La suite de la Covid-19 vue de Bergame, Italie

Philippe Brindet - 05.10.2020

Selon le Washington Post (1), en Italie à Bergame, les conséquences de l'épidémie de Covid-19 se font toujours sentir alors que l'épidémie y est réellement terminée. Mais, les anciens malades, alors qu'ils sont tous testés négatif, donc sans trace du coronavirus, ont développé des effets secondaires durables de la Covid-19 : problèmes cardiovasculaires, pulmonaires, psychologiques, fatigue, troubles neurologiques.

Ces troubles sont manifestement les suites "naturelles" de la Covid-19, mais à un point tel que certains médecins se demandent s'il ne s'agit pas d'un Covid-19 non terminé six mois plus tard..

L'article du Washington Post souligne que, lors du pic épidémique, il y avait tellement de malades en grandes difficultés respiratoires que les couloirs de l'hôpital de Bergame "ressemblaient à une scène de l'Enfer de Dante". L'hôpital a compté 440 décès de patients en un mois. Mais il a été contraint pour faire de la place de renvoyer de nombreux malades pas encore stabilisés chez eux. Et 220 d'entre eux sont morts à domicile.

Selon d'autres informations, il semble que les suites d'une infection grave soient devenues moins difficiles au cours du temps. Par contre, les séquelles sont encore largement inconnues, mais leur importance sera très certainement capitale en santé publique dans les années à venir. Une question se pose de savoir si de tels dégâts sont attendus d'une atteinte par un coronavirus d'origine animale. En effet, il existe une hypothèse, vigoureusement rejetée par la médecine "officielle", mais avec une vigueur anormale, hypothèse selon laquelle le SARS-CoV-2 serait une chimère artificielle, dérivée d'un coronavirus de chauve-souris et/ou du pangolin, qui aurait subi une opération génomique complexe pour le rendre plus pathogène grâce à une nouvelle technique d'amplification de fonction. Cette thèse a été esquissée dès avril 2020 par le Nobel de Médecine Luc Montagnier (2), puis reprise par plusieurs autres scientifiques comme le Pr Joseph Tritto (3) ou la virologue chinoise transfuge de Hong-Kong, Li-Meng Yan (4). Cette hypothèse a été par ailleurs soutenue par des déclarations de scientifiques comme les microbiologistes Lyons-Weiler, Angus Dalgleish ou Peter Shumakov.

Notes

(1) Lire The Washington Post, "Italy’s Bergamo is calling back coronavirus survivors. About half say they haven’t fully recovered.", par Chico Harlan, 8 Septembre 2020.

(2) EXCLUSIF - La thèse d'un virus manipulé échappé d'un laboratoire chinois : le pavé dans la mare du Pr Luc Montagnier, in Magazine Web Pourquoi Docteur, du 16.04.2020.
Lire aussi : Jean-Claude PEREZ. (2020). “WUHAN COVID-19 SYNTHETIC ORIGINS AND EVOLUTION.” International Journal of Research - Granthaalayah, 8(2), 285-324. https://doi.org/10.5281/zenodo.3724003.
Lire aussi : at: https://www.researchgate.net/publication/339875307 ; Wuhan COVID-19 and SARS Coronaviruses Genomics Fractal Metastructures Evolution and Partially Synthetic Origins, March 2020 ; Jean-Claude Perez.
Les études de Montagnier et Pérez ont été précédées par un article indien, bizarrement retiré de la publication, à cause de pressions exercées sur ses auteurs : Prashant Pradhan et al, "Uncanny similarity of unique inserts in the 2019-nCoV spike protein to HIV-1 gp120 and Gag", at https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2020.01.30.927871v1.

(3) Joseph Tritto a publié un livre sur cette hypothèse : "Cina Covid 19 – La chimera che ha cambiato il mondo" (Cantagalli, pp. 288, 4 Août 2020) et il a été diffusée la vidéo d'un interview du Pr Tritto, parfaitement clair sur l'hypothèse de la chimère artificielle : https://www.youtube.com/watch?v=WdiHOx7EwGg.

(4) Li-Meng Yan, "Unusual Features of the SARS-CoV-2 Genome Suggesting Sophisticated Laboratory Modification Rather Than Natural Evolution and Delineation of Its Probable Synthetic Route", 14 Septembre 2020, at https://zenodo.org/record/4028830#.X2MuKBAzaUk.


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