France, terre de razziasLorsque deux policiers ont intercepté une voiture de luxe occupée par trois mineurs, ils venaient de mener une course-poursuite d'une demie-heure dans les rues bondées de Nanterre. Descendant de moto, les deux policiers tentent d'interpeller les trois occupants, mais le conducteur redémarre. Une arme parle et la voiture s'arrête, le conducteur tué. Dès cet instant, la situation s'emballe. Les habitants s'ameutent autour des policiers venus en renfort et les insultes et les menaces pleuvent de la part des habitants, appartenant aux ethnies d'Afrique du Nord. Rameutées, les chaînes d'informations en continu jettent de l'huile sur le feu et l'ensemble de la population d'origine africaine s'enflamme contre l'Etat français et sa police. Une étrange "marche blanche" est hativement montée où l'on peut admirer la mère de la victime se pavanant de fierté auprès des "meneurs" de l'immigrationisme réussi. C'est en marge de cette ridicule manifestation - qui cependant est le seul fait démontrant une inquiétante déchirure radicale dans la société française entre la population européenne et la population d'origine africaine - que va se développer un autre phénomène. Des individus, souvent masqués, se jettent à la fois à la poursuite des forces de l'ordre et des personnels des services publics et au pillage de tous les magasins qu'ils peuvent trouver, à la fois en banlieue, le pillage s'étendant rapidement aux centre-villes. On note les classiques incendies de "mobilier urbain" et de véhicules en stationnement. Mais aussi, et leur nombre est une nouveauté, l'incendie de nombreux bâtiments publics : écoles, bibliothèques, mairies, commissariats ... Ce n'est plus de la "manif' " qui dégénère, c'est du pillage organisé. En un mot, le retour de la razzia africaine ... L'Etat français fait alors la démonstration de sa faiblesse. Il commence par emprisonner le gendarme auteur du coup de feu mortel, le menaçant des suites les plus délétères. Tout ceci va certainement indisposer les troupes du maintien de l'ordre qui sont complètement exaspérées par l'impunité des individus qu'ils transfèrent quotidiennement aux tribunaux qui les relâchent avec la même promptitude. De sorte qu'il leur arrive d'arrêter le soir un malfaiteur qu'ils ont transféré le matin même à la "justice" ... Le gouvernement français - sachant parfaitement que ses tribunaux ne condamneront personne - lance aulors "sa" police : 20.000 policiers et gendarmes pour faire respecter l'ordre. La nuit est dans toute la France l'occasion de pillages et d'exactions de toutes sortes. Deuxième nuit, il gonfle les muscles : 40.000 policiers et gendarmes. La nuit est dans toute la France l'occasion de pillages et d'exactions de toutes sortes. Troisième nuit, il s'inquiète : 45.000 policiers et gendarmes. Non seulement les pillages se déroulent la nuit, mais aussi en plein jour et aussi bien à Paris, Lyon, Marseille que dans des petites villes comme Dammarie-les-Lys ou Montargis ... A la limite, les banlieues - vous savez les quartiers qui ont "déserté" la République ... - sont plus calmes. Il ne s'agit pas d'émeutes, encore moins d'insurrection et pas du tout de guerre civile - il y en a certainement une, mais elle n'est pas là. Il s'agit de la vieille tradition africaine de la razzia. Quand, il n'y a que des ordres tribaux, éparpillés sur des territoires sans foi ni loi, c'est la loi du plus fort, du plus rapide. Il pille, viole, incendie et se replie "innocemment" dans sa case, sous sa tente. C'est normal. Cà se passe comme cela. Tu n'as quà être le plus fort. L'Etat français, fort de ses 27 ans d'études culminant à Sciences-Po' et l'Ena, imagine qu'il va, dans un français pompeux, édicter quelque loi ou réglement ordonnant la cessation des infractions à la Loi. Les populations d'origine africaine ne sont même pas au courant de ces élucubrations des "blanchets". Tout ce qu'ils constatent, c'est que des gens bien habillés et l'air "poli" leur demandent de s'arrêter. "C'est qui s'bouffon !" dit le délinquant devant le pandore complètement scandalisé. Si - rarement - le délinquant qui s'ignore mais qui sait parfaitement qu'il fait une razzia, est mis en prison, cela n'a strictement aucun effet positif ou éducatif. Aucun. Pourquoi ? Parce que le délinquant d'"origine immigrée" n'a pas la même culture que le blanchet qui a passé son bachot, et travaille en se faisant suer 35 heures par semaine - quand il a de la chance. Si le blanchet va en prison pour six mois, il perd toute chance d'une vie tranquille. Et il le sait. L'immigré d'origine se moque complètement de cette vie tranquille. A la sortie de prison, il va recueillir dans la "tribu" une réputation de guerrier qui revient de chez l'ennemi, triomphant. Perd-il le droit aux allocations sociales ? Il s'en moque ! La razzia lui rapporte dix fois ces misérables euros qui tentent si fort les "blanchets" quand par accident ils sont en perdition. Si l'Etat français n'invente pas une sanction compréhensible par la population d'origine africaine, il est perdu. Déjà, il se noie dans une sorte d'humanitarisme, d'immigrationisme d'un ridicule absolu. Plusieurs fois, l'Etat a perdu pied. Il vient de reperdre pied et ne comprend toujours rien. Pour l'instant, c'est la razzia. Mais, plusieurs faits sont inquiétants. Bien entendu, la razzia n'est exécutée que par les "guerriers". Et en France, elle est même un jeu d'enfants ... Mais toute la tribu en profite. En France, la tribu, c'est la "bande" bien sûr. Mais c'est aussi les frères et soeurs, le "vieux-père-qui-travaille-dur", les cousins, ... et que les "chaînes d'infotainment" nous montrent à l'écoeurement ... D'autant que, selon les origines africaines, la "famille", la "parenté" n'a que très peu à voir avec ce que prévoit le "code civil" ! Mais celà n'est jamais "avoué", ni dit ouvertement. Et cela fait trente ans que çà dure ! Mais, il y a quelque chose qui change. A Nanterre, des français d'origine immigrée, adultes, installés dans la vie des "blanchets" s'en sont pris aux policiers les traitant d'assassins et d'autres choses moins aimables. Ce n'est pas la première fois que cela arrive. Mais, maintenant, la presse le montre. La guerre civile n'est pas ouverte par les razzieurs, mais par les adultes qui profitaient de leurs rapines jusqu'à présent. Ils ont compris que l'Etat était faible et à leur portée. Ce sont ces adultes qui s'organisent, partiellement dans le cadre de l'islam, mais surtout sous l'influence d'ONGs américaine ou d'origine américaine - US si vous préférez - qui sont depuis quelques années employées pour organiser la prise de pouvoir en Europe par des minorités. Déjà, le New York Times évoque dans l'affaire du tué de Nanterre le mouvement insurrectionnel qui a suivi la mort du fameux George Floyd. Black Lives Matter ! Le wokisme, le DEI (Diversité, Egalité, Inclusion), ... BLM a instauré aux USA, du moins dans les Etats "démocrates" un régime permanent de pillages et d'exactions que la police est intimée devoir laisser prospérer. Les gens tentent de fuir ces Etats américains pour des Etats "républicains", mais l'émigration est difficile ... Et bien sûr, l'islamisme veille là-dessus ainsi que l'islamo-gauchisme d'un Mélanchon, .... Ajoutez à celà l'électoralisme des mandarins des LR, des Renaissance et autres macronistes, des écologistes, ... Erratum : l'article initial indiquait que les agents responsables du contrôle fatal de Nanterre étaient des gendarmes. Il s'agissait de policiers, même si l'un d'eux était indiqué par la presse comme "ancien militaire". J'ai corrigé leurs mentions. |