La Hongrie a modifié sa Constitution le 15 Avril 2025. Proposée par le gouvernement de Victor Orban, la modification a été adoptée par le Parlement hongrois par 140 votes pour et 21 contre. Il s'agit donc d'une très large majorité. La presse occidentale n'évoque cette décision capitale que comme une atteinte à la révolution progressiste et ne révèle jamais à l'opinion occidentale que cette décision a été adoptée à une très large majorité. Insidieusement, l'idée que la Hongrie serait une tyrannie est instillée au contraire dans l'opinion publique trompée par la propagande progressiste.

Les modifications constitutionnelles inscrivent dans la loi fondamentale de la Hongrie :

• qu'une personne humaine ne peut être qu'homme ou femme exclusivement, ce qui conduit à interdire le changement de "grenres" ;
• qu'il est interdit d'exposer les enfants à la propagande progressiste woke, ce qui conduit à interdire les "parades woke" ;
• que ces deux dispositions constitutionnelles viennent par priorité juste après le droit à la vie.

Dans une autre modification adoptée le même jour, la Constitutuon hongroise est amplifiée des dispositions suivantes :

• Tout hongrois a le droit inaliénable d'échanger des biens et des services à l'aide de monnaie métallique de façon à réduire le danger des monnaies numériques ;
• Le droit pour le gouvernement de déchoir les bi-nationaux de leur nationalité hongroise et de les expulser en cas de menace à l'ordre public et à la sécurité ; et
• La prohibition absolue de la vente, de la production et de la distribution de drogues illicites.

Dans une autre modification constitutionnelle, le Parlement a adopté des mesures permettant de stopper les actions subversives étrangères, notamment des ONGs financées par des milliardaires étrangers ou par des agences gouvernementales étrangères. Cette dernière mesure est connue comme une interdiction des menées agitées par la myriade d'associations financées par le financier américain d'origine hongroise Georges Soros, responsable de nombreuses menées révolutionnaires un peu partout dans le monde et notammment en Hongrie.

Commentant ces nouvelles mesures, le premier ministre hongrois Victor Orban a déclaré qu'en Hongrie, le sens commun prévaut.

En Hongrie, plusieurs ONGs étrangères comme Momentum, financée par Soros, ont mené des opérations de protestation.