Nouvelles non-conformes - La révolution hygiéniste au 26 Octobre 2022

Philippe Brindet - 26 Octobre 2022

1 - SARS-CoV-2 porte la signature d'une opération de génie génétique

Il s'agit d'une étude très remarquable. Les trois auteurs ont mis au point une méthode statistique pour estimer l'importance de signatures biochimiques d'une intervention humaine, d'ingéniérie génétique, dans le génome de micro-organismes comme le SARS-CoV-2. Les auteurs expliquent leurs travaux :

The genome of SARS-COV-2 contains a peculiar pattern of unique restriction endonuclease recognition sites allowing efficient dis- and re-assembly of the viral genome characteristic of synthetic viruses. Here, we report the likelihood of observing such a pattern in coronaviruses with no history of bioengineering. We find that SARS-CoV-2 is an anomaly, more likely a product of synthetic genome assembly than natural evolution. The restriction map of SARS-CoV-2 is consistent with many previously reported synthetic coronavirus genomes, meets all the criteria required for an efficient reverse genetic system, differs from closest relatives by a significantly higher rate of synonymous mutations in these synthetic-looking recognitions sites, and has a synthetic fingerprint unlikely to have evolved from its close relatives. We report a high likelihood that SARS-CoV-2 may have originated as an infectious clone assembled in vitro. Le génome du SRAS-COV-2 contient un schéma particulier de sites uniques de reconnaissance des endonucléases de restriction permettant un désassemblage et un réassemblage efficaces du génome viral caractéristique des virus synthétiques. Ici, nous rapportons la probabilité d'observer un tel schéma chez les coronavirus sans antécédents de bio-ingénierie. Nous constatons que le SRAS-CoV-2 est une anomalie, plus probablement un produit de l'assemblage du génome synthétique que de l'évolution naturelle. La carte de restriction du SRAS-CoV-2 est cohérente avec de nombreux génomes de coronavirus synthétiques précédemment signalés, répond à tous les critères requis pour un système génétique inverse efficace, diffère des parents les plus proches par un taux significativement plus élevé de mutations synonymes dans ces sites de reconnaissance d'apparence synthétique , et possède une empreinte digitale synthétique peu susceptible d'avoir évolué à partir de ses proches parents. Nous signalons une forte probabilité que le SARS-CoV-2 puisse provenir d'un clone infectieux assemblé in vitro.

La conclusion est que après les travaux notamment de Pradhan et de Montagnier, l'étude de Bruttel et ses collègues écarte les derniers doutes qu'on pouvait entretetenir : SARS-CoV-2 est définitivement un pathogène artificiel produit en laboratoire. Où et comment a t-il été diffusé dans le milieu humain ? Nous n'avons que l'hypothèse de la fuite d'un laboratoire : celle de l'Institut de Virologie de Wuhan.

Source :

  • 'Endonuclease fingerprint indicates a synthetic origin of SARS-CoV-2', Valentin Bruttel 1,*, Alex Washburne 2,*,+, and Antonius VanDongen 3,*
    1 Department for Obstetrics and Gynecology, University Clinics of Würzburg, Germany
    2 Selva Analytics, Bozeman, Montana, USA
    3 Department of Pharmacology and Cancer Biology, Duke University, Durham, NC, USA
    bioRxiv preprint doi: https://doi.org/10.1101/2022.10.18.512756; this version posted October 20, 2022.
  • Less Than 1 in 100 Million Chance That COVID-19 Has Natural Origin: New Study, The Epoch Times, Hans Mahncke - 23/10/22 ;
  • Covid 'WAS engineered in a lab': Most explosive study yet dismisses natural origin theory, Maily Mail Online, Emily Craig Health Reporter For Mailonline - 24/10/22.
  • New Study Blames COVID on NIH, University of North Carolina - Finds Fauci and Baric's Fingerprints on Pandemic Bug, CHDT - 21/10/2022.
  • Fingerprints of the Labs - New Pre-print indicates Synthetic Origin of Covid Naked Emperor - 20/10/22
  • 2 - En 2002, l'américain Baric mettait au point une méthode d'assemblage de fragments de génomes ne laissant aucune trace

    Dans cet article scientifique datant de vingt ans, une équipe de biochimistes américains, conduite par Raph Baric, met au point une méthode de ligatures entre fragments de génomes qui, de ce fait sont assemblés "sans laisser de traces", en américain "seamless ligatures". Les auteurs décrivent ainsi leur procédé :

    Seven contiguous cDNA clones that spanned the 31.5-kb MHV genome were isolated. The ends of the cDNAs were engineered with unique junctions and assembled with only the adjacent cDNA subclones, resulting in an intact MHV-A59 cDNA construct of ~31.5 kb in length. The interconnecting restriction site junctions that are located at the ends of each cDNA are systematically removed during the assembly of the complete full-length cDNA product, allowing reassembly without the introduction of nucleotide changes. Sept clones d'ADNc contigus qui couvraient le génome du MHV de 31,5 kb ont été isolés. Les extrémités des ADNc ont été travaillées avec des jonctions uniques et assemblées uniquement avec les sous-clones d'ADNc adjacents, ce qui a donné une construction d'ADNc MHV-A59 intacte d'environ 31,5 kb de longueur. Les jonctions de sites de restriction d'interconnexion situées aux extrémités de chaque ADNc sont systématiquement supprimées lors de l'assemblage du produit d'ADNc complet de longueur complète, permettant un réassemblage sans introduction de modifications de nucléotides.

    Cette méthode permettant de rendre strictement de même longueur un génome "travaillé" par ingéniérie génétique que le génome du pathogène "naturel" à partir duquel le généticien a travaillé. Lorsque le pathogène "artificiel" est diffusé, il est très difficile de le distinguer du pathogène "naturel" puisque leurs génomes sont de mêmes longueurs et qu'il n'y a presque plus de traces des sites d'insertion du génome artificiel !

    C'est le travail précité de Bruttel et al. qui a permis de détecter les sites de restriction entre ligatures dans SARS-CoV-2, mettant en évidence l'assemblage de morceaux de génomes, cet assemblage simulant un coronavirus de chauve-souris, alors qu'il est un génome artificiel !

    Le but de cette "manipulation" est donc avant tout criminel : dissimuler le crime de produire un pathogène plus infectieux, plus léthal.

    Or, ce qui est intéressant, c'est que Fauci le patron de l'agence fédérale américiane NIAIDS a financé et les travaux de Baric, et ceux de l'Institut de Virologie de Wuhan qui aurait produit SARS-CoV-2. Et Fauci a réalisé le contrat de coopération entre Baric, inventeur notamment de la méthode de dissimulation des ligatures de génome et Chen-Li Shi la patronne de 'lInstitut de Wuhan. Ils ont ensemble publié plusieurs études, financées par le NIAIDS de Fauci et aussi par ExoHealth Alliance une ONG liée à la galaxie Gates.

    Il s'agit de la base du dossier criminel de la pandémie de SARS6CoV-2 qui s'expose peu à peu.

    Source :

  • Systematic Assembly of a Full-Length Infectious cDNA of Mouse Hepatitis Virus Strain A59, Boyd Yount, Mark R. Denison, Susan R. Weiss, and Ralph S. Baric, JOURNAL OF VIROLOGY, Nov. 2002, p. 11065–11078 Vol. 76, No. 210022-538X/02/$04.000 DOI: 10.1128/JVI.76.21.11065–11078.2002 - Copyright © 2002, American Society for Microbiology. All Rights Reserved.
  • New analysis of COVID virus suggests Fauci's fingerprints on pandemic bug, Robert F. Kennedy, Jr. - 25/10/2022
  • New Evidence for SARS-CoV-2 Lab Origins, Eugyppius - 23/10/2022.
  • Top Secret Meetings? A Deep Dive Into Anthony Fauci's Calendar, Adam Andrzejewski - 21/10/2022.
  • 3 - Des chercheurs de l'Université de Boston s'amusent à recréer un variant Omicron de SARS-CoV-2, plus infectieux et léthal que le "naturel"

    Il s'agit d'une étude extrêmement dangereuse et dont la motivation scientifique est d'un intérêt bien plus faible que le risque pris à produire cette étude. Les auteurs écrivent :

    To test the role of the S protein in Omicron phenotype, we generated a chimeric recombinant virus containing the S gene of Omicron (USA-lh01/2021) in the backbone of an ancestral SARS-CoV-2 isolate (GISAID EPI_ISL_2732373)30 (Fig. 1c). To produce this chimeric Omi-S virus, we employed a modified form of cyclic polymerase extension reaction (CPER) (Extended Data Fig. 1) that yielded highly concentrated virus stocks, containing 0.5-5 x 106 plaque-forming units (PFU) per ml, from transfected cells within two days of transfection (Fig. 1d,e), ... Pour tester le rôle de la protéine S dans le phénotype Omicron, nous avons généré un virus recombinant chimérique contenant le gène S d'Omicron (USA-lh01/2021) dans le squelette d'un isolat ancestral du SARS-CoV-2 (GISAID EPI_ISL_2732373)30 (Fig 1c). Pour produire ce virus chimérique Omi-S, nous avons utilisé une forme modifiée de réaction d'extension de la polymérase cyclique (CPER) (Extended Data Fig. 1) qui a produit des stocks de virus hautement concentrés, contenant 0,5 à 5 x 106 unités formant plaque (PFU) par ml, à partir de cellules transfectées dans les deux jours suivant la transfection (Fig. 1d, e), ...

    Il faut noter que la transfection est un processus de transfert de gènes, c'est-à-dire l'introduction de matériel génétique exogène dans des cellules eucaryotes, n’utilisant pas comme vecteur un virus, par opposition à la transduction. Il s'agit ici d'une méthode insérant de l'ARN das le noyau d'une cellule pour insérer cet ARN, transcrit en ADN dans l'ADN naturelelemnt présent dans le noyau de la cellule. C'ets l'opération qui se forme notamment avec l'RN vaccinal sur le génome humain, du vacciné.

    Lorsque les souris ont été inoculées avec le Omicron artificiel de l'Université de Boston, 80% d'entre elles sont décédées. Avec l'inoculation du Omicron naturel", aucune.

    En relevant les titres des anticorps des souris infectées, les chercheurs de Boston en déduisent que :
    This study provides important insights into Omicron pathogenicity. We show that spike, the single most mutated protein in Omicron, has an incomplete role in Omicron attenuation. In in vitro infection assays, the Omicron spike-bearing ancestral SARS-CoV-2 (Omi-S) exhibits much higher replication efficiency compared with Omicron. Similarly, in K18-hACE2 mice, Omi-S contrasts with non-fatal Omicron and causes a severe disease leading to around 80% mortality. This suggests that mutations outside of spike are major determinants of the attenuated pathogenicity of Omicron in K18-hACE2 mice. Cette étude fournit des informations importantes sur la pathogénicité d'Omicron. Nous montrons que la pointe, la protéine la plus mutée d'Omicron, a un rôle incomplet dans l'atténuation d'Omicron. Dans les tests d'infection in vitro, le SRAS-CoV-2 ancestral porteur de pointes d'Omicron (Omi-S) présente une efficacité de réplication beaucoup plus élevée par rapport à Omicron. De même, chez les souris K18-hACE2, Omi-S contraste avec Omicron non mortel et provoque une maladie grave entraînant une mortalité d'environ 80 %. Cela suggère que les mutations en dehors de la pointe sont des déterminants majeurs de la pathogénicité atténuée d'Omicron chez les souris K18-hACE2.

    Un autre résultat de cette étude est que le variant Omicron "naturel" - et il y aurait beaucoup à dire sur ce caractère "naturel" - échappe complètement au vaccin Covid qu'il soit à ARNm ou à ADN. Les auteurs écrivent :

    The Omicron S-bearing virus robustly escapes vaccine-induced humoral immunity, mainly due to mutations in the receptor-binding motif (RBM), yet unlike naturally occurring Omicron, efficiently replicates in cell lines and primary-like distal lung cells. Le virus porteur d'Omicron S échappe de manière robuste à l'immunité humorale induite par le vaccin, principalement en raison de mutations dans le motif de liaison au récepteur (RBM), mais contrairement à l'Omicron naturel, il se réplique efficacement dans les lignées cellulaires et les cellules pulmonaires distales de type primaire.

    Par "Le virus porteur d'Omicron S", il faut entendre un virus Wuhan - 1 dans lequel les chercheurs de l'Université de Boston ont inséré un gène S- typique de Omicron. Ce virus "trafiqué" est meilleur que Wuhan-1 et que Omicropn "naturel" : il se réplique mieux dans les cellules pulmonaires et il tue mieux. Les chercheurs de Boston semblent satisfaits.

    Source :

  • Role of spike in the pathogenic and antigenic 1 behavior of SARS-CoV-2 BA.1 Omicron, Da-Yuan Chen et al, Univ de Boston, bioRxiv preprint doi: https://doi.org/10.1101/2022.10.13.512134; this version posted October 14, 2022.
  • How Worried Should We Be About Boston University's Gain-of-Function Covid Virus That Kills 80% of Mice?, Dr Randall Bock - 23/10/2022.
  • 4 - Etude statistique sur la mortalité de la Covid-19 sur la base de la séroprévalence

    Dans cette étude, Ioannidis et ses collègues de l'Université Stanford ont recueillis les données de patients ayant subi une analyse de séroprévalence de l'infection à Covid-19. Ils ont étudié le rapport des personnes décédées aux personnes infectées pour en déduire un taux de mortalité, intitulé Infection Fatality Rate, ou IFR. L'équipe de Stanford a établi les statistiques suivantes :

    ... we identified 40 eligible national seroprevalence studies covering 38 countries with pre-vaccination seroprevalence data. For 29 countries (24 high-income, 5 others), publicly available age-stratified COVID-19 death data and age-stratified seroprevalence information were available and were included in the primary analysis. The IFRs had a median of 0.035% (interquartile range (IQR) 0.013 - 0.056%) for the 0-59 years old population, and 0.095% (IQR 0.036 - 0.125%,) for the 0-69 years old. The median IFR was 0.0003% at 0-19 years, 0.003% at 20-29 years, 0.011% at 30-39 years, 0.035% at 40-49 years, 0.129% at 50-59 years, and 0.501% at 60-69 years. ... nous avons identifié 40 études nationales de séroprévalence éligibles couvrant 38 pays avec des données de séroprévalence avant la vaccination. Pour 29 pays (24 pays à revenu élevé, 5 autres), des données sur les décès par COVID-19 stratifiées selon l'âge et des informations sur la séroprévalence stratifiées selon l'âge étaient disponibles et ont été incluses dans l'analyse primaire. Les IFR avaient une médiane de 0,035 % (intervalle interquartile (IQR) 0,013 - 0,056 %) pour la population âgée de 0 à 59 ans et de 0,095 % (IQR 0,036 - 0,125 %) pour la population âgée de 0 à 69 ans. L'IFR médian était de 0,0003 % à 0-19 ans, 0,003 % à 20-29 ans, 0,011 % à 30-39 ans, 0,035 % à 40-49 ans, 0,129 % à 50-59 ans et 0,501 % à 60- 69 ans.

    La conclusion de Ioannidis et de ses collègues de Stanford est simple : jusqu'à 70 ans, Covid-19 est très peu fatal.

    Or, cette analyse de Ioannidis et al est une contestation des manipulations des débuts du Covid au cours desquels "on" a orchestré une véritable frayeur pandémique. Cette organisation s'est déroulé autour du centre de modélisation des épidémies de l'Imperial College de Londres. Son "Report n° 9" basé sur une étude viciée de Vérity, estimait le 15 mars 2020 qu'il y aurait 510.000 morts en Grande-Bretagne et 2,2 millions de morts aux Etats-Unis. Les taux IFR utilisés par l'Imperial College étaient sans aucun autre fondement que de déclencher la peur. A peine reçu par les gouvernements occidentaux, ces derniers déclenchaient des confinements sévères qui ruinèrent leurs économies et la santé physique et mentale des populations.

    Le biostatisticien Carl Henneghan a publié un tableau comparant les IFR trouvés par Stanford - Ioannidis et par l'Imperial College par classe d'âge :

    L'Imperial College a "trompé" les gouvernements avec des IFR plus de dix fois trop élevés. Il avait déjà fait le coup pour les épidémies précédentes : encéphalite spongiforme bovie, et grippe H1N1 notamment. Les gouvernements et l'OMS continuent de faireconfaince à cette équipe financée notamment par Bill Gates.

    Source :

  • Age-stratified infection fatality rate of COVID-19 in the non-elderly informed from pre-vaccination national seroprevalence studies, John P.A. Ioannidis et al., Stanford University, October 13, 2022.
  • Stanford study: COVID death risk near zero for vast majority of people, Art Moore, WND Center - 26/10/22
  • The Infection Fatality Ratio: the Errors in the Early Estimates, Carl Henneghan - 27/10/2022
  • 5 - Les vaccinés à ARNm subissent tous des atteintes cardiaques

    Will Jones, observateur de la pandémie depuis les premiers jours, a relevé plusieurs études portant ou bien sur de grandes quantités de données, ou bien sur les données de quelques patients. Ces atteintes sont parfois de courte durée, d'autres fois elles sont permanentes. Parmi ces atteintes, près du quart sont des myocardites. Ces dernières sont rarement sans conséquence à long terme et beaucoup sont permanentes.

    Comment s'est-on aperçu que presque tous les vaccinés par ARNm avaient des ateintes cardiques ? On a étudié sur de grandes séries les taux de troponine cardiaque. IOn s'est aperçu que ces atux étaient très élevés chez les vaccinés. Comme par ailleurs, la protéine de pointe vaccinale se retrouve dans le sang plus de quatre mois après l'injection, on estime que les atteintes cardiaques peuvent être très longues et certainement à terme irréversibles. Will Jones rapporte que :

    the strong expression of spike protein in heart muscle after vaccination correlates with significant inflammation and tissue destruction". They add that "vaccine-induced vascular damage will promote blood clotting, and clotting-related diseases such as heart attack, stroke, lung embolism are very common in the adverse events databases". la forte expression de la protéine de pointe dans le muscle cardiaque après la vaccination est en corrélation avec une inflammation et une destruction tissulaire importantes". Ils ajoutent que "les dommages vasculaires induits par le vaccin favoriseront la coagulation du sang, et les maladies liées à la coagulation telles que les crises cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux, les embolies pulmonaires sont très fréquent dans les bases de données d'événements indésirables ».

    Jones conclut en avertissant :

    There is now considerable evidence that mRNA vaccines are routinely injuring the heart, with raised troponin levels across the board and subclinical myocarditis in up to one in 27 cases or more. These are not rare events, as is often claimed by medical authorities and in the media. They are alarmingly common. Il existe maintenant des preuves considérables que les vaccins à ARNm blessent habituellement le cœur, avec des niveaux élevés de troponine dans tous les domaines et une myocardite subclinique dans jusqu'à un cas sur 27 ou plus. Ce ne sont pas des événements rares, comme le prétendent souvent les autorités médicales et les médias. Ils sont d'une fréquence alarmante.

    Source :

  • mRNA Vaccines Injure the Heart of ALL Vaccine Recipients and Cause Myocarditis in Up to 1 in 27, Study Finds, Will Jones, in Daily Scpetic - 27/10/2022
  • 6 - En Floride, les autorités sanitaires et politiques ne recommandent plus la vaccination Covid aux jeunes

    Le General Surgeon of The State of Florida a fait conduire par ses services une enquête pour établir les risques de mort et d'accidents cardiaques relaifs à la vaccination Covid. Une méthode statistique éprouvée - la SCCS - a ér utilisée et le résultat est sans appel. Les morts pour toutes causes dans les 28 jours après la vaccination n'augmentent pas significativement et se réduisent pour les plus de 60 ans. Mais l'étude révèle que :

    Cardiac-related deaths following vaccination Décès d'origine cardiaque suite à la vaccination
    In the 28 days following vaccination, a statistically significant increase in cardiac-related deaths was detected for the entire study population Dans les 28 jours suivant la vaccination, une augmentation statistiquement significative des décès d'origine cardiaque a été détectée pour l'ensemble de la population étudiée
    Cardiac-related deaths by age group, vaccination type, and sex following vaccination Décès d'origine cardiaque selon le groupe d'âge, le type de vaccination et le sexe après la vaccination
    [...] Among the subgroups evaluated, males aged 18 - 39 had the highest risk (RI = 1.97, 95% CI = 1.16 - 3.35). [...] Parmi les sous-groupes évalués, les hommes âgés de 18 à 39 ans présentaient le risque le plus élevé (IR = 1,97, IC à 95 % = 1,16 - 3,35).

    En conséquence de cette étude, le Gouverneur de Floride et son Surgeon General Lapao publient et signent une nouvelle Règle dans laquelle ils indiquent :

    Based on currently available data, patients should be informed of the possible cardiac complications that can arise after receiving a mRNA COVID-19 vaccine. With a high level of global immunity to COVID-19, the benefit of vaccination is likely outweighed by this abnormally high risk of cardiac-related death among men in this age group. Sur la base des données actuellement disponibles, les patients doivent être informés des éventuelles complications cardiaques pouvant survenir après avoir reçu un vaccin ARNm COVID-19. Avec un niveau élevé d'immunité globale contre le COVID-19, le bénéfice de la vaccination est probablement compensé par ce risque anormalement élevé de décès d'origine cardiaque chez les hommes de ce groupe d'âge.

    Lapado qui dispose d'un compte Twitter, écrit alors un tweet :

    Today, we release an analysis on COVID-19 mRNA vaccines the public needs to be aware of. This analysis showed an increased risk of cardiac-related death among men 18-39. FL will not be silent on the Truth. Aujourd'hui, nous publions une analyse sur les vaccins à ARNm COVID-19 dont le public doit être conscient. Cette analyse a montré un risque accru de décès d'origine cardiaque chez les hommes de 18 à 39 ans. FL ne restera pas muet sur la Vérité.

    Quelques instants plus tard la consultation de ce Tweet était remplacé par un avertissement de Twitter :

    This Tweet violated the Twitter Rules. Ce Tweet a enfreint les Règles de Twitter.

    Source :

  • Exploring the relationship between all-cause and cardiac-related mortality following COVID-19 vaccination or infection in Florida residents: a self-controlled case series study, floridahealthcovid19.gov, 07/10/2022 ;
  • Guidance for mRNA COVID-19 Vaccines, Doocument de l'Etat de Flodirde signé par le Gouverneur Ron de Santis et le General Surgeon Lapado, October 7, 2022 ;
  • The self-controlled case series study in Florida that shows increased risk of cardiac-related death, Jessica Rose - 09/10/22
  • Florida recommends AGAINST mRNA Vaccines for Males Ages 0-40!, Igor Chudov - 08/10/22
  • Twitter Censors Florida Surgeon General for Tweeting His Recommendation Against mRNA Vaccination Due to Heart Death Risk, Thorsteinn Siglaugsson - 09/10/22
  • 7 - Un juge de New York ordonne la réintégration avec paye des non-vaccinés suspendus

    Sur une plainte de fonctionnaires non-vaccinés et suspendus par la Ville de New York, un juge vient de décider que :

    Dans le jugement qui devra être exécuté avant le 10 Novembre 2022, on notera quatre décisions :

    1. l'exclusion des non-vaccinés viole la doctrine de la séparation des pouvoirs de la Constitution de l'Etat de New-York ;
    2. elle est "arbitraire et capricieuse" au sens de la loi US CPR §7803 ;
    3. les non-vaccinés exclus recevront leur statut de plein emploi ; et
    4. ils auront droit à un paiement des salaires retenus.

    Source :

  • Fired Unvaccinated New York City Workers REINSTATED -- with BACK PAY, Igor Chudov - 25/10/2022 .

  • Revue C-Politix (c) 26 Octobre 2022