Les liens entre Pfizer et la galaxie GatesLa firme Pfizer est le vendeur du vaccin Covid bien connu. Selon le registre de l'Agence Européenne du Médicament, il a été injecté dans l'épaule de 120 millions d'Européens, à la suite de quoi 8.861 d'entre eux sont décédés entre 1 jours et 14 jours plus tard [1]. Attention, il n'est pas question ici de dire que le vaccin Pfizer est la cause du décès de ces personnes. Elles sont décédées juste après. C'est tout. Il s'agit de données statitisques qui augmentent toujours davantage. Selon certaines sources, la dose de vaccin est facturée 15 Euros et le coût de production est de 3 à 5 Euros [2]. Le coût de la R&D a été financé par les Etats Européens partiellement et par une subvention de 10 milliards d'Euros attribués par la Commission de Bruxelles en Juin 2020 [3]. La "firme" a fait l'objet de nombreuses condamnations contre les lois des Etats-Unis notamment, et ce durant les vingt dernières années. Manifestement, ses prix sont établis pour "soutenir" les pénalités potentielles. C'est çà la saine gestion. La "firme" est dirigée par Albert Bourla. Elle est dotée d'un Board of Directors de onze personnalités. Comme les Apôtres. Sans Judas. L'une de ces personnalités est le Dr Susan Desmond-Hellmann. Pfizer lui consacre une page sur son site Web [4]. D'après cette page Web, Mme Hellmann est une créature de la Fondation Gates dont elle est une salariée. Elle a été débauchée de son emploi de Chancellor de l'University of California, San Francisco (UCSF), de 2009 à 2014, pour devenir en 2014 Chief Executive Officer de la Bill & Melinda Gates Foundation de 2014 à 2020. Elle devient alors simultanément Senior Advisor et Board member of the Bill & Melinda Gates Medical Research Institute et Director au Board de Pfizer, membre de deux Comités Pfizer : Governance & Sustainability et Science and Technology. On note que la plupart des Directors du Board de Pfizer sont d'anciens dirigeants d'Universités US et/ou de grandes entreprises américaines ou internationales. La présence de Mme Hellmann au Board de Directors de Pfizer ne présume pas de la participation de Gates au capital de Pfizer. Mais elle indique clairement l'implication de Bill Gates dans la politique sanitaire mondiale, puisqui'il contrôle le mouvement vaccinatoire mondial par son contrôle du budget de l'OMS notamment, et par ses entreprises comme GAVI. On peut estimer que le choix du vaccin Covid Pfizer remonte à des manoeuvres de la galaxie Gates, de sorte que que l'hystérie vaccinatoire d'un Macron pourrait trouver sa source dans un conflit d'intérêts. Notamment, le "dogme" imposé par la covidocratie du "rien sauf le vaccin" pourrait trouver sa source dans ces manoeuvres de prise de contrôle de la politique sanitaire par Bill Gates. On note l'indication dans la composition du Board of Directors de Pfizer entre Bill Gates, les grandes entreprises et les universités américaines, dans l'opération de vaccination Covid. Mise à jour du 26 Juillet 2021Des recherches supplémentaires n'ont pas permis de trouver trace des investissements de Gates au capital de Pfizer. Notamment, Gates possède deux grands vecteurs d'investissements :
Ces deux entreprises ne se trouvent pas dans la liste des actionnaires de Pfizer dressée par le site stockzoa.com [6]. Il semble que notre recherche ait déjà été conduite par de nombreux critiques de l'idéologie de Bill Gates et de ses semblables. Ce qui a conduit une entreprise liée au Ministère de l'Intérieur français à réaliser un de ces "fact-checking" délirants qui ravissent les petit-bourgeois et rassurent leur conformisme. L'AFP a fait publier [7] une défense de l'"honorabilité" de Bill Gates ou de Pfizer, on ne sait. La technique du "fact-checking" consiste à identifier une information contestataire que l'on cherche à ruiner dans l'opinion publique. Pour y parvenir, on identifie des expressions peu sûres, ou relevant de la simple opinion privée, de les enrober de qualificatifs ridiculisants ou plus et de finalement placer une "vérification" qui se limite le plus souvent à trouver que la partie ridicule de l'information que le "fact-checker" a lui-même reproduite ... à sa manière, est fausse. L'AFP ici mélange plusieurs fact-checkings qui n'ont rien en commun. Ils se concluent tous par le constat que l'assertion fact-checkée" ... est fausse. Sauf que celle sur Pfizer n'est pas complètement fausse. Mais, amalgamée aux trois autres décidées "fausses" par l'AFP, elle ne devrait pas laisser un très bon souvenir au lecteur crédule de l'AFP. En fait, l'AFP s'est bornée à copier l'écran d'une page web d'un site boursier présentant un tableau de dix actionnaires de Pfizer, qui en compte sûrement plusieurs centaines, mais dans lequel bien sûr le nom de Gates n'apparaît pas. L'AFP ajoute ensuite que Gates a donné une subvention à Pfizer - c'est gentil de sa part ... - puis le lien [8] vers un site de la fondation de Gates qui indique : The foundation invested in Pfizer to expand access to the pharmaceutical company’s all-in-one injectable contraceptive, Sayana, giving women in the developing world an affordable option.Et l'AFP de donner son verdict : Cependant, la Fondation Bill et Melinda Gates ne compte pas parmi les principaux actionnaires de Pfizer. Sur quoi se fonde t'elle ? Sur le fait qu'un tableau d'un site boursier montrant 10 actionnaires de Pfizer ne contient pas Bill Gates. L'AFP a été incapable de trouver la quantité d'actions détenues par Bill Gates pour savoir si cette quantité est susceptible ou non d'influencer la politique de Pfizer. Mais, il y a plus grave. L'AFP aurait pu comme je l'ai fait dans la publication originale de notre article, se rendre sur le site de Pfizer et regarder qui est au Board of Directors qui compte les représentants des actionnaires. Et il aurait vu que le numéro 2 du Board, derrière le P-DG Bourla, est tout simplement une salariée de la Bill & Melinda Gates Foudation, ce qui indique que Gates est loin de ne pas être un actionnaire principal de Pfizer quand on connaît les luttes terribles pour obtenir un siège au Board of Directors d'une grosse société américaine. On peut remarquer que le Directeur au Board de Pfizer qui représente Gates et sa galaxie n'est pas cité dans la liste des membres du Board de Pfizer sur les sites boursiers :
Je n'ai pas mieux réussi à connaître la quantité d'actions de Pfizer détenues par Bill Gates. Il est probable que l'information ne soit pas publique. Mais, Bill Gates est un milliardaire et bien plus que celà. C'est un homme puissant qui possède un réseau qui le rend capable de démultiplier ses investissements. Sa technique consiste à n'investir un dollar que si plusieurs autres qui lui obéissent, investissent eux-même un dollar. De loin, Gates est minoritaire, mais avec ses affidés, il contrôle l'initiative. A t'il utilisé ce principe pour investir dans Pfizer ? Avec cette tactique, l'AFP a peut être raison de penser que Gates n'est pas dans les plus gros actionnaires de Pfizer. Mais que savent les journalistes de l'AFP de ses liens avec Vanguard ou Black Rock - qui eux sont parmi les plus gros actionnaires de Pfizer ? Mais, il y a un problème avec l'AFP.Le 17 avril 2020, l'AFP publie un article [9]. Dans cet article, on lit : Depuis le début de la pandémie du Covid-19, l'AFP a été en première ligne pour ... lutter contre le raz-de-marée de désinformation qui se propage presque aussi vite que le virus. [...] L’AFP est d’ores et déjà le premier contributeur au monde du programme Third party fact-checking de Facebook, qui permet notamment de réduire la viralité des fausses informations publiées sur Facebook et Instagram. Témoignage frappant de l’utilité publique du fact-checking en cette période de crise sanitaire mondiale, l’audience globale de notre site factuel.afp.com a progressé de 900% ... Or, Facebook est l'un des plus importants censeurs d'informations au monde. Il n'hésite pas à produire des informations fausses et à éliminer des informations qui sont vraies, selon une direction qui répond clairement aux objectifs dde la politique sanitaire décidée par Bill Gates. Dans l'épidémie, Facebok - et l'AFP qui lui est subordonnée - a forcé l'opinion publique à se soumettre aux informations fausses des autorités sanitaires, tant nationales qu'internationales comme l'OMS, mais aussi aux politiques désastreuses des Etats. Facebook - et l'AFP - ont censurées les informations qui mettaient en cause l'origine zoonotique de l'épidémie de SARS-CoV-2 ou celles démontrant scientifiquement l'origine artificielle du SARS-CoV-2, l'efficacité et la sécurité de plusieurs traitements médicamenteux comme l'hydroxychloroquine ou l'ivermectine - contre la Covid-19, et tant d'autres. Suite à une recherche sur un moteur de recherche "quelconque" se limitant à "AFP Gates", les trois premiers articles publiés par l'AFP Factuel et concernant Bill Gates, lui sont tous favorables et prennent sa défence en ridiculisant ses contestaires [10]. La protection accordée par l'AFP à la stratégie de Gates est vraiment détestable. L'AFP peut-elle faire autrement ? On en doute. Cette analyse n'est présentée à mes lecteurs que pour les avertir de la perfide nocivité des informations qu'ils pourraient obtenir tant de Facebook que de l'AFP. Références[1] Lire notre article Vaccination Covid - Effets indésirables devant l'EMA (10.07.2021), Philippe Brindet - 11 Juillet 2021. [2] Lire Guy de la Fortelle, 75 % de marge sur le vaccin Pfizer-BioNTech, sur le site de Reinfocovid.fr, le 19 juin 2021. [3] Lire Stratégie de l’Union européenne concernant les vaccins contre la COVID-19 , Commission européenne, 17 juin 2020. [4] Lire la page https://www.pfizer.com/people/leadership/board-of-directors/susan_desmond-hellmann-md-mph, consultée le 17 juillet 2021. [5] D'après Wikipédia :Cascase Investment. [6] Lire https://stockzoa.com/ticker/pfe/ qui donne une liste de près de 6 pages d'actionnaires connus. [7] Lire Le laboratoire de Wuhan appartient à Glaxo, qui possède Pfizer ?, factuel.afp.com - 10 décembre 2020 . [8] Pfizer - Gates SIF, consulté le 26 Juillet 2021. [9] Lire COVID-19 : l’AFP lance une initiative avec Facebook en France, AFP 17avril 2020. [10] Lire :
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