Crise de la Covid, matraquage du régime contre son oppositionLa crise de la Covid est occidentale parce qu'elle est idéologiqueLa Covid, ainsi que nul ne l'ignore est la maladie provoquée par l'infection humaine à SARS-CoV-2. Son origine est encore controversée. Son développement est controversé. Son traitement est controversé. Pour des raisons de biologie, de médecine, de statistique et ... de politique. Comment un tel mélange des genres a t'il été rendu possible ? Par l'idéologie. Deux motifs idéologiques ont précipités dans la crise de la Covid. Le premier motif idéologique est que le traitement de la Covid doit être assuré par le pouvoir politique qui prétend lui-même se soumettre aux raisons de la "Science".Le second motif idéologique comporte un aspect public et un aspect secret. Son aspect public tourne autour du thème du "Great Reset" : la crise de la Covid doit être l'occasion d'une opération impossible sans cette crise : le retour à un "état initial" du "logiciel économique" du monde. L'aspect "secret" tient à la fois à la naïveté de l'aspect public du motif idéologique et à l'effrayante duplicité du régime qui domine le monde ; le mensonge.Or, le drame de l'Occident est sa très grande susceptibilité à l'idéologie. L'idéologie commence par les "idées à la mode" - le progrès, la sécurité, la prospérité - et se termine par le "ministère de la Vérité". A ce dernier, nous sommes arrivés. Grâce à la Covid et à ce mortel engouement qu enous vouons à l'idéologie surtout si elle est contestée pae la réalité. L'idéologie conduit au matraquage de l'oppositionDans la chronologie de la crise de la Covid pour ce qui est de l'idéologie, on peut retenir les événements suivants. Début Janvier 2020 :
Mars 2020 :
Avril 2020 :
Mai 2020 :
Juin à Décembre 2020 :
Depuis Janvier 2021 :
A chacune de ces étapes, l'opposition aux mesures politiques dictatoriales prises sous l'excuse de l'"urgence sanitaire" est dénoncée et vilipendés par les autorités sanitaires et politiciebnnes à l'aide de la presse lourde. Ce ne sont que des accusations de complotisme, de rassurisme, de négationisme et même d'atteintes à la démocratie qui sont opposés à tout opposant, même quand il este - comme le Professeur Raoult - dans le domaine scientifique. La voie de l'opposition au régime est donc largement disqualifiée dans l'opinion publique, elle-même matraquée en permanence par le discours terroriste sur le danger du SARS-CoV-2 et dans le même temps par le discours rassuriste sur les effets prétendus positifs des mesures politiques décidées. Un des traits de la crise de la Covid est l'extrême contentement de soi des autorités sanitaires et politiciennes et l'assurance ahurissante des médias de masse, ligués dans une oeuvre mortelle de fabrication de contre-vérités - spécialité des "fact-checkers" - et de vrais mensonges - occupation habituelle des sanitaristes et politiciens. L'opposition acculée à la rebellion : entre résistance et terrorismeOr, ce contentement de soi des autorités sanitaires, politiciennes et médiatiques, alors que la corruption des uns et des autres est de plus en plus évidente, déchaîne le ressentiment des uns et la colère irrépressible des autres. Cette dernière monte à la fois dans les masses populaires, exaspérées d'être privées de tout, depuis le travail qui seul les nourrit, jusqu'aux débordements festifs dans les quels les prolétaires les plus défavorisés noyent la viduité de leur existence, mais auissi parmi des personnalités au tempérament uinflammable. Le dernier en date aura été le chanteur de variétés Francis Lalanne, recyclé dans l'écologisme et le mouvement des Gilets Jaunes. Il aurait appelé l'armée et la police à prendre le pouvoir pour éliminer Macron. La naïveté du propos serait rafraichissante si elle ne dénotait pas une incompréhension totale de la situation politique. Nous ne sommes plus à l'époque où l'assassinat d'un Hitler ou d'un Henri IV, ou enciore d'un Louis XVI, pouvait encore laisser imaginer une délivrance. Notre époque est celle de l'automatisation des processus tyranniques. autrement dit, les personnalités ne sont plus rien. Elles sont démonétisées. Nous n'avons plus que des fonctionnaires d'un régime inconnu. Ces sinistres individus acceptent encore par goût des honneurs et de la corruption, de se montrer au premier rang politique. Mais, en fait, ils sont interchangeables dans leur absolue médiocrité. L'effrayant médiocrité d'un Biden a succédée à l'imbécilité d'un Trump.Et il s'agit là des phénix du Gotha de la politique de l'occident américanisé. Beaucoup des opposants actuels au régime imaginent que le mécanisme électoral permettra de mettre à leur place le sauveur que tous ces bizarres opposants attendent. Qu'ils attendent ... parce que ce "sauveur" n'est pas près d'apparaître. Francis Lalanne, si j'en crois ce que "on" en dit, attendrait de la police et de l'armée qu'elles fassent le travail de nettoyage qui permettrait l'émergence de ce "sauveur". S'il connaissait un peu les personnalités qui composent cette armée et cette police, il est certain qu'il ne pourrait pas tenir ce langage. Je crois qu'il a juste fait rire dans les milieux politiques. Sera t'il poursuivi des 300.000 euros d'amende et des 5 ans de prison que le Code Pénal français attache à ce crime ? A moins d'un procureur impatient - ce qui n'est pas fréquent - on peut espérer que ses intempérances de langage attireront seulement de la part des puissants qui nous dirigent un vague sourire de commisération et qu'ils se limiteront à un contrôle fiscal qui devrait suffir à réduire son temps disponible sans lui procurer la vocation de martyr de la démocratie qu'il est le seul - ou presque - à fantasmer. L'écrasement de l'opposition passe par le renforcement de la dictatureCependant, la population se répartit aujoud'hui en plusieurs groupes. Le premier groupe populaire comprend les gens qui sont par nature soumis à tout individu qui se réclame d'une quelconque autorité. Qu'il soit gendarme ou médecin, politicien ou enseignant, boucher ou économiste. La soumission est due à toute autorité. Ce groupe est numériquement extrêmement majoritaire, surtout qu'il comprend de nombreux individus qui sont persuadés d'être des "Ravachol-Koprotkine", prêts à dynamiter tout pouvoir établi et de pauvres gens doux et plutôt soucieux de jouir paisiblement de leurs journées. La nuit ne les inquiète pas : ils n'ont pas de problème de sommeil. Le deuxième groupe populaire est composé de ceux qui imaginent être "savants" de quelque chose, ou bien parce qu'ils sont du genre de ceux "à qui on ne la fait pas" ou bien parce qu'un vague diplôme attribué par le gouvernement assurait leurs parents qu'ils avaient réussie une jeunesse studieuse. Passée la quarantaine, ce sont des gens qui peuvent encore lire un prospectus d'agence de voyage et remplir un formulaire à cases à cocher. Les autres activités de lecture et d'écriture leur sont pénibles. Cela ne les empêche nullement d'avoir une opinion tranchée sur tout, à condition que ce soit les idées de tout le monde, ce ramassis de ragots vaguement éructés par la presse lourde, les amis lors d'apéros festifs ou encore le "présentateur" du journal TV. Il est extrêmement rare qu'ils aient une opinion qui sorte de ce que les autorités sont prêtes à admettre et, si ce n'est pas le cas, ils changent d'opinion. Le troisième groupe populaire est composé des gens qui sont protégés du matraquage médiatique ou de l'endoctrinement de l'enseignement d'Etat, parce qu'ils ne savent pas lire du tout et que les émissions "savantes" à la Télé les remplissent d'ennui. Eux seuls sont capables de se révolter contre un ordre inepte des autorités parce qu'ils sont protégés du conditionnement dont ces mêmes autorités profitent pour empaumer l'opinion publique. Au début, le confinement ne leur a rien fait. Mais à la longue, ils comprennent qu'"on" est en train de les tromper. Et de celà, ils restent indifférents. Mais, leurs modes de vie étant troublés, ils s'agacent très vite et d'autant plus qu'ils sont jeunes. C'est dans cette population frustre, ignare, aux instincts violents, qu'une réaction violente peut survenir contre les décisions dictatoriales des autorités. Cette réaction ne prend pas la forme d'un article dans la presse fut-elle d'opposition. Une bande de copains s'exaspèrent de ne pouvoir faire la fête à cause de la distanciation sociale. Ou de ne pas pouvoir partir en vacances, ou je ne sais quoi d'autre qui leur paraît normal.Ils sortent dans la rue et vont tout casser. La police est là pour juguler cette exaspération. Mais, le stimulus des autorités est toujours présent. Il va donc y avoir nécessairement une escalade. Les "braves gens" vont se terrer chez eux. Tant qu'il y aura assez de police, tout ira bien. Mais, la police a ses limites. Et les autorités n'auront pas d'autre choix que de faire peser la répression sur les bandes d'émeutiers protestant contre les mesures "sanitaires" en fait "dictatoriales". On voit les gens commencer à s'exaspérer aux Pays-Bas, en Espagne, en Italie, en Allemagne, en Angleterre. L'hésitation du gouvernement français d'initier un troisième confinement ces jours-ci tient certainement à des rapports de police qui doivent indiquer que l'exaspération monte. Cela hésiter le guvernement. Il peut ... Dans cette situation, la victoire de l'opposition passerait nécessairement par une contre-dictature. Qui ruinerait la légitimité de l'opposition ...Mais en toute circonstance, une "victoire" des émeutiers ne peut déboucher sur rien tant que leur action n'est pas récupérée par un groupe politique capable de prendre le pouvoir à la suite de l'action révomutionnaire. Or, aujourd'hui il n'existe qu'un groupe assez exogène au régime pour avoir la position historique de prendre ce pouvoir et ce groupe est celui de la mouvance islamique. Or, la mouvance islamique ne semble pas être parvenue à une conception politique de même développement que celui du régime qu'elle combattrait. Elle prendra le pouvoir peut être, mais certainement autrement. En dehors de cette mouvance dont j'exagère peut être sans le savoir les moyens, on ne voit aucune formation politique susceptible de prendre un pouvoir issue d'une révolution. Il en résulte que l'action "révolutionnaire" ne pourrait déboucher que sur un état fondé sur la dictature alors qu'elle aurait prétendue lutter contre un état dictatorial. On nage donc en terrain inconnu. Mais, il ne faudrait pas déduire de ce que nous ne savons rien, que rien ne changera. Parce que tout a toujours changé. Et quoiqu'on soit ici incapable de prévoir, le renforcement de la dictature actuelle est encore la situation la plus probable. Pendant un certain temps ... Quelque soit les réactions, émeutes, appels à l'insoumission, ... |