Nouvelles non-conformes - La révolution hygiéniste au 10 Septembre 2022

Philippe Brindet - 10 Septembre 2022

1 - Les "nouveaux vaccins" Covid bivalents sont inefficaces et dangereux comme les "anciens" ...

La FDA américaine, l'Agence européenne du médicament et le UKHSA britannique viennent tous - presque le même jour - de décider d'autoriser les nouveaux vaccins bivalents Pfizer et Moderna. Or, selon les informations sanitaires disponibles, ces vaccins sont autorisés sans aucun test clinique véritable. Le vaccin Pfizer est autorisé sur la base d'un essai sur dix souris qui, toutes, ont été infectées dans les semaines qui ont suivies leurs inoculations.

Ces "nouveaux vaccins" auraient ajouté à la souche Wuhan-1 de 2019, un variant de variant Omicron qui n'existe plus depuis longtemps.

Il est donc évident que les "nouveaux vaccins" Covid que les irresponsables sanitaires occidentaux ont décidé d'injecter à la population qui leur est soumise par la peur n'auront aucune efficacité contre la future épidémie de SARS-CoV-2. Absolument comme les premiers "nouveaux vaccins" Covid qui n'ont eu aucune efficacité contre les épidémies précédentes de SARS-CoV-2.

Par contre, selon toute vraisemblance, la formulation des "nouveaux vaccins" bivalents sera exactement la même que celles des premiers "nouveaux vacins'. Ils comporteront toujours des fragments plus ou moins frelatés des acides aminés de la protéine de pointe, qui est le principal pathogène de SARS-CoV-2. Pire, le "Pfizer" comporte des acides aminés substitués, des pseudo-uraciles, qui sont calculés pour détruire le système immunitaire humain de façon à l'empêcher de résister contre les particules du "nouveau vaccin".

De plus, les particules vaccinales sont certainement - nous disposons maintenant d'analyses physico-chimiques probantes - associées à des oxydes de graphène dont les effets toxiques sont tout simplement spectaculaires. Il est donc certain que le nombres des cas individuels d'effets adverses graves va à nouveau exploser, surtout si, comme les épidémiologistes du régime nous l'affriment, une nouvelle épidémie de SARS-CoV-2 apparaît. Et la répétition des injections, aggravera encore les maladies induites dans l'ensemble des organes du corps humain. Cependant, en Juillet 2021, un responsable de chez Pfizer a déclaré que :

"Graphene oxide is not used in the manufacture of the Pfizer-BioNTech COVID-19 vaccine," "L'oxyde de graphène n'est pas utilisé dans la fabrication du vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19",
Sources :

2 - Les nanoparticules des vaccins mARN attaquent le système immunitaire

Les vaccins à ARN de Pfizer ou de Moderna sont contenus dans un sérum et sont composés par des particules glycolipidiques, qui sont des nanoparticules désignés en anglais par le sigle LNP. Leur très petite taille leur permet de franchir très facilement le cytoplasme des cellules du vacciné, de sorte que la capsule lipidique contenant l'ARN de la protéine de Pointe modifiée peut rejoindre les mitochondries cellulaires qui transforment l'ARN vaccinal en des copies d'une protéine de pointe modifiée. Dans une étude de Z. Quin et al de l'Université Jefferson de Philadelphie, les auteurs ont étudié l'effet des nanoparticules lipidiques des vaccins ARN de Pfizer et de Moderna sur le système immunitaire de souris. L'application des résultats de la souris à l'homme en immunologie ne serait pas directe. Mais, les risques immunitaires démontrés sur la souris sont toujours pris en compte pour estimer le risque humain. Et la conclusion des chercheurs est forte :

Intradermal and intramuscular inoculation with LNPs induces robust inflammation L'inoculation intradermique et intramusculaire avec des LNP induit une inflammation robuste
Intranasal inoculation with LNPs leads to robust inflammatory responses in the lung L'inoculation intranasale avec des LNP conduit à des réponses inflammatoires robustes dans les poumons

Les auteurs soulignent :

Overall, the robust inflammatory milieu induced by LNPs, combined with presentation of the vaccine-derived peptides/protein outside of antigen-presenting cells, might cause tissue damage and exacerbate side effects. Because self-antigen presentation in an inflammatory environment has been linked to autoimmune disease development (Janeway et al., 2001), this merits further investigation. Dans l'ensemble, le milieu inflammatoire robuste induit par les LNP, combiné à la présentation des peptides/protéines dérivés du vaccin à l'extérieur des cellules présentatrices d'antigène, pourrait endommager les tissus et exacerber les effets secondaires. Étant donné que la présentation de l'auto-antigène dans un environnement inflammatoire a été liée au développement de maladies auto-immunes (Janeway et al., 2001), cela mérite une enquête plus approfondie.
Sources :

3 - L'orchestration de la propagande et de la censure des plateforme Internet sur la pandémie de Covid

Une alliance d'ONG américaines a introduit une requête en publication de type FOIA (Freedom Of Information Act) de mails de l'Agence fédérale américaine en charge de la santé publique aux USA, les CDC. Ces mails ont été publiés notamment par The Epoch Times qui en a analysé certains. Même si ces mails ont été "caviardés" de sorte qu'on ignore le nom des individus qui ont trempé dans cette entente mafieuse entre les fonctionnaires fédéraux et les entreprises privées de contrôle de l'opinion, on peut se rendre compte de l'état de l'indépendance des pouvoirs dans l'ensemble du régime occidental.

La masse de documents rendus publics dans cette requête FOIA représente plusieurs centaines de mails qui mettent en cause une entente entre les CDC, la Maison-Blanche, l'OMS, Google (Alphabet) et Youtube, Facebook (Meta), Instagram et Twitter. L'entente révélé par ces mails consiste à échanger des informations sur la surveillance des publications d'Internautes sur les réseaux sociaux et qui seraient opposés à la politique sanitaire. Parmi ces informations, l'OMS et les CDC se chargent de préparer les réseaux sociaux à identifier les informations contraires à la politique sanitaire tandis que la Maison-Blanche se réserve de prendre les mesures policières permettant de réprimer les informations contestatrices.

A titre d'exemple, on citera un mail daté du 16 avril 2021 émis par un fonctionnaire de l'OMS, Rob Flaherty. Le mail a pour destinataire deux autres fonctionnaires de l'OMS, Andrew Slawitt et Kelsey Fitzpatrick, 4 autres fonctionnaires de l'OMS dont les noms sont cachés, deux fonctionnaires du Ministère fédéral de la santé HHS et deux responsables de Twitter. Le sujet du mail est de transmettre l'ordre du jour d'une réunion par visioconférence ZOOM programmée le 21 avril 2021; soit cinq jours plus tard. Le programme de la réunion est le suivant :

White House Staff will be briefed by Twitter on vaccine misinfo. Twitter to cover trends seen generally around vaccine misinformation, the tangible effects seen from recent policy changes, what interventions are currently being implemented in addition to previous policy changes, and ways the White House (and our Covid Experts) can partner in product work. Le personnel de la Maison Blanche sera informé par Twitter de la désinformation sur les vaccins. Twitter pour couvrir les tendances observées généralement autour de la désinformation sur les vaccins, les effets tangibles des récents changements de politique, les interventions actuellement mises en oeuvre en plus des changements de politique précédents et les façons dont la Maison Blanche (et nos experts Covid) peuvent s'associer au travail sur les produits.

Il y a des centaines de mails du même genre. Un juge américain sur la plainte de plusieurs Etats américians (Louisiane et Floride) est en train d'enquêter contre les officiels de la Maison-Blanche pour recueillir des preuves de cette entente. Une avocate féministe, très engagée dans la lutte contre les effets adverses des vaccins Covid, Naomi Wolff, vient de faire la déclaration suivante :

Today my lawyers submitted a new court filing (see below) with additional documents that show how the executive branch of our federal government worked with Twitter to silence me for asking questions about the Covid-19 vaccines. These documents also appear to show that the censorship project between Twitter and the executive branch began inside the White House. Nobody should be retaliated against for exercising her First Amendment rights. Thank you to Missouri AG Eric Schmitt and Louisiana AG Jeff Landry for working to obtain these documents. I will continue fighting to protect my rights and the rights of all Americans to speak their minds and ask tough questions. Aujourd'hui, mes avocats ont déposé un nouveau dossier au tribunal (voir ci-dessous) avec des documents supplémentaires qui montrent comment la branche exécutive de notre gouvernement fédéral a travaillé avec Twitter pour me faire taire pour avoir posé des questions sur les vaccins Covid-19. Ces documents semblent également montrer que le projet de censure entre Twitter et l'exécutif a commencé à l'intérieur de la Maison Blanche. Personne ne devrait subir de représailles pour avoir exercé ses droits au premier amendement. Merci à Missouri AG Eric Schmitt et Louisiana AG Jeff Landry d'avoir travaillé pour obtenir ces documents. Je continuerai à me battre pour protéger mes droits et les droits de tous les Américains à s'exprimer et à poser des questions difficiles.
Sources :

4 - Les vaccins à ARNm diffusent largement des caillots sanguins sur la majorité des vaccinés.

Dans une étude in vivo, les auteurs ont analysé le sang périphérique de 1006 vaccinés par Moderna ou Pfizer. Leur découverte est directe :

There were 948 subjects (94% of the total sample) whose blood showed aggregation of erythrocytes and the presence of particles of various shapes and sizes of unclear origin one month after the mRNA inoculation. In 12 subjects, blood was examined with the same method before vaccination, showing a perfectly normal hematological distribution. The alterations found after the inoculation of the mRNA injections further reinforce the suspicion that the modifications were due to the so-called “vaccines” themselves. Il y avait 948 sujets (94 % de l'échantillon total) dont le sang présentait une agrégation d'érythrocytes et la présence de particules de différentes formes et tailles d'origine incertaine un mois après l'inoculation de l'ARNm. Chez 12 sujets, le sang a été examiné avec la même méthode avant la vaccination, montrant une distribution hématologique parfaitement normale. Les altérations trouvées après l'inoculation des injections d'ARNm renforcent encore la suspicion que les modifications étaient dues aux soi-disant « vaccins » eux-mêmes.

Cette analyse scientifique est corroborée par les observations d'un grand nombre de thanatoprateurs (embaumeurs) qui ont révélé que le sang tiré des vaccinés récemment décédés présente un aspect caractéristique de thromboses et de caillots sanguins sous de très fortes densités. Il est établi que l'immense majorité de ces vaccinés ne déclarent pas d'effet indésirable.

Sources :

5 - L'excès de mortalité en Angleterre continue de croître

L'office britannique des statistiques publie de nouvelles données de mortalité qu'il est posisble de comparer d'années en année. Sur les 18 dernières semaines disponibles pour l'Angleterre et le Pays de Galle l'excès est de 16.631 décès non-Covid. Dans une analyse, Will Jones montre que l'excès de mortalité ne peut pas être imputé ni à la Covid ni aux mesures d'atténuation prises contre l'épidémie : masques, confinements, interdiction d'accès aux soins, ... Stuart McDonald, démographe en chef de la Lloyds Banking Group, estme que cet excès de mrotalité ne vient pas du vieilissement de la population, ni des cancers pas soignés à temps à cause du blocage du système sanitaire. Il constate que la plus grande cause de l'excès de mrotalité est dû à des accidents cardiaques, vasculaires ou cérébraux. Il note que une fraction de l'excès de mortalité est certainement dû à l'allongement du temps de transport en ambulance qui est passé de 18 minutes en moyennes à 57 minutes.

McDonald est sceptique de l'hypothèse que l'excès de mortalité serait dû aux vaccins Covid parce que le taux de décès des vaccinés est inférieur à celui des non-vaccinés. Malheureusement, selon le statisticien Fenton, de très nombreux décès sont sans cause attribuée et que les vaccinés sont hospitalisés pour des raisons non-liés à la Covid à un taux 5 fois supérieur à celui des non-vaccinés.

On sait que les administrations sanitaires dans de nombreux Etats occidentaux ont formellement organisée l'impossibilité de mettre en cause les vaccins Covid, d'abord en refusant de pratiquer des autopsies de décès après vaccination et de rechercher les causes même des seuls effets adverses enregistrés dans leurs propres registres.

Sources :




Revue C-Politix (c) 10 Septembre 2022