Fin de partie Covid pour le remdesivir |
Ce matin, toute la presse bruisse des résultats négatifs obtenus par ubne drogue miracle promue contre l'hydroxychloroquine : le remdesivir du laboratoire Gileads. Lorsque les médecins - notamment avec le Pr Didier Raoult de Marseille - ont voulu utiliser l'hydroxychloroquine pour soigner les patients de la Covid-19, il y a une éruption de la médecine officielle et des laboratoires pharmaceutiques pour annoncer les plus graves dangers contre l'hydroxychloroquine à 5 Euros le traitement, et les louanges les plus distribuées sur le remdesivir à 800 Euros la dose. Des articles de presse et des articles prétendant au label scientifique à cause de la profession de leurs auteurs ont vomi des torrents de bave verbeuse contre l'hydroxychloroquine et chanté les louanges du remdesivir de Gileads. Petite revue de presse en péan à la gloire du remdesivir
En réalité, tout le monde savait que le remdesivir ne marchait pas contre la Covid-19La farce de la Covid-19 vient du choc entre la réalité du coronavirus et de la société d'une part et l'illusion idéologique des politiciens de santé publique d'autre part. Les médecins qui soignent savaient qu'il existait des traitements symptomatiques contre la Covid-19 et ces traitements comprennent l'hydroxychloroquine, mais pas seulement. Il y a l'azithromicyne, la vitamine D, le zinc, les gluco-corticoïdes et quelques autres. Il y aussi des traitements antigéniques notamment avec le plasma convalescent et d'autres encore.Mais le problème de l'idéologie tient à ce que, dès lors que l'OMS a décidé de lancer l'opération Covid, en déclarant l'épidemie une pandémie, les sanitaristes - probablement de concert avec l'OMS et la Chine - ont décidé que c'était l'opportunité du siècle. Appliquer un principe médical simple et le faire respecter par le monde entier. Ce principe est le suivant : pour une maladie nouvelle, il ne peut exister aucun traitement pharmaceutique (sauf en France le Doliprane ...). Pour lutter contre un virus, il n'existe qu'un vaccin très cher approuvé par des études cliniques normalisées. L'application du principe a été le suivant : le SARS-CoV-2 est un nouveau coronavirus. Il n'a donc aucun traitement pharmaceutique, Il faut donc développer dans les dix ans un vaccin approuvé et très cher (plus de 50 milliards de dollars déjà mobilisés) et en attendant, de soumettre le monde entier à des interventions non pharmaceutiques - en clair la distanciation sociale - pour ralentir la propagation de façon à protéger les systèmes hospitaliers de l'encombrement des malades en détresse respiratoire. Du coup, lorsque des médecins soignants ont commencé à utiliser des médicaments comme l'hydroxychloroquine - mais d'autres médicaments aussi - il a fallu le leur interdire par tous les moyens. D'où la haine qu'on a suscité contre le Pr Raoult en France, mais aussi contre d'autres médecins ailleurs, notamment en Italie, en Espagne ou aux Etats-Unis. Le problème s'est alors posé : que va t'il se passer si les gens découvrent qu'il existe des médicaments contre la Covid ? ""Nous" serons accusé d'avoir empêché de soigner la Covid-19", se sont dit les sanitaristes qui, au demeurant, savent parfaitement qu'elle est très peu mortelle. Ils ont donc tenté de "profiter" de la situation : vendre des drogues très coûteuses comme le remdesivir, mais d'autres aussi comme le lopanavir ou le tocilizumab, en prétendant que ces drogues étaient efficaces contre la Covid-19. Ce qui était faux, mais ne leur importait en rien. Ils ont donc lancé des essais cliniques standardisés très coûteux - et c'est eux qui recevaient les fonds - en faveur du remdesivir et consort et contre l'Hydroxychloroquine - et contre les "vieilles" molécules - de façon à la fois à se protéger des conséquences judiciaires possibles d'une application trop stricte du principe sanitariste de l'intervention non pharmaceutique, et pour faire un peu d'argent en attendant le vaccin. TRAVAIL A SUIVRE |