Le variant OMICRON de SARS-CoV-2 n'est pas une évolution naturelle du coronavirusLes scientifiques du régime occidental ont abreuvé le public d'informations scientifiques fausses ou à côté du sujet. Beaucoup de ces "scientifiques" ont propagé ces erreurs par stupidité et d'autres par ignorance. Très peu ont eu certainement une intention malveillante. Il fallait seulement produire des "raisons" pour justifier "scientifiquement" les mesures politiques, policières même, les plus invraisemblables qui ont été prises. Autrement dit, pour servir les volontés des politiciens, l'idéologie et son esprit maléfique ont pris le dessus. Ils ne le rendront jamais. Parmi les mensonges, erreurs, approximations qui ont été répandus volontairement dans le public, il y a d'abord eu l'affirmation que SARS-CoV-2 resterait constamment égal à lui-même, identique. Certains aalystes osaient prétendre que SARS-CoV-2 muterait, changerait dans son génôme de sorte que le vaccin qui était alors attendu comme le seul moyen pour sauver l'humanité n'aurait aucune efficacité. Par exemple le médecin Jean-François Delfraissy, Président du Conseil scientifique qui a organisé la réaction politique sanitaire en France, estimait, le 18 avril 2020, que : Le virus n’a subi que de petites mutations au cours de ces quatre mois, il est assez stable. Et cela aide la course aux vaccins, inédite dans sa rapidité. Je suis convaincu qu’il y aura déjà un premier vaccin d’ici la fin de l’année. Source : Interview dans La Republica, 12 avril 2020 Dans un article du 10 Septembre 2020, paru dans Nature, on lit des commentaires rassurant sur la stabilité du génome de SARS-CoV-2? Les scientifiques du régime admettent qu'il existe des utations, lais très faibles et très lentes. Par exemple, l'auteur écrit : But sequencing data suggest that coronaviruses change more slowly than most other RNA viruses, ... A typical SARS-CoV-2 virus accumulates only two single-letter mutations per month in its genome — a rate of change about half that of influenza ... Il s'agissait de rassurer l'opinion. Si SARS-CoV-2 évolue lentenment par mutations, alors les anticorps produits par l'infection naturelle ou par une vaccination seront encore valables pour le coronavirus ! En fait on savait que les mutations pouvaient être particulièrement importantes et contourner les défenses immunitaires naturelles ou vaccinales. Mais la manipulation de l'opinion publique était essentielle pour la garder sous contrôle. On s'est alors aperçu que les variants importants - l'OMS les appelle les "Variants of Concern" ou VoC" - étaient bien plus différents que prévu ... Les gens infectés naturelllement étaient infectés une seconde fois, les gens immunisés par les vaccins Covid étaient infectés plusieurs fois malgré des rappels vaccinaux ou des "boosters". Les variants importants déclenchaient des vagues successives de Covid-19. On les désignait par des lettres grecques alpha, Beta, .... L'un de ces variants a attiré l'attention des biologistes, le variant Omicron? Apparu pour la première fois le 24 Novembre 2021 au Bostwana, le variant Omicron est remarquable par 50 mutations par raport au génôme initial de Wuhan 2019. Et 37 de ces mutations portaient sur le gène S, responsable de la protéine de pointe qui sert à attacher la particule virale à l'enveloppe de la cellule humaine lors de l'infection. Une équipe de biologistes japonais vient de publier ses recherches sur l'origine du variant Omicron. Dans un article Unnatural evolutionary processes of SARS-CoV-2 variants and possibility of deliberate natural selection, publié sur la plateforme de publications scientifiques Zenodo, le 15 août 2023, Tanaka et Miyazawa, des chercheurs japonais des Universités de Osaka et de Kyoto, on tmis en évidence deux faits troublants :
Les auteurs écrivent : ... we compared the sequences of 129 Omicron BA.1-related, 141 BA.1.1-related, and 122 BA.2-related isolates, and attempted to clarify the evolutionary processes of SARS-CoV-2 Omicron variants, including the order of mutations leading to their formation and the occurrence of homologous recombination. As a result, we concluded that the formation of a part of Omicron isolates BA.1, BA.1.1, and BA.2 was not the product of genome evolution, as is commonly observed in nature, such as the accumulation of mutations and homologous recombinations. Furthermore, the study of 35 recombinant isolates of Omicron variants BA.1 and BA.2 confirmed that Omicron variants were already present in 2020. The analysis showed that Omicron variants were formed by an entirely new mechanism that cannot be explained by previous biology, and knowing how the SARS-CoV-2 variants were formed prompts a reconsideration of the SARS-CoV-2 pandemic. L'analyse publiée par les deux biologistes japonais est complexe et ce n'est pas le lieu de la détailler ici. Cependant, il faut garder à l'esprit que - en ignorant les scientifiques salariés du régime politique - les scientifiques de plusieurs horizons ont déjà établi que la souche initiale de Wuhan était un virus artificiel produit en laboratoire. Le fait qu'il ait "fuité" d'un laboratoire, qui est admis même par le régime politique n'est qu'un accident qui ne peut se produire que parce que ce laboratoire a traité génétiquement un coronavirus. On sait qu'une voie possible proviendrait d'un laboratoire américain de l'Université de Caroline du Sud, dirigé par un biologiste américain Ralph Baric qui a développé la technique génétique permettant de produire des coronavirus artificiels. La découverte de Tanaka et Miyazawa étend certainement au "variant" OMICRON la caractéristique de virus artificiel. On sait que plusieurs laboratoires de recherches biologiques appartenant aux américains résident au Bostwana. On sait par ailleurs que de nombreux laboratoires dans le monde ont travaillé sur des mutations syntéhétiques depuis la souche de Wuhan. Dans l'article cité plus haut de Nature, on lit par exemple : A team led by virologists Theodora Hatziioannou and Paul Bieniasz, at Rockefeller University in New York City, genetically modified the vesicular stomatitis virus — a livestock pathogen — so that it used the SARS-CoV-2 spike protein to infect cells, and grew it in the presence of neutralizing antibodies. Their goal was to select for mutations that enabled the spike protein to evade antibody recognition. The experiment generated spike-protein mutants that were resistant to antibodies ... Il est certain que plusieurs laboratoires américains - pour des raisons connues, mais indéterminées, comme la recherche de vaccins plus efficaces - auraient pu produire le variant OMICRON. Ensuite ce dernier aurait été diffusé au Bostwana, ou bien par une fuite accidentelle ou bien par une autre cause. Il existe cependant une autre possibilité : que le génome de SARS-CoV-2 initial, dite de Wuhan, comporte un mécanisme produisant à terme une variation de son génome. Comment ? Pourquoi, je l'ignore. Mais c'est une piste à creuser. Une autre hypothèse proviendrait d'un effet inconnu et non encore déterminé d'un vaccin - potentiellement à ARN - qui aurait combiné génétiquement avec une particule virale de SARS-CoV-2. Notamment le vaccin Pfizer comporte des bases pseudo-uraciles dont le comportement de recombinaison est documenté depuis longtemps. Cependant, laissons les auteurs dire ce qu'ils ne concluent pas : ... we do not conclude that these viruses were artificially synthesized and distributed based on malicious intent. This study aims to point out that SARS-CoV-2 has undergone unthinkable mutations based on conventional coronavirus mutation mechanisms, and we hope that the possibility of artificial creation is included in serious discussions on the formation of SARS-CoV-2 variants. * |