Nouvelles non-conformes - La révolution hygiéniste au 08 Août 2022

Philippe Brindet - 8 Août 2022

1 - Mortalité Covid lors de la première épidémie en Europe : Vitamine D la réduit, la vaccination contre la grippe l'augmente

Une équipe de chercheurs allemands a analysé les données publiques des décès Covid-19 lors de la première épidémie de Mars 2020 en Europe. Leurs conclusions sont inattendues :

Modeling COVID-19 related death rates in 43 European countries during the initial phase of the outbreak until August 2020, unravels some interesting findings: La modélisation des taux de mortalité liés au COVID-19 dans 43 pays européens pendant la phase initiale de l'épidémie jusqu'en août 2020, dévoile quelques résultats intéressants :
a) Unsurprisingly, test-standardized CoV2-cases predict the number of deaths. This variable on its own was able to explain about 20% of the variance. a) Sans surprise, les cas de CoV2 standardisés par les tests prédisent le nombre de décès. Cette variable pouvait expliquer à elle seule environ 20 % de la variance.
b) Surprisingly, the stringency of government responses correlated positively with COVID-19 related death rates, i.e., stricter government response was associated with more deaths; however, it was not a significant predictor. b) Étonnamment, la rigueur des réponses gouvernementales était positivement corrélée aux taux de mortalité liés au COVID-19, c'est-à-dire qu'une réponse gouvernementale plus stricte était associée à plus de décès ; cependant, ce n'était pas un prédicteur significatif.
c) Also surprisingly, the second-most important predictor was the flu-vaccination coverage in the elderly: the higher this vaccination rate is, the more COVID-19 related deaths we see in a country. c) Étonnamment également, le deuxième prédicteur le plus important était la couverture vaccinale contre la grippe chez les personnes âgées : plus ce taux de vaccination est élevé, plus nous voyons de décès liés au COVID-19 dans un pays.
d) We confirmed that population-wide vitamin D status may have acted protectively against COVID-19 related deaths during the initial phase of the outbreak. It was a highly significant predictor in the best GLM fitted to the dataset with no missing variables (Table 3). d) Nous avons confirmé que le statut en vitamine D à l'échelle de la population peut avoir agi de manière protectrice contre les décès liés au COVID-19 au cours de la phase initiale de l'épidémie. Il s'agissait d'un prédicteur hautement significatif dans le meilleur GLM ajusté à l'ensemble de données sans variables manquantes (tableau 3).
e) Countries with a higher GDP experienced a higher COVID-19 associated death rate. e) Les pays avec un PIB plus élevé ont connu un taux de mortalité associé au COVID-19 plus élevé.

On remarque que le rôle protecteur de la Vitamine D contre la mortalité Covid sort renforcé de cette étude. On note que la vaccination contre la girppe, non seulement n'a aucun effet positif sur la mortalité Covid, mais elle l'aggrave. Cette caractéristique a déjà été posée comme hypothèse à cause de l'affaiblissement connu du système immunitaire, naturel notamment, qu'entraîne la vaccination. Enfin, on note que les mesures sanitaires imposées par les gouvernements des Etats les plus riches ont conduit à une aggravation de la mortalité Covid.

Cette étude devra être prise en compte dans les épidémies infectieuses suivantes. Mais on eut estimer qu'aucune mesure positive remarquée dans cette étude ne sera utilisée de même qu'aucune mesure négative ne sera épargnée pour aggraver la situation sanitaire.

Source :Identifying factors associated with COVID-19 related deaths during the first wave of the pandemic in Europe, R.J. Klement, Frontiers in Public Health, 28 Juillet 2022.

2 - Les parents de jeunes enfants aux USA ne veulent pas que leur enfant soit vacciné

Selon une étude menée par la firme de recherche d'opinions US, KFF, les parents de jeunes enfants de moins de 5 ans, refusent la vaccination de leurs enfants. Ceci malgré la recommandation des autorités sanitaires fédérales US (CDC) d'ouvrir la vaccination aux enfants de six mois à cinq ans. 43% refusent définitivement cette vaccination et 13% ne la pratiqueront que si elle est exigée par l'école ou le système sanitaire. 27% des parents attendraient de voir les effets de la vaccination.

53% des parents estiment que le vaccin Covid est plus risqué pour leur enfant que la Covid "naturelle". Parmi les parents qui projettent de faire vacciner leur enfant, 70% d'entre eux attendront une visite de routine à leur pédiatre pour envisager cette vaccination. Les chercheurs de KFF estiment qu'il s'agit d'une information démontrant l'importance de convaincre les pédiatres d'imposer la vaccination des jeunes enfants.

Or, on sait que la vaccination Covid a des effets adverses terribles et on s'attend à ce que les séquelles sur la santé des vaccinés qui ne présentent pas d'effets adverses post-vaccinaux soient dramatiques. La situation des enfants est donc absolument dramatique dans la dictature sanitaire en cours.

Source : Many Parents Unlikely to Seek COVID-19 Vaccination for Newly Eligible Young Children, Survey Finds, Joan Stephenson,, JAMA Health Forum, August 2, 2022.

3 - France : le Conseil scientifique transformé en comité ...

En France, le Conseil scientifique est dissous. Mais il est créé "un comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires". Non seulement il reprend les attributions de l'ancien Conseil scientifique de sinistre mémoire. Mais elles sont élargies. Il traitera non seulement de la Covid, mais des épidémies en général, des menaces sanitaires en général et ... du réchauffement climatique. On n'est pas près de sortir des confinements !

Ses missions sont chaînées entre elles. A la veille sur les alertes sanitaires, environnementales ou climatiques, répond la modélisation des menaces, d'où le comité déduira des recommandations sur la réponse politique à la menace ainsi que sur la réponse vaccinale.

On s'interroge sur la préséance du comité sur d'autres instances nationales, mais surtout internationales, comme le Traité sur les pandémies de l'OMS. Par ailleurs, les modélisations de catastrophes qu'elles soient sanitaires, environnementales ou climatiques sont extrêmement douteuses. Le mécanisme de la modélisation est absolument inadapté à l'évaluation de situations d'urgences ou de catastrophes. Asseoir une expertise en gestion de catastrophes est actuellement impossible et l'épidémie de SARS-CoV-2 l'a amplement démontré. Manifestement pas aux lobbies qui poussent à la constitution de ce comité et encore moins aux brachycéphales qui peuplent l'exécutif en France.

On note qu'aux épidémies qui étaient du ressort de l'ancien Conseil scientifique, le comité institué par ce décret étend sa "compétence" à la pollution et au réchauffement climatique. Pour faire bonne mesure. Si on déclare un confinement à l'apparition d'un virus grippal, que va-t'il advenir de notre liberté si on lui ajoute toutes les épidémies, la pollution, et le réchauffement climatique. On a ici franchi un cran supplémentaire dans la destruction de la société occidentale.

Source : MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DE LA PRÉVENTION Décret no 2022-1099 du 30 juillet 2022 instituant un comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires

4 - Témoignage du microbiologiste US Stephen Quay devant le US Senate concernant l'origine de SARS-CoV-2

Quay étudie de manière indépendante les origines de SARS-CoV-2 depuis le début de l'épidémie. Il témoigne devant la commission Ron Johnson du Sénat US et ses conclusions sont claires :

¤ My conclusion from two years of investigation is that the pandemic began with a laboratory-acquired infection. ¤ Ma conclusion après deux ans d'enquête est que la pandémie a commencé par une infection contractée en laboratoire.
¤ The virus has three genomic regions that have the signature of synthetic biology, that is, gain-of-function research. ¤ Le virus a trois régions génomiques qui ont la signature de la biologie synthétique, c'est-à-dire la recherche sur le gain de fonction.
¤ Two of those regions involve the three types of academic gain-of-function research that are permitted ¤ Deux de ces régions impliquent les trois types de recherche académique sur le gain de fonction qui sont autorisés
¤ One region has features of the two types of forbidden gain-of-function research that are associated with bioweapons development, asymptomatic transmission and immune system evasion. ¤ Une région présente des caractéristiques des deux types de recherche interdite sur le gain de fonction qui sont associés au développement d'armes biologiques, à la transmission asymptomatique et à l'évasion du système immunitaire.
¤ Finally, I will present evidence of synthetic biology research at the Wuhan Institute of Virology being conducted in low level, BSL 2/3 facilities, in December 2019 on the Nipah virus, which is >60% lethal but is not naturally airborne. This is the most dangerous research I have ever encountered. ¤ Enfin, je présenterai des preuves de la recherche en biologie synthétique à l'Institut de virologie de Wuhan menée dans des installations de bas niveau, BSL 2/3, en décembre 2019 sur le virus Nipah, qui est > 60 % létal mais n'est pas naturellement aéroporté. C'est la recherche la plus dangereuse que j'aie jamais rencontrée.
¤ I will close with five recommendations for future gain-of-function research. ¤ Je terminerai par cinq recommandations pour de futures recherches sur le gain de fonction.

Quay estime que les autorités sanitaires qui continuent à soutenir la thèse de l'origine naturelle de SARS-CoV-2 - tout récemment les articles de Worobey et de Pekar (lire Revue C-Politix, Nouvelles non-conformes - La révolution hygiéniste au 30 Juillet 2022 - 30 Juillet 2022, "2 - Le régime soutient toujours la thèse de la zoonose partie du marché aux poissons de Wuhan") - n'apportent aucune preuve de leur affirmation. Au contraire, il est démontré que le génome de SARS-CoV-2 a été fabriqué en laboratoire avec des insertions produites par des gains de fonction civils, mais aussi par des gains de fonction d'application militaire. L'épidémie démarre de manière certaine à Wuhan au cours du quatrième trimestre 2019 et le patient zéro a été infecté à l'Institut de Virologie de Wuhan.

Source : Steven Quay, Written remarks to accompany the testimony of Steven Quay, MD, PhD : “Revisiting Gain of Function Research: What the Pandemic Taught Us and Where Do We Go From Here”, Senate Committee on Homeland Security and Governmental Affairs’, Subcommittee on Emerging Threats and Spending Oversight, August 3, 2022.

5 - Témoignage du biologiste US Richard H. Ebright devant le US Senate concernant l'origine de SARS-CoV-2

Ebright est apparu dans le débat public sur l'origine de SARS-CoV-2 dès le mois de Mai 2020, lorsqu'il a rappelé que l'Institut de Virologie avait de très mauvaises pratiques de sécurité biochimique et qu'il entreprenait, malgré celà, de dangereuses recherches concernant l'augmentation de l'infectivité et de la pathogénicité de divers virus, dont les coronavirus. Ebright tient depuis lors la certitude que SARS-CoV-2 est un pathogène artificiel et l'épidémie provient d'une fuite de laboratoire de l'Institut de virologie de Wuhan.

Ebright estime que les USA ont un devoir de contrôle de la sécurité des études biochimiques qu'ils financent un peu partout dans le monde et particulièrement la sécurité des projets qui visent à rebnforcver l'infectivité et la pathognéicité de virus naturels par des méthodes artificielles de "gain-de-fonction". Il écrit dans son témoignage :

Lapses in US oversight of gain-of-function research of concern may have caused the current pandemic (see Appendix 1), and could cause future pandemics The US government funded high-risk gain-of-function research and high-risk enhanced potential pathogen research at the Wuhan Institute of Virology in 2016-2019. Des lacunes préoccupantes dans la surveillance américaine de la recherche sur le gain de fonction peuvent avoir causé la pandémie actuelle (voir l'annexe 1) et pourraient causer de futures pandémies. Le gouvernement américain a financé les projets de recherche à haut risque sur le gain de fonction et sur l'agent pathogène potentiel amélioré à l'Institut de virologie de Wuhan en 2016-2019.

On remarque que le témoignage de Ebright vient renforcer celui de Quay. De nombreux autres scientifiques ont énoncé à peu près les mêmes affirmations, comme Luc Montagnier, mais aussi l'économiste Jeffrey Sachs. Aucune autorité sanitaire ou politique n'en tire de conclusions et le régime préfère passer sous silence ces témoignages et études argumentées.

Source : Richarg H. Ebright, Written remarks to accompany the testimony of Richard H. Ebright : “Revisiting Gain of Function Research: What the Pandemic Taught Us and Where Do We Go From Here”, Senate Committee on Homeland Security and Governmental Affairs’, Subcommittee on Emerging Threats and Spending Oversight, August 3, 2022.

6 - Deux études d'hôpitaux français sur les myocardites induites par la vaccination Covid

Dans une première étude au contour assez flou, les chercheurs français partent de l'acceptation du fait que le vaccin Covid produit bien des cas de myocardites, dites muocardites induites par le vaccin. Se fondant sur les bases de données de santé en France, les auteurs estiment que la deuxième dose du vaccin et le booster induisent presque autant de myocardites. Ils notent cependant que si le booster est injecté pas trop proche de la seconde dose, il y aurait moins de myocardites induites par le vaccin.

In this study, the risk of myocarditis remained elevated after the booster dose, albeit at a lower level than following the second dose. This result observed in all age categories from age 12, extends prior observations for young adults. Dans cette étude, le risque de myocardite est resté élevé après la dose de rappel, bien qu'à un niveau plus faible qu'après la deuxième dose. Ce résultat observé dans toutes les catégories d'âge à partir de 12 ans, prolonge les observations antérieures pour les jeunes adultes.

Dans une deuxième étude, les auteurs travaillent sur les malaises cardiovasculaires en France métropolitaine en 2020 et 2021 comparées à 2019 avant la Covid. En réalité, l'étude recherche à estier la rupture de soins cardiovasculaires à l'hôpital en France à cause de l'épidémie. Cependant, les auteurs ont remarqué :

The deficit in care for patients with acute atherothrombotic manifestations in 2021 and 2020 shows a failure by the French healthcare system to rectify the deficiencies of 2020. The risk excess for pulmonary embolism cannot be entirely explained by covid-19 or by vaccine-induced immune thrombotic thrombocytopenia. Le déficit de prise en charge des patients présentant des manifestations athérothrombotiques aiguës en 2021 et 2020 montre un échec du système de santé français à pallier les carences de 2020. Le sur-risque d'embolie pulmonaire ne peut être entièrement expliqué par le covid-19 ou par les thrombocytopénie immunitaires induites par les vaccins.

L'étude, entièrement statistique, est fondée sur plus de un million de patients et dix pathologies cardio-vasculaires. Cette étude constate la désorganisation de l"hôpital français dans le traitement des maladies cardio-vasculaires d'une part - entre 2020 et 2021, par rapport à 2019 - mais surtout reconnaît une corrélation entre la courbe des vaccinations première dose Covid, puis les suivantes avec les cas liés d'hospitalisation pour myocardites et embolies pulmonaires :

Myocarditis Myocardite
Like other viral illnesses, acute myocarditis is associated with covid-19. It is most often associated with symptomatic covid-19, which is by itself the reason for hospitalization. In the setting of our study, it is therefore unsurprising that we did not observe excess myocarditis cases in 2020; on the contrary, myocarditis incidence declines by 20% circa the first lockdown. However, we cannot exclude an increase in the number of cases with a predominant myocarditis masked by the difficulty to access hospital cardiology channels. An excess risk of myocarditis has been previously described in patients receiving at least one dose of the mRNA vaccines against SARS-CoV-2, referring to both the Spikevax® mRNA-1273 vaccine and the Comirnaty® BNT162b2 vaccine. This was also observed in France in the VigiBase national database of adverse drug reaction reports. Adverse vaccine reactions are thus likely to explain at least a part of the myocarditis case excess observed in 2021 compared to 2020 in the present study. Taking into account available data for the vaccination campaign for people aged 10 to 29, we note that the increase in myocarditis cases in 2021 relative to 2020 for men in this age group coincides with the curve for the first dose of vaccine. Comme d'autres maladies virales, la myocardite aiguë est associée au covid-19. Il est le plus souvent associé au covid-19 symptomatique, qui est à lui seul le motif d'hospitalisation. Dans le cadre de notre étude, il n'est donc pas surprenant que nous n'ayons pas observé de cas de myocardite en excès en 2020 ; au contraire, l'incidence de la myocardite diminue de 20 % vers le premier confinement. Cependant, on ne peut exclure une augmentation du nombre de cas avec une myocardite prédominante masquée par la difficulté d'accès aux filières hospitalières de cardiologie. Un excès de risque de myocardite a déjà été décrit chez des patients recevant au moins une dose de vaccins à ARNm contre le SRAS-CoV-2, faisant référence à la fois au vaccin Spikevax® ARNm-1273 et au vaccin Comirnaty® BNT162b2. Ceci a également été observé en France dans la base de données nationale VigiBase des déclarations d'effets indésirables des médicaments. Les effets indésirables des vaccins sont donc susceptibles d'expliquer au moins une partie de l'excès de cas de myocardite observé en 2021 par rapport à 2020 dans la présente étude. Compte tenu des données disponibles pour la campagne de vaccination des personnes âgées de 10 à 29 ans, on constate que l'augmentation des cas de myocardite en 2021 par rapport à 2020 pour les hommes de cette tranche d'âge coïncide avec la courbe de la première dose de vaccin.

7 - Robert Malone rapproche VIH et Covid-19 et critique le traitement à base de Paxlovid de Pfizer

Dans un bref article, Malone qui est à la source des traitements à base d'ARN ou d'ADN, commence par rapprocher les virus HIV et SARS-CoV-2. Ces pathogènes sont tous deux des virus à ARN qui mutent à grande vitesse. Le médecin de la Maison-Blanche a utilisé le médicament Paxlovid de Pfizer pour soigner Biden. Suite à une première session de traitement Paxlovid, Biden "a subi un rebond de la Covid". Malone montre que ce médicament est mutagène.

En effet, le SARS-CoV-2 subit un nombre important de mutations dans les cellules de Biden sous l'effet du Paxlovid, qui, indéniablement supprime les autres particules virales. Mais, certaines d'entre elles échappent à l'action virucide réelle du Paxlovid. Au début, ces particules virales variantes sont peu nombreuses de sorte que l'on "croit" que le Paxlovid a réussi à traiter la Covid. Quelques jours plus tard, la multiplication du nouveau variant dans les cellules de Biden "explose" et il est à nouveau malade. Selon Malone, Biden ne s'est pas du tout "réinfecté". Il l'a toujours été. Mais, ses cellules ont produit un variant de SARS-CoV-2 qui échappe au Paxlovid. Et Biden peut alors infecter ses proches avec un nouveau variant ! Et être à nouveau malade

La même aventure est arrivée au "seigneur de l'épidémie de Covid", le ruffianesque Anthony Fauci, encore plus agé que Biden. Fauci aussi a été traité au Paxlovid. Comme lui, il a fait ce que les covidistes ont appelé un rebond, confondant une ré-infection avec une production de variant.

Malone souligne que, pour les infections à HIV, un virus ARN qui mute aussi vite que SARS-CoV-2, on a mis au point des multi-thérapies, des tri-thérapies notamment, pour "frapper" tout le spectre des variants les plus "faciles" de HIV. Selon plusieurs médecins, comme McCullough et Kory, l'hydroxychloroquine et l'ivermectine sont des anti-viraux à spectre large concernant les mutations de SARS-CoV-2. Ce qui explique que ces médicaments sont bien adaptés à traiter la Covid-19.

Au grand dam des laboratoires pharmaceutiques qui voient s'éloigner la poule aux oeufs d'or. Une session de 5 jours de traitement au Paxlovid, parfaitement inefficace pour soigner la Covid, rapporte 1.500 USD à Pfizer ! Et au grand dam des politiciens corrompus par l'industrie pharmaceutique. C'est le secret du scandale Covid.

Source : Paxlovid Escape Mutations? - by Robert W Malone MD, MS sur Substack - 06/08/22

8 - Les vaccinés Covid, avec ou sans effets adverses, présentent les mêmes profils de cytotoxicité pendant des mois

C'est une équipe de chercheurs américains d'une coalition d'institutions scientifiques et hospitalières qui a comparé les profils de cytotoxicité sur des prélèvements de vaccinés et de non-vaccinés ayant des séquelels post-Covid. Parmi les vaccinés, un groupe présentait des effets adverses graves, et un autre groupe ne déclarait pas d'effet adverses post-vaccinal.

Les auteurs on suivi les trois groupes de patients et ils concluent :

We determined that post-vaccination individuals with PASC-like symptoms had similar symptoms to PASC patients. When analyzing their immune profile, post-vaccination individuals had statistically significant elevations of sCD40L, CCL5, IL-6, and IL-8. SARS-CoV-2 S1 and S2 protein were detected in CD16+monocytes using flow cytometry and mass spectrometry on sorted cells. Nous avons déterminé que les personnes post-vaccinales présentant des symptômes de type PASC présentaient des symptômes similaires à ceux des patients PASC. Lors de l'analyse de leur profil immunitaire, les individus post-vaccination présentaient des élévations statistiquement significatives de sCD40L, CCL5, IL-6 et IL-8. Les protéines SARS-CoV-2 S1 et S2 ont été détectées dans les monocytes CD16 + par cytométrie en flux et spectrométrie de masse sur des cellules triées.
Conclusions conclusion
Post-vaccination individuals with PASC-like symptoms exhibit markers of platelet activation and pro-inflammatory cytokine production which may be driven by the persistence of SARS-CoV-2 S1 protein persistence in intermediate and non-classical monocytes. Les individus post-vaccination présentant des symptômes de type PASC présentent des marqueurs d'activation plaquettaire et de production de cytokines pro-inflammatoires qui peuvent être entraînés par la persistance de la persistance de la protéine SARS-CoV-2 S1 dans les monocytes intermédiaires et non classiques.

Cette étude fondamentale suggère que la présence de la protéine S1 dans les cellules CD 16+ dure plus de une année, qu'elle soit vaccinale ou infectieuse. La protéine S1 serait donc un pathogène établi durablement dans les monocytes, qu'elle soit d'origine vaccinale ou infectieuse, et qu'elle est responsable de la plupart des effets graves post-vaccinaux ainsi que des Covid longs. Autrement dit, les effets adverses des vaccins Covid ne diffèrent pas des symptômes de la Covid naturelle.

Source : SARS-CoV-2 S1 Protein Persistence in SARS-CoV-2 Negative Post-Vaccination Individuals with Long COVID/ PASC-Like Symptoms (WEB) - Patterson, B.K.; F ; Research Square Preprint. Jul 12, 2022.

9 - Steve Kirsch connaît 14 médecins canadiens qui ont fait une mort subite peu après avoir reçu un vaccin Covid

Steve Kirsh est un activiste américain qui surveille la politique sanitaire établie à l'occasion de l'épidémie de SARS-CoV-2 et de la vaccination Covid qui s'en est suivie. Il a par exemple commandé des sondages pour évaluer les décès post-vaccinaux. Ces sondages démontrent que la mortalité post-vaccinale est bien supérieure à celle - déjà énorme - tirée des registres d'effets adverses des vaccins. Dans cet article - qui n'a aucune prétention ni scientifique ni statistique - il a simplement recueilli avec l'aide d'un ami canadien qui appartient au milieu hospitalier, les noms des médecins exerçant dans des institutions médicales canadiennes et qui ont été annoncé décédés après une injection de vaccin Covid. En l'espace de 8 Mois, ils ont compté 14 médecins en pleine force de l'âge, en parfaite santé, et qui sont décédés quelques jours après une injection.

La plupart de ces décès ont été publiés et de nombreux commentateurs - généralement extérieurs au monde médical - ont comme le fait Kirsch - incriminé les vaccins. Les redoutables "fact-checkers" - notamment de l'agence AP - ont immédiatement contesté l'association de ces décès inattendus avec leur vaccination. Mais, ils n'ont pas d'autre "preuve" que l'affirmation que les certificats de décès ne mentionnent pas que le décès est causé par la vaccination.

Or, la plupart des médcins décédés n'avaient eux-mêmes pour la plupart d'entre eux aucune suspicion que le "vaccins" causerait leur mort. Pourtant, ils sont morts peu après l'injection et ils sont morts subitement. Or, de tels décès chez les médecins sont absolument rarissimes. Au moins aussi rares qu'un assassinat puisque le médecin suit sa santé avec rigueur et qu'il est lui-même surveillé par ses autorités de tutelle. Il se soigne avant la mort subite.

Il s'agit donc d'une information significative qui établit un élément de preuve que la vaccination Covid induit une mortalité absolument dramatique et que le fait que cette information soit contestée sans preuves montre que la propagande tente encore de masquer la vérité. Le mensonge.

Source : Fourteen young Canadian docs die after getting the shot. Normally would be ~0 over 30 years.- Steve Kirsch sur Substack - 07/08/22.


Revue C-Politix (c) 8 Août 2022