Le scandale des mesures sanitaires attentatoires aux droits des citoyensLe "tout-vaccinal" est une mesure inadmissibleDans une allocution télévisée prononcée lundi 12 juillet à 20 heures, Emmanuel Macron conditionne la sortie de la crise sanitaire à la vaccination totale de la population. Il a imposé une obligation vaccinale pour les soignants et les aidants et l’extension du passe sanitaire aux bars, restaurants et trains dès le mois d’août ainsi que la fin de la gratuité des tests PCR à l’automne. Il a exigé que tous les français se fassent volontairement vacciner sous peine de subir les restrictions de liberté découlant de l'emploi du passe sanitaire. En réalité, Macron "obéissait" à un "avis du 6 juillet 2021 - modifié le 8 - du conseil scientifique et ne faisait que lancer un processus législatif devant un Parlement de godillots aboutissant le 5 août 2021 à une loi approuvée par le Conseil Constitutionnel fantoche qui impose les mesures annoncées le 12 juillet. Aucun contre-pouvoir notable ne s'est levé pour empêcher des mesures scientifiquement fausses et sanitairement inchérentes et encore moins pour empêcher des mesures politiques portant atteinte aux droits des citoyens. A notre grande tristesse, nous devons reconnaître que la loi française, depuis des années, donne le pouvoir à l'Etat de décider d'imposer une vaccination obligatoire. Non seulement une vaccination de "catégories" de citoyens, mais aussi de l'ensemble de la population. Je dois reconnaître aussi que, à partir du moment où on admet le dogme central de la vaccination - le vaccin supprime totalement le virus si toute la population est vaccinée - il n'est pas facile de rejeter la légitimité de la vaccination obligatoire. Le problème central que je ne développerai pas ici, c'est que le dogme central de la vaccination est scientifiquement faux aussi bien au point de vue théorique de la biologie ou de l'épidémiologie qu'au point de vue factuel de l'Histoire de la lutte contre les épidémies. Mais beaucoup d'"experts en santé" en étant restés à l'époque de Louis Pasteur et n'étant donc pas acquis à cette critique, il est inutile ici d'en faire davantage état. Il est cependant surprenant d'imposer la vaccination obligatoire de certains individus seuls tout en exigeant des autres qu'ils se fassent vacciner "libéralement". Pourquoi ne pas déclarer la vaccination covid obligatoire pour tout le monde ? La question du consentement éclairéQuand on y réfléchit de plus près, la vaccination covid ne peut pas être obligatoire parce qu'elle est "expérimentale". Les conventions internationales imposent en effet que, lorsqu'un médicament comme un vaccin est diffusé seulement avec une autorisation temporaire d'utilisation, ou encore qu'il est qualifié de médicament expérimental, les patient doivent exprimer un consentement éclairé des conditions d'emploi de ce médicament. Bien entendu, c'est une farce sinistre, puisque la convocation d'un patient particulier au centre de vaccination covid ne démontre pas un consentement et encore moins un consentement éclairé. Mais, c'est la fiction qui prévaut notamment en France. Fiction d'autant plus farcique, que personne parmi les autorités sanitaires n'a jamais indiqué que le fait de se faire vacciner démontrait qu'on avait consenti de manière éclairée ou non à la vaccination covid ! Non. Simplement, au début de janvier 2021, quand on "vaccinait" les personnes à risque - vocable pudique pour désigner les plus de 65 ans ... - les autorités recherchaient un moyen d'emporter de manière rapide le consentement de vieilles têtes de mule qui ne comprenaient rien ou qui faisaient les idiots plutôt de de donner leur consentement éclairé. A cette époque, la "France" accusait un retard "scandaleux" aux yeux des vaccinolatres. Un jour, Véran a fini par taper du poing sur la table : "Arrêtez de "causer" avec ces sinistres abrutis et vaccinez-le de force !". C'est ce qui fut fait et les statistiques de vaccination covid purent enfin s'envoler. Et pas seulement chez les vieux. Mais toujours sans que l'on puisse établir le moindre consentement éclairé. Les vaccinations obligatoires et pas obligatoiresAlors pourquoi imposer la vaccination aux soignants et autres pompiers et effrayer les autres avec le passe sanitaire pour qu'ils se vaccinent à l'insu de leur plein gré ? Le problème, c'est que les autorités sanitaires savent parfaitement qu'il y eu en France au 9 septembre 2021, plus de 1750 décès consécutifs au vaccin covid. Et un nombre ahurissant d'handicapés à vie et de gens avec de graves maladies induites par la protéine S synthétisée à partir de l'injection. Ces "autorités sanitaires" nient farouchement que la vaccination covid ait le moindre rapport avec les effets adverses publiés notamment par le Registre des effets adverses de l'Agence européenne du Médicament, en phase avec d'autres Registres comme le MHRA du Royaume-Uni ou le VAERS des USA. En fait, les autorités sanitaires instillent dans la population la croyance que la vaccination covid présente un bilan bénéfice - risque favorable. Le problème, c'est que ces autorités refusent de dire de quel bénéfice et de quel risque elles "parlent". C'est le cas de l'Agence européenne du médicament, notamment à l'époque des "craintes" du vaccin AstraZeneca. Au bout du compe, la population et les autorités médicales se sont auto-persuadées que le vaccin Covid était "sûr" et "efficace". Et que c'est "le consensus unanime de la communauté scientifique". Bien sûr, tout est faux là-dedans. Malgré celà, les autorités politiques savent qu'un jour où l'autre elles vont devoir faire face à une envolée de plaintes de victimes de la vaccination Covid. Les autorités politiques ont donc ménagés plusieurs stratagèmes pour faire échouer les procédures :
Il s'agit en réalité de stratagèmes absolument misérables qui ne tiendraient pas une minute devant un tribunal ... indépendant. Et c'est là le problème final auquel se heurteront des "plaignants". On sait déjà que le Conseil d'Etat et le Conseil Constitutionnel protègent les mesures sanitaires du gouvernement au prétexte qu'ils ne peuvent pas faire autrement - ce qui est faux, mais judiciairement incontestable. Quelques tribunaux civils ont déjà rendues des décisions défavorables aux mesures sanitaires, notamment sur l'appication du passe sanitaire à certains centres commerciaux. Mais, ces juges seront certainement repris en mains par les autorités judiciaires. C'est ce qui est arrivé à un juge en Allemagne à Weimar qui avait déclaré inconstitutionnelles les mesures classiques de distanciation sociales. Les autorités politiques "tiennent" la réaction judiciaire :
Pourquoi Macron a t'il prononcé son allocution télévisée du 12 juillet ? Beaucoup ont joué l'étonnement, parce que Macron avait à plusieurs reprises affirmé qu'il n'y aurait pas de vaccination obligatoire et qu'il l'y aurait pas de passe sanitaire ou de carnet de vaccination. On peut lui trouver deux raisons : l'une franco-française, l'autre supranationale. L'avis du conseil scientifique du 6 juillet 2021Quel est l'indépendance du conseil scientifique installé par Macron ? Nul ne la connaît. Ses membres les plus influents sont ou bien des sanitaristes appartenant à l'Etat ou, à l'instar de leur "président" (pas Macron, l'autre ...) des sanitaristes qui n'hésitent pas à prendre leurs instructions auprès d'autorités supranationales comme Anthony Fauci, le tout-puissant patron des NIH américain. La plupart sont par ailleurs complètement dans la main des grandes firmes pharmaceutiques dont la moindre est certainement Sanofi, le "français" de la pharmacie. Ce conseil a trois "lumières" : le modélisateur d'épidémies Cauchemez, formé par Ferguson de l'Imperial College, Yazdanpanah, l'infectiologue hospitalier et Lacombe de l'Assistance Publique. Tous dans les mains de l'INSERM et de l'Institut Pasteur. Et donc de "Big Pharma". Qui couvrent de cadeaux bizarres la plupart d'entre eux. Que dit l'avis du 6 juillet 2021 produit par ce bizarre conseil scientifique [1] ? Un torrent d'absurdités débitées sur un ton une fois triomphaliste, une fois catastrophiste. Et il recommence comme celà pendant 33 pages. Ainsi décide t'il : la situation sanitaire actuelle en métropole était jusqu’ici considérée comme favorablepour dire vingt lignes plus loin : il existe actuellement une inquiétude grandissante à propos du variant DeltaLa cause de son inquiétude : De manière réaliste, une nouvelle vague due au variant Delta doit être collectivement anticipée. Elle ne pourra pas être complétement absorbée par le niveau élevé de la vaccination, qui reste encore insuffisant au sein de la population pour assurer une protection collective efficace. Des mesures prises maintenant peuvent limiter cette nouvelle vague et ses effets. L'avis du conseil scientifique débite ensuite :
Sur cette base fausse, le conseil scientifique se livre à ses habituelles recommandations au pouvoir politique, recommandations qui semblent imaginées seulement pour couvrir de honte ce pouvoir politique s'il les met en oeuvre :
Et cette mise en oeuvre est décidée par Macron qui imagine se référer au conseil scientifique :
Les vieux et les exclus qui "inquiétaient" le conseil scientifique ne sont pas pris en considération par Macron. Les mesures imposées ne les concernent pas en tant que tels. Macron a donc ignoré les recommandations 2 et 3 de son conseil scientifique. Le collectif Reinfocovid et son président, le statisticien Vincent Pavan, auraient porté plainte contre les auteurs de l'article de Pasteur [2], qui aurait servi de base aux prévisions fausses de l'avis du conseil scientifique, donc à la décision de Macron et donc à la loi du 5 août 2021 [3]. Quinze jours plus tard, l'économiste Guy de la Fortelle découvre que l'article de Pasteur a été supprimé de la base HAL d'archives ouvertes et remplacé par une version amendée le 6 septembre, puis le 8 Septembre 2021. Il suppose que la plainte de ReinfoCovid ne serait pas étrangère à cette atteinte à la probité scientifique [4]. Macron met en oeuvre une régulation supranationaleOr, depuis le début de la pandémie nous connaissons la politique dogmatique qui nous a été imposée au mépris de la médecine et de la science, au mépris de la politique et de la démocratie : Le SARS-CoV-2 étant un nouveau pathogène d'origine naturel, la maladie qu'il provoque chez l'homme est une maladie nouvele. Il n'existe donc aucun médicament pour lutter contre elle et seul le vaccin permettra d'éradiquer le virus. Dans l'attente de cette éradication, il faut freiner la circulation du virus par le confinement, les masques et autres mesures de distnaciation sociales. Ce dogme a largement été imposé par une collusion entre des fonctionnaires de toutes nationalités, des firmes privées pharmaceutiques et des milliardaires qui cherchent d'une part à produire le maximulm de dégats à la socité pour en prendre un contrôle total. Des politiciens comme Biden, Merkel, Johnson, Trudeau, Draghi, Conte ou Macron, ont été mis en place par les milliardaires à l'aide de subterfuges ruineux de la démocratie et sont soumis notamment au dogme sanitariste dénoncé plus haut. Ils se sont entourés brutalement d'autres politiciens (en France, Castex et Véran) et de prétendus scientifiques (en France, Delfraissy, Yazdanpanah, Lacombe) qui ont éliminés les vrais scientifiques qui étaient en place avant l'épidémie (en France de vrais scientifiques comme Raoult ou Perronne, qui ne brillent pas par un sens politique très éveillé ...) de façon à ce que seul le dogme sanitariste ait le pouvoir à l'exclusion de toute politique sanitaire scientifique et médicale. Notamment pour obtenir le soutien de la caste des milliardaires dans sa lutte pour sa ré-élection en 2022, Macron a estimé que la vaccination forcée de l'ensemble de la population française avec un passe sanitaire était de nature à lui rendre favorable la caste des milliardaires. Lui et ses affidés ne manquent pas une occasion depuis la loi du 5 août de rappeler que la France est leader dans l'imposition du passe sanitaire. En effet, la réelection de Macron dépend essentiellement de la presse lourde et des ONGs. La première est dans les mains de Bill Gates qui les subventionne et les secondes sont dans la main de Soros. Gates et Soros qui coopèrent froidement par exemple en rachetant Mologics une firme pharmaceutique britannique. Gates et Soros qui avec les Bezos, Zuckerberg et consorts possèdent presse lourde et résaux sociaux dont le contrôle est essentiel pour une élection manipulée. D'un certain côté, nous avons beaucoup de chances que SARS-CoV-2 soit un pathogène peu infectieux et pas trop mortel [5]. De l'autre, nous savons que la mise en oeuvre du diogme sanitariste confinements et vaccination est tout simplement mortelle pour l'humanité et nos sociétés. La grande question est de savoir comment allons-nous nous débarrasser, non pas de SARS-CoV-2, mais de Macron. Et aussi de Merkel, Johnson, Draghi, Biden, ... Ca sera dur, très dur, ... Notes[1] Lire Avis du Conseil scientifique COVID-19 - 6 juillet 2021 : REAGIR MAINTENANT POUR LIMITER UNE NOUVELLE VAGUE ASSOCIEE AU VARIANT DELTA. [2] Lire Epidemiology and control of SARS-CoV-2 epidemics in partially vaccinated populations: a modeling study applied to France , par Boseti et al, 6 Septembre 2021. [3] lire l'article : "Une loi qui repose potentiellement sur un document faux" - Vincent Pavan et Me Heringuez, Publié dans FranceSoir le 26/08/2021. [4] lire l'article : Pasteur rétracte son étude bidon sur le passe sanitaire, mais persévère !, Publié dans FranceSoir le 08/09/2021.
[5] Je ne donne pas ici de références que j'ai déjà largement fourni dans de précédents articles. Je veux ici souligner les inconnues qui entourent le SARS-CoV-2. Il est scientifiquement acquis qu'il s'agit d'un pathogène artificiel. Son mode de relâchement a peut être été une fuite de laboratoire. Nous n'en savons rien. Mais, du fait que ce pathogène est artificiel, nous ignorons absolument tout de son futur. S'il avait été naturel, il est probable que ce coronavirus se serait évanoui depuis le mois de décembre 2019. Tel est loin d'être le cas. Comment mourra ce coronavirus ? Nous l'ignorons. Nous savons seulement que ce ne sera pas avec le Vaccin, cette potion magique pour les grands enfants qui nous contrôlent. Et nous trompent. De ce fait, l'infectivité et la léthalité modérées de ce pathogène pourraient évoluer de manière très défavorable. Nous n'en savons rien. Mais, il n'est toujours pas "mort" et il continue d'évoluer. Nous ignorons par exemple si une fonction biologique toxique nouvelle ne va pas se révéler. Il existe en effet des techniques microbiologiques qui permettent de contrôler les évolutions de certaines protéines. Je redis donc que mon estimation d'un pathogène peu infectieux et peu mortel est limitée aux variants qui se sont déroulés depuis la souche originelle Wuhan. Après, je ne sais pas ... |