfizer'Peter Doshi a montré dans l'un de ses articles cités plus haut comment on obtient l'efficacité vaccinale "à la Pfizer" sur la base des chiffres fournis par Pfizer. On va voir que cette tromperie est parfaitement dissimulée, qu'il ne s'agit absolument pas d'une erreur, mais d'une fraude volontaire qui a été répandue dans le public par la propagande. Les données utilisées par Pfizer dans l'étude Thomas pour calculer l'efficacité vaccinale relativement au risque d'infection sont les suivantes :
L'efficacité vaccinale calculée par Pfizer concernant l'infection est calculée de la manière suivante :
Le problème c'est qu'il s'agit d'un taux relatif qui n'a aucun intérêt statistique. Or, les statistiques utilisées dans les essais cliniques "normaux" - je veux dire, bien conduits - est un taux absolu :
Pfizer revendique une efficacité vaccinale de 95 % sur des données qui, traitées normalement dans le cadre de techniques bien connues des essais cliniques indiquent une efficacité vaccinale de 0,78%, c'est-à-dire, nulle. Il faut remarquer que le nombre des infections Covid qui a été relevé pendant l'esai clinique Pfizer est extraordinairement réduit. Sur les non-vaccinés, le taux d'infection est de 7 pour 1000 et pour les vaccinés de 3 pour 1000. Le taux relatif d'efficacité vaccinale n'a donc strictement aucune validité. Pire, il est trompeur. Il existe de très nombreuses fraudes (CCCA en relève 14 groupes identifiés et détaillés). Evoquons certaines d'entre elles. L'essai clinique Pfizer démontre un accroissement du risque de décès et de maladies graves chez les vaccinésL'étude de CCCA a porté sur l'article de Thomas pour Pfizer, mais aussi sur les données de Pfizer relevées dans une annexe de l'article de Thomas qui doit être téléchargée séparément sur le site de la Revue de publication. Dans cette annexe, (téléchargeable à l'url https://www.nejm.org/doi/pdf/10.1056/NEJMoa2110345?articleTools=true) se trouve une table S.3, dans laquelle on peut lire (extrait) :
Dans cette table, Thomas et al ont surtout mis l'accent sur les deux dernières lignes du tableau qui montre plus de deux fois d'accidents avec menaces sur la vie chez les non-vaccinés que chez les vaccinés et 75% de décès en plus chez les non-vaccinés que chez les vaccinés. Or, ces deux lignes du tableau S.3 de Thomas et al a servi de base à la fable répétée par le propagande qui affirme qaorès uyn an de vaccination dangereuse et inefficace, qu'elle "protège des formes graves". Thomas indique dans son article page 5/13, Figure 1 que un décès lié à des infections HIV ont été écartés de la statistique. Cette propagande n'est absolument pas soutenue par Thomas et al et encore moins par les statistiques de la vaccination en population générale.On peut déjà remarquer que le taux de la mortalité dans la population générale était de 8,75 décès pour 1.000 habitants aux USA en 2019. Les populations "vaccinées" et "non vaccinées" de l'essai clinique de Pfizer pris par l'étude de Thomas et al étant entièrement aux USA et de 22.000 pour chacune des deux populations, elles devraient présenter pour chacune un nombre de décès d'au moins 192,5 décès sur un an. On doit donc imaginer que les décès "normaux" sur les six mois de l'essai clinique devraient être de l'ordre de 96,3 décès et qu'ils ont été "supprimés" de la statistique du tableau S3. Par quelle opération de sélection ? Toujours est-il que, si c'est le cas, la surmortalité relative de 2 décès entre les non-vaccinés et les vaccinés est si faible qu'elle entre dans l'intervalle de variation aléatoire autour du taux de décès standard dans la population américaine. L'idée que les deux morts de moins du tableau S3 démontre que "la vaccination protège des formes graves" est donc fausse au sujet des décès.Il faut pour calculer une efficacité vaccinale relative à la mort de :
L'efficacité vaccinale "à la Pfizer" qui est de 95% pour les infections tombe à 27% opour les décès. On comprend que l'article de Thomas, ni aucun autre document prodiit par Pfizer et ses commis ne donnent le calcul de l'efficacité vaccinale "à la Pfizer" pour la mort. Thomas pousse l'impertinence jusqu'à donner l'accroissement relatif du nombre de décès chez les "non-vaccinés" sur le nombre des décès des "vaccinés" cachant le fait qu'il a purgé les décès de tous les décès "normaux" sans même donner la moindre autopsie des décès qu'il retient. Mais aucun de ces taux d'efficacité vaccinale n'a de valeur. Ils ne démontrent rien d'autre que le vaccin Pfizer n'a aucune efficacité au-delà des marges d'erreurs statistiques. Et le rapport de CCCA relève plus d'une dizaines d'autres erreurs majeures dont la convergence démontre la volonté de tromper que Pfizer a mise en oeuvre depuis le début de la pandémie. Pourquoi cette tromperie autour de la sécurité et de l'efficacité du vaccin Pfizer ?L'étude de Thomas et al., financée par Pfizer, et tous les documents produits par Pfizer sont des documents à l'apparence scientifique incontestable. Malheureusement les statistiques publiées sont manifestement fausses et les calculs que Pffizer et ses commis ont publié sont des tromperies évidentes pour peu qu'on les examine. On peut imaginer que le contenu de ces étudres réflètent au moins une partie essentielle des documents remis par Pfizer aux autorités produisant les autorisations d'utilisation des vaccins. On sait que ces agences ont reçu des centaines de milliers de pages de documents et qu'en quelques jours, elles ont rendu une autorisation temporaire d'utilisation sans analyse critique de ces études. Cette négligence, probablement ordonnée par la caste des politiciens circonvenue par Pfizer et le fameux partenariat public - privé contrôlé par Bill Gates, a permis le lancement d'une opération vaccinale absolument délétère fondée sur la confiance trompée de la population vaccinée et par la méfiance instinctive des non-vaccinés, tous emportés dan sla tromperie de Pfizer et de ses concurrents. Et plus encore. La politique en Occident américanisée en a été profondément transformée, faisant régner le mensonge et la désolation partout. Notes et commentaires[1] On note que l'étude de Thomas et al. ne porte pas sur les enfants de moins de 16 ans, dont la vaccination Pfizer a débuté depuis plusieurs mois. Comme on le rappelle dans notre étude, il s'agit d'une véritable mise en danger de la vie et de la santé des enfants. [2] Je voudrais faire deux remarques sur cette répartition géographique des essais cliniques Pfizer :
[3] La table des matières de l'étude de CCCA : Hierarchy of evidence
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