Certains média - les autres préfèrent faire silence sur l'affaire - se sont émus de ce qu'il vient de se passer : un jeune rugbyman de 16 ans a été égorgé lors d'une fête de village et plusieurs autres personnes sont grièvement blessées par arme blanche, dont un vigile qui aurait perdu les doigts de sa main droite. Vers deux heures du matin, une dizaine - le chiffre est encore incertain - d'individus d'un "quartier difficile" de la ville voisine ont débarqué de plusieurs voitures. Ils ont tenté de pénétrer dans la salle des fêtes de ce petit village de 500 habitants alors que la fête allait sur sa fin. Ils ont molesté les vigiles qui protégeaient la fête et ont attaqué indistinctement tous les participants de la fête qui tentaient de fuir. Méthodiquement placés à l'entrée, les criminels attendaient l'avance de leurs victimes et les découpaient au couteau systématiquement.

Les habitants du village n'étaient pas armés. Leurs agresseurs si.

Alors que l'enquête n'en serait qu'à ses débuts - il n'y a pas grand chose pourtant à enquêter - les médias ont immediatement analysé l'incident à l'aide de leurs catégories habituelles. L'incident a eu lieu lors d'un bal de village. Donc il s'agit d'une rixe entre personnes alcoolisées ou bien d'une expédition punitive quand l'un des individus aurait été refusé à l'entrée du bal ...

Il est prévisible que Darmanin fera dire que, parmi les agresseurs, il y a des Kevin et des Matteo. Ou encore qu'il s'agit de supporters anglais ... Pourtant, les indices convergent pour reconnaître une attaque provenant de la population islamo-gauchiste qui est en train de redécouvrir la tactique de la "razzia" et, probablement, une autre technique de contrôle social, la dimmitude.

Ces agressions de la part du peuple islamo-gauchiste se multiplient dans l'indifférence peureuse et des autorités occcidentales et des observateurs ou bien myopes ou bien attentistes. Attendant de savoir lequel va triompher au bout du compte. Dans six mois ou six ans. Probablement pas beaucoup moins, pas beaucoup plus.

Si des observateurs mieux avertis comme Zemmour ou Finkelkraut, chacun avec ses mots plus ou moins "prudents" ou "consensuels" ont déjà dénoncé "deux peuples" ou des "fractions irréductibles" selon les cas, pour le peuple islamo-gauchiste - la fraction islamo-gauchiste si le mot de peuple vous écorche la bouche - l'autre n'est pas un peuple, ni une fraction. C'est la masse serve des "dimmis", des gens qui ne sont pas "islamo-gauchistes", mais qui se soumettent à la force, au dynamisme de l'islamo-gauchisme.

Les agresseurs du "peti bal du samedi soir" ont juste redécouverts la razzia des populations musulmanes d'Afrique du Nord. Une bande inorganisée, mais armée, apparaît brusquement dans un village. Tue, pille, viole et enlève femmes et esclaves. Et, aussi rapidement qu'ils sont venus, les agresseurs disparaissent avec leur butin. Laissant la mort et la désolation dans le village "razzié". Qui se trouve devant un dilemne : ou bien s'armer pour résister à la prochaine razzia qui surviendra nécessairement - la figure des Sept Samouraïs - ou bien trouver un moyen pour se soumettre. Et dans l'islamo-gauchisme, c'est de payer l'impôt islamique que prélèveront à leur gré les islamo-gauchistes.

S'armer ? Au nom de la "paix sociale", le régime occidental qui, depuis 50 ans, a installé l'islamo-gauchisme, ne peut l'admettre un instant : "la République possède le privilège de la violence légitime" ...

Or, le goût de la "razzia" s'étend parmi toute la population islamo-gauchiste. La plus grande partie des exactions commises par le peuple islamo-gauchiste sont des razzias commises contre les populations judéo-chrétiennes. Considérez les lamentables actions des écologistes - membres de fait du peuple islamo-gauchiste. Les écologistes participent actuellement avec "ferveur" aux lamentables manifestations de soutien au Hamas, honteusement dénommées "soutien au peuple palestinien", qui est islamo-gauchiste à 98%. Eh bien, les écologistes depuis deux-trois ans, mettent en oeuvre la technique de la "razzia". Une bande d'écologistes revêtus de vestes de chantier orange - ils essayent d'éviter le "jaune" des "Gilets" du même nom, allez savoir pourquoi - fait irruption sur la chaussée d'une voie de circulation stratégique et se placent devant le front des véhicules pour les bloquer ou les contraindre à avancer au pas.

Exaspérés, les automobilistes tentent de les écarter. Les écologistes reviennent inlassablement. Que la police intervienne, cela ne change rien, tant que la bande n'aura pas été entièrement chargée dans les fourgons policiers.

C'est une razzia.

Et nous en sommes, encore et toujours, les "dimmis". Avec la "protection" du régime occidental.