La chute d'un politicien du Covid - Le cas JohnsonOn annonce la possible chute de l'actuel Premier Ministre britannique, le rutilant Boris Johnson. Il existe des spécialités britanniques qui rendent son cas tout à fait ... spécial, mais, Johnson et sa chute (possible) sont des pierres de touche du personnel politique actuel :
Boris Johnson, un cas pathologique de sanitarisme délirantJohnson a été choisi Premier Ministre par la Reine parce que son Parti Conserverteur avait remporté des élections à la Chambre des Représentants locale. Suivant le Brexit qu'il était "supposé" accompagner de ses efforts politiques, les conservateurs regardaient sa trogne enluminée de fêtard attardé avec une sympathie non dissimulée. Ils ont vite déchantés. Comme Trump, élu peu avant son accession au pouvoir, Johnson qui était connu comme Conservateur et Maire de Londres, va se révéler un progressiste comme le Parti Travailliste (Le Labour ...) n'en a jamais rêvé. C'est exactement le modèle Merkel, Sarkozy, Macron, Trump, ... Des conservateurs, qui plaisent aux conservateurs, et qui mettent en place des politiques progressistes ! N'étant pas Britanniques, laissons de côté son exercice du pouvoir jusqu'au 15 mars 2020, date où les politiciens "découvrent" que la pandémie déclarée par l'OMS depuis quelque temps est exactement l'événement attendu depuis dix ans par la caste des hyper-milliardaires et leurs laquais des organisations bien-pensantes, auxquelles la plupart des politiciens occidentaux - et d'ailleurs - sont affiliés : le World Economic Forum, le GIEC, les Bildergberg, etc. Il aura fallu un "rapport" payé par Bill Gates à un informaticien de seconde classe, Neil Ferguson, pour avertir les politiciens que la Caste les écraserait s'ils ne fermaient pas les économies des pays occidentaux "pour lutter contre le coronavirus". Ce dernier était "nouveau", n'avait pas de "médicament efficace" et il fallait attendre le "vaccin, sûr et efficace". En attendant, il "fallait" - au sens d'un devoir politique dicté par la "Science" - bloquer toute interaction sociale en empêchant les gens de vivre, "pour les protéger". Et c'est le moment que choisit Boris Johnson pour se lancer dans une crise aigüe de "sanitarisme délirant". Comme Trump. Comme Merkel, Comme Macron. Comme ...enfin tous les politiciens occidentaux. Johnson, comme ses comparses à l'étranger, était poussé par deux motifs d'une puissance incomparable :
Boris Johson, un cas psychiatrique d'otanisme fanatiqueDès le début de sa fonction, Johnson va se montrer un vassal appliqué de l'Administration américaine en général, et de sa section "étrangère" l'OTAN, en particulier. L'une des manifestations ordinaires de son fanatisme otanien réside dans sa position politique russophobe absolument psychiatrique. Il n'est pas de semaine sans laquelle Johnson et ses affidés n'aient pas traité Poutine d'assassin ou de dictateur, la Russie d'Etat terroriste ou de choses du même genre. Bien entendu, c'est à compter du 24 Février 2022 que le fanatisme de Johnson va se donner libre cours. Johnson va exciter Zelinsky, le dictateur au pouvoir en Ukraine, dans son combat contre l'influence russe. Zelinsky qui est un corrompu notoire - voir les Pandora Papers, passés depuis aux oubliettes par la presse même qui les a révélé ! - possède plusieurs immeubles de luxe à Londres qu'il a acquis pendant la mandature de Johnson à la Mairie de Londres. Johnson va servir d'agent provocateur dans le milieu trouillard des politiciens occidentaux, qui craignent la guerre plus que l'épidémie. Il faut savoir que la plus forte armée occidentale, après les USA, est l'armée française. Le 17 février 2022, une semaine avant le début de l'opération spéciale de la Russie en Ukraine, le Sénat publiait un rapport indiquant que l'armée française ne disposait pas de moyens pour une guerre de haute intensité dépassant 8 jours. Clairement, l'armée française peut aligner au combat trente mille hommes et elle a besoin des transports de l'Armée américaine pour les projeter hors de France. Le Royaume-Uni dispose actuellement de 20.000 fantassins, de sorte qu'il peut projeter une force de 5 à 7.000 hommes, pas plus ! Mais la folie d'un Biden ou d'un Johnson va se communiquer aux autres chefs d'Etat, Merkel s'étant opportunément retirée à temps ! Ne disposant d'aucun moyen militaire, Johnson va les contraindre à donner de l'argent à Zelinsky, l'homme le plus corrompu de l'Europe de l'Est ! Or, les occidentaux ont très peu de stocks d'armes et de munitions et les américains n'en ont pas tant que celà, d'autant qu'ils sont menacés en Asie par la Chine ! Johnson va jouer un jeu d'agent provocateur parmi les politiciens européens les poussant à soutenir l'Ukraine qui aligne une armée plus forte que l'ensemble des armées des Etats du continent européen. Mais, le résultat est ridicule. La France aurait donné 6 à 12 canons automoteurs avec très peu de munitions anciennes. Le reste est à l'avenant et la Grande-Bretagne qui pousse à la guerre est encore moins capable ! Autrement dit le fanatisme otanien de Johnson ressort plus de la psychiatrie que de la politique étrangère ! Le Ministre de la Défense britanique, toute aussi malade que Johnson, vient de reconnaître que les pertes de l'armée ukrainienne étaient déjà supérieures aux effectifs de l'armée britannqiue !... Aussi la fin du ministère Johnson est loin d'être une mauvaise nouvelle pour les peuples britanniques. Il n'est jamais confortable d'être dirigé par un fou. Malheureusement, Johnson est loin d'être, dans la classe politique britannique, un cas isolé. Et pire encore, la chute de son ministère est seulement annoncée ... Il faut attendre. Mais son sort funeste pourrait atteindre d'autres politiciens européens qui ont adoptées les mêmes politiques que lui : sur le coronavirus ou sur l'Ukraine.
Annonce à 16:00, le 7 juillet 2022 : Démission de Boris Johnson, Premier Ministre britannique :
Lire la déclaration de Johnson sur The Telegraph |