SARS-CoV-2 et ses vaccins. La question financièreJe voulais mener une enquêteau moins superficielle sur la question du financement du vaccin COVID-19. En effet, l'annonce du deuxième vaccin "réussi" de l'Occident s'accompagne de précisions financières très inquiétantes. Le prix au gramme de cette infecte mixture dépasse l'entendement semble-t'il. Est-il bien raisonnable d'en rechercher le "vrai prix" ? Je crains d'être incapable d'en faire la comptabilité et je vais, à mon grand regret, laisser le soin à d'autres, compétents eux, de faire cette étude.Malheureusement, je crains fort qu'aucune étude sérieuse ne nous parvienne jamais. Non pas qu'il n'existe pas de gens "compétents", mais plutôt que les gens qui ont les données du compte "vaccin" ne sont pas prêts de les fournir obligeamment. Ou de laisser publier une étude sérieuse ... Je voudrais rappeler simplementqu'au courant du mois d'avril 2020, les personnalités distinguées qui dirigent les Etats auxquels nous appartenons alors que nous imaginons être leurs souverains, se sont congratulées du partage qu'elles ont fait entre elles de je ne sais plus quels centaines de milliards d'Euros pour je ne sais plus quelle destination nébuleuse. En raclant dans mes souvenirs et dans mes archives de presse, j'en ai compté quelques dizaines (de milliards) qui étaient semble t'il réservés à la production d'un vaccin mondial.C'est à cette occasion qu'on a pu admirer la face brillante de convoitise du milliardaire américain Bill Gates, qui depuis dix ans et plus mène une campagne assez difficilement décryptable sur une théorie fumeuse qui dure depuis un moment et qu'il appelle "la vaccination universelle". Mais, déguisé en philanthrope, l'homme se prend au sérieux et c'est comme tel que tout le mouvement Covid s'est embrigadé dans ses aspirations vaccinales. Lui aussi brasse je ne sais combien de dizaines de milliards de dollars dans des initiatives "vaccinales" si on lit d'un oeil rapide la presse qu'il a acheté il y a déjà quelques années. Et puis, on apprend que le "vaccin universel" est en fait produitpar une centaine de firmes pharmaceutiques qui développent chacune le sien. Sur investissements ? Sur fond publics ? Rien n'est précis. Ainsi la Russie en produit déjà trois et la Chine cinq. AstraZeneca un, Moderna, un, Pfizer un, etc. Et on apprend que les Etats dont nous parlions font la queue chez le concierge de ces firmes pharmaceutiques qui pour pré-commander 200 millions de doses, qui un milliard de doses, ... De vaccins qui n'existent pas encore, mais que leur fabriquant annonce qu'"il marche" ... et manifestement, l'annonce suffit. C'est un peu étrange.On apprend aussi que le prix de la dosen'est pas encore tout à fait déterminé. Et qu'il y a des frais "annexes". Ainsi, avec un sérieux à "mourir de rire", on apprend que notre "gouvernement" - qui, au passage, n'a plus grand chose à voir avec l'organe prévu dans la Constitution - vient à la fois de commander 300 millions de doses d'un vaccin qui doit se conserver à -78°C et qu'il a donc commandé cinquante réfrigérateurs géants pour les conserver au frais le temps de l'inoculer à la population faisant, pense-t'on, docilement la queue à la porte du réfrigérateur. Maintenant, si les Etats font des pré-commandes, c'est qu'ils feront des commandes et qu'il faudra payer un certain prix la dose. J'aimerai savoir qui a payé quoi ? Et à la fin, qui paiera pour qui ? Il est certain que le coronavirus est une formidable aubaine pour certains.Dans une Tribune publiée il y a peu, un avocat était très inquiet des menaces sur la liberté d'expression que le coronavirus faisait subir sur nos sociétés anciennement libérales. Il estimait qu'il n'y avait pas une conjuration dans les concours de circonstances apportés par le SARS-CoV-2, mais une convergence des appétits autoritaires sur un effet d'aubaine. Effet d'aubaine et vaccins ? Aussi. Sources :
|