L'OMS monte une nouvelle commission d'étude de l'origine de SARS-CoV-2L'origine de l'épidémie de SARS-CoV-2 : un dogmeAu début de la pandémie, et jusque vers le mois d'avril 2021, le dogme covidiste était établi : SARS-CoV-2 est un pathogène passé à l'homme par une zoonose provoquée par la destruction par l'homme de l'habitat naturel de la faune sauvage. Les "autorités" scientifiques ont d'abod imposé que l'animal source était une chauve-souris "fer-à-cheval" habitant des grottes d'une région désertique du Sud de la Chine. Malheureusement, cette chauve-souris dispose de coronavirus qui ne possèdent pas les gènes adaptés à l'infection des cellules humaines. Il a donc fallu inventer un "animal de transfert". ce fut le pangolin malais, dont nous a t'on dit, les chinois sont firands et on l'aurait trouvé au fameux "marché aux animaux sauvages" de Wuhan, le lieu de la première infection Covid-19. Tout est faux dans ce dogme. Le "marché aux animaux sauvages" de Wuhan n'a jamais distribué de viande de pangolin : c'était un marché au poisson frais comme il y en a des centaines enOccident. De plus, les coronavirus retrouvés dans les pangolins ne possèdent pas mieux que ceux de la chauve-souris "fer-à-cheval" de gènes adaptés à l'infection de l'homme. Pire, le marché au poisson de Wuhan n'est peut-être pas le lieu de la première infection. Mais celà ne troublait pas les "autorités scientifiques" qui cherchent d'ailleurs toujours l'origine zoonotique de l'épidémie à SARS-CoV-2. Quand un dogme s'est imposé en régime idéologique, il est extrêmement difficile de s'en débarrasser. Ils cherchent actuellemet dans les "fermes" qui élèvent des animaux sauvages comme les visons. Malheureusement, on a toujours aucune preuve de cette zoonose et au contraire, on soupçonne que SARS-CoV-2 est d'origine artificielle. Mais certainement pas l'OMS et encore moins la Chine ni les Etats-Unis. Ces trois entités seraient presque certainement la cause de cette origine artificielle de SARS-CoV-2. L'OMS convainc difficilement la Chine de conduire une enquête ... indépendantePour se dédouaner, l'OMS a tenté d'installer une commision d'enquête au mois de décenmbre 2020, alors que c'était déjà trop tard pour trouver des preuves de l'origine artificielle que l'OMS ne voulait à aucun prix trouver. Comme l'enquête avait lieu en Chine, la Chine, d'où était partie l'épidémie, ne voulait à aucun prix que l'enquête soit indépendante. Au simple examen des membres de la commission d'enquête, elle y est parvenue, elle y est parvenue. Quant aux Etats-Unis, ils jouent depuis le début un rôle de victime pas trop outragée, donc pas très convaincant, parce que toutes les informations pointent sur leur implication, aussi bien dans la mise en place des technologies de création de virus, mais aussi parce qu'ils ont financé les laboratoires chinois qui ont manipulé physiquement les coronavirus ! Pour montrer la partialité essentielle de l'OMS, il suffit de citer la première phrase du résumé du rapport :
La mission de la commission d'enquête OMS n'était pas du tout de déterminer l'origine de la pandémie à SARS-CoV-2, mais de vérifier comment la diffusion de la pandémie s'était produite par zoonose. Ce n'est pas du tout la même chose et, de fait, le résultat de cette première commission d'enquête a été lamentable. Elle a constaté :
La première commission d'enquête n'a strictement rien trouvé. Quelques mois plus tard, alors que les preuves scientifiques sur l'origine artificielle de SARS-CoV-2 s'accumulent, l'hypothèse d'une fuite de laboratoire probablement à l'Institut de virologie de Wuhan avant le début décembre 2019 émerge. Elle se heurte à la résistance acharnée des "autorités scientifiques". Mais, le mal est fait et l'OMS décide de lancer une nouvelle commission d'enquête. Indépendante. L'OMS invente SAGOChose très "difficile", l'OMS décide de commencer par créer un nouveau comité consulatatif SAGO. Elle l'annonce le 13 Octobre 2021dans un communiqué intitulé : " WHO Announces Proposed Members of its Scientific Advisory Group for the Origins of Novel Pathogens (SAGO)". Pour ne pas "froisser la Chine ou d'autres Etats, l'OMS décide que le comité n'est que consultatif - ce n'est pas lui qui enquête - et sa mission porte sur tous les pathogènes émergents ou ré-émergents. "Ce n'est pas çà vous que je parle ma soeur, .." Il y a un seul petit problème ; c'est que le fameux SAGO a déjà été constitué avec des personnalités bien connues. Elles sont indiquées dans un autre communiqué de l'OMS, du même jour et intitulé : "Public notice of proposed new Scientific Advisory Group for the Origins of Novel Pathogens (SAGO) members". Parmi celles-ci on note Chrinstian Drosten, virologue.Qui est Drosten ?Il s'agit d'un scientifique allemand, conseiller Covid de la Chancellerie allemande. Cet excellent homme a "inventé" le test PCR de SARS-CoV-2 en quelques heures. Il a obtenu une approbation par les pairs de son article décrivant son étude en moins de deux jours et l'approbation par l'OMS du protocole de test PCR qu'il y définit en autant de temps. Grâce à son protocole, il est possible de tester positifs des échantillons vierges ! Mais il est aussi possible de décider que sont morts du Covid des gens morts de toute autre chose comme d'un accident de la circulation. Moins de trrente jours avant leur décès, ils ont été testés positifs au Covid par un test PCR au protocole Drosten ! Qui est Daszac ?Mais Drosten est encore bien plus que cela. Il faut se tourner vers un autre individu, Peter Daszac. Cet anglo-américain est un spécialiste des zoonoses. Il est même réfréent à l'OMS sur les zoonoses. Il est aussi quasi-propriétaire d'une ONG newyorkaise, EcoHealth Alliance, qui sert de plaque tournante pour le financement par les administrations américaines - NIH et NIAIDS notamment - des recherches des laboratoires chinois de guerre virologique. Par lui des centaines de millions de dollars sont passés de la poche des contribuables américains au tiroir caisse de l'Armée populaire de Chine. A l'insu de leur plein gré ... Cet aventurier des temps modernes, je parle de Daszac, a très vite compris au début de l'épidémie que les choses ne se passeraient pas comme prévues. Il s'est rué sur les groupes de pression pour interdire toute discussion de l'origine noozotique de l'épidémie à SARS-CoV-2. Dès le mois de janvier 2020, dès que les vrais scientifiques ont pu lire le génome du SARS-CoV-2, ils ont immédiatement vu que ce virus ne pouvait pas être naturel. Ils y on vu des insertions d'autres virus que de ceux d'une chauve-souris, fut-elle "fer-à-cheval" ... Ce fut le cas du Prix Nobel français Luc Montagnier qui trouve dans SARS-CoV-2, six insertions de divers souches du virus du SIDA. L'induien Pradhan et l'américiain Lyons-Weiler font des découvertes proches. Le Russe Deignin aussi. Daszac comprend que, s'il laisse percer dans le public et auprès des politiciens au pouvoir que SARS-CoV-2 n'est pas le fruit d'une zoonose, sa poule aux oeufs d'or est morte !... Il décide de faire publier un article dans The Lancet, article qu'il fait promouvoir par la presse du régime : The New York Times, The Washington Post, The Guardian, Le Monde, .... Cet article de The Lancet, intitulé : Statement in support of the scientists, public health professionals, and medical professionals of China combatting COVID-19 a été publié dans The Lancet le 19 Février 2020. Dans cet article complètement fabriqué par une conspiration de scientifiques tous plus corrompus les uns que les autres il est écrit :
... qui fleure bon les bonnes vieilles déclarations politiques ciontre la guerre au Vietnam ou en soutien du grand Staline que les "intellectuels occidentaux avaient coutume de signer il y a 60 ans et plus. Daszac fait écrire ensuite :
et l'appel conclut :
Quand on a constaté que le SARS-CoV-2 est le produit artificiel d'une collaboration entre laboratoires occidentaux comme celui de Ralph Baric de North Carolina University et des laboratoires de l'Armée Populaire de Chine comme celuii de Wuhan, cette déclaration dans The Lancet est une véritable scandale. Retour à Christian Drosten, à SAGO et à l'OMSEt justement, Christian Drosten est nommé comme auteur de la Lettre de The Oancet, juste à côté du nom de Peter Daszac. Or Peter Daszac est membre de la Commission d'enquête en Chine de l'OMS. Et dans SAGO annoncé par l'OMS le 13 octobre 2021, on trouve le nom de Christian Drosten lié à Daszac par la Lettre de The Lancet du 21 Dévrier 2020. Alors que dans le même temps, Peter Daszac, qui avait été nommé à la Commission réunie par The Lancet pour étudier les origines de SARS-CoV-2, en a été récusé en a été exclu, et la raison est clairement indiqué par les éditeurs deThe Lan,cet dans un éditorial du 21 jun 2021 : pour conflit d'intérêt avec la Chine ! Récuser Daszak de la commission d'enquête de l'OMS aurait été une nécessité qui semble avoir échappé à l'OMS. Mais, la nomination de Drosten à la commission SAGO est encore pire. La gestion de la pandémie par toutes les parties impliquées est un immense scandale de corruption. Autres lectures sur SAGO et l'origine de SARS-CoV-2
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