Macron poursuit la constitution de son équipe de campagneMacron poursuit la constitution de son équipe de "campagne" pour la présidentielle 2022 : il vient de créer une "commission" pour lutter contre le complotisme. Il faut savoir que, dès qu'un contestaire émet la moindre opinion ou information qui n'est pas conforme à l'opinion progressiste d'une part et aux informations produites par la presse lourde, d'autre part, il s'agit d'une "fake news" et le contestataire lui-même est un "complotiste". La stupidité de la réaction est constante. En pratique, le label de "fake news" ou de "complotisme" permet seulement d'obtenir une sorte de consécration comme opposant au pouvoir attribué par le pouvoir lui-même. L'apposition du label rend et l'information et l'informateur :
La commission "théodule" composée pour les besoins électoraux de Macron comporte plusieurs individus déjà stipendiés par la grosse presse et les milliardaires progressistes. L'indigence de ces individus la dispute à leur goût des honneurs du régime. Très clairement, la commission "pour les lumières du numérique" ... c'est son titre, jouera le rôle du censeur qui attribuera à telle information le statut de "fake news" et à tel contestataire celui de "complotiste". Il n'y aura aucune indépendance, puisqu'il s'agit de personnalités choisies justement pour leur indépendance ... Particulièrement, la commission est chargée de qualifier de fake news toute contradiction de la politique sanitaire de Macron durant la campagne présidentielle et probablement dès à présent. Sources :Emmanuel Macron installe une commission sur le complotisme, Ouest-France avec AFP. Publié le 29/09/2021 à 13h52 Les vingt premiers résultats d'une recherche sur le web nous refilent la même et unique dépêche AFP, la plupart du temps reproduite sans aucune addition. C'est l'incroyabble situation dans laquelle se trouve la presse du régime. Elle s'approvisionne en nouvelles conformes auprès d'une Agence appartenant au régime. Au demeurant, l'AFP dispose déjà d'un service pléthorique de "fact-checking", subventionné par Facebook, qui attaque toute contestation de la politique sanitaire depuis des mois. |