Les trucages des essais cliniques de Pfizer et Moderna - La contamination ADN

Philippe Brindet - 26/11/2023

Pour suivre cette affaire, il faut se souvenir de plusieurs informations maintenant publiques et confirmées.

  1. L'origine du vaccin ARN

    On sait que le "vaccin Covid" à ARN messager développé par BioN'Tech (vendu par Pfizer et le même produit développé et vendu par Moderna a été développé sur une plateforme biochimique qui était en développement depuis plusieurs années. De nombreux développeurs, parmi lesquels la FDA, administration fédérale américaine en charge aussi de délivrer les autorisations d'utilisation des médicaments, ont participé à l'élaboration de cette plateforme. Quand le génome du coronavirus SARS-CoV-2 a été publié par l'Institut de Virologie de Wuhan, la plateforme a été adaptée au gène S du coronavirus qui est responsable de la production de la fameuse protéine de pointe qui génère la plupart des "vertus" toxiques de SARS-Cov-2.


  2. L'autorisation de mise sur le marché du "vaccin Covid" par les "autorités sanitaires"

    Cette autorisation a été accordé, notamment par les administrations américaines, britanniques et européennes, sur la base de plusieurs dizaines de milliers de pages de rapports et de données numériques. Or, ces agences disposent de 80 à 200 employés de formation moyenne très médiocre complètement incapables de mener un examen contradictoire. Sachant la faiblesse des moyens humains et l'énormité du volume des données à examiner, on peut douter de "l'autorité d'une autorisation" accordée après une prétendue étude ayant duré entre 15 jours et 4 jours ! Sans aucun examen contradictoire, de sorte que les "autorités sanitaires" occidentales ont accordé leur autorisation d'utilisation sur la foi du prospectus commercial des deux fabricants ... Avec l'engagement formel de NE JAMAIS PUBLIER ces rapports et données. Elles n'ont été rendues disponibles que par une injonction judiciaire suite à une requête selon le Freedom of Information Act aux USA.


  3. Les "promesses" des prospectus commerciaux des fabricants des "vaccins Covid" se sont avérées fausses


  4. Les promesses de l'utilisation des "vaccins Covid" à ARN se sont limitées à celles du slogan inscrit dans les prospectus commerciaux de Pfizer et de Moderna : "Le vaccin ARM est sûr et efficace contre la transmission et l'hospitalisation".

    En matière du sûreté, les vaccins ARN des deux fabricants se sont révélés d'infects produits toxiques générant plusieurs millions de cas individuels d'effets adverses allant du décès (plus de 50.000 inscrits dans les basses de données US et EP) à des maladies autoimmunes inguérissables en passant par une dizaine d'affection cardiaques gravissimes. Le vaccin Covid à ARN n'est donc absolument pas sûr.

    En matière d'efficacité, les vendeurs de vaccins Covid à ARN ont été rapidement contraints d'admettre que le vaccin Covid à ARN nétait efficace ni contre l'infection, ni contre la transmission. Cela n'empêche pas certaines "autorités médicales et politiques", notamment en France de continuer à répéter comme marche un canard sans tête que "le vaccin Covid est sûr et efficace." ... Il faut noter que ces mêmes "autorités" ont fondé l'obligation vaccinale - en France pour le personnel de santé et celui en contact avec le public - pour "protéger vous-mêmes et les autres". Ce qui est un mensonge éhonté qui pourrait les conduire devant les tribunaux.

    En plus de ces faits invalidant l'autorisation d'utilisation des autorités sanitaires et politiques, les données issues des documents déposés par Pfizer et Moderna pour obtenir leurs autorisations des autorités sabitaires contenaient des mensonges voilontaires et dissimulaient dans des tableaux inexploitables sans traitement des données démontrant l'inefficacité des vaccins à ARN et leur dangerosité sur les humains.

La découverte de l'ADN contaminant dans les vaccins Covid Pfizer

C'est à ce point du développement de la crise sanitaire qu'interviennent deux chercheurs canadiens, Jessica Rose et Kevin McKernan. Ils ont étudié le contenu des fioles de vaccins Covid de Pfizer qui n'avaient pas encore été utilisées. Ils y ont découvert un nombre très élevé de copies de plasmides d'un ADN qui correspond au gène SV40 du génome du singe vert, qui est un composant très souvent utilisé paur réaliser certaines étapes de production de la plupart des vaccins.

Or, le gène SV40 contient des composants cancérigènes pour l'homme. Pour l'ensemble des produits thérapeutiques, depuis des années, il est donc exigé un degré extrêmement élevé de purification des préparations vaccinales contre la teneur en composants SV40.

Le travail de McKernan et de Rose démontre que le vaccin Covid de Pfizer contient de l'ADN contaminant à des taux des centaines de fois au-dessus de la teneur autorisée pour les autres vaccins. Cett étude a été publiée dans une revue de biologie médicale, à comité de lecture et révision par les paires. De plus l'étude a été reproduite avec des résultats comparables par deux équipes allemandes. Ce que le lecteur non spécialiste de biochimie peut retenir c'est que l'étude de McKernan et Rose démontre que les doses de vaccin Covid contiennent un ADN contaminant ayant des effets indésirables graves comme le déveloippement de cancers ou de turbo-cancers.

Depuis, McKernan a acquis la preuve que Pfizer et Moderna savaient que leurs produits Covid ARN contenaient de dangereux contaminants ADN

Dans un article récent, McKernan relate les recherches qu'il a faites dans le Niagara de documents sur les essais cliniques des vaccins ARN notamment de Pfizer. Il est aidé en cela par des centaines de scientifiques bénévoles qui font littéralement du "minage de données" dans cette masse invraisemblable de documents.

Il a découvert que Pfizer a utilisé une méthode de test particulière pour doser les éventuels ADNs contaminants dans sa préparation. Or, cette méthode n'est pas prévue pour cet usage. Il a donc utiliser les fioles de vaccins Pfizer dont il disposait et leur a appliqué un protocole qui vise à mesurer de manière exacte le taux relatif de fragments d'ADN parmi les ARNs de la préparation vacicnale. Il a obtenu la confirmation que Pfizer a sciemment utilisé une méthode de test inefficace pour mesurer ce taux alors qu'une méthode de test précise était connue.

Il est allé plus loin. Il faut savoir que la firme Moderna, "auteur" de l'un des deux vaccins Covid à ARN, est dirigé par un français du nom de Stéphane Bancel. Or, McKernan a trouvé un brevet de Moderna qui désigne Stéphane Bancel comme inventeur.

L'abrégé du brevet américain indique :

The present invention describes methods of removing DNA from an RNA transcript during the mRNA production process. The method embodies procedures for obtaining an in vitro transcription product, and removing any DNA from the product. La présente invention décrit des procédés d'élimination de l'ADN d'un transcrit d'ARN pendant le processus de production d'ARNm. Le procédé comprend des procédures permettant d'obtenir un produit de transcription in vitro et d'éliminer tout ADN du produit.

Un peu plus loin l'abrégé indique :

The DNA template used in the mRNA manufacturing process must be removed to ensure the efficacy of therapeutics and safety, because residual DNA in drug products may induce activation of the innate response and has the potential to be oncogenic in patient populations. Regulatory guidelines may also require the quantification, control, and removal of the DNA template in RNA products. Currently available or reported methods do not address this deficiency. La matrice d'ADN utilisée dans le processus de fabrication de l'ARNm doit être retirée pour garantir l'efficacité et la sécurité des produits thérapeutiques, car l'ADN résiduel dans les produits médicamenteux peut induire l'activation de la réponse innée et a le potentiel d'être oncogène chez les populations de patients. Les directives réglementaires peuvent également exiger la quantification, le contrôle et l’élimination de la matrice d’ADN dans les produits à base d’ARN. Les méthodes actuellement disponibles ou signalées ne comblent pas cette lacune.

Moderna savait dès 2014 que le fait de laisser des fragments d'ADN dans une préparation à ARN pouvait avoir deux effets adverses :

  1. déclencher une réaction autoimmune : les vaccins Covid à ARN ont cet effet adverse ;
  2. favoriser la croissance de cancers : les vaccins Covid à ARN ont cet effet.

Et à la colonne 19 de ce brevet, se trouve la déclaration suivante :

Quantitative PCR is often applied to measure the residual DNA but it only detects the DNA molecules that contain both qPCR primers thus does not measure all other smaller DNA molecules that are partially digested. To overcome this challenge, a liquid chromatography-tandem mass spectrometry (LC/MS/MS) approach can be used where a total nuclease digestion is performed on the RNA drug substance sample following the DNA removal step. The presence of individual residual deoxynucleotides is quantitatively assayed against deoxynucleotide standards using MS/MS and the abundance is reported. La PCR quantitative est souvent appliquée pour mesurer l'ADN résiduel, mais elle détecte uniquement les molécules d'ADN qui contiennent les deux amorces qPCR et ne mesure donc pas toutes les autres molécules d'ADN plus petites partiellement digérées. Pour surmonter ce défi, une approche de spectrométrie de masse en tandem par chromatographie liquide (LC/MS/MS) peut être utilisée dans laquelle une digestion totale par nucléase est effectuée sur l'échantillon de substance médicamenteuse ARN après l'étape d'élimination de l'ADN. La présence de désoxynucléotides résiduels individuels est testée quantitativement par rapport aux standards de désoxynucléotides en utilisant MS/MS et leur abondance est rapportée.

Dans ce passage Moderna savait dès 2014 que la méthode de test PCR quantitative ne permettait pas de mesurer tous les fragments d'ADN laissés dans une préparation médicamenteuse à ARN et Moderna disposait d'uine méthode plus efficace. Or, Pfizer d'après les documents libérés par la justice américaine indique avoir untilisé la PCR quantitative.

Les vaccins Covid à ARN ne pouvaient donc pas être "sûrs et efficaces".


Notes

Revue C-Politix (c) 26 Novembre 2023