Nouvelles non-conformes - La révolution hygiéniste au 4 Juin 2022

Philippe Brindet - 4 Juin 2022

1 - Myocardites chez les malades vaccinés en Israël

Dans une étude publiée courant avril 2022, des chercheurs israéliens ont recherché l'incidence des myocardites et des péricardites parmi les vaccinés en Israël (vaccin Pfizer uniquement).

We aimed to study the incidence of post-acute COVID-19 myocarditis and pericarditis. Retrospective cohort study of 196,992 adults after COVID-19 infection in Clalit Health Services members in Israel between March 2020 and January 2021. Notre objectif était d'étudier l'incidence des myocardites et péricardites post-aiguës liées à la COVID-19. Étude de cohorte rétrospective de 196 992 adultes après une infection au COVID-19 chez les membres des services de santé de Clalit en Israël entre mars 2020 et janvier 2021.

Il s'agit d'une étude rétrospective qui a utilisé les dossiers médicaux, sans voir les patients. On remarque que pour un peu moins de 200.000 patients, les chercheurs israéliens trouvent seulement 9 myocardites ou péricardites, ce qui est très inférieur au taux de prévalence de ces deux affections en population générale avant l'épidémie. L'analyse a lieu sur 10 mois, ce qui paraît long pour travailler sur la Covid-19, mais court puisque sur les 200.000 patients inclus, les infections se répartissent au cours de ces dix mois. Le recours à la normalisation des patients.mois paraît sans influence ici.

Our data suggest that there is no increase in the incidence of myocarditis and pericarditis in COVID-19 recovered patients compared to uninfected matched controls. Further longer-term studies will be needed to estimate the incidence of pericarditis and myocarditis in patients diagnosed with COVID-19. Nos données suggèrent qu'il n'y a pas d'augmentation de l'incidence de la myocardite et de la péricardite chez les patients guéris du COVID-19 par rapport aux témoins appariés non infectés. D'autres études à plus long terme seront nécessaires pour estimer l'incidence de la péricardite et de la myocardite chez les patients diagnostiqués avec COVID-19.

On note que :

Population de contrôle non infectéePopulation vaccinée infectée
Nombre590.976 196.992
Péricardite5211
Myocardite279

Les taux de péricardite ou de myocardite vont de 6 à 9 pour 100.000 patients dans les deux groupes ! Il n'y aucune différence entre les deux groupes et le nombre de cas est beaucoup trop faible pour représenter une population normale. Autant dire que l'étude israélienne a soigneusement écartée les myocardites et les péricardites dans le groupe de contrôle et dans le groupe testé ! Cette étude n'a donc strictement aucun intérêt et elle ne permet absolument pas de conclure que le vaccin Pfizer protège les re-infectés vaccinés de la péricardite ou à la myocardite !

Le mirage des chiffres et de la statistique et rien de plus.

Source : TUVALI O - The Incidence of Myocarditis and Pericarditis in Post COVID-19 Unvaccinated Patients—A Large Population-Based Study, MDPI Journal of Clinical Medicine, publié le 15.04.2022 ;
Cité par Naked EMPEROR - Remember when they said you were just as likely to get Myocarditis from Covid_ publié le 02.06.2022.

2 - Le vaccin Pfizer induit des réponses immunolgiques identiques à celles de patients à thyroïdite auto-immunes

Il s'agit d'une étude de médecins hospitaliers grecs. Le but de l'étude est :

a) to compare immune response [...] between patients with autoimmune thyroiditis and controls, and a) comparer la réponse immunitaire [...] entre les patients atteints de thyroïdite auto-immune et les témoins, et
b) to investigate changes in thyroid function in healthy subjects [...] before and after vaccination with BNT162b2 mRNA vaccine. b) étudier les modifications de la fonction thyroïdienne chez des sujets sains [...] avant et après la vaccination avec le vaccin à ARNm BNT162b2.

La conclusion de l'étude est la suivante :

Conclusions: This study provided evidence that patients with autoimmune thyroiditis present similar immunological response to COVID-19 BNT162b2 mRNA vaccine (Comirnaty, Pfizer/BioNTech) with healthy subjects, while vaccination may affect thyroid function. Conclusions : Cette étude a fourni des preuves que les patients atteints de thyroïdite auto-immune présentent une réponse immunologique similaire à celle du vaccin Pfizer avec des sujets sains, puisque la vaccination peut affecter la fonction thyroïdienne.

Source : GUMENI S - Patients With Autoimmune Thyroiditis Present Similar Immunological Response to COVID-19 BNT162b2 mRNA Vaccine, in Thyroid Endocrinology, a section of the journal Frontiers in Endocrinology, publié le 22.02.2022.

3 - Le sang des vaccinés Covid contient des composants étrangers

Il s'agit d'une étude coréenne qui acomparé le sang de personnes vaccinées Covid (Pfizer ou Moderna) à celui de personnes non vaccinées. L'étude présente ainsi :

Here we report on similar foreign materials found in samples of centrifuged blood from 8 COVID 19 vaccine recipients as contrasted with 2 individuals who did not receive any COVID 19 vaccine and who had none of the foreign materials in their blood plasma . The preponderance of evidence suggests that the foreign materials Nous rapportons ici des matières étrangères similaires trouvées dans des échantillons de sang centrifugé de 8 receveurs du vaccin COVID 19 par opposition à 2 personnes qui n'ont reçu aucun vaccin COVID 19 et qui n'avaient aucune des matières étrangères dans leur plasma sanguin. La prépondérance des preuves suggère que les matériaux étrangers

Ce que les coréens ont trouvé est décrit ici :

From the 8 COVID 19 vaccine recipients:
  • 6 plasma samples contained a multilayered disc of unidentified composition ;
  • 3 samples contained beaded coil like materials ;
  • 1 plasma sample contained a fibrous bundle of similar appearing beaded foreign material ; and
  • a different group of 3 samples had crystal like formations of foreign material.
The various shapes and sizes of foreign materials in the centrifuged plasmas of COVID 19 vaccinated individuals closely resembled the shapes and sizes of foreign materials previously observed directly in the vaccines themselves.
Parmi les 8 receveurs du vaccin COVID 19 :
  • 6 échantillons de plasma contenaient un disque multicouche de composition non identifiée ;
  • 3 échantillons contenaient des matériaux ressemblant à des bobines perlées ;
  • 1 échantillon de plasma contenait un faisceau fibreux de matière étrangère perlée d'apparence similaire ; et
  • un groupe différent de 3 échantillons avait des formations cristallines de matière étrangère.
Les différentes formes et tailles des matières étrangères dans les plasmas centrifugés des individus vaccinés contre le COVID 19 ressemblaient étroitement aux formes et tailles des matières étrangères précédemment observées directement dans les vaccins eux-mêmes.

Il existe un certain nombre d'études plus ou moins avancées qui portent ou bien sur le contenu des vaccins ARN ou ADN Covid, ou encore sur le sang des vaccinés, et notamment dans ce dernier cas, sur le sang de personnes décédées et suivant un processus d'embaumement. Beaucoup de ces recherches signalent que le sang et la lymphe des personnes vaccinées présentent à l'examen microscopique la trace de structures non-identifiées, mais que l'on suppose être des microstructures du genre des oxydes de graphène.

Certains auteurs estiment que ces structures seraient destinées à permettre la traversée du cytoplasme des cellules cible des vaccins ARN et ADN, l'oxyde de graphène se comportant alors comme un micro "rasoir" qui ouvrirait la voie à la particule vaccinale. D'autres auteurs se référant à des recherches connues, estiment que ces oxydes de graphène pourraient avoir des propriétés électromagnétiques, ou semiconductrices de sorte qu'elles se comporteraient séparément ou en combinaison comme des instruments électroniques destinés à commander des effets biologiques d'une part ou de transférer des données un peu à la manière des NFC avec des instruments externes d'autre part.

Mais tous les auteurs estiment que la présence de telles structures présente un danger à cause de leur toxicité inhérente.

Source :

4 - La vaccination Covid et les atteintes à la fonction urinaire

Il s'agit d'un article portant sur une étude dans un groupe d'universités et d'hôpitaux à Taïwan.

We investigated the storage lower urinary tract symptoms (LUTS) before and after the first dose of coronavirus disease 2019 (COVID-19) vaccine and the association between pre-vaccinated overactive bladder (OAB) and the worsening of storage LUTS following COVID-19 vaccination. Nous avons étudié les symptômes de stockage dans les voies urinaires inférieures (LUTS) avant et après la première dose du vaccin contre la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) et l'association entre la vessie hyperactive pré-vaccinée (OAB) et l'aggravation des LUTS de stockage après la vaccination COVID-19.

La conclusion des auteurs est la suivante :

Our findings demonstrated that after COVID-19 vaccination, up to 13.4% of the 889 participants revealed a deterioration in storage LUTS. Furthermore, pre-vaccination OAB was significantly associated with higher risk of worsening storage LUTS and greater change in the storage LUTS, especially urinary urgency and frequency, after COVID-19 vaccination. Nos résultats ont démontré qu'après la vaccination contre le COVID-19, jusqu'à 13,4 % des 889 participants ont révélé une détérioration des LUTS de stockage. De plus, l'hyperactivité vésicale avant la vaccination était significativement associée à un risque plus élevé d'aggravation des LUTS de stockage et à une modification plus importante des LUTS de stockage, en particulier de l'urgence et de la fréquence urinaires, après la vaccination contre le COVID-19.

Les auteurs estiment que la causalité du vaccin Covid-19 est encore à vérifier, mais surtout que ce nouvel effet indésirable, qui n'est pas un effet rare, doit être pris en compte par la médecine post-vaccinale.

Source : CHEN Y-C - Does COVID-19 Vaccination Cause Storage Lower Urinary Tract Symptoms (120522).pdf

5 - Les vaccins covid ne protègent ni de l'infection, ni de la transmission

Cette assertion est déjà bien connue depuis plus de 8 mois, puisqu'elle fonde l'exigence du port du masque pour les vaccinés à l'égal des non-vaccinés. Mais l'étude présentée ici concerne la Corée du Sud sur un très petit nombre de patients.

Question Question
Do individuals fully vaccinated against COVID-19 have a shorter duration of viable SARS-CoV-2 viral shedding and a lower rate of secondary transmission than in partially vaccinated or unvaccinated individuals? Les individus entièrement vaccinés contre le COVID-19 ont-ils une durée d'excrétion virale viable du SRAS-CoV-2 plus courte et un taux de transmission secondaire plus faible que chez les individus partiellement vaccinés ou non vaccinés ?
Findings Résultats
In this cohort study of 173 health care workers, inpatients, and guardians and 45 participants in a community facility, secondary transmission of SARS-CoV-2 was significantly less common, and viable viruswas detected for a shorter duration in fully vaccinated individuals than in partially vaccinated or unvaccinated individuals. Dans cette étude de cohorte de 173 travailleurs de la santé, patients hospitalisés et tuteurs et 45 participants dans un établissement communautaire, la transmission secondaire du SRAS-CoV-2 était significativement moins fréquente et un virus viable a été détecté pendant une durée plus courte chez les personnes entièrement vaccinées que chez les personnes partiellement vaccinées. personnes vaccinées ou non vaccinées.

L'étude comporte un biais important concernant les tests PCR pour estimer la charge virale des vaccinés ré-infectés. La différence de durée de la protection est tellement faible qu'il est impossible de dire que le portage viral, qu'il soit infectieux ou transmissible, serait avantageux pour les vaccinés. Cette étude montre une fois de plus la fragilité de la rigueur pourtant apparente de ce genre d'études statistiques. Les auteurs de cette étude coréenne le reconnaissent eux-mêmes. Mais à la fin de l'article que personne ne lit ...

Source :JUNG J - Transmission and Infectious SARS-CoV-2 Shedding Kinetics in Vaccinated and Unvaccinated Individuals, JAMA Network Open. , publié le 24 mai 2022.

6 - L'hydroxychloroquine démontre depuis toujours son utilité contre la Covid-19

L'IHU de Marseille vient de publier une nouvelle étude concernant le traitement de la Covid-19 par le protocole Raoult, hydroxychloroquine et azythromycine (HCQ + AZ).

Here, we evaluated the age-specific mortality of unselected adult outpatients infected with SARS-CoV-2 managed early in a dedicated COVID-19 day hospital offering standardized treatment based on HCQ+AZ. We also assessed whether the use of HCQ+AZ was associated with improved IFR and lower rates of intensive care unit (ICU) admission and hospitalization in a conventional ward (HC) in this cohort. Ici, nous avons évalué la mortalité par âge de patients externes adultes non sélectionnés infectés par le SRAS-CoV-2 pris en charge tôt dans un hôpital de jour COVID-19 dédié offrant un traitement standardisé basé sur HCQ + AZ. Nous avons également évalué si l'utilisation de HCQ + AZ était associée à une amélioration de l'IFR et à une baisse des taux d'admission et d'hospitalisation en unité de soins intensifs (USI) dans un service conventionnel (HC) dans cette cohorte.

Il s'agit donc d'un traitement précoce, ce qu'a toujours recommandé Didier Raoult. Mais, l'acceptation d'un tele traitement précoce est absolument interdit aux autorités sanitaires et aux gouvernements puisque, selon le droit sanitaire international, l'existence d'un tel traitement précoce interdit la mise en oeuvre d'un quelconque vaccin ! Que trouve l'étude de l'IHU ?

Among the 10,429 included patients, 8315 received the combination therapy HCQ+AZ (79.7%), 1091 received AZ alone (10.5%), 207 received HCQ alone (2.0%—mainly the first week, Fig. 1), and 816 did not receive either HCQ or AZ (7.8%). [...] . No serious adverse events nor torsade de pointes was observed. Of these 10,429 patients, 21 had a second SARS-CoV-2 infection (0.2%) with a median time to reinfection of 160 days (interquartile range 127 to 209 days). Parmi les 10 429 patients inclus, 8315 ont reçu la thérapie combinée HCQ+AZ (79,7%), 1091 ont reçu l'AZ seul (10,5%), 207 ont reçu l'HCQ seul (2,0% - principalement la première semaine, Fig. 1), et 816 n'ont pas reçu reçoivent soit HCQ soit AZ (7,8%). [...] . Aucun événement indésirable grave ni torsade de pointes n'a été observé. Sur ces 10 429 patients, 21 ont eu une deuxième infection par le SRAS-CoV-2 (0,2 %) avec un délai médian de réinfection de 160 jours (intervalle interquartile de 127 à 209 jours).

Raoult et ses collègues notent l'absence d'effets adverses de leur traitement précode alor qu'on voulait le leur interdire pour cette mauvaise "raison". Ils notent aussi la très faible présence de malades ré-infectés ce qui démontyre que le fait d'attraper la Covid produit une immunité efficcae contre la ré-infection. Les trois résutats obtenus sont les suivants :

3.2.1 Deaths 3.2.1 Décès
Among the 10,429 ambulatory patients, there were 16 deaths (0.15%) (Table 1, Figs. 1,3. No patient under 60 years of age died (0/8414 (0%), 95% confidence interval 0.0% to 0.4%) (Fig. 3). Therefore, the IFR among the 2015 patients aged 60 and over was 0.8%. Parmi les 10 429 patients ambulatoires, il y a eu 16 décès (0,15%) (Tableau 1, Figs. 1,3. Aucun patient de moins de 60 ans n'est décédé (0/8414 (0%), intervalle de confiance à 95% 0,0% à 0,4% ) (Fig. 3) Ainsi, l'IFR parmi les 2015 patients âgés de 60 ans et plus était de 0,8 %.
3.2.2 Intensive care unit admissions 3.2.2 Admissions en unité de soins intensifs
Only 24 patients were transferred to the intensive care unit (0.23%), with no patient under 40 years of age being transferred. Seuls 24 patients ont été transférés en réanimation (0,23 %), aucun patient de moins de 40 ans n'ayant été transféré.
3.2.3 Hospitalizations 3.2.3 Hospitalisations
Two hundred and seventy-eight patients (2.7%) were subsequently hospitalized (Supplementary Table 6). In the multivariable logistic regression, age, sex, and epidemic period, but not HCQ+AZ, were associated with the hospitalization rate. The hospitalization rate was decreased by 30–35% for periods 2 and 3 compared with period 1 (Supplementary Table 7). Deux cent soixante-dix-huit patients (2,7 %) ont ensuite été hospitalisés (tableau complémentaire 6). Dans la régression logistique multivariée, l'âge, le sexe et la période épidémique, mais pas HCQ+AZ, étaient associés au taux d'hospitalisation. Le taux d'hospitalisation a diminué de 30 à 35 % pour les périodes 2 et 3 par rapport à la période 1 (tableau supplémentaire 7).

L'étude Raoult de 2021Early combination therapy with hydroxychloroquine and azithromycin reduces mortality in 10,429 COVID-19 outpatients démontre que sur une cohorte large de plus de 10.000 patients, le taux de mortalité, d'hospitalisation et de soins intensifs sont considérablement réduits. Pour les patients âgés de moins de 60 ans, ces risques sont quasiment exclus.

Source : RAOULT D - Early combination therapy with hydroxychloroquine and azithromycin reduces mortality in 10,429 COVID-19 outpatients, Rev. Cardiovasc. Med. 2021, Publié le 24.09.2021.

7 - Les essais cliniques Pfizer de 2020 démontraient la dangerosité de leur vaccin ARN

Les essais cliniques réalisé en 2020 par Pfizer pour obtenir son autorisation de mise sur le marché partout, ont été succinctement décrit par Pfizer lui-même dans un article de Thomas, dans lequel Pfizer reconnaissait froidement que en six mois, l'efficacité de son vaccin décroissait fortement. Bien entendu, Pfizer a été contraint de déposer beaucoup de données auprès des agences d'autorisation d'utilisation des vaccins: FDA aux USA et EMA en Europe. Or, il s'est démontré ultérieuremetn que ces Agences gouvernementales n'ont eu ni le temps, ni les moyens pour analyser le moindre résultat de ces "essais". Pire, harcelées par des scientifiques qui voulaient contrôler les données Pfizer, les cours de justice au Japon d'abord, puis aux USA, ont ordonné aux agences de leurs Etats la publication des données des essais cliniques du vaccin Pfizer.

Dans un article, le statisticien Patrice Gibertie a analysé les données de mortalité qui apparaissent dans les papiers récemment publiés par l'Agence de santé japonaise. Comme plusieurs analystes, il a découvert que Pfizer a fait interrompre les essais de façon à ne pas prendre en compte les décès de vaccinés dans l'essai clinique. Mais, ces décès sont indiqués dans des tables annexées aux documents fournis aux agences gouvernementales :

Officiellement il y aurait eu 2 décès toutes causes parmi les vaccinés et 4 dans le groupe placébo lors des fameux effets Pfizer qui ont permis l'autorisation des injections. Nous en sommes maintenant à 27 pour les vaccinés contre 15 parmi les non vaccinés. 6 décès cachés se rajoutent en effet à la longue liste. Tous avaient eu au moins une injection ...

Efficacité vaccinale sur les décès Covid

Nbe de vaccinés testés positifs : 1594
Nbe de témoins non-vaccinés testés positifs : 1816
VE calculé par Pfizer= 1 - (2+1594)/(4+1816) = 13%
VE corrigé = 1 - (27+1594)/(15+1816) = 11%

Source :GIBERTIE P, Les DOCUMENTS SECRETS DES ESSAIS PFIZER révèlent DEUX FOIS PLUS DE DECES PARMI LES VACCINES que les non injectés_, publié le 03.06.2022 ;
THOMAS SJ - Six Month Safety and Efficacy of the BNT162b2 mRNA COVID-19 Vaccine, MedrXiv publié le 28.07.2021 ; Doshi P, Pfizer and Moderna’s '95% effective' vaccines - we need more details and the raw data, British Medical Journal, publié le January 4, 2021.


Revue C-Politix (c) 04 Juin 2022