L'origine de SARS-CoV-2 - L'habitude du mensonge

Philippe Brindet - 11 Juin 2021

La médecine moderne n'est plus fondée sur la Science, mais sur l'idéologie. Depuis plusieurs années, il a été décidé dans les milieux sanitaristes comprenant les Organisations internationales comme l'OMS, mais aussi les ONG comme EcoHealth Alliance, les agences gouvernementales comme les ARS, l'ANSM et leurs semblables un peu partout en occident américanisé et ailleurs, que la "prochaine" pandémie proviendrait d'une zoonose.

Quand à leur grande surprise, la Chine a annoncé une nouvelle épidémie qui provoquait un syndrome aigue de détresse respiratoire, tous les sanitaristes du monde se sont rués sur le malheureux virus pour le "déguiser" en pandémie la plus grave des dix derniers millénaires, ou peut être même depuis la naissance de l'humanité. On n'a jamais réussi à mettre en quarantaine plus de deux milliards d'êtres humains. Pour y parvenir ce coup-ci, fallait-il que le danger soit immense !

En réalité, la mortalité dans la plupart des Etats de l'occident américanisé est en décroissance constante depus plus d'un siècle. La surmortalité - largement provoquée par les mesures anti-Covid absolument stupides prises par les sanitaristes et qu'ils sont parvenus à imposer à des gouvernements sans intelligence - ramène la mortalité de 2020 au niveau de celle de 2005. Nous avons perdu "au pire" quinze ans de progrès dans l'allongement de la durée de vie La plupart des morts attribués au SARS-CoV-2 sont en réalité des décès de gens qui avaient été infectés, mais dont la cause de la mort n'a rien à voir avec le SARS-CoV-2. Et les gouvernements tentent désespérement de ne pas estimer le nombre des morts provoqués par les mesures sanitaires y compris ceux des vaccins.

Cela n'empêche pas les sanitaristes - et les gouvernements qui leurs servent d'otages - de répéter à la nausée que ... il y a beaucoup de morts de Covid. Depuis quelques mois, on évite de citer des chiffres trop précis et on évite de reprendre le truc "paniquant" du bulletin télévisé quotidien des morts et des réanimés ...

Mais tout dans la médecine est devenu mensonge.

Le dernier mensonge qui vient de se révéler, c'est parce que plus personne ne "croit" à l'origine zoonotique de SARS-CoV-2. C'était en effet une "croyance" imposée par une médecine qui n'a plus rien à voir avec la Science et tout avec l'idéologie. Au moins un mensonge révélé au grand jour ! Quoique il semble que pas grand monde ait vraiment compris que le SARS-CoV-2 ne vient pas d'un milieu naturel.

Ce que l'on cherche à imposer, c'est l'hypothèse de la fuite d'un laboratoire chinois, celui de l'Institut de Virologie de Wuhan qui est spécialisé dans les coronavirus de chauve-souris - et incidemment dans le virus du SIDA.

Or, aujourd'hui, au sujet de la fuite d'un laboratoire chinois, nous ne disposons d'aucune preuve et seulement d'indices : 3 chercheurs décédés avant le début de l'épidémie et deux ou trois "bruits" concernant des défauts de sécurité biologique dans ce laboratoire. Le truc de la fuite de laboratoire est encore presque un mensonge. Il n'est qu'une hypothèse.

Or, ce qui a permis d'arriver à l'hypothèse d'une "fuite d'un laboratoire chinois", ce n'est pas du tout un fait prouvé que la pandémie est le produit d'un accident de laboratoire. La véritable information, c'est que le SARS-CoV-2 est une chimère, produit de l'ingéniérie génétique. Un produit réalisé dans plusieurs laboratoires de l'Armée chinoise. Or, cette information est connue depuis le début de la pandémie. Dès Avril 2020, le Pr Montagnier, Prix Nobel de médecine, identifiait six insertions artificielles dans le génome de SARS-CoV-2. Le microbiologiste Lyons-Weiler en avait trouvé une région complète, depuis connue comme le gène S. Et l'Indien Pradhan avait identifié quatre insertions artificielles, dont l'une comprenait le quadruplet d'acides aminés PRRA à la fusion entre les deux moitiés du gène S, de sorte que le SARS-CoV-2 est capable d'infecter les cellules à récepteurs ACE2. Comme les cellules épithéliales des vaisseaux sanguins respiratoires. Et de les placer en configuration chimique pour produire des maladies sanguines graves comme les thromboses.

La véritable information que personne ne veut diffuser, mais que la plupart des scientifiques connaissent depuis plus d'un an, c'est que SARS-CoV2 est une arme biologique qui a été conçue pour produire les effets que nous voyons partout dans le monde. La virologue chimoise dissidente Li-Meng Yan a publié plusieurs articles qui décrit les développements dans les laboratoires de l'Armée chinoise, avec lesquels l'Institut de Virologie de Wuhan collabore de manière officielle. Avec des subventions du gouvernement américain, subventions attribuées par Fauci, le "patron" des NIH depuis vingt ans, ainsi que qu' avec une coopération de presque dix ans avec une équipe de l'Université de Caroline du Nord, dirigée par le virologue Ralph Baric, qui après avoir soutenu l'idéologie de la zoonose, a "trahi" ses collaborateurs chinois en cosignant un article dans la revue Science pour demander une enquête internationale sur l'origine de SARS-CoV-2, origine qu'il connaît parfaitement, puisque c'est lui qui a mis au point les techniques d'insertion de codes génétiques pour obtenir des gains de fonction pour réaliser des armes biologiques.

Aujourd'hui, nous savons que le SARS-CoV-2 est un pathogène militaire. Ce que nous ignorons, c'est s'il a été diffusé dans le monde par un accident de laboratoire ou s'il l'a été par un acte militaire délibéré. La différence n'offre aucun intérêt. Mais les autorités sanitaires et les gouvernements sont tellement habitués au mensonge ...

Références

On peut lire sur le sujet les articles de la Revue C-Politix et notamment :

Articles importants :

  • Li-Meng Yan, The Wuhan Laboratory Origin of SARS-CoV-2 and the Validity of the Yan Reports Are Further Proved by the Failure of Two Uninvited “Peer Reviews”, 31 Mars 2021 ;
  • Li-Meng Yan, Call for the WHO Team to Investigate the Pangolin Coronaviruses and the RmYN02 Bat Coronavirus, 19 Janvier 2021
  • Li-Meng Yan, Unusual Features of the SARS-CoV-2 Genome Suggesting Sophisticated Laboratory Modification Rather Than Natural Evolution and Delineation of Its Probable Synthetic Route, 14 Septembre 2020 ;
  • Li-Meng Yan, SARS-CoV-2 Is an Unrestricted Bioweapon: A Truth Revealed through Uncovering a Large-Scale, Organized Scientific Fraud, 8 Octobre 2020 ;
  • PEREZ JC - WUHAN COVID-19 SYNTHETIC ORIGINS AND EVOLUTION, 1 Février 2020 ;
  • PEREZ JC - Wuhan COVID-19 and SARS Coronaviruses Genomics Fractal Metastructures Evolution and Partially Synthetic Origins, 13 mars 2020
  • PRADHAN P - Uncanny similarity of unique inserts in the 2019-nCoV spike protein to HIV-1 gp120 and Gag, 30 janvier 2020 ;
  • LYONS-WEILER J - On the Origins of the 2019-nCoV Virus, Wuhan, China, 30 Janvier 2020.
  • A SARS-like cluster of circulating bat coronaviruses shows potential for human emergence, parmiles co-auteurs : Ralph Baric de l'univ. de Caroline du Nord et Zhen-Li Shi, chef de service à l'Institut de Virologie de Wuhan, 20 Novembre 2015 ;
  • Brevet US 2006/0240530, Methods and Compositions for Infectious cDNA of SARS Coronavirus, du 21 juillet 2003. Ce brevet est typique du premier SARS-CoV de 2003. Mais, il indique comment modifier le génome de ce coronavirus pour le rendre plus infectieux ;
    Plusieurs auteurs affirment que Baric cherchait seulement à produire des vaccins contre le SARS-CoV. L'affirmation est bien soutenue par le texte du brevet. Mais Baric enseigne aussi comment produire des virions infectieux (para 0124) et définit des méthodes basées sur la RT-PCR pour insérer des acides aminés déterminés en des positions précises du génome du SARS-CoV dans le but d'obtenir des fonctions biologiques bien précises..


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