La pandémie de SARS-CoV-2 commence en Chine vers le 15 Décembre 2019 et se "termine" vers la fin de l'année 2022 malgré le désir des autorités occidentales de prolonger encore davantage le régime "pandémique". Il faut cependant noter que la "pandémie" a été déclarée par l'OMS le 11 mars 2020 (https://x.com/WHO/status/1237777021742338049) et sa fin le 5 mai 2023 (https://news.un.org/fr/story/2023/05/1134842). Les événements principaux constituent une sorte de synoptique. Un tel synoptique permet de résumer l'immense scandale politique et médical connu comme la pandémie de SARS-CoV-2, ce pathogène propageant la maladie dite du ou de la COVID-19.

1. Le patient 0 :

   D'abord parfaitement identifié dans un marché aux poissons de la ville chinoise de Wuhan, le patient zéro a été ensuite localisé en Italie, en Espagne, aux Etats-Unis, en Alsace, ... Le marché aux poissons a été entièrement "lavé" de l'infâmant soupçon mais pour souligner davantage le rôle suspect d'un laboratoire de virologie de l'Armée chinoise, localisé à peu de distances du marché aux poissons. Depuis, "on" a perdu le goût de la "chasse au patient O".



2. Le scandale de l'origine du pathogène : la zoonose, la chauve-souris, le pangolin :

   le récit de la pandémie a été entièrement fabriqué par un groupe qui s'est entendu sur un scénario "aceptable" : La folie industrielle de l'homme moderne a détruit les habitats naturels des espèces sauvages. Il en est résulté des zoonoses, c'est-à-dire des épidémies de pathogènes animaux se diffusant dans des organismes humains. Le pathogène humain provient d'espèces animales a priori incompatibles mais, par mutations génétiques successives, le pathogène "sauvage" finit par infecter des espèces animales qui "humanisent" le pathogène, lui permettant de "franchir la barrière interspécielle". Il s'agit d'une pure fabrication de propagande, élaborée directement par une ONG américaine, EcoHealth Alliance, dirigée par le britannique Peter Daszac, et largement financée par une agence de biologie du grouvernement américain, les NIH, dirigé par un vétéran de la fabrication du scandale du virus du Sida, Anthony Fauci. Les deux entités distribuent avec parcimonie et à bon escient des centaines de millions de dollars de l'aide américaine à des laboratoires de virologie européens (Amsterdam, Dortmund, ...) et chinois (Wuhan). Bien entenu, ce récit est parfaitement faux et frauduleux.



3. L'invention du test PCR un test dimensionné pour identifier le SARS-CoV-2 en toutes circonstances :

   Le test PCR - qui existe sous plusieurs formes - a été développé sur la base d'une nouvelle réaction en biochimie, la PCR qui a été inventé par un biologiste américain Kary Mullis qui en a obtenu un prix Nobel en 1993. Lorsqu'il met au point le test PCR qui permet de détecter la présence d'une séquence connue d'acides aminés - le code de base de lagénétique - il souligne partout que le test ne doit jamais être utilisé pour détecter la présence d'un pathogène. Bien entendu, Fauci et ses sbires de l'OMS se précipitent sur le test PCR pour "identifier" la présence de SARS-CoV- dans des milliards d'êtres humains qui n'étaient pas infectés... L'effet du test PCR a été de "prouver" que le SARS-CoV-2 avait infecté des milliards d'êtres humains et tué des millions d'autres. C'est une fraude absolue. Le génôme de SARS-CoV-2 est décodé et publié par l'équipe chinoise de Wuhan (https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/NC_045512.1) le 13 Janvier 2020. Le test PCR produit par l'allemand Christian Drosten, affilié à Anthony Fauci, est homologué par l'OMS le même jour (https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/protocol-v2-1.pdf) ce qui est une impossibilité de date.



4. La modélisation de l'épidémie : le rôle de Ferguson dans la diffusion de la pandémie et le rôle des statistiques :

   Depuis le début des années 2000, un universitaire britannique Neil Ferguson est parvenu à faire subventionner son centre de modélisation informatique des épidémies par le milliardaire américain Bill Gates. Ce dernier est propriétaire de plusieurs firmes pharmaceutiques, comme Pfizer et Moderna, certaines directement, d'autres indirectement. Les modélisations épidémiques de Ferguson sont toutes fausses et tout le monde le sait depuis les années 2000. La terreur de la vache folle, c'est lui. Il prévoyait 200.000 morts en 2000. Il y en eu 53. Mais, ses modélisations ont permis à Ferguson d'imposer parmi les populations, par le relais de la presse, et parmi les gouvernements par le relais des agences gouvernementales la terreur épidémiques. Avec le test PCR qui ne détecte rien du tout, il a été possible de tromper le public avec un nombre d'infectés et un nombre de décès attribués à SARS-CoV-2 absolument faux, mais qui "enfin" s'adaptaient aux modélisations fausses de Ferguson. Les uns démontrant les autres. Pour l'enrichissement pharmaceutique de Bill Gates et de quelques autres..



5. La diffusion accidentelle du coronavirus :

   Le patient 0 étant inconnu et le marché aux poissons de Wuhan étant innocenté, l'équipe d'escrocs animée par Anthony Fauci s'est rabattu sur un nouveau scénario : Sars-CoV-2 aurait été relâché dans la nature par une fuite accidentelle de laboratoire. Cette fuite serait intervenue à l'Institut de Virologie qui gère une collection de coronavirus prélevés dans des population de chauve-souris de Chine centrale, par leur spécialiste Zhen Li-Shi. L'accusation a exploité le racisme anti-asiatique de beaucoup d'occidentaux en général et d'américains en particulier. Il paraissait naturel que de tels "sauvages" soient incapables de manipuler des pathogènes de manière professionnelle ... Bien entendu, il s'agit d'une forgerie d'autant plus que ceux qui la propagent affirment qu'ils sont incapables de la prouver. Mais, dans la folie de la COVID-19, on n'est est plus à un tel détail.



6. L'origine artificielle du coronavirus. La chimère chinoise, américaine, ou les deux ?

   Quand le génôme de SARS Cov-2 a été publié, les microbiologistes du monde entier se sont précipités pour l'examiner. Et en particulier, les microbiologistes à la retraite comme l'américian David Baltimore ou le Français Luc Montagnier. Ils ont immédiatement repérés des séquences d'acides animés impossibles à aligner dans un ruban d'ARN décent. Un microbiologiste américain Lyons-Weiller va dans plusieurs articles démontrer le caractère artificiel du génôme. Dans le silence de la presse contrôlée par l'équipe de Anthony Fauci. En France, Montagnier va publier plusieurs articles scientifiques décrivant des fonctions biologiques absolument mortelles dans le génôme de SARS-CoV-2 et que la nature aurait été incapable de faire tenir. Pour notamment des raisons de potentiels électrochimiques. Montagnier a été publiquement insulté par des médecins, des biologistes et autre sanitaristes, tous salariés du régime occidental. Et il est décédé en février 2022 au moment où presque tout le monde était convaincu de ses raisons. Plusieurs autres microbiologistes comme la Chinoise Li-Meng - traquée depuis par les services spéciaux chinois - ou le microbiologiste américain Quay publient de très intéressantes analyses qui permettent de comprendre comment la production artificielle de SARS-CoV-2 aurait pu avoir lieu.



7. les quarantaines et les confinements : un war game de guerre psychologique :

   L'OMS a imposé depuis plusieurs années le rôle de la quarantaine et celui du confinement des populations pour "contrôler" l'évolution d'une épidémie. Sur cette base idéologique édictée par l'OMS, Ferguson et son Centre de modélisation des épidémies se livrent à une propagande honteuse en faveur des quarantaines et des confinements en affirmant que ces mesures dictatoriales, inspirées par la Fondation Gates, permettent de juguler la marche de l'épidémie. En fait, tout le monde, - sauf les ignorants - sait que quarantaine et confinement ne fonctionnent que dans un état des techiques médicales, pharmaceutiques et biologiques complètement embryonnaire. Si votre pays a dépassé un certain seuil de niveau médical, le confinement ou la quarantaine va avoir pour effet de ruiner la santé publique pour toutes les autres maladies, cardiologie, cancer, psychiatrie, .... Et c'est exactement ce qui s'est passé. Les confinements en Occident ont massacré des populations entières qui n'avaient plus accès aux soins auxquels le niveau médical de leur Etat leur donnait droit. En Europe, la première catégorie a été celle des personnes agées qui a été littéralement massacrée par l'Etat.



8. la propagande des médias lourds en faveur de la politique sanitaire :

   Un fait notable est celui du soutien sans faille des médias lourds - TV, presse écrite, réseaux sociaux - au bénéfice de la politique sanitaire occidentale. Pendant toute la durée de la pandémie, il n'y a eu aucune critique de cette politique gouvernementale. Au contraire, la presse s'est livrée à une véritable chasse aux sorcières à l'encontre de tout individu, parfois même complètement inconnu, qui osait émettre la moindre critique à l'encontre du gouvernement ou d'une quelconque "autorité" sanitaire. Un tel degré de conformité de la presse au régime occidental n'est jamais arrivé jusqu'ici. Et de ce fait, l'occident prétenduement libéral, dispose d'une presse de propagande digne des pires régimes autoritaires pour dire le moins, tyrannique, même. Outre de se faire le propagandiste des pires erreurs dès lors qu'elles émanaient d'un gouvernement ou d'une quelconque "autorité" médicale, la presse a développé au delà de l'imaginable une technique d'exclusion sociale basée sur la dénonciation de ceux qui "pensaient mal". Ont payés pour leur sincérité des médecins, des biologistes, des scientifiques de toutes disciplines révoltés par les absurdités débitées par le régime occidental et sa presse de propagande.



9. la politique sanitaire et le rôle de l'OMS :

   L'OMS pose un véritable problème politique. Agence de l'ONU, elle en est cependant indépendante et se finance elle-même, de sorte que en 2020 et en 2021, le premier contributeur à son budget était le propétaire de Pfizer, l'américain Bill Gates. Mais dans le même temps, son Directeur Général ayant tout pouvoir à l'abri des organes de direction, un tortoinnaire du peuple erythréen reconverti dans la santé publique, Tedros, était élu à son poste - puis réélu sur "ordre" de la Chine. Avec Tedros et Gates, l'OMS a changé les "normes" de traitement sanaire des épidémies au niveau mondial et ce, sans un sens qui avantage les affaires de Bill Gates. Cependant, il faut bien comprendre qu'on est très loin d'une banale affaire de corruption. Par ailleurs, il existe des liens indirects entre l'OMS les entreprises pharmaceutiques, Bill Gates et le Wordl Economic Forum dont le Président, Schwab, publie un livre éclairant que le régime occidental a préféré passer sous silence. Son titre est "COVID-19. Le Great Reset", publié en Juillet 2020, dans lequel Schwab explique que l'épidémie COVID-19 est le moyen de faire s'écrouler les sociétés anciennes et le moyen d'ouvrir une nouvelle organisation mondiale "plus juste, plus diverse, plus écologique et plus inclusive". Le programme du progressisme "woke"e.



10. l'hydroxychloroquine :

    Il s'agit d'un médicament connu depuis plus de cent ans qui avait été essayé lors de la première épidémie de coronavirus de 2003, puis par les médecins chinois en décempbre 2019 à Wuhan. L'efficacité de l'Hydroxychlroquine contre les coronavirus avait été démontré par un médecin italien Savinio en 2008. Probablement alerté par ses collègues chinois, le professeur français Didier Raoult décide de traiter les patients dans son Institut Universitaire de Marseille avec ce produit peu coûteux. Très vite, Raoult découvre qu'il est possible avec un certain protocole de guérir la majorité des patients victimes du SARS-CoV-2. Le protocole Raoult va ête adopté dans plusieurs pays avec des variantes comme aux Etats-Unis. Mais, l'efficacité de l'hydroxychloroquine ruine la narration occidentale : "La Covid-19 est une maladie nouvelle pour laquelle il n'existe aucun traitement pharmaceutique approuvé". Raoult et ses émules vont être traqués par la presse, les autorités politiques et sanitatires. Mais, ils sauveront beaucoup de monde.



11. l'ivermectine :

    Un autre médicament apparaît un peu après l'hydroxychloroquine. Il s'agit de l'Ivermectine, lui aussi un vieux médicament, qui a valu à son inventeur japonais un Prix Nobel de médecine. L'Ivermectine parvient à des résultats encore plus efficaces que l'hydroxychlroquine. Comme pour l'hydroxychloroquine, des médecins vont être interdits d'exercice de la médecine. Le régime occidental élimine brutalement ses contestataires. Au nom de la Science. Au nom de la Vérité. Comme en Chine sous Mao. Un peu comme si l'occident cherchait à tuer le plus grand nombre possible de malades de la Covid-19.



12. la panoplie vaccinale :

    En fait, la plupart des étapes qui précèdent le vaccin semblent avoir été conçues pour rendre inévitable "le vaccin sûr et efficace". Les efforts des pharmaciens permirent de sortir deux types de vaccins : naturels et géniques. Parmi ces derniers les deux vaccins à ARNm de Pfizer et de Moderna. Mais, ces vaccins présentent des histoires très compliquées. Pour deux raisons. La première est qu'il n'a existé aucun vaccin à ARNm avant ceux-là . La seconde raison parce que les vendeurs de ces vaccins ont menti en permanence sur les propriétés de leurs produits. Grâce à la corruption, ils sont pavenus à transformer les agences sanitaires d'approbation des médicaments en Occident en simples lecteurs de notices de boîtes de pilules ... Et ces vaccins, malgré les slogans publicitaires n'étaient - et ne sont - ni sûrs, ni efficaces. Un scandale scientifique, politique, sanitaire ... Qui a enrichi Bill Gates et ses complices.



13. l'élargissement de la technique de manipulation sociale du nudge :

    La technique du "nudge" a été étendue du marketing aux comportements sociaux par des sociologues anglo-saxons. Le gouvernement britannique a formé une agence spécialisée dans le "nudge" dès l'année 2020. Le nudge recouvre les techniques de manipulation sociale qui permettent en moyenne de faire adopter une même attitude à une population complète. Parmi les manipulations, la peur, la haine, l'envie, ... L'Occident a eu un très large recours pendant le Covid. Un exemple est celui du port du masque dans lequel on a fait peur aux gens en leur faisant croire que les individus non masqués étaient des dangers publics. La population a donc fait elle-même la police pour elle-même ...



14. l'exploitation politique d'une terreur sanitaire :

    La réaction politique la plus criticable dans la pandémie de la Covid-19 aura certainement l'utilisation honteuse de la peur de la maladie et de la mort pour contraindre les populations à des attitudes politiques de soumission aveugle à la tyrannie. Avec les confinements, nous avons accepté l'arrêt complet de l'économie nourricière de tous nos peuples. Alors que nous sommes des démocraties républicaines, le peuple a été bafoué et les affaires publiques ont été traitées de manière cachée avex une oligarchie honteuse.