L'inhomogénéité des lots de vaccins Covid. Une revue d'étudesPeu après le début de la vaccination Covid, plusieurs agences étatiques, comme les US CDC ou l'AME de l'UE ont ouvert leurs Registres d'effets indésirables à ces nouveaux vaccins, souvent à ARNm ou à ADN. Le premier Registre est celui des Etats-Unis qui comporte deux sections :
Bien qu'organisé différemment, le registre EUDRA Vigilance vise lui aussi à l'exhaustivité. Très vites, les biostatisticiens et biologistes se sont emparés des données publiques et ont commencé à les traiter. Une donnée a été très vite découverte : les lots de vaccins. (batches en anglais).. Il s'agit d'une sous-unité de conditionnement des vaccins qui chacun comporte un nombre donné de doses de vaccins à injecter. Notamment, les données enregistrées concernent :
Par ailleurs, chaque cas individuel d'effets indésirables rapportés dans le registre fournit la date de l'injection et l'identifiant du lot dont était tirée la dose injectée. Sur ces statistiques, dès le début de l'année 2021, on a connu un effet très spécial résumé dans ce graphique : Plus la date du lot est ancienne, plus le lot produit d'effets adverses sérieux. Puis, les analyses s'amplifiant, plusieurs auteurs ont découverts que moins de 5% des lots cumulaient 90% des effets adverses. Ainsi, le biologiste Robert Malone, inventeur de la technique de l'injection d'antigènes par ARN ou par ADN, ayant lui-même souffet d'effets adverses séreux a recherché l'identifiant du lot de vaccin dont était tiré son injection et a découvert que cet identifiant faisait partie des 5% les plus dangereux. Il s'était alors ouvert un site intitulé https://www.howbadismybatch.com/. N'étant pas moi-même vacciné, je n'ai pas visité ni testé ce site. Plus récemment, des épidémiologistes danois ont recherché la distribution des cas indivuduels d'effets adverses déclarés au Danemark en fonction de l'identifiant du lot. Ils ont obtenu une distribution en trois groupes très symptomatique : 
On remarque que le groupe en bleu produit plus d'effets adverses que le groupe en jaune qui n'en produit pratiquement pas et que le groupe en vert qui en produit modérement. Les auteurs dabnois qui se sont limité au vaccin Pfizer estiment que cette distribution dénonce un signal de sécurité sur le vaccin Pfizer qui n'a pas été signalé jusqu'à présent et qui exige des analyses plus approfondies. La biostatisticienne Jessica Rose a repris les études de l'équipe danoise en travaillant sur les bases de données publiques VAERS. Elle a notamment isolé un lot du groupe bleu de l'étude danoise et un lot du groupe jaune. La comparaison est visible sur la figure : 
Très clairement, le lot du groupe jaune a été injecté à un groupe de patients plus jeunes (âge médian de 37 ans) que l'âge médian (50 ansà du lot du groupe bleu. La faiblesse des effets adverses s'expliquerait donc par l'âge. Je formerai ici deux hypothèses que je n'ai pas encore testées :
Références
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