La réalité du variant OmicronOmicron dès son apparition était connu pour être infectieux, mais peu dangereuxLes autorités sanitaires d'Afrique du Sud avaient averties les Occidentaux dès le 23 Novembre 2021 [1] : le variant Omicron, même s'il est plus infectieux - sa protéine de pointe a gagné un site supplémentaire d'accrochage aux cellules humaines - est beaucoup moins nocif que le variant Delta, lui-même notablement moins nocif que les précédents variants et bien sûr que la souche originale Wuhan. Malgré ces informations, en Occident, les autorités politiques et la presse mettent en place une propagande destinée à inspirer la peur dans la population [2] et à diriger cette population vers le renforcement de la vaccination Covid. Ainsi, les politiciens français au pouvoir ont mises en place des mesures policières pour obliger autant que possible les non-vaccinés à se faire vacciner et les vaccinés à faire leurs doses de rappel successifs [3]. Il faut se souvenir que la diffusion du variant Omicron a coïncidé avec une nouvelle résurgence du variant Delta. Certains Etats ont très vite - peut être trop vite - annoncés que Omicron était devenu majoritaire. Notamment, la Grande-Bretagne annonce le 13 décembre 2021 son premier mort Omicron [4], sans donner d'information sur ce dernier (est-il vacciné ?, par exemple) alors que le nombre de décès quotidiens associés à la Covid est de38 décès pour tout le Royaume-Uni (source : https://www.worldometers.info/coronavirus/country/uk/). Sur Twitter, le professeur de médecine Sikora souligne le défaut d'informations scientifiques sur ce décès et estime qu'il s'agit certainement d'un décès sur un test positif, mais pas de la Covid. L'Allemagne annonce son premier décès Omicron le 23 décembre 2021alors qu'il annonce 4 décès Covid pour 1 million d'habitants (Source : OurWorldInData). Omicron a semblé une aubaine pour les "experts" chargés de soutenir l'alarmismeUn certain nombre d'agitateurs professionnels, salariés par la covidocratie pour alimenter la propagande médiatique et gouvernementale, se livrent à des prévisions apocalyptiques comme l'épidémiologiste "vedette", Neil Ferguson qui annonce 5.000 décès Omicron par jour à la fin de l'année [6] "si on ne fait rien". Ce genre de "prévision" est destinée à donner les "preuves scientifiques" aux politiciens pour qu'ils adoptent des mesures policières de contrainte de la population aussi bien sur leurs activités que sur leur vaccination. En France, deux "professeurs de médecine", l'un encarté au Parti socialiste et l'autre au Parti Les Républicains, et dont les noms ne devraient plus être cités que dans des plaintes en justice pénale, se livrent à des prévisions alarmistes sur le nombre d'infections. L'un d'eux affirme jusqu'à 400.000 infections par jour et en déduit que les urgences seront nécessairement saturés et que le nombre de décès serait record. Eux aussi militent pour rendre la vaccination obligatoire et de soumettre les vaccinés au maximum de contraintes "pour sauver l'hôpital" ... L'insolence de ces individus n'a plus de bornes. Dans le même temps, une étude sud-africaine [7] établit que le risque d'hospitalisation pour le variant Omicron est cinq fois plus faible que celui pour le variant Delta. Le gouvernement britannique est averti [8] que après que les premières données britanniques du monde réel ont révélé que les personnes infectées par l'omicron sont jusqu'à deux tiers moins susceptibles de se retrouver à l'hôpital. La recherche, menée par l'Université d'Édimbourg - soumise aux conseillers scientifiques du gouvernement - suggère que le variant Omicron provoque une maladie beaucoup plus bénigne que le variant Delta et que les vaccins de rappel offrent une protection supplémentaire « substantielle » contre les symptômes. L'Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA) a constaté que les Britanniques qui sont tombés malades avec le variant Omicron étaient moins susceptibles de devenir gravement malades, et présentaient plutpiot une maladie bénigne. Une protestation contre la manipulation des politiciens par les "experts" qu'ils se sont donnésPlusieurs analystes politiques protestent contre la manipulation à laquelle se livrent les "experts" que les gouvernements se sont donnés. Ainsi, en Grande-Bretagne, on peut lire dans The Telegraph [9] :
Il serait temps que soit démonté le mécanisme délétère installé le 16 mars 2021 par Ferguson pour le compte de la Chine et de Bill Gates. Les politiciens qui ont flairé une aubaine pour eux ont adhéré à ce mécanisme qu'il serait temps de démonter et de faire condamner. Quelques questionnements sur OmicronOn remarque qu'il existe un certain nombre d'interrogations scientifiques sur les causes des apparitions des variants. La thèse officielle est que les coronavirus "mutent" selon les lois de l'évolution. Il existe donc des mutations aléatoires dont certaines présentent une stabilité telle qu'elles fondent ce que l'on appelle un variant qui regroupe des mutations héritées d'un ancêtre commun. Bien. Le problème est que le variant Omicron selon plusieurs sources ne dériveraient ni du variant Delta, ni du variant Beta. Il dériverait peut être du variant Alpha duquel il reprend un certain nombre de mutations et plusieurs d'entre elles sont étranges, notamment celle qui, sur le gène S qui donne lieu à la protéine de pointe, produit un nouveau site d'accrochage à de nouvelles cellules humaines. Or, on note aussi que les variants Alpha et Beta ont pris naissance après l'exécution des essais cliniques des vaccins Pfizer, notamment en Inde, en Afrique du Sud et au Brésil, mais aussi en Grande-Bretagne. De même, des essais cliniques ont été exécutés en Afrique du Sud et au Bostwana notamment pour des médicaments monoclonaux visant SARS-CoV-2. On peut donc se demander si les variants ne seraient pas le produit d'une évolution de la souche originale de Wuhan sous l'effet génétique des médicaments, anticorps monoclonaux ou vaccins, testés dans les régions d'apparition de ces médicaments ou vaccins. On remarque que le même travail de sélection de variants peut parfaitement être exécutée par la vaccination elle-même en population génrale lorsque le virus circule encore. C'est la raison principale qui est écrite dans tous les manuels de vaccinologie : "on ne vaccine jamais pendant une épidémie pour ne pas induire des mutations du virus." Cette règle a été entièrement méconnue dans la pandémie de SARS-CoV-2. Enfin, on sait que certains médicaments testés opu utilisés contre la Covid-19, comme le Remdesivir, interdit depuis par l'OMS - ont des effets mutagènes sur SARS-Cov2. Un tel médicament aurait très bien pu faire muter Omicron ou d'aurtres variants. Notes[1] Lire notamment : "South African doctor who raised alarm about omicron variant says symptoms are 'unusual but mild'" Peta Thornycroft - The Telegraph 27/11/21. Dans cet article, le Dr Angela Coetzee, présidente de The South African Medical Association, a été le premier médecin à alerter du nouveau variant dans le district sud-africain de Gauteng. Elle indique que les première infections ne produisaient que des symptômes légers. [2] On peut lire :
[3] On note que Macron, encore président de la République, a renoncé à annoncer lui-même ces mesures. Elles l'ont été par le premier ministre et le ministre de la Santé. Lire notamment :
[4] Lire : UK Government Refuses To Reveal Details About 'First Omicron Death', Summit News, Paul Joseph Watson - 14/12/21 [5] Lire : Germany Confirms First Omicron Death While Italy Revives Outdoor Mask Mandate, ZeroHedge, Tyler Durden - 23/12/21 [6] Is UK heading for New Year lockdown? Professor Neil Ferguson: 5,000 Omicron deaths a DAY, Daily Mail Online, Connor Boyd Deputy Health Editor For Mailonline - 17/12/21. On peut y lire :
[7] Les données scientifiques concernant la gravité du variant Omicron s'accumulent toutes dan sle même sens :
[8] No need for new Covid restrictions as omicron hospital risk two thirds lower, No 10 told, The Telegraph, Charles Hymas - 22/12/21 [9] We are heading for a face off between real world data and Sage modelling, The Telegraph, Sam Hall - 22/12/21 |