Le mensonge de la pandémie se révèle peu à peu. Le britannique Michaël Gove

Philippe Jullien - 29.11.2023

La manipulation de l'opinion sur les origines de la pandémie de SARS-CoV-2

La thèse officielle est que l'état de la pandémie à SARS-Cov-2 a été déclaré par l'OMS suite à une zoonose faisant passer un coronavirus de chauve-souris par l'intérmédiaire du pangolin malais sur l'homme. Le passage aurait eu lieu en Chine àla ville de Wuhan, mais le patient zéro n'a pas été identifié avec certitude.

Cette thèse invraisemblable a été imposée sans faiblir jusqu'à l'été 2022, au cours duquel une partie des autorités occidentales a admis que la pandémie de SARS-CoV-2 ne pouvait provenir directement d'une zoonose, mais aurait été le produit ... d'une fuite de laboratoire, peut être à l'institut de virologie de Wuhan. Les autorités prennent cependant toutes les mesures pour écarter encore une origine artificielle de SARS-CoV-2. La "fuite de laboratoire" pourrait, selon elles, concerner "une collection de spécimens de coronavirus" ...

En, réalité, depuis le mois de janvier 2020, suite à la publication du génome du SARS-VoV-2 par l'Institut de Virologie de Wuhan, justement, de très nombreux scientifiques, n'appartenant pas ou n'appertenant plus aux autorités politiques ou sanitaires, ont identifié des preuves que le SARS-CoV-2 était un pathogène artificiel. Les autorités politiques et sanitaires avaient alors ordonné à la presse lourde de combattre cette hypothèse en qualifiant ses auteurs de "complotistes". La manipulation a duré sans faille jusqu'à l'été 2022, où la publication judiciaire d'emails secrets échangés entre les autorités sanitaires a démontré une entente mafieuse entre elles pour étouffer la vérité.

Certains milieux, comme le milieu politique et sanitariste français, ont maintenu la manipulation d'opinion sur l'origine de SARS-CoV-2. Mais d'autres milieux, notamment le milieu britannique, étant soumis à de très fortes pressions venant de diverses réalités sociales et politique, sont contraints de laisser peu à peu la vérité éclater. Cependant, même aux Etats-Unis de nombreuses voix s'élèvent pour réclamer une enquête impartiale sur l'origine de la pandémie. Une telle enquête n'a encore pas eu lieu et aucun préparatif à une telle enquête n'est encore envisagé.

L'enquête Halley en Grande-Bretagne

Il s'agit de la "UK Covid Inquiry" :

This is the independent public inquiry set up to examine the UK’s response to and impact of the Covid-19 pandemic, and learn lessons for the future. The Inquiry is Chaired by Baroness Heather Hallett, a former Court of Appeal judge. Il s’agit d’une enquête publique indépendante mise en place pour examiner la réponse du Royaume-Uni et l’impact de la pandémie de Covid-19, et tirer des leçons pour l’avenir. L'enquête est présidée par la baronne Heather Hallett, ancienne juge de la Cour d'appel.
Source : https://covid19.public-inquiry.uk/about/

Les opinions contre cette "enquête" sont assez radicales. Ainsi, Heneghan et Jefferson, professeurs d'evidence-based medicine à Oxford écrivent :

Why the Hallett Inquiry should be halted now Pourquoi l'enquête Hallett devrait être interrompue maintenant
After a few months of the Hallett pantomime, we are quite clear what the Inquiry is not about - evidence-based policy. Après quelques mois de la pantomime Hallett, nous comprenons clairement ce que l'enquête ne vise pas : une politique fondée sur des données probantes.
Source : https://trusttheevidence.substack.com/p/why-the-hallett-inquiry-should-be

Et pourtant, le 28 Novembre 2023, il s'est passé quelque chose dans cette "Inquiry" taillée pour ne déranger personne. Le ministre Michaël Gove qui a participé à toutes les réunions du Cabinet Johnson depui sle début de la pandémie a révélé à la Commission Hallett :

We were not well prepared as we should have been ideally. [There is] a significant body of judgment that believes that the virus itself was man-made and that presents sort of challenges as well. Nous n’étions pas bien préparés comme nous aurions dû l’être idéalement. [Il existe] un corps important de jugement qui croit que le virus lui-même a été créé par l’homme et qui présente également des défis.
Source : https://www.telegraph.co.uk/news/2023/11/28/covid-could-be-man-made-michael-gove-inquiry/

Pourquoi Gove a t'il révélé l'origine réelle de SARS-CoV-2 ?

Gove est un membre éminent du Parti Conservateur britannique et un proche ami de Boris Johnson, premier ministre déchu après le gros de la crise du Covid. Gove dans sa déclaration semble avoir tenté une défense de son premier ministre qui, comme Macron-Philippe en France, est accusé pour les uns d'avoir trop tardé à "confiner" et par les autres d'avoir "confiné". Gove laisse entendre ainsi que Johnson ne voulait pas confiner parce qu'il est un libéral conscient de l'atteinte aux libertés portée par le confinement. Mais un long débat de conscience, il a fini par y être contraint, par l'information confidentielle que SARS-CoV-2 était sérieusement une arme biochimique aux effets de santé inconnus.

Il existe probablement une autre raison : les politiciens chevronnés comme Gove comprennent parfaitement que la manipulation de l'opinon sur la pandémie est possible un temps. Mais au bout d'un certain temps, la réalité des faits, notamment ceux établis par les scientifiques indépendants, va finir pas s'imposer dans l'opinion publique. A cet instant de pivotement, ceux qui ont organisé la manipulation de l'opinion publique autant que ceux au profit desquels elle a été fabriquée, seront désignés à la vindicte populaire, du moins électorale. Et celà ne présage rien de bon pour les membres des partis politiques au pouvoir alors.

Gove a trouvé un moyen de se dédouaner pour les prochaines élections.

Qu'apporte à la vérité la "révélation" de Gove à la Hallett Inquiry ?

Le fait objectif est que - si on croit Gove - que Boris Johnson avait été informé par des sources non identifiés que SARS-CoV-2 était un pathogène artificiel et celà avant le 15 mars 2020. Or, si Johnson l'avait appris, d'autres chefs d'Etat le savaient aussi. Et de ce fait, lorsqu'on a laissé l'OMS, ANthony Fauci aux USA, Delfraissy et ses complices en France, Drosten en Allemagne et autres partout en occident répéter que "Sars-Cov-2 était le produit d'une zoonose", ils ont trompé le public.

Ils auraient pu interdire à Fauci et à son gang stipendié à Big Pharma, Pfizer ou Gates, de se faire une fortune des malheurs publics.

ls ne l'ont pas fait. Pourquoi ?

Probablement parce qu'ils avaient été corrompus par Gates et le lobby pharmaceutique pour leur permettre de tirer leurs profits de manière démesuré. Le Covid pour Pfizern c'est 100 milliards de dollars de recettes.

Mais, alors qui est la source d'un SARS-CoV-2 fabriqué de "main d'homme" ?

Certains désignent la Chine. Le fait que le départ de la pandémie serait à l'Institut de Virologie de Wuhan prouverait leur implication. Plusieurs politiciens, dont le Président Trump, étaient ou sont encore persuadés du rôle de la Chine dans la source de la pandémie.

On sait que la Chine développe plusieurs programmes scientifiques pour développer des armes biochimiques. Mais, si on examine les faits, on doit constater que l'Institut de Virologie de Wuhan recevait des dizaines de millions de dollars de la part des Etats-Unis par le biais de la NSF et de la NIH, plus ou moins dirigée par Anthony Fauci, en charge de la gestion de la crise de la pandémie aux Etats-Unis.

Ce petit bonhomme souriant et énigmatique, le fonctionnaire le plus payé des Etats-Unis à son départ à la retraite à l'âge de 87 ans, le 31 décembre 2022, était si puissant que l'un des premiers mails de Delfraissy,le "président" du lamentable conseil scientifique rassemblé par un Macron, avait pour objet de demander ses instructions concernant le sort du Pr Raoult qui soignait "l'insoignable" Covid-19 à l'hydroxychloroquine ....

Or Fauci est l'un des obligés de Bill Gates. Il existe des liens très mystérieux entre les gens mis en place par Fauci en 50 ans d'agit-prop' et les équipes de Gates, dans ses diverses organisations : l'OMS, BMGF, Gavi, Covax, ... Particulièrement, une ONG new-yorkaise, EcoHealt Alliance, recyclait des fonds à la fois de l'administration fédérale américaine et de la galaxie Gates vers les laboratoires de guerre biochimique chinois. De sorte que le fait que SARS-CoV-2 soit une arme chinoise est encore assez flou.

D'autant que l'opération militaire spéciale russe en Ukraine a permis de mettre au jour environ 50 laboratoires de guerre biochimique détenus par des sociétés américaines, liées à l'adminsitration fédérale et à l'armée américaine, mais aussi à Gates. Les mêmes laboratoires existent notamment au Bostwana, d'où serait parti le "variant" Omicron de SARS-Cov-2.

Tous ces "détails", encore peu documentés, devraient nous inciter à prendre sur la question une position attentiste. Oui, Sars-Cov-2 est "évidemment" un virus artificiel. Mais sa libération provient peut être en effet d'une fuite "naturelle" et pas d'un complot d'une quelconque puissance. Et si la délivrance de SARS-CoV-2 est volontaire, la Chine est certainement un candidat. Mais certainement à égalité avec les Etats-Unis. Et avec Bill Gates lui-même. Ces trois hypothèses ont chacune leurs arguments. Mais aucune preuve définitive.

En manière de conclusion

Aujourd'hui, le fait de savoir avec assurance que SARS-CoV-2 doit nous inciter à prendre la question de la Covid-19 avec beaucoup de circonspection.

D'abord, il existe depuis une vingtaine d'années un lien quasi industriel entre beaucoup de virus et leur "vaccin". De sorte que le lien entre le vaccin et le virus, surtout s'il est artificiel, complique considérablement l'enquête criminelle de la pandémie. Le fait que SARS-CoV-2 est artificiel et la sortie des vaccins Covid à ARN ou à ADN rendent compliquée toute analyse de la situation.

Enfin, on a parfois publié que la Covid-19 était, pour une immense majorité de la population, un problème de santé très secondaire, souvent moins grave qu'une "bonne grippe" du passé. Malheureusement, ce n'est pas le cas pour une minorité d'infectés qui, pour des raisons immunitaires et/ou génétiques sont particulièrement susceptibles à la pathogénicité de SARS-CoV-2. Le caractère artificiel de SARS-CoV-2 et son lien avec ses vaccins ARN ou ADN compliquent le problème.

Le fait que SARS-Cov-2 est d'origine artificielle d'une part et celui qu'il pourrait être issu d'un développement militaire ou du même genre doivent conduire à une très grande prudence sur les effets à long terme et du pathogène, et de ses vaccins ARN ou ADN sur l'ensemble de l'expèce humaine. Y compris sur les individus non vaccinés ou non infectés.


Revue C-Politix (c) 26 Novembre 2023