Nouvelles non-conformes - La révolution hygiéniste au 1er Juin 20221 - L'ARN vaccinal diffuse rapidement dans des cultures de cellules de foie humainAlden et al sont des scientifiques d'un Institut de recherche du gouvernement danois. Ils ont publié leur étude [1] dans une revue scientifique à comité de lecture, ce qui donne plus de poids à leur étude. Selon eux :
Cet article démontre donc deux erreurs extrêmement graves. Il est faux de prétendre que le vaccin reste concentré dans le muscle au poitn d'injectionLa première erreur professe encore aujourd'hui que les particules vaccinales - notamment des vaccins à ARN - restent concentrées au point d'injection et la conversion de l'ARN vaccinal serait entièrement assurée par les cellules du muscle dans lequel est injecté le sérum vaccinal. Cette erreur a été relevée par plusieurs biologistes qui ont obtenu copie de pièces déposées par Pfizer au Japon pour y obtenir son autorisation. Qui, comme partout, lui a été accordée. Cette simple assertion non seulement est fausse en ce que le vaccin diffuse dans tout le coprs en quelques heures, mais - et c'est presque plus grave - parce que contrairement à al croyance populaire une piqure intramusculaire ne se distingue pas bien d'une piqure intraveineuse. De sorte qu'il existe une proportion - inconnue, mais incontestable - de piqures intramusculaires qui sont en réalité de sintraveineuses. Le résultat est que les particules vaccinales diffusent dans tout le système sanguin jusqu'au coeur et aux autres organes - cerveau notamment. D'ailleurs, l'irrigation des muscles par le système circulatoire est de toute façon une information connue de tous. Et le passage d''un produit injecté depuis le muscle dans le sang est une affaire connue. Le résultat est que l'assertion selon laquelle les particules vaccinales restent dans le muscleau point d'injection est doubleemnt - et même triplement fausse. Et cette triple erreur était connue depuis toujours. Il est faux de prétendre que l'ARN vaccinal est incapable de s'insérer dans le génome humain parce qu'il est en ADNLa seconde erreur lamentable a été commise par un nombre incroyable de professionnels de santé publique. Ils ont agonis d'injures des scientifiques qui avertissaient de ce risque inhérent à l'ARN vaccinal. Le dogme imposé en France provient du biologiste Monod qui en 1970 postule que l'ARN ne peut jamais se traduire en ADN. En 1973, le "dogme" de Monod est révoq"é par plusieurs découvertes dont celle le la transcriptase inverse par Baltimore. Mais, notamment en France, la révérence dûe à Monod semble laisser croire à beaucoup de gens que l'ARN ne peut conduire à un ADN. Plusieurs scientifiques, même français, avertissent que l'ARNm vaccinal pourrait modifier le génome ADN de l'homme. Le danger est notamment souligné par le Professeur Perrone, le Dr Vélot et la généticienne Alexandra Henrion-Caude. Quand cette dernière avertit publiquement dans des émissions de radio et de télévision sur le danger d'une transcription inverse des particules vaccinales, le Professeur Axel Kahn, décédé depuis, la calomnie publiquement [2] : Alexandra Henrion-Caude, ancienne chercheuse à l'Inserm, affirme que les vaccins à ARN sont dangereux pour notre ADNet Axel Kahn réplique : "Alexandra Henrion-Claude a été une chercheuse brillante puis a quitté l'Inserm, et développé des thèses complotistes en contradiction avec ses pairs"Soit dit en passant, Kahn proférait une solide absurdité en parlant de complotisme et de "contraddiction avec ses pairs". Ces derniers sont simplement des illetrés ignorants. Le travail de Alden et al, les chercheurs danois dans leur article de février 2022, démontre que les cellules hépatiques de culture intègrent de l'ARNm en ADN dans le noyau de la cellule modifiant ainsi pour toujours le génome humain. .2 - Le travail de Alden et al sur les vaccins 1RN confirme une étude de Zhang sur le génome de SARS-CoV-2L'article de Alden et al. n'a encore que 15 citations relevées dans Google Scholar [3]. Particulièrement, aucune étude in vivo n'a relevé des insertions dans l'ADN de cellules hépatiques de vaccinés d'éléments issus du génome ARN des particules vaccinales du vaccin Pfizer. Aujourd'hui, il n'est donc pas démontré que l'ARN vaccinal se convertit en ADN dans des cellules hépatiques humaines de vaccinés ni dans d'autres cellules humaines dont le génome ADN serait ainsi modifié. Un an aupravant, une équipe américaine du MIT avait réalisée une étude sur l'infection par SARS-CoV-2 de cultures de cellules humaines. Ils avaient publié un article intitulé "Reverse-transcribed SARS-CoV-2 RNA can integrate into the genome of cultured human cells and can be expressed in patient-derived tissues" [4], titre qui peut se traduire par "L'ARN du SRAS-CoV-2 rétrotranscrit peut s'intégrer dans le génome des cellules humaines cultivées et peut être exprimé dans les tissus dérivés du patient". Dans cette étude, l'équipe du MIT est parvenu à relever plus de 61 expressions d'ARN transcrit de différentes parties du génome ARN de SARS-CoV-2. Le maximum d'insertions ont eu lieu (10) sur le chromosome humain n°1 et seuls les choromosones 8, 15 et 20 n'avaient aucune insertion. L'insertion génomique se produit dès le 2° jour après l'infection de la culture par SARS-CoV-2. Cette étude n'a pas rapporté une particulière transcription du gène S du coronavirus, qui sert de base aux particules vaccinales étudiées par Alden et al. Mais, l'étude de Zhang et al est largement confirmée par l'étude de Alden : tout le génome ARN de SARS-CoV-2 est susceptible de s'intégrer à l'ADN humain par transcriptase inverse. L'apport original de Zhang et al se trouve de plus de dans leur découverte que les cellules transfectées par le génome SARS-CoV-2 produisent à nouveau des fragments de complexes qui expriment suffisament d'ARN de SARS-CoVC-2 pour être détectées par des tests PCR. Zhang et al ont montré que les cellules de culture transfectées par l'ARN viral, se mettent à produire des fragments de coronavirus plusieurs générations cellulaires plus tard après la transfection initiale. Zhang et al. estiment que ce fait pourrait fonder le fait que les malades de la Covid peuvent être infectés plusieurs années après leur infection initiale, alors même que l'épidémie est terminée. Notes et commentaires[1] Intracellular Reverse Transcription of Pfizer BioNTech COVID-19 mRNA Vaccine BNT162b2 In Vitro in Human Liver Cell Line, Markus Aldén et al., Curr. Issues Mol. Biol. 2022, 44, 1115–1126. Publié le 25 Février 2022 ; [2] Vrai ou fake : Alexandra Henrion-Caude, ancienne chercheuse à l'Inserm, affirme que les vaccins à ARN sont dangereux pour notre ADN, france Info, Publié le 03/06/2021 [3] Recherche Google Scholar sur les citations de l'article de Alden. [4] Reverse-transcribed SARS-CoV-2 RNA can integrate into the genome of cultured human cells and can be expressed in patient-derived tissues, Liguo Zhang et al., May 6, 2021 PNAS Vol. 118 | No. 21 |