La statistique fait de la médecine d'Etat un menteur sans vergogneDisraëli, Premier Ministre de la fin du XIX° siècle sous la Reine Victoria est crédité de la citation suivante : "En politique il y a les mensonges, les satanés mensonges et la statistique." Et Chruchill, le redoutable Premier ministre britannique de la Deuxième Guerre Mondiale disait : "Les seules statistiques vraies sont celles que j'ai moi-même fabriquées.". Depuis, vingt, trente ans, peut être plus, il n'y a pas un article médical ou pharmaceutique qui ne soit farci de tables statistiques, d'intervalles de confiance. Or de confiance, leur lecteur ne devrait leur en accorder aucune. Je dis bien aucune. C'était déjà l'opinion de l'épidémiologiste américain John Ioannidis il y a près de vingt ans. Il faut publier les données brutes des études médicalesPeter Doshi, le rédacteur en chef de la célèbre revue médicale The British Medical Journal (BMJ), et ses chefs de rubrique, rédigent un article absolument explosif concernant le mensonge de la médecine d'Etat, partout en occident américanisé. Ces auteurs exigent que les auteurs scientifiques et leurs institutions médicales publient les données brutes, donc avant "traitement" statistique, pour que le public puisse évaluer leurs études. La plupart du temps, ces données brutes ("raw data" en anglais) sont inaccessibles pour la simple et bonne raison qu'elles permettraient de révéler les manipulations mensongères auxquelles les auteurs se livrent effrontément. Déjà en 2009, l'un des co-auteurs de Doshi, Fiona Godlee, publiait un article explosif sur les mensonges de scientifiques payés par le laboratoire. Les travaux de ces scientifiques salariés concernaient son antiviral qui avait été utilisé lors d'une précédente pandémie, le Tamiflu. Déjà, l'inaccessibilité des données brutes, seules à permettre de reproduire les résultats annoncées par une étude statistique, avait été dénoncée. Rien n'a changé et tout a empiré. Les études révisant les articles fasifiés sont systématiquement censurées par la propagandeLorsque sur la base des données retraitées par les fraudeurs, le plus souvent membres de firmes privées ou d'instituts étatiques, des réviseurs extérieurs au milieu "médical" contestent les études statistiques qui forment l'immense majorité des études "médicales" - comme si votre maladie était "soignée" par une statistique ! - La propagande s'emporte contre eux. Ainsi en France, lorsque des instituts d'Etat comme la Drees ou Epi-phare produisent des études fausses et que leur falsification est dénoncée par des statisticiens étrangers au milieu médical, comme Gibertie ou Lescot en France, la propagande s'acharne contre eux pour déconsidérer leurs critiques aux yeux du public qui, le plus souvent trompé, écarte d'un revers de main méprisant ce qui pourrait l'éloigner de la pourriture qui l'accable. Cette propagande utilise alors le plus souvent le silence de la presse lourde et l'entrée en action des stupides "fact-checkers", salariés de la caste des hyper-milliardaires, la plupart du temps d'ailleurs à la source des financements des études statistiques contestées. Mais même lorsque des statisticiens ont accès aux données brutes et révèlent de manière indépendante des faits médicaux d'une grande importance, ils sont empéchés par la propagande. Le cas de la révision de données brutes sur les myocardites vaccinalesEncore récemment, une statisticienne américaine, Jessica Rose, a testé un nouvel outil statistique qu'elle avait développé en l'appliquants sur les données brutes du registre américain des effets adverses des vaccins, VAERS. Ce Registre d'Etat est maintenu par les CDC, une sorte de fédération d'instituts qui forme ce qui en France s'appelle Santé Publique France. Jessica Rose s'est intéressée aux maladies cardiaques déclarées chez les jeunes vaccinés et leurs mortalités, notamment pour les péricardites et les myocardites. Stupéfaite par l'ampleur de ce qu'elle voyait comme une catastrophe sanitaire, elle se rapproche d'un célèbre cardiologue américain, Peter McCullough, et ensemble, ils publient un article dans une revue de cardiologie reconnue du groupe de presse scientifique Elsevier. Quelques jours après cette publication, Elsevier fait publier une Notice informant "qu'à la demande des auteurs et/ou de l'éditeur, l'article est retacté". Les auteurs Rose et McCullough, outrés, dénoncent le fait qu'ils n'ont jamais rétracté leur article et qu'ils n'ont même pas été averti par l'éditeur. Ils ont intenté un procès pour violation du contrat d'édition. Rose a publié leur article sur son site Substack (voir notes). Or, Elsevier est financé en partie par Bill Gates et par Facebook qui, depuis le début de la pandémie, font pourchasser toutes les publications qui s'écartent ou contestent la propagande covidiste. Ici, rappelez-vous. La propagande diffuse à l'écoeurement le slogan "le vaccin covid est sûr et efficace". Dénoncer une épidémie de péricardites/myocardites vaccinales est donc proprement une contestation de propagande. Il fallait censurer immédiatement une telle contestation. Or, depuis, plusieurs études scientifiques ont montré l'existence de très fréquentes myocardites chez les vaccinés de moins de 30 ans, essentiellement par Moderna, puis de plus en plus fréquememnt pour Pfizer, puis AstraZeneca et enfin Janssen, partout dans le monde. Moderna le premier incriminé a été interdit à la vaccination des moins de 35 ans dans plusieurs pays dont le Japon, la Belgique, le Danemark, la Norvège et quelques autres. Le mal de la propagande officielleMais celà ne ralentit pas la propagande et le public endoctriné continue de répéter que "le vaccin covid est sûr et efficace". "Sûr et efficace", il l'est tellement dans l'esprit berné des gens, qu'ils sont en France à plus de 62% en faveur du passe vaccinal destiné d'une part à "emmerder les non- vaccinés" - un motif évident de santé publique - et d'autre part pour forcer une vaccination qu'il faut absoument éviter de rendre obligatoire. En effet, l'Etat devrait indemniser les déclarants d'effets indésirables d'un vaccin "obligatoire". Alors, on "force" seulement la vaccination et le tour est joué !. Selon le registre VigiAccess de l'OMS, ils sont tout de même : covid-19 vaccine contains the active ingredient(s): Covid-19 vaccine. Result is presented for the active ingredient(s). Total number of records retrieved: 3038220. Le 21 janvier 2022, VigiAccess a donc dépassé les 3 millions de cas individuels rapportant au moins 1 effet adverse. Il y a véritablement un problème des vaccins covid. Sur le nombre de cas des myocardites et des péricardites, VigiAccess montre : Myocarditis (18768) Pericarditis (14123) VigiAccess ne publie plus depuis plusieurs mois le nombre de décès déclarés. L'OMS a obéi à une injonction de la propagande. Notes et commentaires[1] Documents utilisés pour rédiger cet article
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