Nouvelles non-conformes - La révolution hygiéniste au 6 Février 2022
Philippe Brindet - 6 Février 2022
Généralités
Le mouvement général est double :
- d'une part, de plus en plus d'auteurs dénoncent la dictature hygiéniste et les mensonges des autorités de tous genres : politiques, réglementaire, policières, médicales, scientifiques, médiatiques ;
- d'autre part, de plus en plus de ces autorités sont conduites à reconnaître, ou bien par des déclarations ou bien par des actes réglementaires, les erreurs commises lors de la pandémie toujours en cours.
Il reste cependant, une frange des autorités et une frange de la population qui n'ont pas les moyens de revenir en arrière. C'est le cas des politiciens français qui se sont trop avancés dans les mensonges et qui ne peuvent plus revenir en arrière. C'est le cas de "braves gens", des personnes dépassant la cinquantaine, qui, vaccinés, ne supportent pas de devoir reconnaître qu'ils se sont laissés abuser par des manoeuvres pourtant transparentes puisqu'elles ont été dénoncées immédiatement et que ces mêmes "braves gens" se sont souvent férocement engagés contre les "discours complotistes".
Nous sommes à un point de basculement :
- ou bien la vérité l'emporte et le sort des covidistes est probablement très triste ;
- ou bien le mensonge covidiste l'emporte et c'est le sort de toutes les populations occidentales qui va sombrer.
1 - L'affaire des camionneurs canadiens
On a rapporté que la presse lourde a contribué à faire courir des rumeurs d'échec du "convoi de la liberté" de ce convoi de camionneurs canadiens qui est entré dans Ottawa et bloqué plusieurs postes forntières avec les USA. Selon plusieurs medias, ces camionneurs auraient eu des accointances nazies et leur mouvement n'aurait pas du tout l'importance que les ennemis du covidisme leur attribue. En un mot, le convoi allait se dissoudre dans sa nullité [1]. Loin de se dissoudre, le mouvement a pris de l'ampleur et il occupe toujours Ottawa et plusieurs postes-frontière avec les USA. D'autres convois ont d'ailleurs été formés et convergent sur Ottawa. Deux provinces du Canada ont levés leurs mesures sanitaires pour tenter de débloquer la situation insurrectionnelle. Trudeau est même supposé en fuite aux USA.
Par ailleurs, les organisateurs du convoi original avaient ouvert un financement en ligne de soutien de la lutte des camionneurs. La plateforme GoFundMe qui appartient à la gauche progressiste occidentale, a bloqué les fonds et il a fallu une menace des personnes qui avaient cotisé pour que la plateforme leur retourne les fonds remis. Le mouvement de soutien des camionneurs a ouvert un autre compte auprès d'une plateforme, GiveSendGo, appartenant au mouvement social chrétien, et les fonds y sont maintenant transférés. Les organisateurs du financement participatif ont annoncé que les fonds arrivent maintenant aux camionneurs [2].
Trucks and other vehicles are parked close to Parliament Hill in Ottawa as protesters gather to demonstrate against COVID-19 mandates and restrictions on Feb. 5, 2022. (Jonathan Ren/The Epoch Times) |
Des camions et d'autres véhicules sont garés près de la colline du Parlement à Ottawa alors que les manifestants se rassemblent pour manifester contre les mandats et les restrictions de la COVID-19 le 5 février 2022. (Jonathan Ren / The Epoch Times) |
2 - 80% des hospitalisés en condition sérieurse en Israël sont des vaccinés
Alors que la presse lourde continue d'affirmer que "le vaccin Covid protège des formes graves", le Times of Israel écrit que :
Are Israeli hospitals really overloaded with unvaccinated Covid patients? According to Professor Yaakov Jerris, Director of Ichilov Hospital’s coronavirus ward, the situation is completely opposite. "Right now, most of our severe cases are vaccinated,” Jerris told Channel 13 News. "They had at least three injections. Between seventy and eighty percent of the serious cases are vaccinated. So, the vaccine has no significance regarding severe illness, which is why just 20% to 25% of our patients are unvaccinated.” |
Les hôpitaux israéliens sont-ils vraiment surchargés de patients Covid non vaccinés ? Selon le professeur Yaakov Jerris, directeur du service des coronavirus de l'hôpital Ichilov, la situation est complètement opposée. "En ce moment, la plupart de nos cas graves sont vaccinés", a déclaré Jerris à Channel 13 News. "Ils ont eu au moins trois injections. Entre soixante-dix et quatre-vingts pour cent des cas graves sont vaccinés. Ainsi, le vaccin n'a aucune signification en ce qui concerne les maladies graves, c'est pourquoi seulement 20 à 25 % de nos patients ne sont pas vaccinés. » |
La situation épidémique en Israël est proprement catastrophique alors que toute la population a reçu sa troisième dose de vaccin Pfizer et la majorité des gens ont reçu la quatrième dose :
3 - Une étude d'Oxford démontre qu'un tiers des tests PCR positifs n'indique aucune contagion
Une étude récente de l'université d'Oxford souligne que au moins un tiers des tests PCR positifs concernent des personnes qui ne sont pas infectieuses, ni même infectées. Cela tient au fait que trop de laboratoires utilisent un nombre de cycles d'amplification dans le test PCR trop élevé de sorte qu'il tourne positif alors que le testé n'est porteur d'aucun virion de SARS-CoV-2. Ce problème du nombre de cycles PCR trop élevé a été soulevé d'abord par une équipe de microbiologistes [3] emmenés par Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, puis notamment par le Pr Didier Raout et son équipe de l'IHU de Marseille [4].
Ce nombre de cycles de 50 a été édicté par un protocole de test de l'OMS sur la base d'une étude d'une équipe allemande emmenée par Christian Drosten [5]. Ce protocole assure que le test PCR déclenchera même en l'absence de matériel génétique du SARS-CoV-2, et qu'il détectera aussi des fragments inactifs du virus. En effet, non content d'imposer un nombre de cycles trop élevé, le protocole OMS sélectionne des amorces dans le génome de SARS-CoV-2 qui sont toutes dans la première moitié du ruban d'ARN. D'où sa capacité à détecter des fragments inactifs.
Bien évidemment, il ne s'agit absolument pas d'une "erreur" de Drosten et de l'OMS, mais d'une volonté délibérée de donnner des outils biaisés dans le sens de l'aggravation de l'évaluation de l'épidémie. En effet, un test PCR "amplifiant le nombre d'infectés" amplifie de même le nombre de malades hospitalisés, le nombre de malades en réanimation, le nombre de malades en "covid long" et bien entendu le nombre de décès imputés à la Covid ! Dans de nombeux pays, comme le Royaume-Uni, il détermine aussi le nombre de cas-contact et de personnes mises en quarantaine. Un attentat contre les libertés et un défi à la vérité scientifique !
4 - Le passe vaccinal "favorise la soumission vaccinale"
Un article de The Telegraph met en lumière un papier publié par un comité sanitaire auprès du gouvernement britannique, Environmental Modelling Group, qui indique que le passe vaccinale a peu d'effet sur l'épidémie pmais qu'il habitue les gens à la soumission vaccinale. Il faut citer un long passage du papier "offficiel" :
The paper, which was submitted to the Scientific Advisory Group for Emergencies (Sage) said: "Although vaccinated individuals are less likely than others to be infectious, it is important to recognise that, whilst protection against severe disease is very high, protection against infection is incomplete and that breakthrough infections can still lead to onward transmission. |
Le document, qui a été soumis au Groupe consultatif scientifique pour les urgences (Sage), a déclaré: "Bien que les individus vaccinés soient moins susceptibles que les autres d'être infectieux, il est important de reconnaître que, bien que la protection contre les maladies graves soit très élevée, la protection contre l'infection est incomplète et que les percées d'infections peuvent encore conduire à une transmission ultérieure. |
"Emerging evidence shows that protection against infection wanes over time, the longer the duration since attendees last Covid vaccination, the less indicative vaccination status could be of protection against infection. |
"De nouvelles preuves montrent que la protection contre l'infection diminue avec le temps, plus la durée depuis l'attente de la dernière vaccination Covid est longue, moins le statut vaccinal indicatif pourrait être de protection contre l'infection. |
"For these reasons vaccine certification, per se, is likely to have a limited impact on reducing transmission at festivals. However, it should be noted that the introduction of vaccine certification has been linked to increased vaccine uptake. |
"Pour ces raisons, la certification des vaccins, en soi, est susceptible d'avoir un impact limité sur la réduction de la transmission lors des festivals. Cependant, il convient de noter que l'introduction de la certification des vaccins a été liée à une augmentation de la vaccination. |
"Given higher vaccine complacency in certain groups, such as youth who perceive lower risks of infection, this intervention could be an additional policy lever to increase vaccine uptake and population level immunity." |
"Étant donné une plus grande soumission vis-à-vis des vaccins dans certains groupes, tels que les jeunes qui perçoivent des risques d'infection plus faibles, cette intervention pourrait être un levier politique supplémentaire pour augmenter l'adoption du vaccin et l'immunité au niveau de la population." |
La conclusion est évidente sur l'acte de soumission politique que constitue la vaccination quand elle est sans aucune réalité scientifique ou médicale.
Notes et commentaires
[1] Lire dans la Revue C-Politix, 02.02.2022, Nouvelles non-conformes - La révolution hygiéniste au 2 Février 2022, le paragraphe 6 - Manifestation des camionneurs canadiens. La réaction de la covidocratie.
[2] Lire notamment :
[3] Lire l'étude dirigée par Mike Yeadon, External peer review of the RTPCR test to detect SARS-CoV-2, 27 Novembre 2020, The Corman-Drosten Paper. On peut lire notamment :
Between 30 and 35 there is a grey area, where a positive test cannot be established with certainty. This area should be excluded. Of course, one could perform 45 PCR cycles, as recommended in the Corman-Drosten WHO-protocol (Figure 4), but then you also have to define a reasonable Ct-value (which should not exceed 30). But an analytical result with a Ct value of 45 is scientifically and diagnostically absolutely meaningless (a reasonable Ct-value should not exceed 30). All this should be communicated very clearly. It is a significant mistake that the Corman-Drosten paper does not mention the maximum Ct value at which a sample can be unambiguously considered as a positive or a negative test-result. This important cycle threshold limit is also not specified in any follow-up submissions to date. |
[Pour un nombre de cycles Ct] entre 30 et 35, il y a une zone grise, où un test positif ne peut être établi avec certitude. Cette zone doit être exclue. Bien sûr, on pourrait effectuer 45 cycles de PCR, comme recommandé dans le protocole OMS de Corman-Drosten (Figure 4), mais vous devez également définir une valeur Ct raisonnable (qui ne doit pas dépasser 30). Mais un résultat analytique avec une valeur Ct de 45 n'a absolument aucun sens scientifiquement et diagnostiquement (une valeur Ct raisonnable ne doit pas dépasser 30). Tout cela doit être communiqué très clairement. C'est une erreur importante que l'article de Corman-Drosten ne mentionne pas la valeur Ct maximale à laquelle un échantillon peut être considéré sans ambiguïté comme un résultat de test positif ou négatif. Cette importante limite de cycle n'est également précisée dans aucune soumission de suivi à ce jour. |
[4] Lire l'article de D Raoult et al : Viral RNA load as determined by cell culture as a management tool for discharge of SARS-CoV-2 patients from infectious disease wards, European Journal of Clinical Microbiology & Infectious Diseases, 27 Avril 2020. Dans cet article Raoult indique clairement :
It is of paramount importance to define when a treated patient can be considered as no longer contagious. Correlation between successful isolation of virus in cell culture and Ct value of quantitative RT-PCR targeting E gene suggests that patients with Ct above 33–34 using our RT-PCR system are not contagious and thus can be discharged from hospital care or strict confinement for non-hospitalized patients. |
Il est primordial de définir quand un patient traité peut être considéré comme n'étant plus contagieux. La corrélation entre l'isolement réussi du virus dans la culture cellulaire et la valeur Ct de la RT-PCR quantitative ciblant le gène E suggère que les patients avec un Ct supérieur à 33–34 utilisant notre système RT-PCR ne sont pas contagieux et peuvent donc sortir de l'hôpital ou d'un confinement strict pour patients non hospitalisés. |
[5] Lire Drosten et al. : Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by
real-time RT-PCR, Euro Surveillance Journal, 23 Janvier 2020.
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