Nouvelles manoeuvres pour l'euthanasie en FranceL'euthanasie massive approche à petits pas, juste le temps que vous avez le dos tournéLa presse lourde [1] bruisse de rumeurs sur des travaux parlementaires en cours au sujet de nouvelles dispositions pour la mise en oeuvre de l'euthanasie en France. Ces manoeuvres sont seulement la suite naturelle des manoeuvres précédentes et suivent un mouvement législatif destiné à imposer dans tout l'occident américanisé [2] la suppression des individus tenus par les promoteurs de l'euthanasie comme des "inutiles à la société". Bien entendu, aucun d'entre eux n'acceptera de dire la chose aussi crûment. Ils préfèrent parler de la dignité de la vie, sous-entendant que si certains n'ont plus une vie digne, ils devraient être euthanasiés. Comme la manoeuvre est cousue de "fil blanc", les promoteurs de l'euthanasie la dissimulent derrière une profusion de comités d'éthique, de décisions "médicales" ou encore du "consentement éclairé des proches". Et aussi avec les "Directives de fin de vie" [3] qui conduit les individus à admettre leur future euthanasie, dans un geste de cruauté sans égal. Pour dire la vérité, j'ignore la teneur exacte des travaux parlementaires, celle du projet ou de la proposition de loi, je ne sais. C'est parfaitement inutile, parce que la loi qui sera évidemment votée ne servira comme la précédente qu'à éliminer autant d'individus faibles que possible quelles que soient les conditions prétendument juridiques ou réglementaires "imposées", et malgré que leurs auteurs estiment "répondre au voeu des citoyens" [4]. Nous autres, les citoyens, sommes bien bêtes de les croire. Mais, le moyen de faire autrement ? Le problème de l'euthanasie - enfin l'un des problèmes - c'est que si l'on refuse de détailler les manoeuvres euthanasiques, on ne sait plus trop ce que l'on conteste. Parce que les manoeuvres euthanasiques - qui avancent masquées de moins en moins - consistent à imposer des mesures "un pas plus loin" à chaque fois. La tactique n'est pas nouvelle. Mais elle ruine la liberté et la démocratie. Elle ruine la république en tant que la chose publique devrait être le bien public. Or, si je persiste à ignorer les "manoeuvres euthanasiques", comment puis-je résister à la tactique des "petits pas". Vous vous retournez et vous ne vous apercevez pas que l'adversaire s'est approché de vous d'un tout petit pas. Mais il s'est rapproché ... Une société incohérente ...La société largement unifiée en occident américanisé est une société qui vient d'une vieille civilisation qui aura pris mille ans pour croître et mille ans pour s'effondrer. Aujourd'hui la société occidentale fait du Nicolas Fouquet à l'envers : "Jusqu'où vais-je descendre ?" . J'aimerai ici faire de grands aperçus sur la civilisation, sur l'homme et son universalité. C'est difficile et souvent ennuyeux pour le lecteur qui n'a rien demandé. Restons en à l'euthanasie. Sans passer par la case "religion". Notre société estime se guider "par la Science". C'est pourquoi pour une épidémie peu mortelle, et peu infective [5], cette société a largement interdit les traitements connus [6], imposée des traitements inconnus [7] et d'autres qui correspondent à un état néanderthalien de la science, comme le confinement [8]. C'est ce dernier qui a produit le plus de morts, souvent de manière indirecte, mais efficace. Or, ceux qui ont imposé ces traitements "néanderthaliens" invoquaient la "Science prêchant à l'ignorance", alors qu'ils savaient parfaitement les dégâts que provoqueraient ces mesures. Notre socété est incohérente quand elle s'imagine guidée par la Science alors qu'elle l'est par ses destructeurs. Pour revenir à la question de l'euthanasie, notre société guidée par la Science a produit des techniques formidables et d'autres très simples qui permettent d'allonger la durée de la vie humaine. Alors qu'il y a deux siècles on mourait à 30 ans, aujourd'hui, on meurt à 80 ans. Le problème, c'est que le vieillissement biologique induit des pathologies ou des dégénerescences qui, en effet, rendent la fin de vie de plus en plus difficile. Aussi, l'euthanasie s'impose comme la réponse à cet allongement chèrement acquis de la vie humaine. Lorsque la dégénerescence est devenue trop forte, quelle soit produite par la vieillesse ou par des traitements pharmaceutiques dangereux, l'euthanasie est considérée comme le remède. Mais c'est un remède à nouveau "néanderthalien" ! Comment ne se rendent-ils pas compte que leur euthanasie n'est à la société que ce que le vomitorium d'une orgie romaine est pour un individu. Une euthanasie qui permet à la société qui la pratique de continuer à s'enivrer de sa fureur orgiaque de vivre. En tuant ses membres dès qu'ils gâchent l'orgie. Or, il existe un nombre de plus en plus important d'informations scientifiques qui expliquent les dégâts sur le grand âge, mais aussi sur de nombreuses pathologies induites par le progrès et qui conduisent - il faut bien le reconnaître - à une certaine indignité de la vie. Par exemple, nous savons qu'un certain nombre de produits de la société industrielle - et certains de ces produits sont des médicaments - induisent des dégénérescences du matériel biologique dont l'homme est fait. La gloire de la Science, c'est de chercher des solutions à ces problèmes formidables. Et de trouver ces solutions. Vite. Maintenant. L'euthanasie est une solution "néanderthalienne", pas scientifique, au problème de l'indignité de la vie, que cette indignité soit provoquée par le grand âge ou par des maladies induites par la société elle-même. L'incohérence de notre société réside en sa croyance démente à être "guidée par la Science", alors que ceux qui la contrôlent lui imposent des solutions d'une parfaite barbarie, d'une barbarie remontant à des époques non-scientifiques. ... agressée par des ennemis cohérentsCe qui frappe à l'examen de la société occidentale américanisée, c'est qu'elle est profondément divisée. Dans chacun de ses secteurs, elle se divise entre deux grands courants dont l'un tente de vivre quand l'autre tente de la détruire. Je sais que ces observations polaires peuvent avoir d'artificiel et même d'idéologique. Aussi ne doit-on pas attribuer à ces remarques plus que ce qu'elles valent. Juste des impressions. Une fois de plus, je suis tenté d'offrir une "explication du monde". Ce n'est qu'une tentation. La société occidentale américanisée est largement bâtie sur le concept de liberté. Mais, elle est aussi une société fortement administrée. Contrôlée serait plus juste. Or, le contrôle de la société occidentale américanisée est partagé entre deux grandes puissances : l'Etat ou les Etats, d'une part, les grands acteurs de l'économie, d'autre part. Les autres grandes puissances d'autrefois comme la religion, l'instruction, la science ou la presse se sont toutes ralliées pour survivre à l'une au l'autre de ces deux puissances. Or, depuis les années 80, les deux puissances étatique et économique coopèrent de sorte que, selon certains aspects, les Etats contrôlent l'économie, et selon d'autres aspects, les acteurs économiques dirigent l'Etat. Il existe une opposition évidente entre le principe de liberté fortement implanté dans la mentalité des gens et la fonction de contrôle que la coopération actuelle entre les acteurs étatiques et les acteurs économiques a portée à un paroxysme [9]. Or dans cette coopération entre les acteurs étatiques et les acteurs économiques, la masse des gens est devenue serve, alors que le peuple est pourtant le souverain du régime démocratique. Une masse à ce point serve que les gens, le peuple, ont perdu toute personnalité politique. Pire, la financiarisation des acteurs économiques a rendu le peuple presque sans importance pour ces mêmes acteurs économiques. Sans personnalité politique, le peuple n'est plus nécessaire à l'Etat et, devenu esclave, le peuple a perdu toute initiative pour faire émerger des acteurs économiques de ses rangs [10]. "Ils" n'ont plus besoin de nous. Notre incohérence d'esclaves se pensant libres et souverains est sans défense face à la cohérence de la coopération des acteurs étatiques et économiques. Nous avons perdu le contrôle de l'un et de l'autre. Pour considérer le secteur de la Santé, nous, les gens, sommes devenus une charge que les hôpitaux se sentent libres d'opérer à leur gré, ou de ne pas opérer si l'hôpital se tient pour "surchargé" [11]. Et pour ne pas être "surchargé" l'hôpital, en tant qu'acteur étatique, s'arroge le droit de nous confiner le temps qu'il faut. Pour considérer la fin de vie, nous devenons indignes et le contrôle de la société, cette coopération entre les acteurs étatiques et les acteurs économiques, décide alors de nous euthanasier. En pratique, l'Etat ne veut bien sûr pas avoir l'air de prendre cette décision. D'où les Directives anticipés, les comités d'éthique et autres conciliabules rpévus par la loi euthanasique. Tartuffe et son mouchoir. En un mot, nous sommes en trop. L'Etat et les acteurs économiques n'ont besoin que d'une faible fraction du peuple. Le reste est à éliminer d'une manière ou d'une autre. De toutes façons, par une agression violente. Si on examine les plans depuis cinquante ans sur lesquels la société occidentale américanisée s'est construite, et se construit encore, c'est à une réduction de population que, par tous moyens, les organes de contrôle tentent de nous soumettre : contraception, avortement, euthanasie, croissance de la pauvreté [12]. La mort. Et pour les survivants, réduction des revenus, réduction de l'initiative économique et culturelle, réduction de la liberté individuelle et sociale.La misère. Le futur euthanasique de la société occidentale américaniséeJe n'oublie pas que je suis parti de considérations conjoncturelles sur des rumeurs de projet de loi sur l'euthanasie en France ... Je voudrais remarquer qu'on ne peut pas être pour la liberté et pour l'euthanasie parce que l'euthanasie est l'un des moyens du contrôle social imposé par la collaboration des acteurs étatiques et des acteurs économiques. Il faut choisir son camp dans la cohérence. Le peuple, les gens, nous ne résisterons contre l'agression que si nous sommes cohérents. Et pour être cohérents, nous devons rejeter les mensonges de la collaboration étatique et économique. Dit autrement, chacun doit choisir son camp : celui de l'agresseur étatique et économique, de l'oppression dans le mensonge, ou celui de la liberté dans la vérité. Les lignes qui précèdent, j'en conviens, ont un accent désespéré, ou catastrophique, qui suscite le dédain des esprits forts qui s'estiment bien installés dans le confort de cette société occidentale américanisée. Tant pis pour eux. D'autres préfèrent ignorer ce genre de message parce qu'il leur donne l'impression d'un message de vaincu. Qu'ils continuent à vivre dans le mensonge. Nous aurons certainement l'euthanasie. Je veux dire que, certainement le régime va avancer un pas de plus dans l'établissement de l'euthanasie en France. Comme il a avancé récemment d'un pas de plus sur le chômage, sur la ruine des petits commerçants et des professions libérales ou encore des artisans et des petits entrepeneurs, grâce à la pandémie [13]. Nous, le peuple, avons probablement encore trop à perdre pour nous révolter contre le régime. Qu'en sera-t'il demain avec nos enfants ? Mais deux circonstances peuvent se rencontrer qui, du pessimisme de mon message vous feront passer à l'optimisme du combat. La première circonstance est certainement que le peuple, lorsqu'il percevra le dépassement d'un certain seuil de dictature, se révoltera. C'est la force des peuples, c'est la force des sociétés humaines qui toujours triomphe. La seconde circonstance est exactement inverse. La dictature de la collaboration entre les acteurs étatiques et les acteurs économiques est un régime décadent qui se pourrit de lui-même parce qu'il est fondé sur le mensonge, la trahison, Et ce pourrissement du régime est déjà en cours. Lorsque la décadence du pourrissement de la dictature croisera l'ascension de la colère du peuple, celle-ci renversera la dictature. C'est un mouvement universel dans les sociétés humaines. Parce que les dictatures vieillissent tandis que les peuples rajeunissent. Les unes vont à leur mort, les autres à leur triomphe. On notera cependant, qu'il existe une autre éventualité. C'est celle de la suppression et du peuple et du régime de la société occidentale américanisée par l'invasion d'un autre régime, d'autres peuples. La Chine ? La Russie ? L'islam ? La misère du monde ? Rome s'est effondré de cette manière. Nous ne regrettons pas Rome. Nous en avons hérité. Notes[1] On note que peut être pour la première fois, les protestations contre l'avancée euthanasique sont notables. On peut citer :
Cependant, un certain nombre d'intervenants, parfois inquiets, poussent le projet de loi :
[2] Quelques exemples de nouvelles avancées législatives ailleurs qu'en France :
[3] Directives anticipées : dernières volontés sur les soins en fin de vie, document administratif sur le site d'Etat service-public.fr en date du 31 mars 2021. [4] J'ai quand même parcouru le projet de loi qui dans ses attendus indique : "La conférence de citoyens sur la fin de vie, ... s’était alors prononcé en faveur d’une assistance médicalisée active à mourir ", Proposition de loi nº 3806 visant à garantir et renforcer les droits des personnes en fin de vie, sur le site de l'Ass. Nationale. [5] Ce genre d'assertions fait bondir les covidocrates. Mais aussi les braves gens complètement assourdis de nouvelles alarmistes. Pour prendre le cas de la France (accéder au site de Santé Publique France : https://dashboard.covid19.data.gouv.fr/), on compte au 6 avril 2021 : Et ces taux sont extrêmement exagérés, puisque moins de 6% des décès ont comme cause unique connue la Covid-19 et puisque plus de la moitié des tests PCR est composée de faux positifs, le test PCR ne faisant pas la distiinction entre un coronavirus actif et un débris de coronavirus mort. [6] Deux médicaments sont utilisés partout dans le monde, sauf en occident américanisé : l'hydroxychloroquine, utilisée avec succès à Marseille par le Pr Raoult, et l'Ivermectine. Ces deux médicaments sont interdits aux médecins non hospitaliers et le matraquage de l'industrie pharmaceutique est tel que ces deux médicaments ne sont pas prescrits sauf en quelques endroits "factieux" (lire notre article Revue C-Politix, 02.11.2020, La stratégie de Maître Di Vizio sur l'affaire du rejet de la RTU de l'IHU de Marseille). Ces deux médicaments ont l'inconvénient d'être efficaces contre la Covid-19 - ils ruinent la condition de délivrance d'une ATU pour les vaccins expérimentaux contre la Covid - ils sont très peu coûteux - ils concurrencent des médicaments nouveaux très chers et dangereux promus par les firmes pharmaceutiques. [7] Plusieurs médicaments extrêmement coûteux ont été promus dans le traitement des patients Covid par les firmes pharmaceutiques comme le tocilizumab qui s'est avéré avoir une efficacité douteuse (Effect of Tocilizumab vs Usual Care in Adults Hospitalized With COVID-19 and Moderate or Severe Pneumonia, JAMA International Medicine, 20 Octobre 2020 ; Covid-19: espoir déçu pour le Tocilizumabsite RFI, 22 octobre 2020) ou le remdesivir qui non content de ne pas soigner les Covid, bloquait les reins des patients et provoquait de graves mutations génétiques du coronavirus. La dose de Remdesivir était facturée de l'orde de 800 euros et il fallait au moins 5 doses pour maltraiter un patient Covid. Quelques jours avant que l'OMS ne produise un Avertissement contre l'emploi du Remdesivir dans la Covid, l'Union européenne achetait plusieurs millions de doses de ce médicament dangereux. Lire notre article, L'avis de l'OMS sur le Remdesivir du 20 Novembre 2020, Revue C-Politix, 20.11.2020 [8] Le confinement était une stratégie de santé publique parfaitement inconnue jusqu'au 16 mars 2020, où elle est préconisée par un informaticien de l'Imperial College de Londres, Neil Ferguson, qui dirige un centre de modélisation des épidémies, lourdement financé par le milliardaire Bill Gates notamment. Ferguson qui depuis vingt ans publie des modélisations épidémiques systématiquement démenties par les faits, a fait publier par ses équipes 43 rapports pour démontrer la justesse de ses vues. Dans le Rapport N°9, publié le 16 Mars 2020, intitulé Impact of non-pharmaceutical interventions (NPIs) to reduce COVID-19 mortality and healthcare demand, il estime que la nouveauté de la Covid disqualifie tout traitement pharmaceutique et que, dans l'attente d'un vaccin à développer, il n'y a pas d'autres solutions que de confiner l'ensemble de la population et de lui imposer les autres "mesures de distanciation sociale" que nous connaissons bien maintenant. Elles sont toutes inefficaces, hautement nuisibles à la santé publique, et destructrices de la société qui les mettent en oeuvre. [9] Ce genre de remarque sur la collaboration de l'Etat et du grand capital est souvent taxée de "complotisme". La qualification de complotisme est devenu une moquerie destinée à écarter une critique, une contestation. Mais, pour la collaboration de l'Etat et des acteurs économiques, il ne s'agit évidemment pas d'un complot. Le complot en effet est réservé à ceux qui n'ont pas le pouvoir et qui veulent le prendre. Or, l'Etat et les grabnds acteurs économiques possèdent le pouvoir. [10] C'est la fameuse remarque des années 90. Chirac (Jacques Chirac sur la fracture sociale, face à Lionel Jospin, le 2 mai 1995 sur France 2) voyait que l'ascenseur social était tombé en panne. On ne pouvait pas, il y a près de trente ans, mieux dénoncer cette interdiction de l'initiative économique au peuple. La situation a empirée depuis. [11] Une preuve se lit dans une inqualifiable Tribune de 41 fonctionnaires de santé appartenant à l'administration Assistance Publique - Hôpitaux de Paris : L'alerte de 41 directeurs de crise de l'AP-HP : "Nous serons contraints de faire un tri des patients, le JDD du 27 mars 2021. Ces individus reconnaissent froidement qu'ils feront des euthanasies en refusant les patients destinés à mourir. Or, comme le relève le médecin syndicaliste Christian Prud'homme, ce sont ces "chefs de service hospitaliers" qui ont organisé la suppression des lits de réanimation qu'ils prétendent leur manquer aujourd'hui. Lire Christophe Prudhomme: «Ce sont les fossoyeurs de l'hôpital qui tirent aujourd'hui la sonnette d'alarme», dans Le Figaro du 31 mars 2021. [12] Bank of America notait au début de l'année que plus de la moitié des ménages américains ne disposaient pas de revenus suffisants pour payer seulement leurs dépenses obligatoires. C'est bien l'indice d'une pauvreté organisée, voulue, construite progressivement. Par l'Etat et les grands acteurs économiques. La situation est à notre avis pire encore en France et dans le reste de l'Europe. [13] Cette pandémie dite de la Covid, a démontré l'entente mafieuse entre les acteurs étatiques et les acteurs économiques. L'Etat français pour le prendre comme cible - mais la même chose existe au Royaume-Uni, en Italie ou en Allemagne et aux USA - est encadré par des fonctionnaires de santé qui sont, pour beaucoup, corrompus par l'argent et les sinécures des firmes pharmaceutiques. Ainsi, d'un membre du Conseil scientifique et chef de service de l'hôpital publique est entièrement dans la main du laboratoire Gilead, le vendeur du remdesivir. C'est ce professeur qui avec le concours d'autres fonctionnaires, a organisé l'interdiction des traitements pharmaceutiques en France avec l'hydroxychloroquine et l'ivermectine. On pourra se reporter à de nombreuses enquêtes et particulièrement à celle du Pr Didier Raoult, Influence of conflicts of interest on public positions in the COVID-19 era, the case of Gilead Sciences, publié le 1er Novembre 2020 dans la revue scientifique New Microbes and New Infections. Non seulement la "médecine officielle" est corrompue financièrement par les acteurs économiques du domaine, mais ces derniers utilisent les fonctionnaires corrompus pour contrôler l'Etat. Ce sont ces corrompus qui dictent la politique sanitaire et depuis le début de la crise, la politique économique et sociale de la France et de la plupart des Etats de l'occident américanisé. Le 1er Mai 2020, le Directeur Général de Gilead se fait photographier dans le bureau ovale de la Maison Blanche, derrière le Président des Etats-Unis. Les acteurs économiques ont un accès libre au pouvoir politique dans une coopération qu'il faut dénoncer. On notera cependant, qu'aujourd'hui, personne n'ose parler de corruption, le vilain mot que voilà. On accepte de citer des "conflits d'intérêt". Qu'en termes galants, Marquise, ces choses-là sont dites. La révolution élimine les Marquises. |