SARS-CoV-2, tests RT-PCR et mesures antisociales |
La technique des tests RT-PCRIl y a quelques jours, j'avais vaguement compris de quoi il retournait avec les tests PCR. Si je suis infecté, cela commence par les voies respiratoires supérieures. Donc, un prélèvement correctement exécuté sert d'échantillon à un test PCR qui va détecter la présence ou l'absence du SARS-CoV-2 dans l'échantillon. Si le test est positif, je suis infecté, s'il est négatif je ne suis pas infecté. Avec cette connaissance de base, j'avais compris dès le mois de mars 2020 pourquoi l'OMS déclarait : "testez, testez, testez", ce que la France était matériellement incapable de réaliser puisqu'elle ne dispose d'aucun fabricant de tests PCR de masse. Le but de détecter si un individu est infecté était de le placer en quarantaine pour protéger le reste de la population. Les errements des autorités sanitaro-politiquesMalheureusement, cette "noble" pensée était en fait assez perverse, puisqu'il s'agissait de priver de liberté un homme au seul motif qu'il était malade. La défense des intérêts de la société priment ... La véritable solution était donnée quelques jours plus tard, par le Pr Raoult qui appliquait la loi médicale fondamentale : diagnostiquer, puis soigner au mieux. Au lieu de cela, les autorités sanitaro-politiques françaises prirent l'exact contrepied de la loi fondamentale médicale. Ils ont interdit de diagnostiquer et de soigner, et ont contraint la population à un confinement stupide et ruineux au cours des mois de mars, avril et mai.. En réalité, ces autorités déconsidérées agissaient au prétexte de protéger les hôpitaux d'un afflux trop fort de malades. En confinant la population, les autorités esimaient qu'elles réduisanient ainsi la vitesse de crculatuion du virus. Cette croyance stupide a volé en éclat dans l'indifférence générale, quand les vieillards des EHPADs encore plus confinés que les autres se sont mis à mourir de la Covid-19 ou d'autre chose, mais en masse. L'épidémie s'est alors éteinte lentement, les autorités sanitaro-politiques se récriant que c'était gâce à leur ordre de confinement et menaçant la population de la peur d'une seconde vague qui devait nécessairement survenir puisqu'il n'y avait pas eu assez de morts lors de la "première" vague. En effet, le confinement avait l'ordre des autorités sanitaro-politiques de ne laisser pourrir qu'un nombre réduit de malades "tout de suite", les autres ce devait être après. L'introduction du testage de masse pour "attendre la seconde vague"En réalité, la seconde vague ne venait pas. Alors, les autorités sanitaro-politiques françaises se sont souvenus des tests PCR. Elles étaient incapables d'en produire élles-mêmes ni d'en faire produire en Europe. Mais par chance, la Chine qui avait très peu confiné, préférant la quarantaine et soigner le maximum de malades, avait rouvert son commerce et se mettait à inonder l'Europe de tests PCR hâtivement configurés paur le SARS-CoV-2. En France, Pasteur et BioMérieux se sont chargés de "fabriquer" des recettes de tests PCR chinois et d'en faire inonder les laboratoires d'abalyses pour "tester tout le monde". Ce serait bien le diable si on ne détectait pas le surgissement de la seconde vague à son début. En fait, l'individu qui voulait se faire tester avait deux objectifs : savoir s'il avait été infecté dans le temps, et de préférence, disposer d'un papier officiel disant que son test était négatif pour pouvoir le présenter à qui de droit. En face de ces objectifs "privés", l'Etat voulait simplement détecter l'apparition de la "seconde vague de l'épidémie", qui ne pouvait pas ne pas se montrer d'ici peu. Après avoir testé personne, on s'est donc mis à tester n'importe qui. Et plus on testait, plus on trouvait de résultats positifs. Le malheur, c'est que les hôpitaux, malgré les tentatives maladroites des ARS et des hôpitaux de province - Ah la Mayenne ... - étaient désespérement vides. Même les EHPADS ne mouraient plus. Enfin, tout redevenait normal. Pas de réanimation, même si, par endroits, on "inventait" des Covid-19 sans le dire franchement. Tel hôpital annonçait que ses lits de réanimation se remplissaient sans dire de qui ... La situation devenait indécente. Alors les autorités sanitaro-politiques se sont mises à amuser le public pour le faire patienter avant la seconde vague en racontant des contes à dormir debout sur les faux positifs - çà, çà existe vraiment - et les faux négatifs - çà existe autant - pour expliquer pourquoi il y avait de plus en plus d'infectés sans symptômes. En réalité, les autorités sanitaro-politiques avouaient que les tests PCR étaient pratiqués sur des gens qui n'en avaient nul besoin. Et la "seconde vague", toujours attendue par les autorités sanitao-oplitiques, était annoncée pour dans quinze jours. Que reprocher au testage de masse en utilisant a RT-PCRComme certainement beaucoup de gens, je me suis alors promis d'étudier avec précision la technique des tests PCR. J'avais formé le projet de rédiger un article complet pour faire le point sur le sujet. Ce que j'ai découvert m'a stupéfait. N'étant pas professionnel de la microbiologie et encore moins de l'analyse biomédicale, j'ai préféré m'abstenir. Je pense qu'un article sur la technique des tests RT-PCR, dans un climat aussi toxique et délétère que celui de l'actuelle épidémie ne peut être écrit que par un spécialiste. D'ailleurs, un tel article existe certaienment. Je ne l'ai pas trouvé. En annexe de mon article ici, j'ai indiqué une grande partie de la documentation que j'ai étudié. Notamment les articles de Wikipedia sont certainement insuffisants, même s'ils donnent de précieuses informations. Pour résumer les problèmes que j'ai aperçu dans la technique du test RT-PCR du SARS-CoV-2, identifions les étapes de ce test :
On peut donc compter 9 étapes principales dans cette technique de test. Or, en étudiant chacune de ces étapes, on apprend que chacune d'elles peut être le siège de plusieurs erreurs qui faussent souvent complètement le résultat. Ces erreurs sont parfois liées au fait que l'échantillon est un complexe parfaitement inconnu, d'autres sont dues au fait que l'opération introduit une erreur qui va se cumuler avec beaucoup d'autres, d'autres parce que elles "inventent" la trace d'un coronavirus qui n'existe pas. Ce qu'il faut bien comprendre dans ces critiques, c'est que la technique de la PCR n'est absolument pas en cause. Son application à un test est envisageable dans certaines conditions extrêmement restrictives. Un test pratiqué dans la population générale est une erreur dramatique. Dit autrement, pratiqué dans un hôpital spécialisé en infectiologie, sur un malade récemment infecté, le test RT-PCR pourrait être un bon test. Mais, la pratique pour le SARS-CoV-2 en France actuelleemnt est complètement fausse. Il faut se souvenir que le génome du SARS-CoV-2 est proche de celui de plus de vingt autres coronavirus à plus de 90%. Or, les amorces utilisées comme référence pour identifier le SARS-CoV-2 font entre 150 et 300 bases de longueur. Soit de 0,5 à 1% de la longueur totale du génome. Le risque de se tromper de coronavirus dans une population générale et sans autre indication biologique est immense. En plus, le SARS-CoV-2 a - contrairement à ce que affirment les autorités sanitaro-politiques qui cherchent à protéger leur politique délétère - muté de manière relativement importante, de l'ordre de 1 à 5% et parfois plus en comparaison génomique. Si les références n'ont pas été adaptées - et à quel variant voudrait-on faire référence - le risque de ne pas reconnaître un SARS-CoV-2 n'est pas du tout négligeable. Il y a aussi une particularité biologique particulièrement pénible. Du fait que les personnes testées sont prises dans la population générale et non pas auprès de personnes diagnostiquées au tout début de leur infection, des virions morts se trouvent dans les prélèvements. En effet, lorsque la personne infectée a guéri, elel conserve pendant un certain temps que personne ne connaît encore, des virions décomposés, morts, mais dont l'ARN "pollue" alors le prélèvement respiratoire effectué. Dans certaines conditions, cet ARN parfaitement constitué est détecté comme un ARN de virion en pleine vigueur et un patient guéri est ciompté comme infecté ! Un autre trait est absolument effarant. Il se trouve dans l'étape d'amplification de la réponse du test. Pour atteindre un degré de détectabilité suffisant de la fluorescence de l'échantillon, on multiplie les clones en multipliant des cycles de température. Plus il y aura de clones marqués fluorescents, plus forte sera la réponse du test. Le problème c'est que, si lors des cycles 15 ou 20, il n'y a aucun virion détecté, il peut en apparaître lorsque le nombre de cycles monte à 40 ou meme 50. Si donc vous arrêtez le test à 20 cycles pour décider qu'il faut repartir, il n'est pas possible de faire du test de masse. On décide donc de faire en standard 45 cycles ou plus. Et c'est alors beaucoup trop. Le problème, c'est que l'insertion de marqueurs fluorescents peut avoir lieu sur des "échos" de virions, de sorte que un test normalemen négatif, devient presque nécessairement u test positif si vous dépassezun seuil donné. Et c'est le cas dans les tests utilisés en France. Le testage de masse permet le contrôle de mesures antisociales par les autorités sanitaro-politiquesIl est clair que de nombreux cas testés positifs dans le testage de masse en France sont des infectés inventés. En conclusion : la confiance dans la validité du tests RT-PCR pour le SARS-CoV-2 devrait être réservée à des situations hospitalières, et sûrement ps comme test de massen en ville. Or, les autorités sanitaro-politiques ont décidé de contrôler la population sur labase de ces tests dans lesquels ces mêmes autorités peuvent "inventer" autant d'infectés qu'elles veulent. Il n'y a donc aucune confiance à placer dans ces autorités sanitro-politiques qui cerchent à imposer la peur et la contrainte à la population qui s'est soumise à son emprise. Documentation
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