Quatrième année de pandémie Covid-19. Vers un bilan ?

Philippe Brindet - 28 Janvier 2023

Débutant vers le 15 décembre 2019 en Chine, nous entrons dans la quatrième année de cette pandémie bouleversante. La pandémie de Covid-19 - en fait de son pathogène SARS-CoV-2 - est toujours "déclarée" en cours. Le Président Biden des Etats-Unis vient de relancer un état d'urgence sanitaire fédéral de 90 jours. Pourtant, plusieurs sources - comme le virologue allemand Drosten - ont déclaré que le virus était devenu endémique et qu'il évoluerait dorénavant avec la population humaine. Serait-il temps de dresser un bilan de la pandémie ? Malheureusement, au mieux, ce ne serait que "presque" le moment. Trop de rebondissements peuvent encore survenir et, plus important que tout, trop de questions se posent qui sont sans réponse sûre ou sans qu'un consensus efficace socialement soit disponible.

On va essayer de dresser une liste de ces questions auxquelles un bilan quelqu'il soit, sanitaire, politique, social, économique, médical, pharmaceutique, judiciaire, médiatique devra apporter une réponse satisfaisante. Surviendra-t'il ? Rien n'est moins sûr.

Je pensais que ces questions resteraient largement ouvertes. A les réviser les unes après les autres, je dois constater que, à mon opinion, la réponse à chacune de ces questions est une accusation de trahison, de lâcheté, opposée aux autorités politiques et sanitaires. Mais ensuite de quasiment toutes les autorités qui se sont au moins tacitement liées aux autorités sanitaires et politiques. D'abord la caste des hyper-milliardaires. Mais ensuite l'ensemble des autorités judiciaires enragées à défendre contre la vérité les actes inouïs des autorités sanitaires et politiques. Et pour faire bonne mesure, les autorités médiatiques mêlant influenceurs, comme les dirigeants de Facebook, et journalistes des média de masse, ligués pour appliquer une censure et une propagande encore inconnues jusqu'ici.




1 - L'origine de SARS-CoV-2

La version officielle imposée dès le mois de décembre 2019 est que SARS-CoV-2 est un coronavirus provenant d'une population sauvage de chauve-souris passé par un animal intermédiaire comme le pangolin, pour infecter ensuite l'homme. Il s'agit de la thèse officielle de la zoonose. Le passage aurait eu lieu dans le marché aux poissons de la ville de Wuhan en Chine du sud. Cette version a été imposée par l'ensemble des autorités et la presse lourde dès le mois de décembre 2019.

Les scientifiques indépendants des pouvoirs précités ont découvert une autre origine - artificielle - et une diffusion provenant ou bien d'une erreur de laboratoire, probablement à Wuhan, ou bien d'une autre cause de diffusion, possiblement lors des Jeux militaires de Wuhan en Octobre 2019. Cette thèse n'est plus combattue par les autorités qui, cependant, maintiennent l'origine zoonotique tout en admettant ne pas avoir identifié l'animal ayant infecté le "patient 0" ou premier humain infecté par SARS-CoV-2 et qui a infecté le second humain.

Une conséquence de l'origine artificielle de SARS-CoV-2 tient à l'identification des maladies composant la Covid-19, la "maladie réglementaire" décidée par l'OMS.

Une conséquence politique de l'origine artificielle de SARS-CoV-2 concerne la responsabilité de plusieurs puissances :

  • les agences de santé publique des USA - menées par l'américain Fauci, qui ont financées et dirigées les recherches qui ont permis de produire SARS-CoV-2,
  • la Chine et les laboratoires de son Armée populaire qui ont aussi participés à la réalisation et à la direction de ces mêmes recherches,, et enfin,
  • l'empire Gates qui est mêlé à ces recherches de manière au moins indirecte, souvent financières.

Or, aujourd'hui encore, la négation de l'origine artificielle de SARS-CoV-2 ou de sa diffusion "accidentelle" permet aux puissances impliquées de rejeter leur responsabilité et au contraire, d'affirmer l'incontestabilité de leur politique.

2 - La diffusion initiale de SARS-Cov-2

La question de savoir s'il est - en pratique - possible d'empêcher une épidémie à partir de son épicentre originel est toujours débattue. Mais, ce qui ressort de l'histoire matérielle de l'épidémie, c'est que, sauf pour l'Italie ou la Lombardie a été touchée avant Wuhan, et une seule observation du même genre en Alsace, la plupart des foyers ouverts à distance sont causés par des voyageurs revenant de Chine : cas du rapatriement de Creil, cas des bateaux de croisière, Diamond Princess, ....

L'absence de fermeture des frontières et de contrôle de la santé des entrants dans les Etats nationaux est un sujet qui devra être débattu, même s'il est aujourd'hui encore tenu secret. On note qu'en France plusieurs procès seraient en cours dans lesquels l'absence ou la faiblesse de la réaction des autorités sanitaires nationales est mise en cause.

3 - La caractérisation initiale mondialisée de l'épidémie

Dès le mois de janvier 2020, l'épidémie fut appelée "pandémie" parce qu'elle devenait "mondiale" d'une part et, étant basé sur un nouveau virus, il fut décidé, d'autre part et par principe que :

  1. il n'existait aucun médicament autorisé pour traiter la maladie causée par le SARS-CoV-2 ; et
  2. seul le vaccin, sûr et efficace, viendrait à bout de la pandémie quand l'ensemble de la population humaine aurait été vaccinée.

Or ce "principe" s'est révélé complètement faux. La Covid-19 n'est en rien une "maladie" nouvelle. C'est une association de presque toutes les maladies connues, parce que le pathogène contient un nombre incroyable d'antigènes ou de peptides mimiquant d'autres antigènes. Mais, les puissances qui ont dirigée la pandémie ne peuvent en aucun cas admettre leur faute ou lur perversité. Ces puissances deviendraient responsables de millions de morts et d'handicapés par la Covid-19. Pire encore, le développement des vaccins Covid deviendrait contraire à la réglementation internationale sur les vaccins qui exige que, pour développer un vaccin, il n'existe aucun médicament pour traiter la maladie découlant.

4 - Le problème de la modélisation et de la statistique épidémique

Au cours du mois de mars 2020, c'est sur une étude d'un "certain" Centre de modélisation des épidémies, de l'Imperial College de Londres, que furent décidées les mesures de lutte contre l'épidémie presque de manière uniforme dans le monde entier. Un peu comme si, d'un seul coup, une forme de "gouvernement" mondial avait été instauré sans qu'ucune intervention démocratique ne soit intervenue. Il s'agit du fameux Rapport n°9 de Neil Ferguson. Or,cette étude s'est révélée complètement fausse. Elle prévoyait qu'en juillet 2020, la Covid-19 aurait fait 2 millions de morts aux USA et 500.000 en Grande-Bretagne. Les chiffres officiels, bien que terriblement gonflés - on le verra plus loin - furent 4 à 5 fois en deçà.

Or, Ferguson et son Centre de modélisation étaient financés et contrôlés par l'empire Gates directement par sa Fondation Bill & Melinda Gates, et par les industries pharmaceutiques alliées à Bill Gates. Et le Centre de modélisation avait déjà une histoire de prévisions épidémiques basée sur des modèles grossièrement faux depuis plus de 20 ans. On s'est d'ailleurs aperçu que les programmes informatiques qui avaient mis en oeuvre la modélisation Covid-19 étaient tellement faux qu'il était impossible de reproduire les prévisions que Ferguson répandait dans les gouvernements.

Joint au fait que Bill Gates contrôle financièrement au moins l'OMS qui décide pour la plupart des Etats occidentaux du traitement des épidémies, le rôle de l'Imperial College de Londres est quasiment délictueux, du moins en Occident. Il a servi à prendre le contrôle des gouvernements occidentaux depuis Trump jusqu'à Macron. La plupart des gouvernements occidentaux a d'ailleurs adopté une attitude de collaboration avec leur occupant, traquant notamment les opposants au régime covidiste installé.

L'une des armes de contrôle des gouvernements et des peuples occidentaux a été la peur. Et cette peur a été largement instillée par les statistiques épidémiques : nombre quotidiens d'infectés, d'hospitalisés, d'entrées en soins critiques, de décès. On reverra le problème ci-après.

5 - Les mesures de distanciation sociale

La pemière décision du régime covidiste prise en Europe, puis aux USA, dans le courant de Mars 2020 a été de bloquer la vie sociale, politique, culturelle, économique. Ce blocage vital a été décidé soi-disant pour freiner la propagation de l'épidémie. La croyance développée sur les modélisations fausses de l'Imperial College était que le nombre d'infectés Covid serait si élevé que les hôpitaux seraient incapables de faire face à la vague de patients au bord de l'asphyxie. A l'époque, on estimait que la Covid-19 était une maladie respiratoire, ce qui est totalement faux. Il fallait donc trouver des moyens pour atténuer la vague épidémique en ralentissant par des mesures de distanciation sociale la vitesse de propagation de l'épidémie.

La Chine et quelques autres pays occidentaux comme l'Australie et la Nouvelle-Zélande prirent des mesures encore pires puisque ces Etats se fixèrent un objectif de "zéro-Covid" à base de fermeture totale de la société et de l'élimination de toute personne contaminée.

Tout était faux dans les modélisations des mesures de "distanciation sociale" et l'expérience scandaleuse - et en vraie grandeur - a démontré que ces mesures de distanciation sociale ont aggravée l'épidémie. Par ailleurs, les capacités de traitement des hôpitaux en France et en Grande-Bretagne, mais aussi en Italie et en Espagne, se révélèrent pires que tout ce qu'on pouvait imaginer. La France a, sous la direction de son premier ministre qui était directeur de la santé en 2010, détruit systématiquement toute capacité de traitement d'une épidémie et même de maladies chroniques. On manque d'hôpitaux, de lits, et surtout de personnel soignant depuis vingt ans.

6 - Les thérapies interdites ou empéchées

On a vu plus haut que, étant un nouveau pathogène, les autorités sanitaires ont décidé qu'il était "interdit" de soigner la Covid-19 avec des médicaments connus. Dans l'esprit malade des maîtres sanitaires qui se sont imposés, aucun médicament ne pouvait avoir reçu d'autorisation réglementaire pour la Covid-19, puisque cette maladie n'existait pas encore ! La stupidité du principe, qui rassure les économistes de la santé, a littéralement "endormi" la plupart des médecins qui se sont satisfaits aisément de respecter les "principes sanitaires".

Heureusement, un nombre réduit de médecins qui, eux, voyaient les patients et comprenaient les articles scientifiques, identifiaient peu à peu les vrais symptômes de la Covid-19. Ces médecins découvraient qu'il n'y avait aucune atteinte au système respiratoire et que ceux qui étouffaient, souffraient en réalité d'embolies et de thromboses pulmonaires. Alors que la "médecine officielle" tuait avec certitude les malades en les connectant à de terribles machines à respirer - qui se bornaient à brûler les poumons de leurs victimes - les vrais médecins recherchaient des anti-coagulants et des corticoïdes. Les premiers à découvrer le fait médical furent les médecins italiens. Peu de médecins français s'y mirent cependant.

Ce fut le temps où on se mit à rechercher n'importe où, n'importe quel respirateur artificiel, y compris "bricolé" par l'industrie automobile [AIRLIQ], puisque la Chine, seul producteur mondial de restpirateurs artificiels, était totalement fermé par sa politique zéro covid. On peut se demander si sa politique de fermeture ne suivait pas une stratégie risquée de mise en danger de l'occient ... Mais ceci est une autre affaire.

Notamment en France, plusieurs médecins dont l'honneur était de soigner les patients qui s'adressaient à eux, comme les Professeurs Raoult à Marseille ou Perronne à Garches - il y en eut quelques rares autres - trouvèrent des médicaments très peu coûteux qui avaient une efficacité élevée pour soigner les malades Covid. Raoult qui est l'un des chercheurs mondiaux les plus prolixes des quarante dernières années, mis au point un protocole qu'il utilisa chez lui, se "protégeant" derrière son statut universitaire. Perrone qui était essentiellement un soignant de l'hôpital public fut sanctionné par une mise à la retraite.

Les mêmes efforts aux USA furent eux aussi combattu par les autorités médicales et ce fut le cas de médecins chercheurs de première importance comme Harvey Risch, Peter McCullough ou Zev Zelenko. Quand peu après, un autre médicament très connu, l'Ivermectine, qui fut encore plus efficace que l'hydroxychloroquine pour soigner les patients.

La haine qui frappa les promoteurs de ces traitements médicamenteux se fondait sur le principe posé dès le début de la pandémie : seul le vaccin Covid sauvera l'humanité. Admettre que le moindre médicament pouvait soigner la maladie, interdisait le développement d'un tel vaccin. Or, le choix du vacin à l'exclusion des vrais médicaments est assurément un crime médical de très grande ampleur qui engage de nombreuses responsabilités, sanitaires, médicales, pharmaceutiques, politiques, médiatiques, et surtout financières et donc la corruption.

7 - La stratégie du testage PCR

Ce fut un remarquable fiasco. Non que le test PCR ou ses concurrents, les tests antigéniques, fussent sans intérêt. Mais, ils furent volontairement utiliés pour manipuler et contrôler tant les opinions publiques que les gouvernements pour les contraindre à adopter et se soumettre à des mesures policières de plus en plus coercitives. L'effet essentiel fut d'empirer encore la situation économique et sociale.

Le cas des tests PCR fut exemplaire. Dès le 15 janvier 2020, un virologue allemand, Christian Drosten, faisait labelliser un protocole de test PCR par l'OMS sur la base de réactifs qu'une firme qu'il contrôlait financièrement, était la seule à proposer. Or dans ce protocole, il fit inscrire la nécessité de mener un nombre de cycles d'amplification des échantillons infectés qui était si élevé que le test déclarait infectés des échantillons dans lesquels il n'y avait aucun virion ou particule virale.

Er sous l'instigation de Drosten, dont c'était l'intérêt commercial, l'OMS énonça un slogan imposé à tous les gouvernements occidentaux : "Testez, testez, testez !". Et on testa n'importe comment, n'importe qui. 15 milliards de tests PCR en France, fin 2022 ! De 20 à 50 Euros l'unité. De sorte que tout le monde ou presque était positif au Covid. Il en résulta que les statistiques des infectés furent artificiellement grossies. De même que celui des admis à l'hôpital, des entrées en soins critiques. Et pire encore, le nombre des décès Covid. Dès lors que le décédé avait un test PCR positif de moins de 21 jours, il était inscrit mort du Covid. !

Un scandale de corruption, d'abord. Un scandale de manipulation des statistiques ensuite. Un scandale de contrôle des gouvernements soumis à la dictature covidiste enfin.

8 - Deux cas d'assassinats sanitaires : le Rivotryl et la ventilation forcée

Lors de la première vague épidémique en France, peut être ensuite, les personnes âgées enfermées dans un établissement comme un EHPAD, ne devaient en aucun cas accéder à l'hôpital. La "régulation" par téléphone bloquait systématiquement les maisons de retraite lors de l'admission aux urgences des hôpitaux. Un décret du ministère de la santé donna le droit au personnel médical des EHPAD d'utiliser une sédation par Rivotryl des personnes âgées hébergées qui étaient infectées par la Covid. Or, le Rivotryl entraîne une passivation des muscles respiratoires. Il en résulte que, les veines pulmonaires obstruées par les caillots sanguins provoqués par SARS-CoV-2, les personnes âgées mourraient sans pouvoir se plaindre.

Le réglement des confinements interdisant les visites, ces personnes âgées moururent isolées sans avoir revues leurs proches. Isolées, mais sous calmant.

Enchaînés par le principe "médical" que SARS-CoV-2 était un pathogène impliquant un "syndrôme respiratoire aigu - c'est la traduction française de l'acronyme anglais SARS - les médecins appartenant au système sanitaire occidental "branchèrent" tant qu'ils purent les patients les plus malades et qui présentaient des troubles de la respiration - de la difficulté à respirer - sous respirateurs artificiels, les plus graves par trachéotomie. On se mit très vite à manquer de respirateurs. La mortalité était effrayante. L'Etat suscita plusieurs partenariats industriels pour faire fabriquer des respirateurs capables de venit renforcer le faible parc existant. Jusqu'en juillet-août 2020, la technique fut systématique. Puis, les vrais médecins finirent par alerter leurs confrères respectueux des protocoles sanitaires que la Covid-19 ne touchait pas au mécanisme de la respiration, mais produisait - aussi - de terribles thromboses.

On finit par abandonner dans des hangars les milliers de respirateurs inutiles qui tuèrent tant des patients gravement atteints lors de la première vague épidémique. Une honte médicale absolue.

9 - Le problème des vaccins géniques : la stratégie, le financement, l'autorisation, les effets adverses, l'inefficacité des vaccins

Traiter en quelques lignes des vaccins Covid est impossible. Il existe de nombreux problèmes dont plusieurs sont des scandales. En Occident, les deux vaccins les plus injectés appartiennent directement ou non à l'emôire industriel de Bill Gates. La part qu'il a pris dans l'épidémie dès avant son apparition est un scandale encore inexpliqué, mais dont on commence à connaître de nombreux éléments. Les procédures d'agrément réglementaires sont elles mêmes un véritable scandale "justifié" commodément par l'"urgence sanitaire".

L'imposition de la vaccination fut exécutée en utilisant plusieurs techniques de manipulation social qui furent nettement tyranniques. Etant largemetn expérimentale, l'injection devait être précédée d'une information délivrée par le médecin injecteur. Or, l'agent injecteur était rarement un médecin et il ne procédait jamais à la moindre information, ni au recueil du consentement éclairé du patient vacciné.

Le suivi de la vaccination a été un scandale sanitaire dans la mesure où l'efficacité vaccinale fut volontairement exagérée pendant les premiers mois. Puis, les autorités sanitaires dissimulèrent que cette efficacité vaccinale était nulle et presque nulle selon les "outcomes" sélectionnés. De plus, les vaccinés sont très souvent ré-infectés par des variants nouveaux, la souche initiale de 2019 ayant disparue depuis longtemps. Mais, le plus fort scandale encore en cours, fut la dissimulation systématique de la gravité et de la quantité effarante d'effets adverses. Selon la base de données EUDRA Vigilance tenue par l'Agence Européenne du médicament, il y aurait déjà plus de 50.000 décès déclarés suite à la vaccination Covid. Dans la base VAERS équivalente des USA, on compte plus de 35.000 décès. En réalité, le nombre de décès qui seraient imputables à la vaccination dépasse certainementplusieurs centaines de milliers de personnes en Europe et autant aux USA.

Or, le vaccin Covid - qui est dangereux et inefficace contrairement au "principe" sanitaire imposé dès le début de la pandémie - n'aurait jamais dû être développé puisque des médicaments efficaces existent pour traiter la Covid-19. Le scandale devra être puni. Mais quand et par qui ?

10 - Le problème politique des relations entre Gates, les USA et la Chine dans la genèse et le déroulement de la pandémie

C'est un sujet politiquement explosif : Gates a t'il prévu la pandémie de Covid, l'a-t'il organisée de façon à ce qu'elle serve ses intérêts financiers et d'autres peut être ? Il existe un enchevêtrement de faits incontestables qui supportent en partie la question. Mais, il sera bien difficile de la transformer en assertion et l'assertion en un motif judiciaire, seule manière civilisée de résoudre un conflit social aussi énorme que celui de la Covid..

Rappelons que le vendeur le plus important de vaccisn Covid est la firme américaine Pfizer, dont le Vice-Président est une salariée de la Fondation Bill & Melinda Gates. Gates est le premier financeur privé de l'OMS. Il possède plusieurs ONGs et groupes d'ONGs qui organisent la diffusion des vaccins - pas seulement Covid - dans l'ensemble du monde. Gates a des relations directes en matière de santé publique avec la Chine et directement, par desssus la tête du gouvernement américain, avec la plupart des agences de santé publique des USA : les CDC, la FDA ou les NIH par exemple.

L'an passé, Gates a fait recruter Jay Gottlieb, ancien patron de la Food and Drug Administration au conseil d'administration de Pfizer. Or, la FDA est l'agence santiare fédérale américaine qui a imposé les mesures sanitaires aux USA et, indirectement au reste de l'occient. Les confinements, c'est eux. Les masques, c'est eux. Cet homme, Scott Gottlieb une fois nommé au CA de Pfizer, s'est alors chargé des relations entre Pfizer et le réseau social Twitter pour contrôler l'opinion publique qui s'exprime sur Twitter en ordonnant la fermeture de comptes d'utilisateurs qui critiquaient la vaccination et les autres mesures covidistes.

Rappelons que Gates dirige indirectement les travaux du Centre de modélisation informatique des épidémies de l'Imperial College. Cet ornanisme s'est livré à une véritable intoxication des gouvernements occidentaux pour les pousser dans les mains de la tyrannie sanitaire.

11 - Le problème du contrôle social : comportement des médias, des plateformes web, rôle des services spéciaux américains et britanniques

Trois mesures ont été adoptées dans la plupart des Etats occidentaux. La première a consisté à "flanquer" le gouvernement d'une cellule "scientifique" destinée à "éclairer" l'exécutif. En France les scientifiques refusèrent d'y participer. Mais, ces "comités Theodule" furent peplés d'individus bizarres, la plupart corrompus par l'industrie pharmaceutique - les prétendus conflits d'intérêt qui sont le nom pudique de la corruption dans ces "milieux-là". En fait, ce genre de conseil venait amplifier l'effort destructeur des agences de santé publique - FDA, CDC NIH, ... aux USA, SPF, ARS, ... en France - et imposait des mesures prétenduement sanitaires qui étaient partout en Occident exactement identiques, à quelques nuances près. Les exécutifs étaient ainsi complètement entre les mains d'une mouvance indéterminée allant de Bill Gates jusqu'au WEF, organisation mafieuse ayant des vues stratégiques à long terme que la pandémie et les mesures sanitaires imposées servaient.

Une deuxième mesure a consisté à contrôler l'opinion publique par deux moyens : la propagande et la censure. La propagande a consisté à pilonner sans relâche la presse et autres médias d'informations fausses concernant l'évolution de l'épidémie et les mesures sanitaires imposées. La censure à consister à insulter dans les média les opposants et les thèses et affirmations contraires aux mesures sanitaires imposées. Le contrôle de l'opinion publique a été assuré par la main mise de Bill Gates et de ses alliés de la caste des hypermilliardaires, comme Jeff Bezos (Washington Post) qui possèdent la plupart des journaux. Par exemple Gates a acheté la rubrique Global Health de "santé mondiale" du britannique Telegraph et de la plupart des journaux français qu'il subventionne : Le Figaro, Le Monde, Libération, ... comme partout en Occident.Les alliés de Gates possédaient par ailleurs les réseaux sociaux : FaceBook, YouTube, Twitter, Whatsapp, ...Ils y font régner la propagande la plus éhontée et la censure la plus perverse en faveur des mesures sanitaires décidées par la mouvance Gates. Ils ont par ailleurs mis en place des organes de "fact-checking" qui consistaient d'une part à insulter les opposants aux mesures sanitaires en commentant de manière méprisante et fausse leurs opinions et à les déconsidérer en prétendant représenter la science quand les opposants seraient le fanatisme, le complotisme et le charlatanisme.

Une troisième mesure a consisté à faire intervenir les agences spéciales, principalement américaines : FBI, NSA, CIA, ... mais aussi britanniques pour éliminer toute opposition. Il a existé dès le début de la pandémie des instances de concertation entre les agencesspéciales gouvernementales et la "presse officielle". Sur quelle injonction ces agences travaillent-elles ? C'est une immense question. Très clairement, elles ont travaillées identiquement que ce soit sous Trump de 2019 à 2020, puis sous Bidcn à partir de 2021. Des publications de documents et de mails ordonnées par la justice américaine sur requêtes d'opposants à la politique covidiste, on sait que ces agences ont agi absolument en conformité avec les motifs de la caste des hypermilliardaires, en tête de laquelle caste a évolué Bill Gates. On note l'existence d'une très curieuse agence britannique, formée dès 2010, qui a développé une technique redoutable de contrôle social : le "nudge" - en français : le coup de coude .... qui est destiné à "guider" chaque individu, à l'insu de son plein gré, pour qu'il adopte une attitude socialement conforme à des normes imposées. Avec les menées, notamment en France et en Allemagne, de mystérieuses sociétés de conseil comme la firme McKinsey, on a là des atteintes à la fois à la démocratie, mais plus grave encore à la République. Ces actions des agences spéciales étatiques, notamment américaines, probablement relayées par les sociétés de conseil privées, fédérées par l'intérêt de la caste des hypermilliardaires, sont en train d'être révélées par des actions en Justice, notamment aux Etatst-Unis, où plusieurs Procureurs généraux, et leurs Etats, ont intenté des procès fédéraux contre l'administration Biden, les agences fédérales US et les grands groupes industriels de l'internet - Google, Facebook, ... - pour collusions dans le contrôle de l'épidémie.

Les libertés publiques, les droits des citoyens, le bien public tel qu'il est servi par le régime républicain, tous ont été littéralement détruits lors de la pandémie par les trois moyens de contrôle social développés. Ces biens essentiels à l'occident ne reviendront pas sans un effort de vérité. Probablement extrêmement violent. Nous sommes loin de le voir se réaliser.

12 - Le problème du contrôle médical

On peut estimer que la crise de la Covid-19 a ruiné la médecine occidentale pour longtemps. En effet, le public, malgré la propagande incessante du régime occidental, a vu la perversité des mesures sanitaires imoposés "au nom de la Science en général, et de la médecine, en particulier". La réputation de la "Science" était déjà bien malade avant l'apparition du coronavirus, mais celle de la médecine était fort peu critiquée. Seulement par une frange de la population occidentale contenue par la propagande entre charlatanisme et crédulité imbécile.

La gestion médicale de la Covid-19 a mis au jour et révélé au grand public qui ne le dit pas encore ouvertement mais commence à en prendre conscience qu'il y a quelque chose de pourri dans le domaine médical au sens large. La crise a révélé :

  • l'étendue de la corruption financière du personnel médical [CFPM] aussi bien par le milieu des politiciens que par celui des financiers, parmi ces derniers, des financiers de la pharmacie ;
  • l'ignorance crasse d'un nombre toujours plus grand de "sommités" médicales qui n'hésitent pas à soutenir des idées scientifiques abandonnées depuis longtemps parce que démontrées fausses [Monod] ;
  • l'insolence de médecins, parfois désignés comme "médecins de plateaux télé", qui ont infectée l'opinion publique avec de la propagande occidentale, médicalement ou scientifiquement fausse ;
  • l'impudence de médecins appliquant servilement la "ligne officielle" et qui refusaient de soigner les malades au prétexte qu'ils n'étaient pas soignables puisque la Covid-19 était une "maladie nouvelle" ;
  • la brutalité des médecins appliquant la ligne officielle de la "lutte contre l"épidémie" alors que le charlatanisme de ces mesures sanitaires éclatait aux yeux de la population [Masks].

Il n'y a pas une seule mesure sanitaire prise prétendument pour lutter contre l'épidémie qui ait montré une quelconque efficacité dans ce but d'une part et la plupart de ces mesures ont produit des effets catastrophiques sur la santé des malades ou des bien-portants. Mais, le sujet le plus grave est certainement le motif pour lequel les mesures sanitaires ont été prises pour la plupart d'entre elles. Il ne s'agissait pas de soigner la population ni d'empêcher le coronavirus de s'étendre, il s'agissait d'empêcher que les hôpitaux publics soient "asphyxiés" par un nombre trop élevé de mourants infectés par le coronavirus !

Or, depuis au moins 20 ans, la plupart des Etats occidentaux ont déployés des efforts considérables pour supprimer les capacités de soin aussi bien des praticiens - réduction des diplômés de médecine qu'ils soient médecins ou infirmiers - que des structures hospitalières - réduction constante du nombre de centres de soin, concentration sur des méga-hôpitaux favorisant les épidémies internes et la réduction "masquée" du nombre effectif de lits. La médecine avait organisé son incapacité naturelle à ne pas pouvoir soigner. Or, la Covid-19 exigeait le recours à des médicaments simples que même avec une formation limitée, le personnel médical partout en occient pouvait dispoenser à la population et qui aurait soigné l'immense majorité des infectés Covid-19.

La stratégie du soin qui a été écartée par le smédecins occidentaux a été pratiquée notamment en Afrique et partiellement en Asie. Par exemple les Etats de l'Inde qui ont écartées les règles sanitaires occidentales au profit de l'utilisation des médicaments simples comme l'hydroxychloroquine, l'Invemectine, les anto-coagulants, les vitamines et minéraux ont largement contenu l'épidémie et limité à la fois le nombre de malades hospitalisés et les décès.

A l'inverse, imposant les confinements, les quarantaines, la régulation dictatoriale des réunion et des activités de toutes sorte, le port du masque, et autres bricolages ridicules face à un coronavirus, imposant une vaccination le plus souvent bricolée et dangereuse pour la santé humaine, la médecine occidentale à prétention scientifique a ruiné sa réputation pour longtemps. Elle a même engagée sa responsabilité pénale et criminelle. On ne sait seulement pas à quel délai les médecins responsables de cette catastrophe médicale seront pris par la Justice.

13 - Le problème du contrôle économique : la fermeture des activités économiques, l'endettement, la récession

C'est l'une des grandes questions politiques encore sans vraie réponse, du moins sans réponse sûre. Comment se fait-il que, de l'aveu même des principaux gouvernements, les décisions sanitaires prises dès le mois de mars 2020 et jusqu'à ce jour, ont été prises pour de soi-disantes considérations scientifiques - depuis établies comme fausses - sur la base de modèles informatique d'épidémie développés pour le compte de Bill Gates, sans qu'aucune étude d'impact économique n'ait été conduite avant les décisions. Ce fut la "stratégie" du "quoi qu'il en coûte" illustrée en France par le catastrophique Macron, réélu après un tel crime politique.

En réalité, même s'ils ne voulaient pas disposer des chiffres d'une "véritable" simulation économique de leurs mesures sanitaires, les politiciens du régime occidental savaient parfaitement les conséquences que ces mesures infligeraient à la société occidentale.Et il existe de nombreuses indications que ces politiciens attendaient bien que ces mesures bouleverseraient l'ensemble de la société occidentale.C'est bien sûr la thèse du "Great Reset" telle qu'elle a été exposé dès juillet 2020 par les caciques du World Economic Forum. Selon eux, grâce au choc économique provoqué par l'épidémie de Covid-19, il n'y aura aucun retour possible à une situation d'avant l'épidémie.

Les tenants du régime occidental et leurs laquais notamment dans les médias, ont tenté d'ostraciser la thèse du "Great Reset" en la qualifiant de "complotisme". Mais, au courant de l'année 2022, on a vu que le régime occidental et le WEF ne reprenaient plus la thèse du "Great Reset". Certains observateurs attentifs ont noté que même le WEF n'en parlait plus. Mais, c'est une chose de "ne plus en parler, c'en est une autre de contrôler la société occidentale avec les effets des mesures sanitaires prises, non pas pour lutter contre l'épidémie, mais à la faveur de la crise épidémique.Peu importe le nom que l'on donne ou que l'on ne donne pas à la "chose".

Les mesures économiques prises à la faveur de la crise sanitaire - les politicens avaient même l'impudence de la qualifier d'"urgence sanitaire" notamment en France - étaient une conséquence directe et même nécessaire aux mesures hygiénistes d'atténuation. Si le politique subjugué par le médecin falsificateur impose l'interdiction ou la réduction des contacts sociaux sur un prétexte sanitaire, l'économie doit obéir en s'arrêtant plus ou moins complètement. Et l'arrêt de l'économie signifie la ruine économique d'une société.

Contrairement à la responsabilité criminelle du personnel médical dans l'imposition de mesures sanitaires mortelles, le personnel économique semble à l'abri de la critique. Il a subi en tant que "patient" d'un système médical dévoyé comme tous les citoyens des Etats occidentaux. Malheureusement, dans le détail, on s'aperçoit que parmi le personnel économique, des chefs d'entreprise, des financiers, ont participé à l'incroyable gangstérisme sanitaire. Il suffit de lire le livre de Schwab et Malleret, "Covid-19. The Great Reset", Juillet 2020, pour apercevoir l'étendue de la complicité des milieux économiques et financiers dans la survenue de la catastrophe de la Covid-19. De plus, la corruption financière du monde médical vient essentiellement du monde économique, et à l'intérieur de ce "monde", des financiers et des financiers de la pharmacie. Il existe donc certainement une responsabilité d'une partie du monde économique dans la catastophe de la Covid-19.

14 - Le problème du contrôle politique : contrôle des libertés, censure de l'opposition, extension de la propagande, oppression des populations.

Le contrôle politique de l'épidémie a été la solution radicale prise presque partout en occident. Et le politique estimant avoir été "éclairé" par les scientifiques a interdit aux médecins de pratiquer la médecine. A la satisfaction générale. Sauf de quelques contestataires grognons dont on sait qu'il y en a toujours. Autant dire que l'opposition politique au contrôle politique de la pandémie Covid-19 a été balayée d'un revers de main et avec un regard de mépris. La Science, cette grande prostituée, a peut être triomphée, mais la médecine a sombrée, son drapeau en berne.

Le problème du contrôle politique c'est qu'il doit se fonder sur des lois dont l'application peut être vérifiée par les tribunaux. Le problème c'est que, hors des "lois d'urgence sanitaire" qui leur offrait les pleins pouvoirs de la dictature, les exécutifs ont adoptées des dispositions qui n'avaient rien de légales, établies pour la plupart d'entre elles par le mouvement politique sanitariste menée par l'industrie pharmaceutique. C'est le cas de la plupart des mesures politiques prises, surtout en occident américanisé et en Chine communiste, pour "lutter" contre la pandémie de Covid-19. Suppression des libertés fondamentales, censure des protestations de l'opposition politique aux mesures pandémiques, développement d'une propagande insensée, mise en ooeuvre de la manipulation et du contrôle des réponses des citoyens et pour finir l'oppression tyrannique des populations soumises.

Certains imaginent que du fait que le gouvernement en région occidentale appliquent les lois et que les tribunaux contrôlent lapplication des lois, le gouvernement serait alors contrôlé par les trivbunaux. c'est une erreur fatale.Il est exact - on l'a rappelé ci-dessus que le gouvernement applique des lois, qu'il fait lui-même promulguer d'ailleurs et que leur application est en effet sous le contrôle des tribunaux, il existe deux problèmes insolubles aujourd'hui :

  1. le fait que l'exécution des lois ad hoc établies par le gouvernement à son profit est difficile à contrôler par un tribunal ;
  2. lorsque le tribunal n'est pas indépendant du gouvernement - cas en France des tribunaux administratifs - le contrôle judiciaire st complètement illusoire.

Mais, la crise Covid, en tant que crise politique majeure du régime progressiste occidental, montre qu'une nouvelle stratégie de contrôle politique du progressisme occidental est à l'oeuvre. Au lieu de recourir à la loi et à l'administration, l'exécutif recourt à des techniques de forçage des attitudes sociales à l'aide de la propagande et de la peur, pour atteindre des objectifs fixés et vérifiés par des cabinets de conseils salariés de la caste des hypermilliardiares. C'est le cas du fameux cabinet McKinsey, l'un des agents contrôlés par le WEF de Davos. Utilisée comme technique de "forçage" des attitudes socialement conformes, par le "nudge", les citoyens sont transformés en une population indistincte et soumise qui reçoit de ses maîtres inconnus des "coups de coude" - le nudge - pour se conformer à l'attitude sociale conforme. L'attitude socialement conforme est déterminée par la caste des hyper-milliardaires et ses agents, souvent membres des agences spéciales américaines comme la CIA ou la NSA, les CDC et le NIH.

La technique est particulièrement illustrée par le traitement social de la pandémie de Covid-19 où la propagande et la coercition ont été à la base du contrôle social, joint à la peur instillée par une progagande démentielle.

15 - Le problème des statistiques après l'épidémie : les effets secondaires du virus, les effets secondaires des vaccins géniques

On a vu que les statistiques épidémiques ont été volontairement faussées pour effacer toute trace objjective des événements épidémiques. La grande manipulation a été réalisée par l'impossibilité de distinguer un cas testé positif au Covid, d'un individu réelllement malade du Covid. L'absence presque complète d'autopsies a longtemps masquée la réalité. La Covid est très peu une affection respiratoire. Elle est multifactorielle, affectant la plupart des organes et des tissus en utilisant d'abord la voie sanguine.

Même le rôle délétère des confinements est devenu très difficile à identifier dans les statistiques parce qu'on a mélangé un grand nombre de facteurs notamment en ne les mesurant plus "grâce" à la désorganisation du système sanitaire occidental. On sait par exemple que les confinements ont provoqués un effondrement des pratiques de détection des cancers ou encore des affections cardiaques. Il en résulte qu'on découvre une "explosion" de cancers" et d'affections cardiaques, sans être capables de manière certaine d'identifier le caractère "chronique" de ces nouvelles affections ou le caractère épidémique produite par le virus.

La chose n'est pas impossible. Mais, si un statisticien relève une corrélation entre un événement lié à l'épidémie et un cancer ou affection cardiaque, les covidistes lui dénie la causalité en excipant des cancers et des affections cardiaques non détectés pendant l'épidémie Covid.

Le même problème affecte les statistiques sur les effets adverses des vaccins Covid, notamment ceux à ADN ou à ARNm. Ces effets adverses sont, comme la Covid, multifactorielles. L'absence d'étuides anatomopathologiques permet aux covidistes de nier que les corrélations relevées par les statisticiens des effets adverses des vaccins soient des causalités. Ainsi du nombre de décès identifiés suite à la vaccination Covid, ou encore des affections cardiaques, notamment chez les jeunes, et particulièrement les jeunes sportifs, moins susceptibles que le reste de la population d'avoir des prédispositions à ces affections cardiaques.

En fait, les autorités sanitaires couvrent la responsabilité des autorités politiques en désorganisant les statistiques médicales par tous les moyens. Par exemple, dans de niombreux pays occidentaux, l'information concernant l'état vaccinal des décès est devenu indisponible. Il existe bien des statistiques de l'état vaccinal et des statistiques des décès. Mais les autorités sanitauires ont rendu indisponibles la clé de liaison entre un vacciné et un décédé. Le tour est joué. On ne saura jamais.

16 - Le problème des futures pandémies : le traité Pandémie

L'OMS a compétence depuis de longues années pour éditer des recommandations sanitaires pour l'ensemble des Etats membres du Traité ONU. Pour diverses raisons, beaucoup de ces Recommandations sont devenues des Règles qui s'imposent aux gouvernements. Or, on l'a vu lors de la pandémie Covid, de nombreuses décisions sanitaires sont destinées à bouleverser l'ordre politique régulier. Pour les imposer, les gouvernements sont contraints, de manière formelle, de requérir à des lois spéciales, voire d'exception, pour imposer les Recommandations OMS.

Devant les protestations politiques que soulèvent le plus souvent ces lois sanitaires, plusieurs gouvernements occidentaux, dont celui de la France, ont imaginé contourner les difficultés politiques - protestations des partis d'opposition, appels du Parlement à ce que le gouvernement respecte la séparation des pouvoirs, etc - en faisant adhérer leur pays à un Traité "Pandémies" détenu par l'OMS qui édicterait toutes les mesures sanitaires utiles pour "traiter" n'importe quelle pandémie.

On a ainsi vue une résolution signée par une trentaine d'Etats, dont la Commission européenne et la France, demandant l'entrée en vigueur d'un Traité "Pandémies" dont le détail est déjà largement connu. Le Traité Pandémies est cours de ratification. Il est presque certain qu'il serait prochainement en force. Mais, son objet et ses motivations sont strictement contraires à l'intérêt national. Il constitue un considérable abandon de souveraineté. Par des arguties misérables, les politiciens qui promeuvent ce Traité, tentent d'écarter toute opposition. D'ailleurs, il semble que très peu de politiciens même d'opposition aient le moindre avis défavorable.

Or, il s'agit de perdre le contrôle de son Etat dès lors que l'OMS déclare une situation de pandémie. Cela revient dans une large mesure - constestée par les tenants du Traité Pandémies - à abandonner sa souveraineté au profit d'un organe mondial, soumis à des influences d'au moins deux superpuissances : la Chine et les Etats-Unis et d'un hypermilliardaire, propriétaire de firmes pharmacutiques, Bill Gates. Selon les opposants au Traité Pandémies, une telle ratification constitue pour le chef d'Etat qui s'y livrerait, un crime de haute trahison.

Un de plus.

17 - Le problème du Great Reset : entre économie et coup d'état

L'idéologie du Great Reset a été developpée par le personnel interne au World Economic Forum. Haut lieu de l'atlantisme et de la puissance a,éricaine, le WEF a développé des techniques de contrôle des décisions publiques un peu partout dans le monde, maisparticulièrement en occient américanisé. Le WEF réunit des financiers, des politiciens et des membres des media occidentaux pour orienter les décisions politiques dans le sens d'un gouvernement mondial. On ne sait quel pouvoir en sera tiré, s'il s'agira de renforcer l'emprise américaine ou celle des puissances financières.

Trois techniques sont dévelopées et intensivement utilisées par les membres du WEF :

  • le partenariat public -privé : illustré par les affaires de Bill Gates ;
  • le réseautage : illustré par les Global Leaders des années 90, puis les Young Global Leaders des années 2000 ; et
  • le Great Reset : l'utilisation d'une catastrophe sociale comme la pandémie Covid pour imposer une nouvelle économie et une nouvelle politique.

Les deux dirigeants du WEF ont publié en Juillet 2020 un livre [WEF2020] expliquant très clairement le rôle qu'ils faisaient jouer à la Covid-19 pour instaurer de manière anti-démocratique un nouveau régime politique et économique. La base de tout se fonde sur la destruction des structures économiques et politiques anciennes et la construction d'un nouveau régime politique et économique entièrement contrôlé par la caste des hyper-milliardaires.

Cette caste rassemble des hommes venant de deux univers :

  • les ultra-riches comme Gates ou Soros. Ils sont peut être 2 ou 3 cents.
  • les dirigeants des grandes sociétés à puissance financière comme les fonds d'investissements (Black Rock, Vanguard, ...) ou les grandes firmes industrielles (Tesla, Google, Facebook, ...) Ils sont peut être un millier
  • On doit ajouter à cette caste au moins à certains moments de leurs carrières :

    • des agents d'organisations internationales come l'ONU ou l'OCDE ;
    • des agents des services spéciaux américains, CIA notamment ;
    • un groupe sélectionné par la caste de politiciens et de gens des médias.

    Ce sont ces gens, c'est ce mouvement informe et d'une barbarie inapprochée dans l'Histoire moderne, qui prend le contrôle de l'occident américanisé, épuisé de sa veulerie, de son immoralité, de son ignorance prétentieuse. Si nous les laissons agir, s'en est fait de la liberté, de la civilisation greco-romaine, de deux mille ans d'Histoire occidentale. Un temps d'une barbarie effrayante est en train de s'inaugurer.

    En manière de conclusion

    Dans cet article, on a erré dans un champ de ruines produites par un coronavirus dont nous ne connaissons ni l'origine, ni l'ensemble des effets délétères, notamment ceux qui affecteront les générations futures. Déjà ce coronavirus pose des problèmes aujourd'hui insolubles. Mais, plus grave encore, le coronavirus a été l'occasion pour l'occident d'exprimer toute sa toxicité décadente que l'on a révisé, parcouru en 17 problèmes qu'il aurait fallu résoudre de manière vraie pendant la pandémie.

    Au contraire, nous avons pris, du moins en Occident, à chaque problème la fausse solution. Et nous avons voulu l'imposer au reste du monde.

    En conséquence, nous allons payer les effets à long terme du coronavirus et de son traitement complètement faux. Pire encore, nous allons payer la haine que nous porte le reste du monde - 60% de l'humanité - parce que nous les avons trompé dans notre prétention frénétique à dominer le monde de nos erreurs et de nos vaticinations. La guerre en Ukraine n'est que le début du terrible hiver dans lequel s'enfonce l'occident, dansant au son d'un orchestre dément dans le bal du Titanic.








    Notes et commentaires

    [AIRLIQ] dans le courant du mois d'Avril 2020, le gouvernement français, alerté par le système hospitalier "surjouant" la panique en agitant une cause qu' était fausse, lançait une opération "désespérée" de fabrication artisanale de respirateurs artificiels. En effet, le seul fournisseur de respirateurs artificiels était devenu la Chine. or, elle avait fermé ses frontières dans une stratégie sanitaire folle : le "zéro covid". Le gouvernement fançais a donc suscité un projet autour de deux industriels, Air Liquide et Valéo, pour produire en quelques semaines 10.000 respirateurs artificiels. Le projet échoua complètement. Dirigé par les fonctionnaires de Santé Publique France, on utilisa les plans d'un respirateur léger, destiné aux premiers secours et le prototype s'avéra incapable de traiter le moindre malade. Plusieurs autres projets furent eux aussi des échecs complets. Des opérations similaires eurent lieu en Grande-Bretagne. Heureusement, les médecins finirent par l'emporter et on renonça le plus souvent à l'emploi nuisible du respirateur. Des journalistes anglais purent photographier des hangers remplis de respirateurs devenus inutiles. Ne faudrait-il pas que certains rendent des compte dans ce scandale ?

    [CFPM] Je dois faire une mise au point sur l'entité "personnel médical" visée ici. Il n'est pas question d'accuser votre médecin généraliste d'être un corrompu. Ni non plus le médecin qui vous reçoit dans un état lamentable aux Urgences d'un hôpital à 2 heures du matin. L'immense majorité des soignants adhère aux principes éthiques de la médecine. Mais, la corruption est devenue quelque chose d'extrêmement correct, éthique. Quelque chose qui respecte "nos valeurs" ... Aucun corrompu moderne, aucun corrupteur moderne, n'a conscience d'avoir recours à la corruption. Tout ce qu'il a provient de ses mérites, de son réseau, de la reconnaissance qu'il a dans la société ...

    Simplement, le médecin qui fait une tribune en faveur de la politique sanitaire et qui est engagé - ou a été engagé - dans une unité hospitalière financée par un laboratoire pharmaceutique qui a développé le moyen de la politique sanitaire objet de la tribune, est très simplement un corrompu. Il n'en a aucune conscience. Autrefois, le personnel médical des années 2000 avait encore une vague conscience de cette corruption. Mais le mot est si "horrible" aux belles âmes, que, dans les lois d'éthique professionnelle des années 2010, on a préféré désigner cette "horrible chose" sous un terme acceptable : le "conflit d'intérêt". Il n'existe aucun conflit d'intérêt. Seulement de la corruption.

    C'est exactement ce qui arrive quand le comité d'autorisation des vaccinations dans l'agence de santé américaine chargée de cette mission est composé de 25 membres dont 20 sont issus ou appartiennent au laboratoire Pfizer. Non seulement ces membres sont corrompus, mais l'agence de santé publique elle-même est entièrement corrompue. La politique sanitaire toute entière est corrompue.

    [Monod] Dans le courant du quatrièrme trimestre 2020, on a annoncé la mise à disposition immédiate des vaccins à ARN messager de Pfizer, puis de Moderna. Un certain nombre de scientifiques se sont élevés contre l'utilisation de cette technologique prometteuse, mais encore expérimentale.

    En France, ce fut le cas du Pr Perronne ou de la généticienne Alexandra Henrion-Caude. Notamment, ils alertaient sur le risque d'interaction entre l'ARNm des vaccins et l'ADN humain qui serait modifié de manière inconnue et essentiellement dangereuse piour l'espèce humaine. Des médecins acquis à la politique sanitaire menée, vilipendèrent ces scientifiques en prétendant que les connaissances scientifiques démontraient qu'il était impossible que l'ARN messager se convertisse en ADN dans les cellules humaines.

    Or, cette règle de la génétique primitive a été établie par le Prix Nobel de Médecine français Jérôme Monod en 1951. Il la rapporte dans son best-seller Le Hasard et la Nécessité. Or, cette "règle" est fausse. Elle a été invalidée d'abord par les travaux de David Baltimore, Prix Nobel de médecine 1975, qui a démontré un premier mécanisme de conversion de l'ARNm vers de l'ADN nucléaire. On connaît aujourd'hui plusieurs dizaines de mécanismes de conversion ou de mimétisme chimique, notamment au niveau immunitaire qui rendent extrêmement sérieuse l'alerte de Perronne et de Henrion-Caude au sujet des vaccins Covid à ARNm. Il faut lire l'étude Intracellular Reverse Transcription of Pfizer BioNTech COVID-19 mRNA Vaccine BNT162b2 In Vitro in Human Liver Cell Line, de Markus Aldén, in Curr. Issues Mol. Biol. 2022, 44, 1115–1126.

    [Masks] Qu'il suffise de se souvenir que, lorsque l'Etat français avait détruit les stocks de masques, il prétendait que les masques étaient inutiles contre le coronavirus, avant de rendre son port obligatoire, même en extérieur, dès lors qu'il en a acheté à la Chine pour plusieurs milliards de dollars. En fait, à quelques nuances près, c'était son premier mouvement qui était le bon. Les masques ne servent à rien contre un microbe de 80 nanomètres avec un masque dont les pores font presque 1000 nanomètres.

    [WEF2020] Lire COVID-19: The Great Reset, Juillet 2020 sur le site du WEF.


    Revue C-Politix (c) 28 Janvier 2023