La question russe. Observations françaises

Un scandale mondial très peu connu, très peu médiatisé

C'est un événement qui a été très peu rapporté par la presse occidentale. On peut citer à titre de rares exemples :

• Moscou accuse le Pentagone d'avoir financé en Ukraine des recherches sur des armes biologiques, Le Figaro, 10/03/2022 expose les griefs du Ministre ruisse Serguei Lavrov concernant l'existence de biolans américains et le Figaro relauye les dénégations de Washington.
• Des armes biologiques en Ukraine ? Tout comprendre aux accusations de Moscou à l'égard de Kiev et Washington, Le Figaro, 11 Mars 2022, soutient que Washington a fait justice des accusations proférées sans preuve par Moscou.

Malheureusement, pour la presse de propagande du régime occidental, la vérité se fait jour grâce au travail inlassable des chercheurs indépendants. Quelques noms ?

• En Bulgarie : la journaliste indépendante Dilyana Gaytandzhieva ; elle est la première semble-t'il à avoir mené des enquêtes approfondies et indépendantes ;
• Aux USA : le biologiste inventeur des traitements géniques à base d'ARNm et d'ADN, Robert W. Malone. Mais aussi Jessica Rose, Célia Farber,
• En France : Patrice Gilbertie qui s'est emparé de la question dès qu'elle est apparue dans le conflit russe.

La première source remonte donc à une journaliste indépendante bulgare. Dans plusieurs articles publiés dès 2018, elle révèle que les USA ont construits et lancé l'exploitation de biolabs sur le territoire ukrainien et ailleurs dans d'autres Etats satellites des USA, autrefois de l'ancienne URSS, mais aussi en Asie et en Afrique. Y sont menées des expériences d'infections avec divers pathogènes sur des populations civiles ou militaires. Ces infections déclenchent des épidémies qui sont rapidement jugulées au prix de centaines de morts. Ces assassinats sont soigneusement dissimulés par des accords entre les USA et les Etats sur le territoire desquels sont exploités ces laboratoires.

Dès le début de l'invasion russe en Ukraine, les Russes ont alertés sur l'existence de ces "biolabs" et indiqués qu'ils comptaient en prendre le contrôle pour démontrer la duplicité des Etats-Unis. En réponse, l'OMS publie dès le 26 Février 2022 un communiqué appelant les USA et l'Ukraine à prendre toute mesure permettant de détruire sur le champ tous les pathogènes qui pourraient sinon être relâchés accidentellement dans la nature en cas de dommages subis par ces biolabs lors d'opération militaires. Avec raison, on a accusé l'OMS de demander la destruction de preuves de crimes contre l'humanité.

La Chine intervient alors pour demander aux USA de prendre position sur l'existence de ces biolabs et de tout mettre en oeuvre pour qu'aucune catastrophe dérivant d'un acte de guerre ne puisse survenir.

Les USA répliquent en effaçant du site web de l'ambassade des Etats-Unis à Kiev les documents établissant que les USA avaient pourtant une communication publique sur ces biolabs ukrainiens. Ces documents ont été sauvegardés par des activistes américains et ils sont rendus disponibles sur leurs sites web. Dans ces documents on apprend de nombreux détails. Particulièrement plusieurs de ces biolabs sont opérés par une société ukrainienne qui est la filiale d'une société américaine détenue par un proche du Président des Etats-Unis, son fils Hunter. Cet individu, déjà possible prête-nom de son père dans les années 2014 dans le conseil d'administration d'une société pétrolière ukrainienne, Burisma, est à la fois l'un des agents corrupteurs des oligarques ukrainiens, et un corrompu notoire. Il dispose de très nombreuses sociétés pour aspirer du cash de pays comme l'Ukraine, la Russie et encore la Chine.

Lors d'une enquête du Procureur général d'Ukraine, Biden fils a été convaincu de malversations et de corruptions. Mais sur instruction formelle du Vice-Président des Etats-Unis, Joe Biden à l'époque membre de l'Administration Obama, ce Procureur général a été démis de ces fonctions par Porochenko, le président ukrainien d'alors, lui-même oligarque ukrainien corrompu par Hunter Biden.

Pour revenir au problème des biolabs ukrainiens installés par et exploités pour les américains, leurs financements sont largement opérés par le redoutable Anthony Fauci par l'intermédiaire de l'Agence de santé américaine, les NIH, mais aussi par l'ONG EcoHealth Alliance et son quasi propriétaire, Peter Daszac. Ces deux entreprises factieuses et alliées ont déjà été dénoncées dans le financement et le contrôle de l'Institut de Virologie de Wuhan qui pourrait être l'origine de la pandémie SARS-CoV-2. Leurs versements sont identifiés dans de nombreux documents officiels rendus publics. Ces fonds sont identifiés ansi que l'identification du projet et le destinataire de ce projet. On note que plusieurs laboratoires pharmaceutiques américains, dont la firme Gilead, sont aussi partie dans le contrôle et le financement des biolabs ukrainien et géorgien.

Le mécanisme de la corrution consiste à ordonner par des sous-ordres comme Fauci le versement de subventions monstrueuses à des sociétés locales d'exploitation des biolabs et à répartir ce cash entre Biden et les oligarques ukrainiens ou d'ailleurs, par le biais de contrats avec les sociétés appartenant aux corrompus.

A l'heure où nous écrivons, les Russes ont annoncés qu'ils avaient saisies les preuves documentaires de l'existence de ces biolabs ukrainiens et de leur contrôle par les Etats-Unis. Mais, les différents documents fuités par les activistes d'une part, et par les autorités américianes d'autre part ne laissent aucun doute sur la réalité des ces biolabs qui, selon toute évidence, sont d'inadmissibles violations des conventiosn internatiobnales sur les armes pathogéniques d'une part et sur la recherche biomédicale d'autre part.

1 - Un exemple de projet pour des biolabs ukrainien et géorgien :

Dans un article Documents expose US biological experiments on allied soldiers in Ukraine and Georgia, By Dilyana Gaytandzhieva - January 24, 2022, sont décrits plusieurs programmes de l'armée américaine qui utilisent des biolabs en Ukraine et en Géorgie qui utilisent les troupes militaires comme cobayes dans des inoculations de pathogènes mortels. Il semble que les conventions internationales soient régulièrement violées par ces programmes expérimentaux.

Ce programme UP-8 est commandé par une agence spéciale du Département de la défence US, le Defense Threat Reduction Agency (DTRA), qui utilise les biolabs ukrainiens comme des sous-traitants directement sous ses ordres.

Project UP-8: All deaths of study participants should be reported within 24 h	Projet UP-8 : Tous les décès de participants à l'étude doivent être signalés dans les 24 heures
The Defense Threat Reduction Agency (DTRA) has funded a similar project involving soldiers in Ukraine code-named UP-8: The spread of Crimean-Congo hemorrhagic fever (CCHF) virus and hantaviruses in Ukraine and the potential need for differential diagnosis in patients with suspected leptospirosis. The project started in 2017 and was extended few times until 2020, internal documents show.	La Defense Threat Reduction Agency (DTRA) a financé un projet similaire [au projet GG-21 en Géorgie] impliquant des soldats en Ukraine sous le nom de code UP-8 : La propagation du virus de la fièvre hémorragique de Crimée-Congo (CCHF) et des hantavirus en Ukraine et le besoin potentiel d'un diagnostic différentiel chez les patients atteints d'une suspicion de leptospirose. Le projet a débuté en 2017 et a été prolongé plusieurs fois jusqu'en 2020, selon des documents internes.
According to the project’s description, blood samples will be collected from 4,400 healthy soldiers in Lviv, Kharkov, Odesa and Kyiv. 4,000 of these samples will be tested for antibodies against hantaviruses, and 400 of them – for the presence of antibodies against Crimean-Congo hemorrhagic fever (CCHF) virus. The results of the blood testing will not be provided to the study participants.	Selon la description du projet, des échantillons de sang seront prélevés sur 4 400 soldats en bonne santé à Lviv, Kharkov, Odessa et Kiev. 4 000 de ces échantillons seront testés pour les anticorps contre les hantavirus, et 400 d'entre eux - pour la présence d'anticorps contre le virus de la fièvre hémorragique de Crimée-Congo (CCHF). Les résultats des tests sanguins ne seront pas fournis aux participants à l'étude.
There is no information as to what other procedures will be performed except that “serious incidents, including deaths should be reported within 24 hours. All deaths of study subjects that are suspected or known to be related to the research procedures should be brought to the attention of the bioethics committees in the USA and Ukraine.”	Il n'y a aucune information sur les autres procédures qui seront effectuées, sauf que «les incidents graves, y compris les décès, doivent être signalés dans les 24 heures. Tous les décès de sujets d'étude suspectés ou connus pour être liés aux procédures de recherche doivent être portés à l'attention des comités de bioéthique aux États-Unis et en Ukraine.

2 - Le précédent de Wuhan - Chine

En réalité, depuis le mois de janvier 2020, le monde est au courant que les USA dispose de liens pour faire exécuter des recherches sur des pathogènes notamment en Chine. Le budget américain, est utilisé pour financer des rechercher sur les gains de fionction en microbiologie notamment à l'Institut de virologie de Wuhan, d'où, selon toute évidence, est partie peut être de manière accidentelle, peut être pas accidentelle, la pandémie de SARS-CoV-2. Tout démontre que SARS-CoV-2 est un pathogène artificiel produit sur la base d'anciennes études d'une équipe américaine de l'Université de Caroline du Sud, dirigée par le micropbiologiste Ralph Baric, et qui a conservé la maîtrise des recherches à Wuhan. Le financement de l'Institut de Virologie de Wuhan comprendrait :

• un financement public par le budget des Etast-Unis, mobilisé par l'agence fédérale NIH dirigée par Anthony Fauci, qui a par ailleurs dirigée la réponse sanitaire à la pandémie ; et
• un financement privé par l'intermédiaire de l'ONG EcoHealth Allioance, probablement pour le compte du milliardaire Bill Gates.

La raison de cette "externalisation" de recherches en biologie provient de ce que l'administration Obama, sur pression de scientifiques alertant sur les dangers que présentent ces recherches, a édicté un moratoire sur les recherches en microbiologie en Gain de Fonction GOF ... Pour contourner cette interdiction, Fauci qui contrôle les NIH US et un lobby de biologistes salariés de l'hypermilliardaire Gates autour de EcoHealth Alliance de Dazsac, ont lancé des projets partout dans les Etats où la corruption leur permettait de braver les interdits : Chine, Ukraine, Géorgie, .....

Le résultat est connu : une pandémie mondiale de coronavirus artificiel ...

3 - La dénonciation des bio-labs américains d'Ukraine

La présence de "biolabs" américains en Ukraine est dénoncée par Wladimir Poutine dont l'armée vient de collecter des preuves de ces travaux illégaux lors de son invasion en Ukraine :

Russian President Vladimir Putin gave an extensive speech on the Ukraine crisis on Wednesday. "There was a network of dozens of laboratories in Ukraine, where military biological programs were conducted under the guidance and with the financial support of the Pentagon, including experiments with coronavirus strains, anthrax, cholera, African swine fever and other deadly diseases," Putin said during his speech.	Le président russe Vladimir Poutine a prononcé mercredi un long discours sur la crise ukrainienne. "Il y avait un réseau de dizaines de laboratoires en Ukraine, où des programmes biologiques militaires étaient menés sous la direction et avec le soutien financier du Pentagone, y compris des expériences avec des souches de coronavirus, l'anthrax, le choléra, la peste porcine africaine et d'autres maladies mortelles", a déclaré Poutine. dit lors de son allocution.
Putin noted that "frantic attempts" are underway to conceal the "traces of these secret programs," according to RT.	Poutine a noté que des « tentatives frénétiques » sont en cours pour dissimuler les « traces de ces programmes secrets », selon RT.
Analysts said Putin's remarks showed that Russia is very serious about the accusations against the US, and apart from providing documents it had obtained in Ukraine, and in order to further verify the accusations, Moscow and Kiev could consider inviting an international investigation team to include neutral countries like China, India, Turkey and representatives from international organizations to enter the relevant facilities to collect more direct and convincing evidence.	Les analystes ont déclaré que les remarques de Poutine montraient que la Russie était très sérieuse au sujet des accusations portées contre les États-Unis, et en plus de fournir des documents qu'elle avait obtenus en Ukraine, et afin de vérifier davantage les accusations, Moscou et Kiev pourraient envisager d'inviter une équipe d'enquête internationale à inclure des agents neutres des pays comme la Chine, l'Inde, la Turquie et des représentants d'organisations internationales à entrer dans les installations concernées pour recueillir des preuves plus directes et convaincantes.
The responses from Washington have made the international community more concerned. White House Press Secretary Jen Psaki last week called out Russian claims that the United States has secretly operated chemical and biological weapons laboratories on Ukrainian territory as a "disinformation campaign."	Les réponses de Washington ont rendu la communauté internationale plus inquiète. La secrétaire de presse de la Maison Blanche, Jen Psaki, a qualifié la semaine dernière les affirmations russes selon lesquelles les États-Unis auraient secrètement exploité des laboratoires d'armes chimiques et biologiques sur le territoire ukrainien de "campagne de désinformation".
But Undersecretary of State for Political Affairs Victoria Nuland previously said at a hearing in Congress that the US has "biological research facilities" in Ukraine and she said "we are now in fact quite concerned that Russian troops"¦ may be seeking to gain control of [those labs], so we are working with the Ukrainians on how they can prevent any of those research materials from falling into the hands of Russian forces should they approach."	Mais la sous-secrétaire d'État aux affaires politiques, Victoria Nuland, a précédemment déclaré lors d'une audition au Congrès que les États-Unis avaient des "installations de recherche biologique" en Ukraine et elle a déclaré que "nous sommes maintenant en fait très préoccupés par le fait que les troupes russes" pourraient chercher à prendre le contrôle de [ces laboratoires], nous travaillons donc avec les Ukrainiens sur la manière dont ils peuvent empêcher l'un de ces matériaux de recherche de tomber entre les mains des forces russes si elles s'approchent."

Source : Global Times, 19 Mars 2022

Les protestations des USA sont strictement sans fondement et la Chine dispose elle aussi d'analyses qui démontrent l'existence de ces "biolabs" réservés à des projets d'armes biologiques :

"The international community has already been greatly concerned about US military biological activities. They have 336 laboratories around the world. This number comes from the information provided by the US to the Conference of Parties of the BWC," Chinese Ambassador to the UN Zhang Jun said at a UN Security Council meeting on March 11 on the matter of US biolabs in Ukraine. At the meeting, the US groundlessly accused China of spreading disinformation while China was just simply urging the US to clarify itself with transparency and evidence.

"La communauté internationale est déjà très préoccupée par les activités biologiques militaires des États-Unis. Ils ont 336 laboratoires dans le monde. Ce nombre provient des informations fournies par les États-Unis à la Conférence des Parties de la BWC", a déclaré l'ambassadeur de Chine à l'ONU Zhang Jun. a déclaré lors d'une réunion du Conseil de sécurité de l'ONU le 11 mars sur la question des biolabs américains en Ukraine. Lors de la réunion, les États-Unis ont accusé sans fondement la Chine de diffuser de la désinformation alors que la Chine exhortait simplement les États-Unis à se clarifier avec transparence et preuves.

Du Kaiyuan, a Shanghai-based military commentator, said the US needs hundreds of such facilities around the world rather than concentrate on the research at its domestic labs because "the tests for biological weapons need live tests which might cause legal problems in the US, but it can get enough samples from other countries."

Du Kaiyuan, un commentateur militaire basé à Shanghai, a déclaré que les États-Unis avaient besoin de centaines d'installations de ce type dans le monde plutôt que de se concentrer sur la recherche dans leurs laboratoires nationaux, car "les tests d'armes biologiques nécessitent des tests en direct qui pourraient causer des problèmes juridiques aux États-Unis, mais il peut obtenir suffisamment d'échantillons d'autres pays."

Source : Global Times, 19 Mars 2022

4 - Que sait-on des biolabs ukrainiens ?

Si on suit l'analyse de Robert W Malone, le microbiologiste inventeur des vaccins ADN et ARNm qui a lui même travaillé dans le domaine des armes, il est établi que :

1. Le gouvernement américain a bien subventionné et contrôlé la construction et l'exploitation de "biolabs" en Ukraine, comme ailleurs, pour développer ou bien des armes biochimiques, ou bien des vaccins contre ces armes ;
2. Un certain nombre de corrompus dont Hunter Biden ont profité de ces équipements pour dériver des montants inconnus ;
3. L'establishment US a tenté de mettre ces révélations sur le compte des "fake news" produits par la propagande russe. C'est le cas de l'Administration Biden, ou de parlementaires comme Romney ou X. Ils ont été assistés par les inévitables clubs de "fact-checkers" comme Politico, USA Today ou Factcheck.org ;
4. les dénégations officielles américaines ont été rejetées comme fausses par les délcarations de Victoria Nuland, Sous-Secrétaire d'Etat de Biden, qui, répondant à une audition au Sénat, a indiqué que des biolabs ukrainiens, opérés par des américains, développaient des armes biochimiques qui risquaient de "tomber entre les mains des Russes ;
5. Le contenu des accords entre les américains et les Ukrainiens est très bien établi par les travaux de Dilyana Gaytandzhieva, mais aussi par les publications de Robert W. Malone, de Glenn Greenwald et de Pepe Escobar.
6. Les Russes et les Chinois disposent de preuves irréfutables qu'ils utiliseront certainement au mieux de leurs intérêts, par exemple dans le cadre d'une enquête internationale.

Notes et commentaires